Marlène : rencontre avec un travesti

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marlène : rencontre avec un travesti Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Marlène : rencontre avec un travesti
En ce dimanche pluvieux, j’ai décidé de me rendre au sauna où je vais d’habitude. Arrivé sur place je me rend compte que c’est la journée réservée aux homos. N’ayant pas d’à priori et aimant aussi les rapports masculins, j’accède à l'établissement.
L’ambiance est différente des jours mixtes ou couple. Plus décontractée même et les hommes ne se cachent pas pour s’amuser, y compris dans les salles ouvertes ou dans le jacuzzi.
Première étape dans le hammam où des contacts se nouent. On se retrouve à trois quand je m’approche d’un homme debout qui se fait sucer par un autre à genoux à ses pieds. Je tente une caresse sur les fesses du sucé, qui accepte et il passe un bras autour de ma taille. A nos pieds, l’autre saisit ma bite qui se redresse peu à peu et alternativement, il passe ainsi de la mienne à celle de l’autre homme. Je pose une main sur la tête de notre suceur tout en caressant le dos du premier.
Celui-ci tourne sa tête vers moi et nous échangeons un baiser sur la bouche. Nos langues se trouvent. Je suis déjà très excité. Je prendrais bien la place de l’homme à genoux,mais celui-ci ne nous lâche pas et ma foi, nous pompe très agréablement.
Je commence à avoir très chaud, aussi, je laisse mes deux partenaires en glissant à celui qui est contre moi “J’ai trop chaud. A tout à l’heure peut-être”Je quitte le hammam et prend une douche rafraîchissante avant de rejoindre le jacuzzi. L'endroit est calme et je me laisse aller un moment au plaisir du bain chaud à bulles.
Quand le cycle de bulles s’arrête, je sors de l’eau et je me balade un peu dans les couloirs avant de monter à l’étage, où se trouve la partie “sèche”. C’est dans la cabine fumeur que l’on fait souvent des rencontres. On y parle, ce qui est rare ailleurs et j’y retrouve un habitué avec lequel nous discutons un moment.
Avant de rentrer dans cette salle, j’avais vu un homme, ou plutôt un travesti qui attendait à côté de la porte. Je l'avais déjà vu d’autre fois, toujours à l’étage sec, puisqu’il ne peut descendre habillé. Ma connaissance, avec qui d’ailleurs nous n’avons jamais fait que discuter, me dit alors.
• “Tu as vu, il y a Marlène !
• Marlène ?
• Ben oui. Le trav • Ah oui ! Je ne connaissais pas son nom. Plutôt pas mal pour un travesti d’ailleurs, à moins que ce ne soit un trans.
• C’est pareil.
• Oui presque • Ça te plait toi ?
• Je ne sais pas, Je n’ai jamais eu l’occasion. Les seuls travestis que j’ai pu voir étaient très masculins. Il ou elle, est assez féminine.
• Attend, je l’appelle !” Il Ouvre la porte et interpelle le travesti. “Marlène ! Vient discuter avec nous si tu t’ennuies.
• J’aime pas trop la fumée tu sais.
• On ne fume plus. Il reste l’odeur, mais la ventilation va vite l’enlever. Ce sera plus sympa que de rester seule dans ton coin.
• OK “ Marlène rentre et on se retrouve autour de la table haute qui meuble la pièce et ou se trouve le cendrier et des allumettes. Marlène reste debout. Elle est grande et notre position assise la fait paraître encore plus. Sa voix est rauque, mais ses traits sont assez féminins. Elle est habillée de façon sexy avec des hauts talons et une jupe assez courte qui dévoile ses jambes, mais foi bien galbées. Nous sommes proches et son parfum est agréable. Pas du tout vulgaire, même si le maquillage est un peu forcé.
Un autre homme entre et reste dans son coin pour fumer, Notre conversation est agréable et on pourrait se croire dans un café si ce n’est que les hommes ont simplement un pagne autour de la taille. La discussion est agréable, même si ce ne sont que des banalités. Incommodée par la fumée, Marlène décide de sortir et avec l’homme nous faisons de même. Marlène reprend son poste devant la porte qui communique avec l’entrée de l’établissement, un peu comme une pute qui attend le client. L’homme descend vers la partie humide et je décide de faire un tour dans cette partie. Dans le cinéma permanent qui projette un film gay, deux hommes se branlent face à l’écran et un autre, accroupi entre les sièges, suce un quatrième. Je quitte l’endroit, aucun des deux qui s’astiquent ne me plait. Dans le labyrinthe formé par des cloisons, je fais un bref passage dans la backroom. Dans le noir, personne. Je ne m’attarde pas. Je rentre dans une cabine de glory hole. A travers les trous, aucun sexe n’apparaît. Cette cabine en comporte un sur trois côtés. J'aperçois une lueur à travers l’un d’entre-eux, signe que quelqu’un est entré dans la cabine voisine.
J’attend un peu pour voir si l’homme de l’autre côté désire se faire sucer, mais ne voyant rien apparaître, j’enlève mon pagne et passe ma bite à travers le trou. Très vite une main puis une bouche, s’empare de mon sexe. qui aussitôt gonfle. La caresse est douce.La langue et les lèvres s’activent et le plaisir monte en moi. Je ne veux pas jouir, aussi profitant de moments où la bouche anonyme reprend son souffle, je retire ma bite du trou avant de l’y replonger.
Plusieurs fois je répète l’opération et je suis bien chaud. Néanmoins, je me retire une dernière fois et j’abandonne la cabine. Je poursuis mon chemin dans le couloir et quand je reviens à l’entrée, je vois Marlène qui revient à son poste. Est-ce elle qui était de l’autre côté de la cloison ? Je m’arrête un peu et je ne vois personne d’autre dans cette partie du couloir. Un coup d’oeil vers les portes des cabines glory hole. Elle sont toutes ouvertes. Il n’y a donc personne à l’intérieur. Je m’approche de Marlène et comme nous avions parlé avant, j’ose l’interroger.
• “C’est toi qui m'a si bien sucé à l’instant ?
• Oui ! Tu as aimé ?
• J’ai adoré ! Tu es une bonne suceuse. Tu es aussi très belle.
• Merci. J’ai bien aimé ta queue aussi. Douce et lisse.
• Ca te dirai de continuer, mais en direct cette fois ?
• Oh oui ! Mais ici en haut il n’y a pas de cabine. Dans la backroom ?
• Non, je veux te voir! On peut aller dans celle du sling. Elle ferme.
• Ok !”Je suis tout émoustillé ! Mon premier travesti et je bande déjà ! Instinctivement, je lui prend la main et l’entraîne derrière moi. Sa main est chaude et elle ne la retire pas. En quelques pas, nous sommes à la cabine. Nous pénétrons vite et je referme à clé derrière nous. Marlène est un peu plus grande que moi avec ses talons et je me recule un peu pour l’admirer.
• “Tu es très belle et jeune !
• Tu me plais aussi. J’aime les hommes mûrs !”Je me rapproche et spontanément je l’embrasse. Elle ne se dérobe pas et nos langues se mélangent fougueusement. D’une main, elle fait tomber mon pagne et je me retrouve nu, face à cette superbe créature encore habillée. Elle s’accroupit et reprend la fellation où elle l’avait laissée dans la cabine. C’est bien elle qui me suçais si bien. Appuyé contre la cloison, je peux maintenant la voir en action. Elle lève les yeux de temps en temps pour me regarder. C’est très érotique.
Je la soulève et nous échangeons à nouveau un long baiser. Je suis bien contre son corps, mais j’ai envie de plus.
• “Tu me montres ton clito ?
• Oh oui !
• Tu veux bien te déshabiller un peu ?”Sans attendre, elle défait son corsage sous lequel apparaissent de petits seins enfermés dans un soutien gorge à balconnet. Elle tombe sa jupe et descend son string. Je découvre enfin sa bite qui commence à se dresser. Elle est ma foi plutôt belle. Pas très longue mais bien épaisse. Ainsi exhibée, elle m’excite encore plus si c’est possible. A mon tour, je m’accroupis et je plonge sur sa queue. Elle sent bon. Elle durcit dans ma bouche et je la cajole du mieux possible, tout en la branlant d’un main. Je lève les yeux et je la vois cambrée, les yeux fermés, profitant du plaisir que je lui donne. Elle pose une main sur ma tête et me guide pendant que je pompe. Je parviens à l’avaler tout entière. Ma bouche largement écartée par le calibre. D’une main, je roule ses couilles, pas très grosses mais bien pleines.
Je fatigue un peu sur mes jambes et je me relève. On reprend un autre baiser toujours aussi enfiévré.Je peux maintenant la caresser sur ses fesses et dans son dos. Nos deux sexe en contact se frottent l’un contre l’autre. J’ai envie d’elle. Elle le sent.
• “Tu veux me prendre ?
• Ouii !”Pendant qu’elle s’installe sur le sling, j’enfile une capote mise à disposition dans un distributeur. Avant de la lubrifier avec du gel, j’écarte ses fesses et de ma langue, je fouille son petit trou. Elle est totalement épilée et je me régale de cette caresse. Marlène geint sur le siège en cuir, mais elle en veut plus.
• “C’est bon, mais, prend-moi maintenant”Je me relève, prend du gel et badigeonne bien sa corolle, autour et dans le trou que je pénètre d’un doigt puis de deux. N’y tenant plus, Je me branle un peu pour bien durcir et je pointe mon gland sur son oeillet. Une petite poussée et il pénètre facilement. Je m’arrête un peu pour admirer le tableau et d’un seul coup je m’enfonce dans son cul.
C’est divin ! Marlène a poussé un soupir plein de désir. Le spectacle est magnifique. Cette femelle offerte, écartée sur le siège en cuir pendu à des chaînes. Son body violet auquel sont attachés ses bas, rend le tableau superbe. Ses jambes relevées et revêtues de cuissardes sont du plus bel effet et ce n’est pas son clitoris bandé qui me déconcerte, au contraire !
Je la saisit aux hanches et je l’encule sans retenue. Elle a relevé ses bras et se tient aux chaînes du sling. J'agrippe alors sa bite et je la branle tout en continuant à la baiser.
• “Viens ! Viens ! Baise-moi fort ! Oh oui, c’est bon !
• Salope ! Tu es bonne ! Ton cul me serre bien ! lâche-toi petite pute.Je vais te défoncer la chatte !
• Oui ! Vas-y ! Défonce-moi ! Elle est bonne ta queue ! N’arrête pas ! J’aime ! Baise-moi fort ! Nique-moi le cul !
• Sale pute ! Je vais jouir !
• Oui ! Vas-y ! Lâche-toi ! Je viens !” • D’un coup, son sperme jaillit de sa queue et imprègne mes doigts. Je continue de la branler tout en accélérant ma cadence dans son cul. “Je viens” A mon tour je me lâche dans la capote. Il y a longtemps que je n’avais pas jouis aussi vite, ni aussi fort. Tout en accompagnant son orgasme avec la main, je continue à la sodomiser alors que ma queue, peu à peu se rétracte.
Marlène se redresse, entoure mes épaules de ses bras et me roule une pelle fiévreuse. L’endroit n’est pas très pratique pour se câliner, mais nous poursuivons malgré tout à nous caresser. Elle paraît toute timide maintenant. Alors qu’au début elle paraissait hautaine, debout dans le couloir, On dirait maintenant une petite fille prise en faute. Ses cernes se sont creusés par le plaisir. Je ne dois pas être mieux. C’est drôle, je n’ai pas envie de me séparer après cet assaut. Je m'assois sur une chaise posée à côté du sling et Marlène vient s’assoir sur mes genoux.On se bécote, on se caresse, on se regarde les yeux dans les yeux. Elle a l’air heureuse, je le suis.
Longtemps nous restons ainsi, collés l’un à l’autre. Le temps ne compte plus. Je ne sais combien cela dure. Nous avons chaud. Peu à peu nos rythmes cardiaques deviennent plus calmes.
• “J’ai besoin d’une bonne douche !”Dis-je • Moi je ne peux pas y aller !
• Ah oui c’est vrai ! Je suis désolé !
• Ne le soit pas. Il y a longtemps que je n’ai pas jouis comme ça et peut importe le reste.Je vais garder l’odeur sur moi. J’adore ! Je suis bien avec toi. Ça ne m’est jamais arrivé ici. Les mecs me baisent, ou je les suce et ils s’en vont vite. Dis, tu voudras recommencer avec moi ?
• Oui ! Mais pas tout de suite, tu m’as tué !
• C’est toi qui m’as tuée ! J’ai jouis comme une folle !
• J’ai vu !
• Je te fais honte ?
• Pas du tout j’ai adoré te voir. Tu étais si belle dans ce siège dans tes habits et avec ta belle queue, enfin… ton clito.
• Oui, je dis mon clito, mais tu t’en ai occupé comme d’une bite.
• Elle est belle et bonne ta bite.
• C’est vrai ? Tu l’aimes ?
• J’adore ! Je vois que tu bandes déjà de nouveau. Privilège de l’âge !
• Dis-donc toi. Tu ne sens pas que toi aussi tu bandes ?
• Je ne m’en rendais pas compte. J’ai envie de la sucer !
• Salaud !... Ça te dirais de continuer… ailleurs ?
• Comment ça ?
• Je… non, c’est pas possible..
• Dis-moi !
• Tu ne voudras pas.
• Je ne voudrai pas quoi ?
• Je…. venir avec moi…. chez moi ! J’habite pas très loin… • Non ! Tu veux que… • Je comprends que tu ne veuilles pas t’afficher avec moi en dehors d’ici… • Ce n’est pas ça mais.
• J’ai compris ! C’est pas grave !
• Attend ! Je n’ai pas dis que je ne voulais pas. En fait, oui, j’ai envie !
• Génial ! Embrasse-moi !
• Tu n’en as pas assez ?
• Non ! Et toi ?”Un énième baiser nous emporte. On se sépare malgré tout. Marlène se rhabille sous mes yeux. Mon pagne a été vite remis. Son maquillage est un peu défait. Heureusement il y a une glace dans la pièce et elle peut retrouver un aspect plus correct. Nous sortons de la cabine maintenant surchauffée. Je laisse Marlène devant la porte du fumoir et je redescend pour me rhabiller. Je passe rapidement à la douche et cinq minutes plus tard, après avoir déposé serviette et sandale à la réception, je retrouve Marlène dans la partie sèche qui parle avec l’homme du fumoir. Quand j’arrive, celui-ci dit : • “Je disais à Marlène que vous en avez bien profité dans le sling. Il aurait fallu être sourd pour ne pas vous entendre et vu vos têtes ! Bravo ! Toi tu viens pour la première fois un jour gay et tu te tapes Marlène alors que je n’y ai jamais eu droit !
• Tu ne m’as jamais rien demandé !
• Je… n’ai pas osé… • Il fallait ! Maintenant c’est trop tard…. pour aujourd’hui ! On va continuer avec … ?
• Jacques.
• On va continuer avec Jacques chez moi. “ L’homme est scotché. Les rapports dans le sauna ne vont généralement pas plus loin, mais en plus là avec un… Une…Je prend la main de ma compagne et nous passons dans l’entrée. Nous remettons nos clés au patron et quittons l’établissement, toujours en nous tenant la main. Dehors, Marlène veut me la lâcher mais je la tiens fermement.
• “Tu… es sûr ?
• Certain!”Nous partons à pied. Elle m’a dit habiter à deux pas. En passant sous un porche, je la plaque au mur et je l’embrasse longuement. Je sens derrière nous passer des personnes mais peu m’importe. Je ne suis pas connu dans cette ville. Après nous être séparés, Marlène dit : • “C’est… la première fois… dehors… Tu es fou !
• Tu n’as pas aimé ?
• Si, si bien sûr mais… tu n’as pas peur de t’afficher avec…avec moi ?
• Un travesti ?
• O… Oui • Pour moi, ici, tu es une très belle femme et ça ne me gêne pas qu’on me voit à ton bras • Tu… “Je pose un doigt sur ses lèvres “ Chuuut !”Nous reprenons nos pas et pour affirmer encore plus mon envie de me montrer en sa compagnie, je passe mon bras autour de sa taille. Malgré une tentative de s’éloigner, je la tiens bien et lorsque nous croisons un couple, la femme ne peut réprimer un rictus de dédain à notre encontre.
Une centaine de mètres plus loin, Marlène s’avance vers une petit pavillon qui apparaît à peine entre deux grands immeubles. La maison est cachée par une haute clôture en fer opage de plus de deux mètres de haut qui la rend invisible de la rue. Seul un portail indique le passage.
• “C’est la maison de mes parents. Ils n’ont jamais voulu vendre. Le promoteur à côté a payé la clôture et nous a même offert un emplacement de parking dans son sous-sol. Je ne l’utilise pas car je n’ai pas de voiture.” Une fois le portail passé, je découvre une petite maison à l’allure modeste qu doit dater des années cinquante. La façade est un peu décrépite. “Ne t’inquiète pas. A l’intérieur j’ai tout le confort, mais je délaisse l'extérieur car un jour ou l'autre je devrai surement partir. Il n’y a que le jardin derrière que j’entretien. C’est un vrai havre de paix”Marlène me fait entrer. L’intérieur, quoi que petit, est très coquet et meublé avec goût à la mode moderne. Quel contraste avec l’extérieur ! Nous arrivons au salon et d’un coup, Marlène semble nerveuse. Je l’attrappe par le bras et la serre contre moi pour échanger un baiser. Son corps tremble contre le mien. Je la sens à la limite des pleurs. Le baiser et les caresses la réconfortent malgré tout.
• “Ça va aller ? dis-je.
• O… Oui. Pardon, mais c’est la première fois qu’un homme entre ici. Ça m’a fait drôle, mais je suis contente que ce soit toi! Attend ! Je vais à la douche ! Toi tu y as été mais pas moi.
• Non, J’y ai été juste pour ne pas imprégner mes vêtements, mais reste comme ça !
• Mais… Je sens…Le foutre oui ! et j’adore.On ira tout à l’heure.
• Tous les deux ?
• Oui, bien sûr ! En attendant tu vas me faire un streaptise. Vas-y lentement !”Je m’installe dans le fauteuil canapé et Marlène commence son effeuillage. La veste tout d’abord, puis le gilet, ce qui dévoile ses petits seins. J’ouvre mon pantalon et face à elle je me branle doucement. Le spectacle est magnifique ! Elle continue lentement et ôte le bustier.Ses bas qui ne sont plus retenus, tombent sur les cuissardes. “Enlève tout !” dis-je, alors que je fini de me déshabiller.
Bientôt Marlène est nue. Son corps androgyne est superbe. Elle tourne sur elle-même devant moi pour se faire admirer. Je bande fort. Ma position basse dans le fauteuil la fait paraître plus grande même sans ses bottes à talons hauts. Son sexe est encore tout petit, alors que quand elle bande, il est d’une belle taille • “Approche ! Donne-moi ton clito à sucer !”Marlène me domine de toute sa taille et je me sens comme son soumis. Elle avance son bassin et j’avale sa petite bite encore molle. Entre mes lèvres et sous l’effet de ma langue, je la sens gonfler peu à peu. Je câline ses bourses d’une main et je pompe bien ce qui devient maintenant son membre viril. Je me régale de son odeur musquée et la sensation de le sentir gonfler dans ma bouche est géniale. Je me rends compte que c’est la première fois que je prends ainsi un membre flasque et que je le fais grandir par ma succion. D’habitude, ce sont toujours des sexes dressés que j’ai avalé. Aussitôt j’adore cette sensation et me promet de recommencer à l’avenir. Je pensais être dégoûté de sentir ce morceau moi mais en fait c’est encore meilleur. Que de temps perdu !
Maintenant que sa bite est bien raide, je m’efforce de l’avaler complètement jusqu’au couilles. Ma bouche est bien dilatée et ma mâchoire un peu douloureuse, mais j’adore, même quand son gland touche ma luette à la limite de vomir. Je m’applique pour réussir ma gorge profonde et la position tête en arrière le facilite. Dorénavant, je serai une vraie pompeuse de bite. J’en arrive à espérer recevoir le sperme directement au fond de ma gorge. Pour l’instant, je ne sais si ma partenaire est “clean”, aussi, j’arrête ma pipe. Je la sens en effet à la limite de l’éjaculation. Je reprend mon rôle de mâle.

• “Viens ici à genoux ! Viens sucer ton homme ! Viens petite pute ! Petite chienne !”Aussitôt, Marlène se précipite à quatre pattes entre mes jambes et plonge sur ma bite dressée. Je suis enfoncé dans le fauteuil, le bassin en avant. Mon cul est accessible. “Met-moi un doigt !” Marlène mouille son majeur et l’enfonce sans difficulté.
• “Tu es bien ouvert dis-donc ! Tu aimes ça !
• Ouii ! Vas-y ! Mets-en un autre !
• Salope ! Tu vas voir, comment je vais m’occuper de ton cul !
• Oh oui ! Baise moi avec ta jolie queue !
• Je...
• Allez ! Je veux que tu me prennes !
• J’ai pas de capote !
• J’en ai pris au sauna. Regarde dans ma poche de pantalon.
• Eh bien, dis-donc! Tu en as pris assez ! Tu comptes me baiser autant de fois.
• Il y en a pour les deux, parce que toi aussi tu vas me baiser tant que tu veux.
• Je ne suis pas très habituée !
• Tu n’as jamais baisé un mec ?
• Si, mais cela ne s’est pas bien passé. Je n’arrivais pas à bander assez !
• Là je crois que tu bandes bien. Alors, ne me fais pas attendre. Prends-moi !” Pendant qu’elle enfile le préservatif, je m’enfonce encore plus dans le fauteuil et je relève mes jambes, offrant mon cul bien dégagé.
• Salope ! Lance-t-elle en souriant. Tu aimes autant que moi te faire enculer !
• J’ai surtout envie de goûter ta queue bien large. Vas-y doucement au début.
• Attend ! Je vais te bouffer le cul, comme tu l’as fait au sauna. J’ai adoré !”A genoux entre mes cuisses, Marlène me lèche le cul, enfonce sa langue et la remplace par deux, puis trois doigts.
• “Je crois que tu es prêts mon chou ! Je vais te mettre ma bite !
• Ouii ! Encule moi petite pute : Je veux ta queue !
• C’est toi ma pute maintenant. Ma vieille pute que je vais niquer !
• Oh oui ! traite moi de pute ! Je suis ta pute !
• Tiens ! Puisque tu la veux !”Marlène pointe son dard sur ma corolle. Elle se guide et pousse un peu jusqu’à que le gland passe la porte étroite. Elle s’arrête et attend que je la supplie.
• “Vas-y d’un coup ! Défonce moi la chatte ! Je veux sentir ta grosse queue en moi ! Ne me ménage pas ! Tu es belle comme ça avec ta queue et tes seins !”D’un seul élan, elle s'enfonce. Sa grosse bite me perfore sans que j’ai mal. Sa queue est faite pour mon cul et réciproquement. Elle écarte mes chairs, mes ne va pas trop loin. Dimensions idéales, je prend mon pied.
Marlène se penche et me donne ses lèvres. Je suis aux anges.
• “Si tu continues, je vais jouir !
• Oui ! Je veux te voir cracher !
• Après je ne vais plus être opérationnel.
• Tu ne connais pas mes talents de suceuse. Je vais te remettre en forme vite fait !
• J’ai déjà apprécié ! Tu suce comme une reine.
• Allez! Donne moi ton jus. J’ai envie !
• Défonce-moi le cul ! Je vais venir !
• Oui, ma salope ! Mon chou ! J’aime te voir me supplier ! Tu es ma salope à moi ! C’est ma première. D’habitude c’est moi la salope. Aujourd’hui c’est toi qui es la mienne • Oh oui ! Baise ta salope ma petite pute. Je vais jouir !
• Viens ! Viens !”Marlène s’acharne dans mon cul et je sens monter ma jouissance. Je me laisse aller. Sans me toucher je sens le sperme couler de mon gland et couvrir mon ventre. Marlène se recule et regarde ma verge. Je ne bande plus, mais je coule. Mes reins sont tordus et je jouis très fort alors qu’elle accentue encore ses coups dans mon rectum. Elle aussi est à la limite. Son maquillage s’en va sous la coulée de sa transpiration. Elle se donne à fond et d’un coup, s’immobilise au fond de moi et crache sa semence.
Sur le moment, je regrette qu’elle ait un préservatif, j’aimerai sentir son sperme me tapisser le cul. Quand enfin elle a fini et se retire, je lui enlève la capote et je fais couler son jus sur mon ventre et ma queue. Exténuée elle aussi, Marlène se couche sur moi et frotte son ventre au mien étalant entre nos corps nos semences gluantes. On s’embrasse encore et encore. Heureux de ce moment intense.
Il est temps de passer à la douche. Je découvre que Marlène, si elle ne fait aucun effort pour l’extérieur de sa maison, a bien aménagé son intérieur avec tout le confort moderne. La salle de bain est grande, le carrelage de qualité. Un grand miroir et en plus d’une baignoire à remous, une douche à l’italienne avec multi jets.
Après réglage de la température nous profitons longtemps de l’eau bienfaisante et régénérante. D’un coup, Marlène semble gênée.
• “Que t’arrive-t-il ?
• Je… “elle rougit” J’ai une petite manie quand je me douche… • Tu te branles ?
• Non. Je… Je fais pipi ! Oh pardon !
• Mais c’est génial !
• Quoi ? Mais… • Tu vas faire pipi !
• Devant toi ? Je n’oserai jamais !
• Pas devant… • Ah !
• Dessus !
• Quoi ? Mais tu es fou !
• Pas du tout ! Tu va aimer et moi j’en rêve !”Aussitôt, je m’agenouille devant Marlène, entre ses jambes. Elle a bien sûr du mal à commencer sa miction. Avec ma langue, je titille son “clito” en dessous du gland, sur le frein. Marlène se décontracte. Une première goutte perle. Je me recule “Vas-y”. Encore quelques instants et Marlène se lâche enfin. elle vise mon torse. J’avance la tête et j’ouvre ma bouche. Sous les yeux horrifiés de Marlène, je reçois sa pisse directement et en avale. J’en ai sur le visage, sur le buste, son urine coule sur mon ventre et mes jambes avant de finir dans le receveur de douche ou j’ai laissé couler un peu d’eau qui emporte tout.
Devant ce spectacle, Marlène prend de l’assurance et dirige son jet sur toutes les parties de mon corps, elle a une belle réserve, ma belle trav. Elle s’était retenue depuis son départ pour la sauna. A la fin, je prend directement sa bite entre mes lèvres et nettoie le gland jusqu’au bout.
Je rallume la douche pour me nettoyer et éviter les odeurs et l’oxydation malsaine. Je me relève et enlace à nouveau Marlène. Je la remercie de ce moment et l’embrasse encore.
• “Dis mon chou, tu ne voudrais pas me faire pareil ? J’ai vu le plaisir que tu prenais, j’ai envie moi aussi que tu me pisses dessus !
• Tu es sûre ? Tu n’es pas obligée tu sais ?
• Non ! Je veux que tu pisses sur moi. Sur tout mon corps, sur mon visage ! Moi aussi je veux te boire !”A genoux devant moi, elle attend sa “douche dorée” en me regardant, en regardant ma queue d’où elle attend que sorte mon urine. Je fait coulisser ma main, pour démarrer et enfin ça gicle. Comme moi elle ouvre la bouche quand je dirige mon jet sur son visage en évitant les yeux. Je pisse directement entre ses lèvres et elle avale quelques goulées. Je la rince à la fin et on se serre l’un contre l’autre, encore étonnés d’avoir réalisé cette chose.
Nous nous séchons enfin. Marlène me passe un peignoir rose qui me semble un peu ridicule, mais cela ne la dérange pas.
• “Veux-tu manger quelque chose ? Je n’ai rien mangé depuis deux heures cet après-midi.
• Je veux bien. Moi non plus, je n’ai pas mangé.”La cuisine est au niveau d’équipement du reste de la maison. Marlène nous prépare une omelette qui va nous reconstituer avec un verre de vin. Nous en profitons pour parler un peu : • “Il y a longtemps que tu te travestis ?
• Tout petit déjà, j’aimais mettre les habits de ma mère. A la maison, elle m’encourageait même. Mon père buvait et à la maison ne faisait rien. La seule chose bien qu’il a fait c’est de résister aux promoteurs et obtenir de garder la maison. Ils nous ont même offert une place de parking dans l’immeuble à côté. Malheureusement je n’ai pas le permis, ni de voiture.
Peu après, il est décédé. j’avais seize ans et ma mère a continuer à me garder sous son aile. Dès que je rentrais à la maison, je m’habillais en femme.
• Et le reste du temps ?
• Au lycée et plus tard dans mon travail, je suis un mec normal, quoique efféminé.
• Et dans ton travail ? comment tu fais ?
• Je m’habille en homme avec un catogan et je ne me maquille pas.
• Tu reste très féminine. Maintenant encore, en face de moi, je vois une belle femme.
• Tu es gentil.
• C’est vrai que je ne vois pas ton clito !
• Cochon que tu es ! Tu as encore envie ?
• Oh oui ! Tu m’excites, même comme ça. En plus tu n’a pas de poil.
• Non, je suis totalement imberbe, c’est un avantage. Il en faut quelques uns.
• Et pour ton travail alors ?
• J’y vais à pied, Je travaille à la préfecture, ce n’est pas loin. Je suis accepté par mes collègues. Même mon chef me soutient. Une fois, un “lourd” a essayé de me coincer et n’arrêtait pas de me dénigrer. Le chef, l’a réprimandé, l’a fait muter dans un autre service en disant : “Ici il n’y a pas de blanc, de noir, d’homo, d’hétéro. Il y a des collaborateurs, des agents qui travaillent. Je n’ai qu’à me féliciter du travail de Michel, alors, chacun à sa place !” • Michel, c’est toi ?
• Euh... Oui, dans le civil.
• Pour moi tu es Marlène et tu resteras Marlène.
• Merci. Tu as … Tu peux rester un peu ? Tu as envie ?
• Regarde ! “Je me lève et j’ouvre le peignoir pour lui montrer mon érection. Il se lève de l’autre côté de la table et lui aussi bande fort.” • Viens dans la chambre, on sera bien.”Comme le reste des pièces, la chambre est superbe ! Un grand lit et des miroirs face au lit et sur le côté. Les peignoirs vite jetés, nous plongeons sur la couche. Après en baiser bien baveux, on se retrouve sur le côté en soixante neuf. Chacun fait son maximum pour donner un maximum de plaisir à l’autre. La bite avalée, dégustée, léchée, ds doigts explorent l’anus de l’autre en reproduisant les gestes reçus.
• “Je vais jouir ! Prend-moi” me supplie Marlène.
• Comment veux-tu te mettre ?
• En levrette ! Pends-moi en face du miroir. !
• A tes ordres ma petite pute !
• Oui mon cochon !
• J’adore que tu m’appelles ton cochon !” Marlène est déjà en position et le temps d'enfiler une capote, je m’apprête à mettre du gel sur son cul, quand elle dit : • Non ! Prend-moi à sec ! Et vas-y à fond ! Je veux bien te sentir passer !” Il ne m’en faut pas plus. Je pointe mon dard sur sa corolle.
• “Tu veux vraiment ?
• Oui salaud ! Ne me fait pas attendre !Baise-moi !”A peine a-t-elle fini que je m’enfonce d’un coup, déclenchant un cri moitié douleur, moitié plaisir. Je vois notre couple dans la glace. Je saisi les cheveux longs de Marlène et je tire dessus pour lui relever la tête et qu’elle aussi profite de notre image.
• “Regarde-toi petite pute ! Tu vois comme je te baise ?
• Oh oui ! C’est bon mon cochon ! J’aime. Au sauna on peut pas se voir comme ça !
• Tu n’as qu’à venir en bas.
• Je ne peux pas.
• En attendant ma petite pute, prend ça ! “ Je me déchaîne dans son cul. Il y a longtemps que je n’ai pas pris autant de plaisir à enculer quelqu’un, homme ou femme. Son corps androgyne est à la fois un mec avec un cul de mec mais des lignes et une tête de femme. Je redresse encore son buste, lui tourne la tête pour l’embrasser tout en prenant son sexe en main. Dans la glace, notre couple étrange est un spectacle complètement irréel. Je ne me retiens plus et dans cette position, je décharge. Encore étonné de pouvoir donner, alors que d’habitude, j’ai du mal à jouir.
Maintenant j’ai envie que Marlène s’occupe de moi. Elle a été pas mal secouée, mais j’ai envie de sa bite dans mon cul. Je la fais coucher en travers du lit, les jambes face au miroir. Je l’enjambe et je viens poser mon cul sur sa queue dressée. Je me renverse en arrière et je monte et descend sur sa bite magique. Dans le miroir, je me vois. Ma bite est secouée au rythme de mes mouvements. Je vois sa queue dans mon cul. Je sens monter un nouveau plaisir, différent. Je me vois pour la première fois en train de me faire enculer et j’aime ça. La bite de Marlène me remplit bien. C’est moi qui donne le rythme. Mes bras et mes cuisses sont douloureux Quand j’arrête mes mouvements, bien enfoncé sur la bite, c’est Marlène qui prend le relais et donne des coups de bassin. Quand elle fatigue, je prend le relais et elle me soutient sous les fesses pour m’aider. Dans cette position, ce n’est plus le mâle qui dirige, mais celui qui se fait prendre qui gère le rythme et la profondeur des pénétrations.
Je voudrais que ça dure,mais malheureusement ou heureusement pour elle, Marlène ne tient plus et jouit à son tour. On se retrouve côte à côte, aussi exténué l’un que l’autre. Nous mettons longtemps avant de retrouver notre calme.
• “Il est tard, je dois partir “dis-je • “Tu… ne veux pas rester un peu ?
• Tu travailles demain. Il faut dormir aussi • Je ne commence qu’à quatorze heures. On a le temps de dormir…. aussi. Mais je comprends… si tu en as assez.
• Non ! Mais… Est-ce bien raisonnable ?
• C’est sûr ! se retrouver avec un travesti, c’est pas simple.
• Ce n’est pas ça. Mais j’aime trop et je ne veux pas t’envahir. Tu te rends compte. On s’est rencontrés il y a à peine six heures et on est là, chez toi. On baise comme des fous et je n’ai pas envie que ça s’arrête !
• Alors reste. On dormira un peu, on fera l’amour. On a jusqu’à midi. Après je devrais me préparer pour aller travailler.”Il est à peine vingt deux heures et jusqu’à dix heures du matin, nous allons alterner entre sommeil et baise. Marlène va vouloir tester la position ou au dessus de moi elle est face au miroir et regarde sa bite s’agiter en cadence et la mienne dans son cul. On va aussi se prendre l’un après l’autre, toujours face au miroir, couchés sur le côté. Malgré une érection mollissante, nous arrivons toujours à nous sodomiser. Nos culs restent ouverts.
• “Tu voudras revenir ? m’interroge Marlène • Sûrement !
• Ecoute, j’ai une idée. On va aller voir le parking à côté, j’ai l’accès avec un bip. Tu pourras te garer là quand tu viendras.
• Samedi on ira au sauna et tu descendras avec moi.
• Mais… • Il n’y a pas de mais. C’est la soirée couple, nous irons comme un couple. Je suis sûr que tu auras aussi du succès.
• Je ne sais pas si… • Ne t’inquiète pas. Tu vas voir ce sera génial. Dans tous les cas il y a aussi des hommes seuls.”Marlène me donne son numéro de téléphone. Je prétexte ne pas me rappeler du mien. En fait, je tiens à séparer ma vie, de me moments avec elle. Au retour, j’achèterai une carte pré-payée. Je l’installerai sur un ancien téléphone et mes conversations avec mon travesti préféré seront discrètes.
Le soir, j’appelle marlène. Elle est toute heureuse de m’entendre. Après mon refus de lui donner mon numéro de téléphone, elle a crut que je voulais arrêter. On passe un long moment à parler à se dire des mots doux. Je lui dis que je suis nu dans mon lit et on se branle ensemble. Nous avions décidé de faire un test HIV. Nous devrions avoir le résultat le lendemain.
Le mardi soir, je lui propose de venir la retrouver. Elle est bien sûr d’accord.
• “Mets simplement une nuisette, un string et des chaussures à talons.
• Tu vas me sauter dessus espèce de voyou !
• Oui ! Il y a des chances ! D’autant que le résultat de mon test est arrivé et je compte bien te baiser à cru !
• Le mien aussi est négatif ! Je viens d’avoir le mail de confirmation ! Ça va être génial !
• Prépare ton cul et ta bouche ma petite pute !
• Toi aussi mon vieux cochon !”Mercredi me paraît long, mais au fur et à mesure qu’approche l’heure du rendez-vous je deviens fébrile. C’est la première fois que je vais baiser un homme sans capote et qu’il va m’enculer ! Nous avons rendez-vous à dix neuf heures mais je suis devant la porte de Marlène plus d’une heure avant. Un peu avant dix huit heures, je la vois arriver, ou plutôt, je vois arriver Michel. Dans un costume gris, de loin, il ressemble à n’importe quel employé de bureau, tenant sa petite serviette, mais plus il approche, plus je retrouve sa silhouette androgyne. A cinquante mètres, j’aperçois nettement son catogan et ses traits efféminés. Il est beau malgré tout dans son costume de tous les jours.
Je ne cherche pas à le rejoindre. Je préfère le laisser se préparer et retrouver ensuite Marlène. Ayant une heure à perdre, je me rends dans un café où je bois deux bières. Je sais qu’ensuite j’aurais une belle envie de pisser et que ma bite sera bien dure. Avant de finir la deuxième, alors qu’il est presque l’heure, j’avale une pilule de cialis. Avec ça, je vais pouvoir honorer ma femelle comme il faut.
A dix neuf heures tapantes, je m’arrête devant le portail, je sonne et en entrebâillant l’ouvrant, Marlène me donne comme convenu, la télécommande pour l’accès au parking. Je descend me garer, puis je regagne la maison voisine. Je n’ai qu’à pousser le portail pour entrer dans le jardin et je toque à la porte. Aussitôt Marlène ouvre et me fait entrer.
Nous tombons dans les bras l’un de l’autre pour un baiser torride. Contre moi, son corps chaud se colle, me communiquant son désir. Je me recule en la prenant par les bras pour admirer sa silhouette. Marlène a revêtu un déshabillé rouge en dentelle qui laisse voir son corps. En dessous, un simple string noir et aux pieds des chaussures à talon rouge. Ses lèvres sont également teintées d’un rouge carmin. Elle a soigné son maquillage. Ni trop, ni trop peu. Ses yeux brillent.Elle n’a plus rien à voir avec l’homme qui est entré chez elle il y a une heure. “Tu es superbe !” dis-je.
Je me jette à genoux. “J’ai envie d bouffer ton clito avant qu’il ne devienne un belle courgette.” Je baisse le devant de son string et le cale sous ses couilles. Je plonge aussitôt sous son déshabillé vaporeux ^pour nicher ma tête à la recherche de son gros bouton. Je l'avale et je roule ses boules dans ma main. Dans ma bouche, le “clito” de Marlène commence à prendre des proportions. Mon beau travesti se met à bander. Bientôt, sa tige gonfle et s’allonge sous l’effet de ma succion. Il atteint vite son paroxysme. Et c’est un bâton bien dûr que je cajole de ma langue et mes lèvres.
En relevant mes yeux, je vois Marlène, appuyée au mur, la tête en arrière, les yeux clos. Elle a posé ses mains sur mon crâne et se délecte de ma fellation. Ma tête en arrière me permet d’absorber toute sa tige, jusque dans la gorge, sans problème. Je laisse Marlène me “baiser la gueule”, y trouvant un plaisir pervers. J’ai envie de recevoir son sperme. Elle tente bien de repousser ma tête, mais je résiste et d’un coup, elle jouit. Pour la première fois de ma vie, je reçois directement le sperme d’un homme dans ma bouche. C’est chaud, c’est légèrement sucré et amer. je me régale et en avale une première lampée.
Marlène se vide dans ma bouche et j’aime ça ! Je me relève et viens l’embrasser, lui redonnant un peu de son sperme que nous partageons.
• “Que c’était bon ! Tu es un chou ! Tu m’as fait jouir comme une folle ! Viens maintenant, je te veux en moi. Viens baiser ta pute !” Elle m’entraîne dans le salon, se débarrasse de son string et se couche en arrière sur la table. “Prend-moi comme ça ! Viens dans ma chatte !”Je bande comme un fou. Je me guide d’une main et sans attendre, je m’enfonce dans ses lombes. Aucune résistance et je la pénètre sans effort.
• “Salope ! Tu t’es préparée à me recevoir !
• Oui, Je me suis godée et lubrifiée, parce que je te voulais de suite en moi. Tu m’as déjà fait jouir, alors à ton tour ! Engrosse-moi. Fais de moi ta femelle !”Je relève ses jambes en la tenant sous les genoux et je l’encule comme un furieux. J’ai juste baissé mon pantalon sous lequel je n’avais rien. J’ai chaud. Aussi je me débarrasse de ma chemise. A travers le tissu léger qui la recouvre encore, je pince ses tétons ce qui la fait bramer. Dès que je reprend mes pénétrations, je sens que je vais jouir très vite. Je ne me retiens plus et je sens monter le pserme dans mes reins. Un dernier rush complètement fou et enfin j’éclate dans un orgasme phénoménal. Je me vide dans le rectum de Marlène qui est complètement out.
Je continue mes pénétrations en ralentissant le rythme petit à petit, en laissant redescendre le plaisir. Enfin, je me couche sur Marlène et nous nous embrassons, heureux de ce moment unique. La première fois que je jouis dans un homme sans protection, la première fois que Marlène était montée à cru !
• “Tu sais que j’ai senti ton sperme quand tu as éjaculé dans mon cul ! C’est énorme !
• Bientôt, ce sera moi qui vais sentir le tien ! J’ai hâte que tu m’éclates le cul et que tu me tapisses le cul avec ton jus !”Nous sommes quand même bien secoués et nous restons un long moment dans les bras l’un de l’autre. Marlène y va même de sa petite larme d’émotion. Elle a toujours sur elle sa nuisette et ses chaussures rouges. Toujours féminine malgré sa voix un peu rauque, qui lui donne un attrait particulier. Serais-je en train de devenir amoureux de mon travesti ? Non, mais de la tendresse pour elle, sûrement.
Marlène/ Michel doit travailler le lendemain, mais elle ne veut pas finir la nuit sans connaître elle aussi le plaisir d’enculer un homme à cru.Elle nous a préparé un petit encas qui nous requinque.
• “Maintenant mon chou, dit Marlène.C’est à ton tour d’y passer ! Avant tu vas venir me bouffer le clito pour qu’il soit bien dur !
• Oh oui ! J’adore le sentir grossir dans ma bouche. Je vais bien te préparer !
• Viens dans ma chambre on sera mieux.”Assis sur le lit, j’embouche le sexe encore flasque et je le flatte de la langue et des lèvres. Peu à peu, la tige se gonfle et devient dure. Je peux me regarde dans le miroir à côté du lit et j’aime me voir entrain de pomper cette belle bite. Marlène, debout dans son déshabillé, me domine de toute sa taille et j’adore cette sensation d’être à son service, comme une bonne pute.
Sa queue est maintenant dressée. Il est temps de passer à la seconde phase. Ma maîtresse retire ma tête et dit : • “Maintenant, tu vas y passer ma salpe ! Comment veux-tu que je te prennes.
• A genoux ! En levrette, en face de la glace. Je veux voir quand tu m’encules !”je me positionne sur le lit de façon à voir notre couple en action. Je relève mon cul et j’attends avec impatience, le moment où Marlène va prendre mon cul.
A genoux derrière moi, je la vois sourire, heureuse de se faire un homme. Elle guide sa queue entre mes fesses et lentement, mais sûrement, me perfore l’anus. Sa grosse bite se fraye son chemin sans difficulté, tellement je suis prêt. Son gland écarte me chairs. Cela brûle un peu, mais cela ajoute à mon plaisir. Malgré tout je la sens bien passer et j’adore.
Bientôt, par petits coups successifs, Marlène entre complètement. Son pubis tape contre mes fesses. Sa queue, pas très longue, mais bien large, me procure un véritable plaisir. Elle agrippe ses mains à mes hanches et commence son enculade vigoureusement, puis lentement. Elle ressort de mon cul pour mieux le pénétrer à nouveau. Chaque fois, le passage des sphincters renforce le plaisir.
Tout en me besognant de façon méthodique, elle assène quelques claques sur mes fesses. D’habitude, je suis douillet, mais là,la chaleur monte et accroit les sensations. Je sens monter en moi les prémices d’un orgasme. Marlène doit le sentir aussi. Elle accélère ses pénétrations Dans le miroir, je vois ses traits se contracter. J’ai chaud, elle a chaud.
• “Oui je viens ! dis-je en criant. Ma voix a changé ! Je suis une femelle qui réclame son mâle. Les coups dans mon cul et sur mes fesses sont plus violents !
• Oui ! Viens salope ! Je vais jouir ! Je vais t’ensemencer, vieille pute ! Salope ! Femelle en chaleur ! Ton cul est à moi ! Je vais jouiiir ! Je viens !”Marlène décharge dans mon cul et pour la première fois, je sens le sperme gicler en moi. La sensation est énorme ! Je me redresse face au miroir. Dans une sorte de nuage je me vois pris par cette femme dont la queue me perfore jusqu’à l’âme. Je me sens bien et je jouis en coulant sur les draps, sans me toucher. Une jouissance longue et continue. Une tenaille broie mes reins. Je m’effondre sur la couche entraînant Marlène sur moi. Elle continue son enculade en ralentissant. Elle pèse sur mon dos, mais je suis bien. Heureux d’avoir donné du plaisir à cet être mi-homme, mi-femme. Je tourne la tête et marlène m'embrasse.
Enfin elle se tourne sur le côté et je me tourne face à elle Nos visages sont ruisselants de sueur et on se lèche, on s’embrasse sans fin.
Peu à peu le calme revient. Enlacés, aucun des deux ne veut interrompre ce moment.Je sens son pserme s’écouler lentement de mon cul et imprégner les draps. Je suis vidé, épuisé, mais heureux d’avoir vécu ce moment.
Longtemps, nous restons ainsi, on s’endort dans les bras de l’autre. Dans la nuit, je sens Marlène qui nous recouvre d’un drap. Au petit matin, Elle me réveille.
• “Mon chou. Mon cochon, il faut que j’aille travailler. Tu peux rester si tu veux. Tu n’auras qu’à tirer la porte. Plus tard, je te ferai faire une clé si tu veux. Elle m’embrasse et passe à la salle de bains. Quand elle revient, c’est Michel qui dépose un baiser sur mes lèvres. Elle me quitte et part au travail. Je me rendors et vers onze heures, après une bonne douche et un petit déjeuner qu’elle avait préparé, je quitte la maison à mon tour.
• Avant de partir, je laisse un mot sur la table. “Merci pour ce moment ! Merci pour tout ! Je sens encore ta queue en moi et en même temps elle me manque déjà ! Je t’embrasse… où tu veux et surtout sur ton clito fantastique !Samedi, on va au sauna !”Tous les soirs, on s’appelle. Des conversations par skype pour se voir. Dans le lit, nous sommes nus et nous branlons face à face. Le samedi arrive enfin. Je rejoins Marlène chez elle pour déjeuner. La sieste est coquine. Nous la passons en soixante neuf On se suce et on se doigt en même temps, mais sans aller jusqu’à l’éjaculation. On se réserve pour la soirée. Vers dix sept heures, nous prenons une bonne collation. Ensuite préparatifs. Je m’épile soigneusement. Marlène en profite pour s’occuper de mon entre fesses. Ensuite douche anale pour les deux. Lubrification et préparation du passage avec un gode. Pour le plaisir, nous nous sodomisons un peu mutuellement. Marlène se maquille ensuite, sans excès. Elle a choisi sur mon conseil un mascara waterproof. Elle ressemble plus à une femme “normale” et moins à un travesti. Sa tenue est aussi assez sobre. Dans tous les cas, elle se retrouvera nue.
Il est presque dix neuf heures, lorsque nous partons au sauna à pied, en nous tenant la main. Marlène est toute heureuse et émoustillée de se promener avec un homme à ses côtés. Sous le porche, comme le dimanche précédent, nous nous embrassons. Quelques mètres encore et nous arrivons au sauna.
Le tenancier est surpris de voir Arriver Marlène en compagnie. C’était son collègue qui nous avait vu partir ensemble la fois précédente. Il est aussi surpris, quand elle demande l’accès à la partie humide, alors qu’elle se contentait jusque là de la partie sèche où elle restait travestie. Il hésite à lui faire payer l’entrée due par les hommes, alors que c’est gratuit pour les femmes. Il faut que je lui précise que « madame est avec moi ! »Dans le vestiaire, certains habitués sont aussi surpris de la voir là. Quand elle se déshabille, il y a du monde. Je lui demande de garder ses bas. Même sans ses chaussures, elle est grande. Elle est intimidée. Elle me dira avoir eu l’impression d’être encore plus provocante que lorsqu’elle est entièrement travestie. Avant de mettre le paréo, je constate qu’elle est stressée et son « clito » est tout ratatiné. Je l’enlace, l’embrasse et lui dit pour la rassurer « tu es très belle ! Tu vas faire des ravages !»Nous entrons dans la salle principale, main dans la main. Je tiens à montrer à ceux qui sont là que ma compagne est belle, aussi, je la pousse sur le matelas qui trône au milieu et nous nous caressons, nous embrassons et enfin je lui enlève son dernier rempart.
Discrètement, j’ai fais signe que nous acceptions de la compagnie. C’est une femme qui a été la plus rapide pour plonger sur le « clito » de Marlène. Entre ses lèvres, il prend bientôt des proportions et se dresse maintenant. La femme, qui se fait prendre par derrière, cajole longuement la belle bite tendue. Elle me demande si elle peut monter sur elle. J’approuve bien sûr. Marlène est occupée avec une grosse queue dans la bouche et ne s’aperçoit pas aussitôt que la femme se positionne sur elle. C’est quand celle-ci, empalée dur la bite rigide lui prend les mains et les pose sur sa poitrine, qu’elle se rend compte que c’est une femme qu’elle baise. Marlène me dira plus tard « Tu te rends compte que c’est la première fois depuis plus de vingt ans ! »Marlène va être la reine de la soirée, passant entre les mains d’hommes et de femmes, suçant, branlant et bien sûr recevant dans sa « chatte » plus de bite en une soirée que depuis qu’elle vient dans cet établissement.
Un peu inquiet au départ, le gérant lui dira en partant :- « Tu viens quand tu veux, y compris en bas. Tu n’as pas besoin d’attendre les jours gays. Il faut dire que la présence d’un travesti dans la partie humide a vite couru et que ce soit sur le matelas, au hammam ou dans le jacuzzi, Marlène a été très entourée pendant toute la soirée. Je n’ai pas manqué, au cours de pauses bien méritées, de montrer que j’accompagnais le beau travesti. Certaines de mes « connaissances » étaient surprises et que dire lorsque je me suis donné sans préservatifs, à ma belle compagne qui m’obligeait à pomper les queues qui ne manquaient pas de se présenter à ma bouche.
FéminisationAvec Marlène, nous nous retrouvions souvent. Mon travail m’amenait dans sa ville plus fréquemment que d’habitude et nous nous retrouvions le soir chez elle. J’occupais sa place de parking et après qu’elle soit « redevenue » Marlène, nous passions des soirées et des nuits torrides. Nous adorions nous mettre en soixante neuf sur le côté pour que chacun puisse s’occuper de la bite et du cul de l’autre. Avec les doigts ou avec un gode, nous nous faisions jouir mutuellement, avalant la précieuse semence distillée par l’autre.
Un jour, Marlène a eu l’idée de me travestir. - « Je vais être ridicule ! Je suis poilu, je porte la barbe et la moustache. Ça n’ira pas du tout ! » Entre les mains de Marlène, affublé d’une perruque, maquillé, elle m’a revêtu de bas avec porte jarretelles, d’un soutien gorge rembourré et m’a enfilé des chaussures à talon. - « Tu es superbe ! Si tu acceptais de te raser et t’épiler, tu ferais un magnifique travesti ! » Nous avons passé la soirée et la nuit, tous les deux ainsi. Je dois dire que j’étais particulièrement excité et le minuscule string ne parvenait pas à cacher mon érection. J’ai baisé Marlène plusieurs fois « Tu n’as jamais été aussi fougueux » me dit-elle. J’adore quand tu es comme ça ! »Marlène a longtemps insisté. J’ai accepté de me faire épiler le corps et j’ai « dégusté » pendant la séance chez son esthéticienne, malgré la bouche de Marlène qui me pompais sous le regard excité de la femme.
La dernière étape a été le rasage de ma barbe et ma moustache. Marlène me le demandait souvent et finalement j’ai cédé. Ce jour-là, elle a particulièrement soigné mon maquillage. Quand je me suis retrouvé à ses côtés devant la grande glace, j’ai eu l’impression de voir deux femmes. Je ne me reconnaissais pas. Durant toute la soirée, je me suis sentie « femme » et Marlène. N’a pas manqué dans profiter. En face du miroir, on s’est longuement embrassés, mélangeant nos rouge à lèvres. J’ai du la sucer à genoux en me faisant traiter de pute. Elle a pris mon cul dans toutes les positions alors que je ne l’ai pas pénétrée une seule fois.
Le dimanche suivant, elle m’a emmené au sauna. Ce sont deux travestis qui ont servi de vide couilles à ces hommes déchaînés. Nous n’étions pas très fraîches en sortant et sur le petit parcours jusqu’à chez elle, ceux qui nous ont croisés nous ont bienfait sentir que nous étions des dépravés. Nous étions heureux !
Au travail ou parmi mes connaissances, on a trouvé que j’avais changé. « Sûrement l’absence de barbe et de moustache ! Ça te rajeuni ! » Avec Marlène, nous menons notre double vie avec bonheur. J’envisage même de venir habiter chez elle. Là, bien à l’abri des regards, nous sommes en permanence habillés – ou déshabillés – en femme.

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