Marlène, rencontre avec un travesti 5 Soumission

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marlène, rencontre avec un travesti 5 Soumission Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marlène, rencontre avec un travesti 5 Soumission
Je sens que mon plan est prêt à être mis en œuvre. J’en ai parlé à Marlène qui, malgré quelques réticences au départ, est tombée d’accord. Nous décidons de rapprocher Jean Pierre et Anne Marie, pour leur bien, pour leur plaisir et aussi un peu pour le notre. La partie s’annonce serrée. Comment mes amis vont-ils le prendre ? Vont-ils accepter de se dévoiler totalement ? Est-ce qu’Anne Marie ne va pas « péter un plomb » en découvrant que son mari a des rapports sexuels avec un travesti et avec son copain qui est aussi son propre amant ? Que celui-ci vit avec ce travesti et qu’il se travestit lui-même ? C’est avec elle que cela sera le plus compliqué.
Nous invitons Anne Marie et Jean Pierre à la maison pour un apéro dînatoire. Pour l’occasion, je reste habillé en homme, ce qui fait que nous sommes deux couples à priori « normaux ». Anne Marie est la seule à priori à ne pas connaître Marlène. Je fais les présentations :- « Voici Marlène, ma femme. Chérie, je te présente Jean Pierre et sa femme Anne Marie. Je les connais depuis plus de vingt ans et nous nous sommes retrouvés il y a peu de temps, par hasard. Je ne savais pas qu’ils habitaient dans cette ville. » Nous nous faisons la bise de façon amicale, puisque nous ne sommes pas sensés être plus proches.
- « Ta femme est très belle ! » déclare Jean Pierre- C’est vrai ! » renchérit sa femme. « Tu nous l’avais cachée !
- Pas tellement. Cela ne fait que deux ans que nous sommes ensemble.
- Et mariés ?
- Pacsés. Mais c’est pareil. »Jean Pierre s’assoit à côté de Marlène sur le canapé et nous leur faisons face sur l’autre. Il a du mal à quitter la silhouette de Marlène des yeux, quand à sa femme qui ne se doute pas d’être en face d’un travesti, elle semble subjuguée par cette femme. La conversation commence sur un ton banal. Nous échangeons sur notre vie en dégustant une flûte de champagne.
- Oh ! Mais je ne savais pas que vous habitiez ici dans le centre. » Anne Marie s’est rendue compte que j’étais à deux pas de notre « nid d’amour » du « Conti »- La maison appartient à Marlène et c’est très pratique pour elle. Elle travaille tout près, à la préfecture.
- Ah oui ! Comment vous êtes vous rencontrés ? » demande Anne Marie- C’est un peu spécial ! C’était dans un sauna.
- Ah bon ? Tu fréquentes ce genre de lieu ?
- Oui. Nous y avons nos habitudes.
- Vous y allez ensemble ?
- Oui. Assez souvent.
- Même depuis que vous êtes mariés ?
- Oui, bien sûr. Nous aimons cette ambiance libérée.
- C’est… spécial tout de même.
- Quand on a essayé, on se rend compte que ce n’est pas du tout glauque, au contraire, les gens sont agréables. Vous devriez essayer- Je… Je ne sais pas si…- Je suis sûr que vous aimeriez.
- Ce n’est pas dans nos… habitudes de fréquenter ce genre d’endroit.
- Cela peut choquer certaines âmes puritaines, mais passées quelques minutes, on s’y sent très bien. Vous n’y avez jamais pensé ?
- Oh non, voyons !
- Je vous choque ?
- N...Non, pas vraiment, mais…- Bon, et vous, que devenez-vous ?
- Oh rien que de très banal. Maintenant que les filles sont grandes... »Anne Marie est tout de même intriguée par Marlène. Celle-ci a dissimulé sa pomme d’Adam par un tour de cou, mais sa voix un peu rauque la trouble. Elle se sent attirée par cette femme, alors que les relations lesbiennes ne lui sont jamais venues à l’esprit. De son côté, Jean Pierre n’ose rien dire. Lui sait très bien que la femme à ses côtés, à une belle bite. Marlène a d’ailleurs soigné sa tenue. Très sexy sans être vulgaire. Sa jupe courte remonte un peu trop dans sa position et on peut apercevoir la limite de ses bas. Anne Marie pose d’ailleurs souvent son regard sur les cuisses de sa voisine et sur sa poitrine que l’on devine dans l’échancrure de son corsage. Je décide de passer à la vitesse supérieure.
- « Dis-donc, Jean Pierre, ta femme me disait l’autre jour que tu avais changé depuis quelques temps. » Il ne sait plus où se mettre.
- Ah bon ? Vous vous êtes rencontrés ?
- Il y a quelques semaines, par hasard alors que je déjeunais en terrasse. Je dois dire, que je ne l’ai pas reconnue au départ. Elle aussi a bien changé et je dirais… en mieux !
- Voyons Jacques ! Mon mari est là tout de même !
- Et alors ? Moi, ça me flatte quand on dit que ma femme est belle. Ce doit être son cas n’est-ce pas Jean Pierre ?
- Je… Oui bien sûr !
- Tu vois ? Les hommes aiment que l’on admire leurs femmes, même si cela les rend jaloux. Moi-même je suis jaloux des compliments sur Marlène et en même temps, j’aime. Et… pour le reste, ça se passe bien ? Pardon ! Je suis indiscret.
- Le reste ?
- Ben oui. Sur le plan… sexuel.
- Oh…- Avec Marlène, mais c’est vrai que cela ne fait que deux ans que nous sommes ensemble, nous sommes très… amoureux et on se le prouve presque chaque jour. »Anne Marie ne sait plus où se mettre. Je dis être amoureux de ma femme, alors qu’il y a quelques jours, je la baisais elle, dans un chambre de l’hôtel voisin. Jean Pierre lui, n’est pas mieux et se réfugie dans un silence prudent.
- « Je crois que ton mari n’est pas non plus insensible au charme de ma femme.
- Tu… Voyons Jean Pierre ! Dis quelque chose !
- Il ne peut qu’approuver. N’est-ce pas ? Quand nous étions jeunes, avant votre mariage, nous nous « amusions » bien tous les deux.
- Je… Je ne comprends pas. Ça ne te gêne pas qu’il…- Pas du tout ! Surtout que toi non plus tu ne m’es pas indifférente.
- Oh ! Mais je…- Regarde ! » Marlène, qui a passé un bras derrière la tête de son voisin, tourne sa tête et ils s’embrassent. Malgré son machisme, Jean Pierre a toujours été un peu sous la coupe de sa maîtresse. Il ne pense plus qu’il est en face de sa femme et rend son baiser à la mienne. Anne Marie est scotchée et ne peut détacher son regard du couple, sans réagir.
J’en profite pour lui tourner la tête et l’embrasser à mon tour. Chaque couple illégitime se reforme, oubliant momentanément l’autre. Inconsciemment, Anne Marie franchit une nouvelle étape et sombre un peu plus dans le vice, ne pensant plus qu’elle est en face de son mari qu’elle croyait encore fidèle, jusqu’il y a peu de temps.
D’un œil, je surveille la progression de nos « moitiés ». Marlène a ouvert la chemise de son amant et titille ses tétons qu’elle sait sensibles. Jean Pierre lui, a passé sa main sous la jupe de sa voisine, où il retrouve ce qui n’est pas encore une belle protubérance.
De mon côté, j’entreprends de déshabiller Anne Marie, qui s’abandonne à mes caresses. Elle aussi a soigné sa tenue. Elle a revêtu des bas à jarretelles et sous son chemisier vite enlevé, un beau soutien gorge en dentelle qui laisse deviner des tétons déjà érigés. Je me glisse entre ses jambes pour lui enlever sa culotte et je plonge ma tête entre ses cuisses qui s’ouvrent sans pudeur, pour me donner accès à sa chatte, maintenant totalement épilée.
De son côté, Marlène a entrepris de s’occuper de son amant. Elle ouvre le pantalon, dégage l’énorme bite et la prend aussitôt en bouche. Jean Pierre se laisse faire tout en regardant notre couple. Il voit sa femme pour la première fois, abandonnée entre les bras d’un autre homme et cela lui plaît. Anne Marie a ouvert son corsage et se triture les seins, toute à son plaisir. Elle aussi regarde son mari se faire sucer par une femme. Cela augmente son plaisir, ce qu’elle n’aurait jamais crû. Je me lève, me déshabille et à nouveau agenouillé entre ses jambes, je la pénètre. Son cocu ne voit plus que mon dos qui s’agite. Sollicité par Marlène, il se déshabille à son tour et comme moi, à genoux entre les jambes de ma femme, il prend sa chatte anale. En lui relevant les jambes. Je nous décale en couchant Anne Marie sur le canapé, afin qu’elle aussi profite du spectacle. Je saisi une jambe, lui enlève la chaussure et je suce ses orteils, sachant qu’ainsi elle va jouir.
Ses gémissements attirent l’attention de son homme qui se retourne surpris. Elle s’abandonne en criant son plaisir. Elle a totalement oublié qu’elle s’exhibe devant son mari et lui prouve son infidélité. De son côté, Jean Pierre, pris lui aussi dans son plaisir, matraque à grand coups de queue la femelle pâmée sous lui Il accompagne sa sodomie en saisissant la queue de Marlène qui se dresse entre-eux. Celle-ci ne cache pas non plus sa jouissance.
- « oh oui ! Vas-y ! Défonce-moi ! Elle est bonne ta grosse bite !

Anne Marie coule de plus en plus. Ses sucs déjà abondants, s’étalent sur ma bite et coule entre nos cuisses. La situation l’excite elle aussi. Elle pousse des soupirs de plus en plus fort, en tentant malgré tout de regarder la scène qui se joue sur l’autre canapé. Elle vient de jouir une nouvelle fois, quand tout d’un coup, elle s’écrie :- Jean Pierre ! Non ! Mais c’est…. Mais.. arrêtez voyons ! Ce n’est pas possible ! Pas toi ! Pas Jean Pierre ! » Elle vient de voir la bite de Marlène dressée, que son mari branle tout en enculant la femelle. « Nooon ! Mais c’est un homme ! J’y crois pas ! Tu baises avec un homme ! »Son excitation est tombée tout d’un coup. Anne Marie tente de me repousser Alors que je suis toujours planté en elle. Je prends de la mouille qui suinte entre nos ventres et lui mets les doigts dans la bouche. Je reprends mon suçage de pied et Anne Marie s’abandonne. Son plaisir est plus fort que sa surprise. Jean Pierre pousse de cris de jouissance et se libère dans le cul de ma femme. J’accélère et à mon tour de jouis dans celui de la sienne, alors que Marlène arrose son ventre et ses seins.
Après quelques minutes, nous retrouvons tous notre calme. La pièce redevient silencieuse. Les deux couples s’assoient côte à côte en face des autres. Anne Marie parle la première :- « Salaud ! Que tu me trompes est déjà une chose.
- Je te rappelle que tu as fait de même.
- Ou… Oui, mais.. ce n’est pas pareil.
- Comment ça ?
- Tu sais bien.. Tu baises avec.. une.. un.. Tu n’as pas honte ? Un travesti !
- Là nous sommes à égalité.
- Pas du tout ! Jacques est une homme lui, un vrai.
- Sauf que lui aussi se travesti.
- Je ne te crois pas !
- Ce n’est pas parce qu’aujourd’hui, il est un homme viril, que ça l’empêche de s’habiller en femme.
- Mais… Que… Comment tu sais ça toi ? » J’interviens alors.
- « Je vais t’expliquer. Ton mari couche avec Marlène depuis dix ans. Je l’ai découvert il y a quelques temps par hasard et depuis. Il est aussi mon amant. Que je sois travesti ou non. C’est d’ailleurs depuis ce moment que tu as remarqué qu’il avait changé.
- Mais... Tu as dis que… Marlène était ta femme !
- C’est vrai ! Elle est aussi, aux yeux de la loi, mon mari.
- Mais.. Comment ? »Je raconte alors notre rencontre avec Marlène, notre attirance, puis notre amour…- « Mais tu es .. aussi ?
- Pédé ? Peut-être un peu aussi, quand je suis avec ton mari en homme, nous sommes homos. Cela ne m’empêche pas d’aimer aussi les femmes, tu as pu t’en rendre compte.
- « Comment ? » demande Jean Pierre, « vous deux... vous... Ce n’est pas la première fois ? »Je continue mon histoire. La rencontre « inopinée ? » et la suite.
- « Reconnais, dis-je à Anne Marie, que tu n’a pas beaucoup résisté et que tu t’es donnée dès le premier jour !
- Je… Oui mais…- Finalement, vous passiez à côté l’un de l’autre pour de sombres habitudes et clichés.
- Mais.. Jean Pierre… Comment as tu pu.. avec une.. un…- Reconnais que Marlène est une très belle femme. Toi- même, tu étais troublée par elle tout à l’heure.
- Je.. Non…- Ne dis pas le contraire. Ma femme est très attirante.
- Je… Tout de même.
- Je suis sûr que tu as eu un frisson en l’embrassant.
- Arrête un peu ! Vous êtes des…- Dévoyés ? Pervers ? Comme tu veux. Mais surtout libertins et libres. Je sens que toi aussi tu as des dispositions. Tu n'as pas hésité à te laisser embrasser, caresser et baiser devant ton mari. Alors… Marlène, viens ici. »Ma femme se lève, magnifique dans sa nudité rehaussée par ses sous vêtements. Elle s’approche de nous d’une démarche chaloupée. Sa belle queue encore molle se balance quand elle franchit les quelques pas jusqu’à notre canapé. Elle s’assoit à côté d’Anne Marie. Nous l’encadrons et je recommence à l’embrasser. Elle se laisse faire, y compris quand Marlène lui caresse les seins, puis les cuisses.
En face de nous, Jean Pierre, émoustillé par le spectacle, se branle doucement. Étonné de voir sa femme se laisser faire entre ses deux amant(e)s. Je me recule et Marlène prend les lèvres d’Anne Marie qui ne refuse pas ce baiser -presque- lesbien. La voyant abandonnée, je les laisse et me dirige vers Jean Pierre.
Toutes les barrières ont sauté. Anne Marie accepte d’embrasser et avoir une relation avec une femme, même si celle-ci, à la fin, la baisera comme un homme. Jean Pierre n’a plus peur que sa femme découvre son attrait pour les travestis et son homosexualité.
En soixante neuf et en travaillant nos culs nous donnons le spectacle à sa femme à qui Marlène n’a pas manqué de faire remarquer notre couple. Nous baisons ainsi les hommes entre-eux et les « femmes » entre-elles. Quand je sodomiserais Jean Pierre, Marlène fera de même avec Anne Marie. Les deux époux face l’un à l’autre vont jouir en se regardant.
Enfin, les couples officiels se reforment, face à face chacun sur un canapé. Je chevauche Marlène dans ma position préférée. Ma bite s’agite au rythme des pénétrations. Alors Anne Marie réclame à son mari ; « Encule-moi avec ta grosse queue mon chéri, que les deux putes en face de nous, voient que moi aussi j’aime le cul. Ils ont bien préparé le passage. J’ai envie de la prendre dans mon cul pour la première fois. Tu vas voir que ta femme est aussi maintenant une vraie salope, grâce à ton copain. »J’ai atteins mon but : aujourd’hui le couple s’est retrouvé. Cela n’empêche pas Jean Pierre de nous retrouver, Marlène ou moi, ou les deux, dans le studio qu’il a gardé. Il y retrouve même parfois sa femme pour un « adultère », un cinq à sept coquin en dehors de la maison. Anne Marie aime aussi retourner au « Conti ».
La dernière étape à leur nouvelle vie a été de venir avec nous au sauna où là, Jean Pierre a pu voir sa femme prise par d’autres hommes, chevauchant ou suçant les queues se présentant à elle dans une débauche de sexe impensable quelques mois auparavant.
Avec Jean Pierre et Anne Marie, nous sortions régulièrement ensemble et les couples n’étaient pas forcément les « officiels ». Nous aimions nous promener, Anne Marie avec moi et Jean Pierre avec Marlène. Nous retournions aussi sur les plages naturistes et certains étaient surpris lorsque Marlène quittait son maillot.

Dans le couple aussi le rapport a changé. Si Anne Marie s’est libérée, sa découverte des penchants homosexuels de son mari ne l’ont pas dégoûté de lui, au contraire. Elle y a trouvé une autre pratique. Elle a vu le plaisir de son homme se faisant sodomiser par Jacques et Marlène. Plusieurs fois ensuite entre eux, elle mimait un coït, tenant les chevilles de Jean Pierre dans ses mains. Elle disait toujours lors de leurs rencontres, qu’elle avait la chance d’avoir trois queues pour elle.
J’ai eu l’idée alors de me dire « trois ? Pourquoi pas quatre ? »En allant au sauna, qui fait aussi sex-shop, j’achète un gode ceinture de belle taille, sensiblement celle de la bite de Jean Pierre. Un soir nous nous retrouvons tous les quatre. Comme d’habitude, nous échangeons nos femmes. Jean Pierre avec Marlène, Anne Marie avec moi. Nous aimons particulièrement ces moments ou chacun voit son partenaire baiser avec un autre. Marlène prenait son amant couché sur la table, les jambes écartées soutenues par les coudes de sa maîtresse/ amant.
Je fais discrètement signe à Marlène de continuer sa sodomie et à Anne Marie de ne pas faire de bruit. Je récupère le gode ceinture et je l’équipe. Une fois harnachée, elle fait un superbe être androgyne. J’enduis le gode de gel et nous nous approchons du couple encore en action. Marlène se retire et expédie une bonne rasade de gel dans le cul de Jean Pierre qui pense qu’elle va le reprendre.
Marlène cède sa place et Anne Marie pointe le dard en silicone sur le cul de son mari. Le calibre de l’objet est sensiblement le même que celui de son homme. Quand Jean Pierre sent que les dimensions du pieu qui commence à le perforer sont plus importante que celui de Marlène, il ouvre les yeux et découvre sa propre femme qui s’enfonce sans faiblir, aidée aussi par la rigidité du membre factice.
Il ouvre sa bouche aussi grand que doit s’ouvrir son cul. Sur mes conseils, Sa femme lui prend les chevilles et tient les jambes de son mari relevées bien droites et écartées.
- « Oh chérie! Mais..
- Salope ! Puisque tu aimes te faire enculer, je te promets que tu vas en prendre et souvent. C’est un cadeau de mon amant et je crois que nous allons l’apprécier tous les deux !
- Oh oui ! Mon cœur ! Défonce-moi ! C’est bon !
- Ah tu aimes !
- Oui ! Continue ! Oh putain que c’est bon ! » j’interviens- « Tu comprends maintenant ce que l’on ressent Marlène et moi quand on prend ta bite dans le cul.
- Oh oui ! Mais en plus, c’est ma femme !
- Et tu bandes mon salaud !
- J’ai l’impression d’être prêt à jouir en permanence ! C’est terrible ! C’est bon ! Je voudrais jouir et en même temps, que ça continue encore et encore.
- Et là, tu ne risques pas que la queue faiblisse.
- C’est… énorme ! Continu ma chérie ! Pourquoi a-t-on attendu si longtemps ? »Marlène qui est une gourmande, plonge sur la queue de Jean Pierre et le pompe ardemment. Cela en est trop. Il gicle dans sa gorge en hurlant, tétanisé par sa jouissance.
Anne Marie détache le harnais, mais laisse le gode planté dans l’anus de son mari.
- C’en est trop ! Je veux qu’on me baise ! Prenez-moi mes deux salopes ! Prenez mon cul et ma chatte devant mon pédé de mari ! Cocufiez-le doublement ! »Marlène se couche sur le sol, Anne Marie vient aussitôt se planter sur sa bite dressée et quand elle est bien en position, je viens par derrière pour l’enculer. A son tour, elle monte dans les tours, réclame de la bite encore et encore. Son mari vient s’agenouiller au dessus du visage de Marlène et donne sa queue à sucer à sa femme, encore couverte de sperme. En dessous, Marlène se régale en lui bouffant les couilles et en manœuvrant le gode toujours fiché dans le cul.
Nous sortons de là tous fourbus. Jean Pierre, bien secoué par la longue sodomie, Anne Marie exténuée a fini complètement amorphe sous la triple pénétration. Marlène un peu écrasée, récupère difficilement son souffle. Je suis finalement le moins fatigué des quatre.
Depuis ce jour, le gode ceinture est souvent au cœur des rapports sexuels du couple. Il sert à remplir en même temps les deux orifices de madame et bien sûr monsieur a droit régulièrement à se faire prendre sur la table du salon, les jambes en l’air, les fesses copieusement remplies. Jean Pierre n’a plus honte et leur couple vit une nouvelle jeunesse dont leurs connaissances aimeraient bien connaître le secret.
Même si parfois, elle prend le rôle de dominatrice, ou du moins qu’elle baise son mari, Anne Marie est devenue une bonne coquine. C’est ainsi qu’à sa demande et petit à petit, elle m’est devenue soumise, ou plutôt elle a décidé d’accepter de se laisser guider dans la découverte de nouvelles pratiques. Jean Pierre n’a rien à dire. Il peut de son côté voir Marlène ou autant d’hommes et travestis qu’il veut. Il peut aussi la baiser comme un mari « normal » dans son couple, mais c’est moi qui ai la priorité. Que de chemin parcouru depuis qu’elle avait « kidnappé » son futur mari et l’avait coupé de ses amis et de moi en particulier. Qui aurait dit ça ?


Cela a commencé un soir alors que nous étions réunis tous les quatre. Nous parlions de soumission et Anne Marie s’est tout de suite intégrée au sujet. Plus la discussion avançait, plus elle posait de questions. Je l’interroge.
- « Tu ne serais pas intéressée par hasard ?
- N.. Non.. je ne sais pas.
- Tu sais, il n’y a pas de honte. C’est un jeu. Une autre façon d’aborder la sexualité. Tu n’aimerais pas essayer.
- Je.. n’aime pas la douleur ni la violence.
- Moi non plus. Cela pourrait être une sorte de pacte, par lequel tu accepterais de te laisser guider. Une soumission soft. Tu deviendrais, pour le temps que tu décides, d’être obéissante, de ne pas protester à la moindre demande un peu spéciale.
- Co… Comment faire ?
- Serais-tu d’accord pour signer un contrat d’allégeance à un maître, qui te prendrait en main ?
- Pourquoi pas mais… Ce serait quoi.
- Tu t’engagerais à obéir à ses demandes, à accepter qu’il gère ta vie sexuelle.
- Mais si après je veux arrêter ?
- On convient d’un mot de passe. Si tu le prononces, tout s’arrête sans retour possible. Tu fixes ainsi toi même tes limites.
- Je suis d’accord.
- Tu laisses un autre homme prendre la place de ton mari.
- Aucun problème ! Il est déjà cocu et ma fiotte de temps en temps.
- Ça, cela pourra continuer. Le contrat n’est pas exclusif et entre les moments où tu dépends de ton maître, tu redeviens une épouse normale et exemplaire.
- Et… Ce sera toi mon… maître ?
- Si tu le veux oui.
- Je veux que ce soit toi.
- Bien. C’est une des dernières fois ou tu dis je veux.
- Je… oui bien sûr.
- La dernière, sera quand tu auras signé. Mais….
- Quoi ?
- Est-ce que Jean Pierre est d’accord ?
- Je le suis ! Dit-il.
- Très bien. Je prépare ça. Jean Pierre, je te laisse avec ma femme. Je crois que vous avez envie de vous « amuser » tous les deux. Pendant ce temps, ta femme vient avec moi dans le bureau pour rédiger le contrat. Nous sommes d’accord ?
- Pas de problème ! Ma chérie, dit Jean Pierre, je crois que nous allons maintenant vivre différemment, mais… intensément. »Ils sortent avec Marlène et vont s’enfermer dans notre chambre. Je me dirige vers le bureau, suivi d’Anne Marie. Arrivé devant la porte, je m’arrête, je me retourne.
- « Pour te mettre en condition, tu vas te mettre à poil avant de rentrer et venir ensuite. Tu te tiendras debout à côté de moi. Tu dois participer à la rédaction pour en peser tous les termes. Tu as encore le choix. Soit tu restes là, soit tu rentres nue, signe que déjà tu acceptes ta future condition. » Je me retourne et je rentre dans le bureau, où je m’installe à l’ordinateur.
J’attends quelques minutes. Anne Marie doit réfléchir à toute vitesse. Elle hésite encore. Va-t-elle oser ? Je me donne trois minutes avant d’arrêter l’expérience. J’ouvre un document vierge, prêt à commencer.
A la porte que j’ai laissée entrouverte, il me semble entendre un vêtement qui glisse. Quelques secondes encore et Anne Marie apparaît. Son visage est rouge et elle baisse les yeux, mais elle est nue et s’avance vers moi. - « Relève la tête et regarde-moi ! » Ses yeux sont embués. Elle se tient raide, sa respiration haletante. « Bien ! Allons-y ! » Je commence la rédaction en lui demandant de suivre sur l’écran et de lire à haute voix.
« Acte de soumission de Madame Anne Marie C... envers Monsieur Jacques Hilurot.
Pau, le 19 août 2001Je soussigné Anne Marie C…, nommée ci-après « soumise », saine de corps et d’esprit accepte que Monsieur Jacques Hilurot nommé ci-après « maître », soit mon mentor et dirige ma sexualité.
J’accepte par avance toutes les pratiques qu’il m’imposera en dehors de la violence, ce qui n’empêche pas à l’occasion quelques punitions corporelles, sans qu’elles n’atteignent mon intégrité physique. J’accepte d’être éventuellement corrigée à main nue, au martinet ou à la petite cravache, afin de stimuler mes sens et me faire admettre une négligence de ma part à l’accomplissement du plaisir de mon maître.
Mon maître, selon son bon vouloir, peut être amené à m’offrir à d’autres partenaires, hommes ou femmes, individuellement ou en groupe.
Mon maître peut me prêter pour une période variable à une autre personne, qui pourra m’utiliser dans les mêmes conditions.
Si par la suite, mon maître le désire, il pourra transférer et céder les présentes conditions à une autre personne.
Je m’engage à ne divulguer le présent acte à aucune personne en dehors de mon maître, éventuellement mon futur maître ou maîtresse, ainsi qu’à mon mari et celui de mon maître.
S’il le désire, mon maître peut à tout moment interrompre le présent engagement sans justification.
Quand il le désire, mon maître lance la phase de soumission par le mot « Tulipe » et dès lors, je deviens sa soumise jusqu’à la fin décidée par mon maître, ou provoquée par une intrusion ou intervention extérieure susceptible de dévoiler notre relation.
Pour ma part, je peux dénoncer le présent contrat en prononçant le mot de sauvegarde « Chatterton », lorsque je ne supporterai plus mon statut de soumise. Dans ce cas et sans qu’aucune raison ne soit opposable, le présent contrat devient caduque et sera détruit par mon maître.
Aucun retour ne sera alors possible. Je dégage l’entière responsabilité de mon maître et m’engage à ne plus le revoir.
Mon maître s’engage à ne pas divulguer le présent contrat à des personnes proches de moi : famille, amis, collègues et tout autre relation. Personnes qui pourraient être blessées ou qui par la connaissance de ce contrat pourraient nuire à ma réputation.
Fait ce jour à Pau, lu et approuvé en présence de Jean Pierre C., mon mari et Marlène/Michel Hilurot, époux de mon maître
La soumise Le maître Les témoinsAu fur et à mesure de la rédaction, par moment, Anne Marie se tend. Elle pleure. Elle est à deux doigts de renoncer et j’ai arrêté par moment la frappe. La lecture à haute voix lui fait prendre réellement conscience de son engagement. Malgré tout, elle reste droite et figée jusqu’au bout. J’imprime le document et le lui remets.
- « Maintenant, tu vas le lire devant nos époux et témoins, quand ils auront fini leur petit aparté. En attendant tu restes nue »Je m’approche et je l’embrasse. Je sens qu’elle est terriblement excitée et plaque son corps brûlant contre le mien, quémandant plus. Je la laisse insatisfaite. Nous retournons au salon. Nos époux ne sont pas encore revenus. Je demande à Anne Marie de rester debout au milieu de la pièce en les attendant. Je pars à la cuisine préparer des encas et des boissons pour la suite de la soirée.
A mon retour, toujours pas de Marlène et Jean Pierre. Anne Marie n’a pas bougé. Après avoir déposé le plateau sur la table, j’ajoute des verres et en retournant m’asseoir, je passe devant Anne Marie et je passe un doigt dans sa chatte. Elle est trempée ! Je suce mon doigt avec un « huumm » gourmand et je retrouve mon fauteuil dans lequel je m’installe, faisant mine de me désintéresser de ma compagne.
De longues minutes passent. Nous entendons quelques bruits venant de la chambre, avant un grand « OUIII » qui annonce la jouissance de Jean Pierre. Encore quelques minutes avant qu’ils ne reviennent, l’air satisfaits. Sur le pas de la porte, ils s’arrêtent en découvrant Anne Marie nue, debout au milieu du salon.
- « Que se passe-t-il ? Demande Marlène.
- Anne Marie s’est décidée à devenir ma soumise. Elle va vous lire le contrat qu’elle va signer et si vous en êtes d’accord, nous signerons aussi pour entériner la chose. »Marlène et Jean Pierre s’assoient sur le canapé. Anne Marie nous fait face. Elle tient le papier dans une main, mais ne se décide pas encore à le lire. « Allez ! Vas-y ! » dis-jeLes yeux remplis de larmes, elle lit les clauses du contrat, hésitant parfois en se rendant compte de l’importance de certains mots. Jean Pierre et Marlène sont muets. Interloqués parfois par les conditions énoncées. A la fin de la lecture. Le silence s’installe. Je prends la parole.
- « Ce contrat, nous l’avons rédigé ensemble. Nous nous sommes mis d’accord sur ses termes. Anne Marie est consciente que lorsqu’elle l’aura signé, sa vie changera. Jean Pierre, es tu d’accord pour que je te prenne ta femme lors de certains moments de la vie ? Le reste du temps, elle sera ta femme, mais devra s’attendre et toi aussi, à ce qu’un appel de moi ou un mot dans une soirée, ou à n’importe quel moment, elle devient à moi entièrement et dépend de mon bon vouloir.
- Je suis d’accord ! Répond aussitôt son mari.
- Et toi ma chérie ? Acceptes-tu que je sois le maître dominateur de cette femelle ?
- Je suis sûre que tu sauras l’amener vers des plaisirs qu’elle ne soupçonne pas. Je te fais confiance. Je me demande même si un jour, je ne signerais pas un contrat comme ça avec toi.
- Tu es déjà une salope ma chérie ! Tu l’étais avant moi.
- Peut-être, mais tu n’as fais que l’amplifier. C’est surtout la sensation d’être sous ta coupe qui me plairait je crois… Rien que d’y penser…- Pour l’instant, je me consacrerai à une seule soumise. Il y a du travail, même si je sens chez elle de bonnes dispositions. Puisqu’il en est ainsi, nous allons procéder aux signatures.
- Ça sert à quoi ?
- Surtout à prendre conscience de la situation. Les écrits sont plus forts que les paroles.
- Mais… que vas tu en faire ?
- Le mettre dans le coffre et j’espère ne plus y toucher. Tant qu’il y sera, Anne Marie sera ma soumise. Ensuite, si besoin, je le détruirai. Dans tous les cas, si je devais disparaître, je vous demande de le détruire pour moi.
- Tu as tout prévu !
- Non. J’improvise. C’est aussi une première pour moi et je ne sais où cela nous mènera. Peut-être, le détruirai-je si la situation ne se justifie plus, nous verrons bien. Il s’agit entre nous d’un acte de confiance réciproque. A toi Anne Marie ! » Elle se penche et nous pouvons voir qu’elle pleure et qu’elle tremble. « N’oublie pas la date et de marquer « Lu et Approuvé » Je pense que la signature d’un contrat ne l’a jamais autant bouleversée. Elle a conscience d’engager sa vie dans une voie tortueuse et pleine de surprises. Elle hésite encore une dernière fois. Personne ne bouge, ni ne prononce une parole. Le silence est pesant. Va-t-elle signer ? Jean Pierre a les yeux exorbités. Il serre fort la main de sa maîtresse. Il hallucine. Sa femme depuis presque trente ans va signer un contrat de soumission et il en sera le témoin. Elle est nue, alors que nous sommes habillés. Elle est penchée au-dessus de la table basse, ses seins lourds pendent sous elle et ses fesses sont ainsi tendues.
D’un coup, Anne Marie se lance. Rageusement, elle écrit et signe. Elle pose le stylo sur la feuille, la regarde fixement. Elle est à deux doigts de la reprendre et de la déchirer. Son corps transpire et la température est aussi montée dans la pièce. Elle prend la feuille, se relève et me la tend d’un air de défi. Un défi contre elle-même.
A mon tour, je signe le document, puis je le tend à Marlène, qui, suivie de Jean Pierre, appose son paraphe. Je reprend la feuille et je vais la déposer dans le coffre-fort, dont seule Marlène et moi avons le code.
- «Voilà une bonne chose de faite. Nous allons trinquer pour fêter cela ! Marlène, tu veux bien nous servir le champagne ?
- Avec joie ! »Je fais signe à Anne Marie de venir s’asseoir à mes côtés. Elle ne demande même pas si elle peut se rhabiller. Dans sa tête elle est déjà soumise. Pendant un moment, nous parlons en buvant nos verres et en grignotant. Cela ressemble à un apéritif pris entre amis, sauf que l’une des femmes est nue et parfois gigote en croisant ses jambes afin de ne pas montrer son sexe à son mari et la maîtresse de celui-ci, assis en face. Je fais exprès de parler ostensiblement avec eux, en faisant semblant d’oublier ma voisine. Après un moment, il est temps de faire un premier test. Sans prévenir, je m’adresse à Anne Marie :- « Tulipe ! » Elle est surprise et ne sait quoi faire.
- Que dois-je…- Je te signalais simplement, ainsi qu’aux autres, que le jeu commence. Lève-toi face à nous. Tiens-toi droite, les jambes un peu écartées et les mains derrière la tête. Quand tu viendras me retrouver après avoir entendu le mot de passe et que je suis seul, tu te présenteras comme ça. Cela s’appelle la position d’inspection. »Ma soumise obéit et sans pudeur, se met en position. Les yeux rivés sur le mur en face, afin de ne pas croiser nos regards.
- « Comment trouves-tu ta femme ainsi, Jean Pierre ?
- Splendide.
- C’est vrai que ta femme est belle. Beaucoup plus belle qu’autrefois et je compte bien améliorer encore certains détails. Et toi ma chérie ? Je sais que maintenant tu n’es plus insensible au charme féminin.
- C’est vrai qu’elle est belle comme ça. Je suis presque jalouse.
- Tu devrais l’être, parce que à partir de maintenant, je vais m’occuper d’elle. Je te rassure, ce ne sera pas permanent et je compte bien m’occuper de toi… si ton amant te laisse du temps. Maintenant que sa femme sait où il passe du bon temps, il ne faudrait pas qu’il en abuse » ! Nous rions de ma sortie. Anne Marie n’a pas bougé. « Je crois que pour ce soir cela suffit. Soumise ! Je te rends ta liberté, jusqu’à la prochaine fois. Rentrez chez vous. Je crois que pour vous, comme pour nous, le devoir conjugal va être bien rempli.
Nos amis nous quittent. J’avais bien vu l’excitation dans les yeux de ma chérie. Marlène est toujours très excitée lorsque nous faisons l’amour alors que je suis « en homme ». C’est en fait elle qui mène la danse. Je suis son jouet. Je suis « condamné » à sucer longtemps son clito devenue une belle verge. Je dois la lécher sur tout le corps, du bout des pieds aux aisselles en passant par les seins et le cul que je dois cajoler de longues minutes.
Dès le début, elle place un « plug » dans mon cul. Il ne sera enlevé que quand elle décidera de le remplacer par sa bite et qu’elle me sodomisera dans toutes les positions.
Le macho est devenu une lope, une tafiole, prête à tout pour contenter son mâle, même si celui-ci a tous les atouts d’une femme, avec en plus, une grosse queue dont elle use et abuse.
Jean Pierre m’a raconté plus tard que chez eux, la soirée n’avait pas non plus été calme. Quand ils se retrouvaient maintenant avec sa femme, la fête des sens était encore plus forte qu’au début de leur relation. En effet, maintenant sa femme devenait une gourmande et une cochonne qui en redemande.
Je laissais volontairement passer plusieurs jours avant de recontacter ma soumise, surtout que deux jours après la signature de son contrat, elle m’envoie un message : « Maître je n’attends qu’un message de vous pour être…. Votre ! » Je ne lui réponds que plusieurs heures plus tard, la laissant dans ses affres.
« Ce n’est pas toi qui décide ou demande quand. Il s’agit de mon bon plaisir et ce n’est pas en quémandant que tu obtiendras quelque chose. C’est moi qui te contacte, pas le contraire ! » Je suis sûr que ma réponse ne l’a pas calmée au contraire et qu’elle doit être dans tous ses états, attendant tout le temps un appel de ma part. Elle me le confirmera. J’avais bien sûr très envie de la prendre en main et moi aussi il me tardait de l’avoir sous ma coupe, mais je devais la conditionner pour la rendre plus « accro » à sa nouvelle condition.
Le jeudi enfin, je l’appelle. Quand elle décroche, je sens à sa voix qu’elle est stressée.
- « Bonjour Jacques. Comment vas-tu ?
- Tulipe !
- …- Rendez-vous dans dix minutes au pied de chez toi.
- Bien…- Monsieur.
- Bien Monsieur ! »Je raccrocheJ’arrive volontairement un peu en retard. Anne Marie m’attend bien sur le trottoir. Dès que je m’arrête, elle monte dans la voiture et je démarre. Dès que je tourne la rue, je pose ma main sur sa cuisse et je remonte sous la jupe.
- « Mais, Tu as une culotte ! Enlève-la ! Quand tu es ma soumise, pas de sous vêtements !
- Mais…- Déjà tu renâcles ?
- Non ! Je.. je ne savais pas. Tu…- Vous !
- V… Vous ne l’aviez pas dit.
- Tu n’as pas dû comprendre. Pour cette fois-ci, ça ira. La prochaine fois, tu seras punie.
- Oui… Monsieur.
- Pour le soutien gorge, c’est pareil.
- Vous voulez que je l’enlève aussi.
- Si tu te sens capable de le faire avec le risque que l’on te voit.
- Oh ! Oui je veux le faire !
- Bien ! Commence par la culotte et donne la-moi. »Anne Marie se tortille sur son siège. Passe ses mains sous la jupe, descend son sous-vêtement et me le donne. Je porte le tissu à mon nez et je respire les effluves épicées.
- « Dis-donc, elle est mouillée !
- Je…- La situation t’excites ?
- O… Oui !
- C’est bien cochonne ! » Je mets la culotte dans la poche de ma chemise. Va-t-elle oser le soutien gorge ?
Lentement, Anne Marie défait les boutons de son corsage. Dans son dos elle dégrafe l’attache et fait glisser les bretelles par les manches. Très vite, elle se retrouve les seins à l’air. J’ouvre la fenêtre de son côté et dis :- « Jette-le !
-… m... »Elle met le tissu en boule, regarde derrière et d’un coup, lance son soutien gorge qui tombe sur le trottoir. Il fera le bonheur d’un fétichiste, ou d’une femme, ou pourrira dans une benne à ordure.
- Je te félicite ! Fais pareil avec la culotte. » dis-je en lui tendant. Sans hésiter, mais le rouge aux joues, elle l’envoie par la fenêtre, que je referme. Elle s’apprête à refermer son corsage, mais je lui intime de laisser trois boutons ouverts, ce qui laisse deviner sa poitrine. Sa profonde inspiration la met d’ailleurs en valeur.
Après quelques minutes, je me gare sur une petite place ombragée. Je descends, sans rien dire et me dirige vers un magasin. Quand j’entends la portière d’Anne-Marie claquer, je verrouille la voiture à distance. J’entends derrière moi le pas d’Anne Marie qui me rattrape.

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Texte coquin : Marlène, rencontre avec un travesti 5 Soumission
Histoire sexe : Une rose rouge
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