MASROST - histoire érotique

Je me masturbe presque chaque journée qui passe, sauf lorsque je peine à trouver la tranquillité pour se faire et le temps nécessaire aussi. J'aime déjà me regarder tout nu devant un miroir, contempler le plus possible mon corps entier, sauf côté fesses , pas aisé à pouvoir observer le derrière. Il m'était arrivé, il y a très longtemps de cela, de saisir un petit miroir, et de l'orienter sur les zones peu accessible à bien voir, regarder. Ce jour, j'ai pu examiner mon anus, en me mettant au dessus du petit miroir, en position accroupi et en écartant le plus possible les cuisses. La, je pouvais également observer mon périnée, le bourrelet très fin, du dit frein, en plus de mes testicules. Je m'étais touché l'anus avec un doigt, puis le pénétrer dedans, et enfin, jusque dans le rectum, en faisant des vas et des viens, je regardais mon anus se dilater ou se crisper fonction des mouvements du doigt que je tournais en plus. Je me pénétrait tout au fond du conduit rectal, et allais jusqu'à faire descendre mes excréments, jusqu'à les sortir moi même en poussant. Je faisait mon caca parterre, ou au sol, en urinant en plus. Je me souviens et pour longtemps je penses, d'une fréquentation avec une fille, une jeune femme de plus de trente cinq ans, nous n'avions qu'un an d'écart entre nous, elle étant plus jeune que moi. Cette fille aimait elle même prendre les commendes, en décider entre elle et moi, décider de moi ce qui lui plaisait de me traiter, me faire subir, m'examiner, m'étudier, même de m'exploiter. Elle me voulait comme soumis, et que je m'exécute des ses demandes, ses désirs sur moi, de ses envies sexuelles. De fait, elle me déshabillait entièrement, me maintenait tout nu toute une journée entière, des weekends entiers, qui aurait voulu, aimé, si cela avait pu se faire et en être, me maintenir entièrement nu, à sa merci, des semaines entière, en proie à ses regards et ses envies de sexe. Je me faisais donc et la laissé me dévêtir entièrement et autant de fois que cela lui plaisait que de me voir tout nu devant elle. Pire encore car une fois tout nu, elle allait jusqu'à me mener chez elle, dans son wc, et restait pour m'assister, m'étudiait pendant que je me soulageait sous ses yeux et ses ordres. Elle étudiait comment j'étais à faire mes besoins, tant pipi que caca en plus, comment je faisais mes besoins naturels, si mes déjections sortaient bien de mon anus, si celui ci se dilatait et s'ouvrait comme il fallait, se refermait et de nouveau se redilatait et s'ouvrai encore, cela à chaque poussée et sorties de caca, et aussi, lors de mes jets de pipi, si le pipi se faisait aussi comme il se devait. Elle me tenait elle même le pénis par le gland, écartait mon urètre pour bien voir jaillir, ou couler ma pisse dans le fond du wc, ainsi que tomber ma merde dans l'eau. Quand j'avais des envies de faire mes besoins, je devais lui faire savoir les choses, tant le fait d'envie de d'aller aux wc, mais pire encore qui l'excitait que je lui dise de moi, de lui dire si de mes envies, j'avais désir de faire pipi uniquement, caca ou les deux, de lui demander la permission de faire mes besoins, et de me faire vérifier en plus. De la, elle me saisissait par un bras, s'installait sur une chaise, me positionnait devant elle en pleine lumière pour bien voir les choses, et me prenait entre ses cuisses. Une fois devant elle, sous ses yeux et entre ses mains, et ses cuisses ouvertes, me soulevait le teeshirt ou chemise, peut importe, me faisait tenir de mes mains ce que j'avais sur moi, pour permettre à ma copine d'exercer ses opérations sur moi, et de m'occuper ainsi les mains pour que je ne puisses pas l'empêcher ni de voir, d'étudier de moi, de me toucher également. Ma copine alors étant libre de pouvoir tout vérifier, observait mon ventre pour commencer, au niveau supposé de ma vessie, par ses mains, aux touchers, sentir si bien pleine de pipi, puis, me claquait sur les fesses en m'ordonnant de me retourner, m'écartait les fesses pour étudier mon anus, si tendance à se dilater, s'ouvrir par la poussée rectale ou descentes du caca, me doigtait tout au fond et lorsque ma copine était alors certaine que j'avais vraiment envie de me soulager, finissait par me mettre entièrement nu, qui me conduisait au chiottes et me demandait de faire pipi et caca , de pousser pendant qu'elle me fouillait et sortait elle même ma merde. J'étai très humilier, mais j'aimais ainsi qu'elle me traite, qu'elle m'infantilise, me contraigne sous ses ordres et ses yeux. Elle me possédait, faisait de moi comme elle avait envie, comme elle l'entendait. Je me laissais faire par elle, et la laissait m'exploiter sexuellement, à ses gouts. Je ne bronchais pas devant elle, ne cherchais pas à l'empêcher de quoi que cela soit de ses envies de moi, pour elle. Je me donnais à elle, me vouais corps et âme à ses envies de sexe, de me dégrader, de me rabaisser, me verser dans l'infantilisation, la totale regression, de m'humilier, même de m'insulter ou de me parler vulgairement, vertement, m'obliger à baisser le tête devant elle pour lui montrer sur moi, qu'elle avait raison de moi, que je reconnaisse sa supériorité, sa grandeur, que je n'était bon que pour elle, du sexe, pour ses envies de sexe, qu'elle m'exploite, me déshumanise, me traite comme de la merde bon pour les chiottes, le mouches à caca, engraisser, être donner en partage qu'à des filles obsédées sexuelles cela comme objet, marchandise, comme chien à dresser, à vendre et à être acheté, pris en laisse....