Massage au VietNam (Fin)
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2015 dans la catégorie Plus on est
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Massage au VietNam (Fin)
Quelle était belle Marcel notre Chantal. Et ce n’était pas fini !
L’homme tendrement lui caresse les lèvres. Lentement Chantal se ressaisit. L’attroupement devant les vitres était à son comble et il semblait que cela devenait risqué. Trop les voyeurs étaient excités de voir Chantal nue devant eux les yeux toujours bandés, lascive, offerte sur la table de massage. Le masseur réalisa aussi la tension qui montait. Lentement il se dirigea vers la rue et tira les rideaux signifiant que le spectacle était terminé. Docile, on entendait les hommes s‘éloigner. Seuls deux d’entre eux cependant se sont glissés dans la boutique avec l’accord du masseur. Moi je restais dans l’ombre, à l’écart, toujours à surveiller qu’on ne lui fasse pas de mal.
Sur la table Chantal remuait et essayait d’enlever son bandeau sans succès car il était bien noué derrière sa tête. L’homme s’approche, lui saisit les mains qu’il caresse doucement pour la tranquilliser. Chantal relâche le foulard. Il se penche sur elle et lui murmure des mots à l’oreille. Je vois alors ma femme allonger docilement ses bras le long de son corps en signe d’obéissance et d’abandon. Quel pouvoir cet homme possède-t-il pour se faire obéir aussi facilement ?
Il lui passe un long moment les mains sur tout le corps, évitant maintenant les zones sensibles. C’est plutôt un survol qu’un attouchement, mais la peau frémit au passage de ces caresses si légères. Tout à l’air magique, intemporel. Il plane dans la pièce une douce odeur de parfum envoûtant. Moi même je me sens pris d’une soudaine envie de sexe. Chantal semble dormir.
Puis, toujours avec lenteur pour ne pas l’effrayer, il la saisit aux épaules, la redresse, l’assoit sur la table. Il lui prend les poignets et les passe dans son dos. Les deux « invités » observent, en se touchant le sexe au dessus de leurs shorts. Chantal se laisse faire, toujours le bandeau sur le visage. Elle a l’air parfaitement calme et docile. L’homme se saisit d’une autre bande de tissu, passe derrière elle et s’applique à lui nouer les mains dans le dos. Revenant par devant, il lui saisit les chevilles et ramène ses pieds au contact de ses fesses. Chantal serre naturellement les genoux sur sa poitrine. Pas longtemps car l’homme lui parle à nouveau et je la vois qui écarte d’elle même ses cuisses ouvrant le chemin de son entre-jambe.
Il m’adresse un regard pour avoir mon accord. Je cligne des yeux en signe d’assentiment. Je suis rassuré car il n’y a plus cette foule de voyeurs dans la rue. Alors, il prend une autre fiole sur l’étagère derrière lui, l’ouvre, s’enduit les mains d’un liquide visqueux et rouge sang. Il s’approche de Chantal et délicatement il lui frotte la pointe des seins de ses doigts imprégnés. Les pointes prennent une couleur rouge et se dressent rapidement. Chantal recommence à respirer vite et pousse des gémissements tout en dodelinant de la tête. Visiblement cet onguent a des propriétés particulières. Chantal essaie de se libérer de ses liens comme pour venir soulager l’excitation sur ses seins. Puis l’homme lui porte une main sur son sexe et l’enduit à son tour de cette crème aux vertus perverses. Autour sur les lèvres d’abord. Puis de son autre main, de deux doigts il les écarte, s’attarde un instant sur le clitoris puis pénètre la vulve toujours avec délicatesse. Le mouvement de sa main nous fait comprendre qu’il enduit l’entière surface des muqueuses du vagin. Lentement, avec application. Alors aussitôt, Chantal se met à pousser des cris de plaisir et se tortille dans tous les sens sur la table de massage. Elle se couche sur le dos et ses bras toujours attachés, cambre ses reins, soulève son bassin et projette devant elle son ventre qui semble en feu. Ses gémissements deviennent des plaintes, douces et intenses, comme celles d’une jouissance proche.
Je ne reconnais plus mon épouse, elle est envoûtée. Elle cherche à se dégager de ses entraves, non pas pour fuir mais pour se toucher pour éteindre ce feu qui la consume. Moi je bande, je suis heureux pour elle. Lui faire du bien me déculpabilise de l’entraîner dans mes débauches. Tu comprends cela Marcel, hein ?
Le masseur adresse un regard aux deux hommes et tous les trois enlèvent leurs shorts. Ils sont droits et durs avec des sexes de taille moyenne pour deux d’entre eux. La queue du troisième, qui semble le plus jeune, quoi qu’il soit difficile de donner un âge précis aux vietnamiens qui semblent éternellement jeunes, est énorme. Longue et large avec deux couilles comme des oranges. Dressée et raide, son gland vient frotter son nombril.
Le masseur prend Chantal aux épaules, la fait descendre de la table. Il s’éloigne pour la laisser debout au milieu de la pièce observée, détaillée par les deux autres hommes qui se branlent, attendant l’hallali. Elle frotte ses cuisses pour éteindre le feu qui la consume au creux du ventre.
Le masseur revient avec un coussin de soie qu’il pose sur sa table de massage. Il saisit Chantal aux épaules, la retourne pliée, le corps reposant sur la table. Pliée en deux, elle offre sa croupe aux deux hommes, incapable de se refuser, les mains liées dans son dos.
Chantal ne le voit pas mais les deux inconnus et le masseur sont derrière elle, prêts à l’enfiler comme elle le réclame. Car ma femme gémit dans le silence de la pièce. Elle réclame d’être baisée, enfilée. Elle emploie des mots que je ne lui connais pas Marcel. Tu te rends compte ce qu’il a fait d’elle ? Une femme docile soumise folle d’excitation qui ne réclame que d’être pénétrée. Des trois hommes, le masseur semble comprendre notre langue. Il jette un regard au plus âgé, l’invitant à baiser la femme. L’homme ne se le fait pas dire deux fois et sans attendre il présente sa bite entre les fesses qu’il écarte d’une main pour s’ouvrir le passage de son ventre. Chantal qui pressent maintenant qu’on va la prendre recule son cul au devant de la bite. Il n’envisage même pas de mettre une protection tellement il est excité. Je suis sur le point d’intervenir mais c’est trop tard, d’une brusque poussée il est en elle et commence à limer le con offert. Et même quand d’une brutale poussée il investit le sexe délicat mais en feu de la femme, elle ne se refuse pas non plus. Il commence par la limer lentement puis d’un seul coup il accélère. Chantal crie maintenant saisie par un orgasme violent que je ne lui connais pas. D’un coup il se cabre, se plante dans le vagin et en feulant à son tour il déverse sa semence en longues giclées. Il reste planté quelques secondes comme pour bien maintenir la semence féconde contre l’utérus de la femelle et profiter le plus longtemps possible de la chaleur de ce ventre offert. Puis, lentement, à peine ramolli, son sexe ressort tout humide enduit de foutre et de sécrétions vaginales.
Le deuxième à présenter son sexe est le masseur. Il a repéré la taille de la bite du plus jeune et ne veut pas se risquer en dernier. Il commence par défaire les liens qui enserrent les poignets de Chantal. Il la redresse la tourne et se plante face à elle. Il la prend à la tête, l’attire et lui prend la bouche. Je vois nettement sa langue fouiller la bouche de ma tendre. Elle lui rend son baiser et en même temps elle s’est saisie de sa queue qu’elle branle contre son ventre. Il la prend aux hanches et l’assoit au bord de la table de massage. Il la saisit aux cuisses qu’il ouvre pour s’offrir son sexe déjà débordant du foutre de l’autre inconnu. D’un seul coup de rein, sans même avoir à la prendre en main, je vois sa bite s’enfoncer sans résistance dans la vulve béante maintenant. Sous le coup, elle pousse un petit cri alors qu’un sourire de plaisir s’affiche sur son visage. Elle se colle à lui, leurs bouches toujours unies dans un baiser de braise. C’est elle qui entreprend de limer le sexe en elle. On l’entend souffler. Puis le masseur la saisit sous les fesses et la soulève pour mieux l’empaler. Et c’est dans un rythme de folies qu’il la lime pour la faire jouir une deuxième fois. Chantal crie sa jouissance tout en restant collée à la bouche de son amant. Et à son tour il se crispe et il se déverse en elle, la remplissant à son tour. Lui aussi reste un instant planté pour profiter au maximum du ventre offert. L’idée qu’elle puisse être fécondée à cet instant m’effleure car Chantal ne prend pas de contraceptif. Cette idée décuple ma jouissance.
Le masseur finit pas se retirer. Le plus jeune s’approche, la bite toute droite, énorme et le gland rouge violacé prête à cracher à son tour son jus. Il se positionne devant la vulve rouge la saisit aux chevilles et lui soulève le bassin élevant son anus au niveau de sa bite. Je comprends qu’il veut la sodomiser. Ça je ne le veux pas, elle s’est toujours refusée et je lui sais un petit trou encore étroit et il allait sûrement la déchirer. Je m’apprêtais à intervenir quand j’ai vu Chantal remuer ses fesses pour accentuer le frottement contre son anus. Il a très bien senti la résistance ; aussi il a commencé par la doigter pour la dilater. Un doigt puis deux et enfin trois. Il est allé chercher de la mouille mélangée au sperme pour enduire le petit trou. Puis il a présenté son gland et a commencé lentement à pousser pour l’enculer. J’ai vu la visage de Chantal se crisper devant la douleur mais très vite, elle passe ses mains derrière les fesses de son amant pour l’attirer à elle, et au lieu de se refuser, elle s’est mise à pousser pour recevoir cette énorme bite dans son fondement. Il a fallu plusieurs minutes pour voir entièrement la colonne de chair disparaître entre les fesses écartelées de ma femme. Puis une fois planté bien profond il a commencé à lui limer le cul comme les autres l’avaient fait de sa vulve. Chantal criant en jouissant, ses chairs à vif, comme pour éteindre un feu qui la dévorait de l’intérieur de son ventre. Soudain le jeune homme se crispe, il s’enfonce encore plus profond en elle et je devine sans le voir qu’il déverse sa semence au fond du cul, tandis de Chantal, sodomisée pousse au même instant pousse des cris de jouissance. L’éjaculation dure un bon moment et des jets de foutre s’échappent d’entre les fesses resserrées autour de la queue qui l’encule. Puis le calme revient, les deux amants restent collés encore un moment.
A son tour, son plaisir atteint, il se retire alors que la liqueur de son éjaculation s’écoule lentement du cul dilaté. Chantal visiblement crevée s’affame sur la table de massage. Le masseur s’approche d’elle, lui donne à boire un verre d’eau et lui libère la vue en lui ôtant son bandeau. Hagarde, elle regarde autour d’elle sans vraiment savoir où elle se trouve. La masseur très prévenant lui présente sa robe, l’aide à s’habiller et en souriant lui remet une petite amulette dorée qui est sensée représenter les sexe d’une femme.
Tous les deux fatigués, repus et comblés, nous regagnons notre chambre d’hôtel dans la chaleur moite de cette nuit. Je lui demande de dormir à mes côtés sans faire sa toilette, pleine des foutres de ses trois amants. Dans un sourire de lassitude, elle s’allonge alors que je regarde s’écouler d’entre ses jambes cette semence qui peut-être est en train de la féconder. Je la pénètre à mon tour pour jouir en elle et mêler nos semences.
FIN
L’homme tendrement lui caresse les lèvres. Lentement Chantal se ressaisit. L’attroupement devant les vitres était à son comble et il semblait que cela devenait risqué. Trop les voyeurs étaient excités de voir Chantal nue devant eux les yeux toujours bandés, lascive, offerte sur la table de massage. Le masseur réalisa aussi la tension qui montait. Lentement il se dirigea vers la rue et tira les rideaux signifiant que le spectacle était terminé. Docile, on entendait les hommes s‘éloigner. Seuls deux d’entre eux cependant se sont glissés dans la boutique avec l’accord du masseur. Moi je restais dans l’ombre, à l’écart, toujours à surveiller qu’on ne lui fasse pas de mal.
Sur la table Chantal remuait et essayait d’enlever son bandeau sans succès car il était bien noué derrière sa tête. L’homme s’approche, lui saisit les mains qu’il caresse doucement pour la tranquilliser. Chantal relâche le foulard. Il se penche sur elle et lui murmure des mots à l’oreille. Je vois alors ma femme allonger docilement ses bras le long de son corps en signe d’obéissance et d’abandon. Quel pouvoir cet homme possède-t-il pour se faire obéir aussi facilement ?
Il lui passe un long moment les mains sur tout le corps, évitant maintenant les zones sensibles. C’est plutôt un survol qu’un attouchement, mais la peau frémit au passage de ces caresses si légères. Tout à l’air magique, intemporel. Il plane dans la pièce une douce odeur de parfum envoûtant. Moi même je me sens pris d’une soudaine envie de sexe. Chantal semble dormir.
Puis, toujours avec lenteur pour ne pas l’effrayer, il la saisit aux épaules, la redresse, l’assoit sur la table. Il lui prend les poignets et les passe dans son dos. Les deux « invités » observent, en se touchant le sexe au dessus de leurs shorts. Chantal se laisse faire, toujours le bandeau sur le visage. Elle a l’air parfaitement calme et docile. L’homme se saisit d’une autre bande de tissu, passe derrière elle et s’applique à lui nouer les mains dans le dos. Revenant par devant, il lui saisit les chevilles et ramène ses pieds au contact de ses fesses. Chantal serre naturellement les genoux sur sa poitrine. Pas longtemps car l’homme lui parle à nouveau et je la vois qui écarte d’elle même ses cuisses ouvrant le chemin de son entre-jambe.
Il m’adresse un regard pour avoir mon accord. Je cligne des yeux en signe d’assentiment. Je suis rassuré car il n’y a plus cette foule de voyeurs dans la rue. Alors, il prend une autre fiole sur l’étagère derrière lui, l’ouvre, s’enduit les mains d’un liquide visqueux et rouge sang. Il s’approche de Chantal et délicatement il lui frotte la pointe des seins de ses doigts imprégnés. Les pointes prennent une couleur rouge et se dressent rapidement. Chantal recommence à respirer vite et pousse des gémissements tout en dodelinant de la tête. Visiblement cet onguent a des propriétés particulières. Chantal essaie de se libérer de ses liens comme pour venir soulager l’excitation sur ses seins. Puis l’homme lui porte une main sur son sexe et l’enduit à son tour de cette crème aux vertus perverses. Autour sur les lèvres d’abord. Puis de son autre main, de deux doigts il les écarte, s’attarde un instant sur le clitoris puis pénètre la vulve toujours avec délicatesse. Le mouvement de sa main nous fait comprendre qu’il enduit l’entière surface des muqueuses du vagin. Lentement, avec application. Alors aussitôt, Chantal se met à pousser des cris de plaisir et se tortille dans tous les sens sur la table de massage. Elle se couche sur le dos et ses bras toujours attachés, cambre ses reins, soulève son bassin et projette devant elle son ventre qui semble en feu. Ses gémissements deviennent des plaintes, douces et intenses, comme celles d’une jouissance proche.
Je ne reconnais plus mon épouse, elle est envoûtée. Elle cherche à se dégager de ses entraves, non pas pour fuir mais pour se toucher pour éteindre ce feu qui la consume. Moi je bande, je suis heureux pour elle. Lui faire du bien me déculpabilise de l’entraîner dans mes débauches. Tu comprends cela Marcel, hein ?
Le masseur adresse un regard aux deux hommes et tous les trois enlèvent leurs shorts. Ils sont droits et durs avec des sexes de taille moyenne pour deux d’entre eux. La queue du troisième, qui semble le plus jeune, quoi qu’il soit difficile de donner un âge précis aux vietnamiens qui semblent éternellement jeunes, est énorme. Longue et large avec deux couilles comme des oranges. Dressée et raide, son gland vient frotter son nombril.
Le masseur prend Chantal aux épaules, la fait descendre de la table. Il s’éloigne pour la laisser debout au milieu de la pièce observée, détaillée par les deux autres hommes qui se branlent, attendant l’hallali. Elle frotte ses cuisses pour éteindre le feu qui la consume au creux du ventre.
Le masseur revient avec un coussin de soie qu’il pose sur sa table de massage. Il saisit Chantal aux épaules, la retourne pliée, le corps reposant sur la table. Pliée en deux, elle offre sa croupe aux deux hommes, incapable de se refuser, les mains liées dans son dos.
Chantal ne le voit pas mais les deux inconnus et le masseur sont derrière elle, prêts à l’enfiler comme elle le réclame. Car ma femme gémit dans le silence de la pièce. Elle réclame d’être baisée, enfilée. Elle emploie des mots que je ne lui connais pas Marcel. Tu te rends compte ce qu’il a fait d’elle ? Une femme docile soumise folle d’excitation qui ne réclame que d’être pénétrée. Des trois hommes, le masseur semble comprendre notre langue. Il jette un regard au plus âgé, l’invitant à baiser la femme. L’homme ne se le fait pas dire deux fois et sans attendre il présente sa bite entre les fesses qu’il écarte d’une main pour s’ouvrir le passage de son ventre. Chantal qui pressent maintenant qu’on va la prendre recule son cul au devant de la bite. Il n’envisage même pas de mettre une protection tellement il est excité. Je suis sur le point d’intervenir mais c’est trop tard, d’une brusque poussée il est en elle et commence à limer le con offert. Et même quand d’une brutale poussée il investit le sexe délicat mais en feu de la femme, elle ne se refuse pas non plus. Il commence par la limer lentement puis d’un seul coup il accélère. Chantal crie maintenant saisie par un orgasme violent que je ne lui connais pas. D’un coup il se cabre, se plante dans le vagin et en feulant à son tour il déverse sa semence en longues giclées. Il reste planté quelques secondes comme pour bien maintenir la semence féconde contre l’utérus de la femelle et profiter le plus longtemps possible de la chaleur de ce ventre offert. Puis, lentement, à peine ramolli, son sexe ressort tout humide enduit de foutre et de sécrétions vaginales.
Le deuxième à présenter son sexe est le masseur. Il a repéré la taille de la bite du plus jeune et ne veut pas se risquer en dernier. Il commence par défaire les liens qui enserrent les poignets de Chantal. Il la redresse la tourne et se plante face à elle. Il la prend à la tête, l’attire et lui prend la bouche. Je vois nettement sa langue fouiller la bouche de ma tendre. Elle lui rend son baiser et en même temps elle s’est saisie de sa queue qu’elle branle contre son ventre. Il la prend aux hanches et l’assoit au bord de la table de massage. Il la saisit aux cuisses qu’il ouvre pour s’offrir son sexe déjà débordant du foutre de l’autre inconnu. D’un seul coup de rein, sans même avoir à la prendre en main, je vois sa bite s’enfoncer sans résistance dans la vulve béante maintenant. Sous le coup, elle pousse un petit cri alors qu’un sourire de plaisir s’affiche sur son visage. Elle se colle à lui, leurs bouches toujours unies dans un baiser de braise. C’est elle qui entreprend de limer le sexe en elle. On l’entend souffler. Puis le masseur la saisit sous les fesses et la soulève pour mieux l’empaler. Et c’est dans un rythme de folies qu’il la lime pour la faire jouir une deuxième fois. Chantal crie sa jouissance tout en restant collée à la bouche de son amant. Et à son tour il se crispe et il se déverse en elle, la remplissant à son tour. Lui aussi reste un instant planté pour profiter au maximum du ventre offert. L’idée qu’elle puisse être fécondée à cet instant m’effleure car Chantal ne prend pas de contraceptif. Cette idée décuple ma jouissance.
Le masseur finit pas se retirer. Le plus jeune s’approche, la bite toute droite, énorme et le gland rouge violacé prête à cracher à son tour son jus. Il se positionne devant la vulve rouge la saisit aux chevilles et lui soulève le bassin élevant son anus au niveau de sa bite. Je comprends qu’il veut la sodomiser. Ça je ne le veux pas, elle s’est toujours refusée et je lui sais un petit trou encore étroit et il allait sûrement la déchirer. Je m’apprêtais à intervenir quand j’ai vu Chantal remuer ses fesses pour accentuer le frottement contre son anus. Il a très bien senti la résistance ; aussi il a commencé par la doigter pour la dilater. Un doigt puis deux et enfin trois. Il est allé chercher de la mouille mélangée au sperme pour enduire le petit trou. Puis il a présenté son gland et a commencé lentement à pousser pour l’enculer. J’ai vu la visage de Chantal se crisper devant la douleur mais très vite, elle passe ses mains derrière les fesses de son amant pour l’attirer à elle, et au lieu de se refuser, elle s’est mise à pousser pour recevoir cette énorme bite dans son fondement. Il a fallu plusieurs minutes pour voir entièrement la colonne de chair disparaître entre les fesses écartelées de ma femme. Puis une fois planté bien profond il a commencé à lui limer le cul comme les autres l’avaient fait de sa vulve. Chantal criant en jouissant, ses chairs à vif, comme pour éteindre un feu qui la dévorait de l’intérieur de son ventre. Soudain le jeune homme se crispe, il s’enfonce encore plus profond en elle et je devine sans le voir qu’il déverse sa semence au fond du cul, tandis de Chantal, sodomisée pousse au même instant pousse des cris de jouissance. L’éjaculation dure un bon moment et des jets de foutre s’échappent d’entre les fesses resserrées autour de la queue qui l’encule. Puis le calme revient, les deux amants restent collés encore un moment.
A son tour, son plaisir atteint, il se retire alors que la liqueur de son éjaculation s’écoule lentement du cul dilaté. Chantal visiblement crevée s’affame sur la table de massage. Le masseur s’approche d’elle, lui donne à boire un verre d’eau et lui libère la vue en lui ôtant son bandeau. Hagarde, elle regarde autour d’elle sans vraiment savoir où elle se trouve. La masseur très prévenant lui présente sa robe, l’aide à s’habiller et en souriant lui remet une petite amulette dorée qui est sensée représenter les sexe d’une femme.
Tous les deux fatigués, repus et comblés, nous regagnons notre chambre d’hôtel dans la chaleur moite de cette nuit. Je lui demande de dormir à mes côtés sans faire sa toilette, pleine des foutres de ses trois amants. Dans un sourire de lassitude, elle s’allonge alors que je regarde s’écouler d’entre ses jambes cette semence qui peut-être est en train de la féconder. Je la pénètre à mon tour pour jouir en elle et mêler nos semences.
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