MASTURBATION D'UN AUTRE HOMME ET FLAGELLATION -L'Initiation de Béatrice (épisode n°05)

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : MASTURBATION D'UN AUTRE HOMME ET FLAGELLATION -L'Initiation de Béatrice (épisode n°05) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MASTURBATION D'UN AUTRE HOMME ET FLAGELLATION -L'Initiation de Béatrice (épisode n°05)
L'Initiation de Béatrice (épisode 05)

Alors que je vais sur mes vingt-deux ans, je drague Béatrice une gamine dix-huit ans, me promettant bien de la déniaiser en l'emmenant batifoler à minuit sur les pelouses du bois de Boulogne. Après bien des difficultés, Béatrice me laisse lui prendre sa virginité et se révèle une jeune cavale bien prometteuse. Dans une auberge en bord de Seine près de Villeneuve-Saint-Georges, je l'initie à la fellation, je dépucèle son petit cul et je l’initie au fist.

MASTURBATION D'UN AUTRE HOMME ET FLAGELLATION

Peu avant midi le dimanche suivant, nous nous apprêtons à reprendre la route. À ma demande, Béatrice est nue sous une robe légère en coton. Sous son décolleté, ses gros seins ballottent librement, attirant le regard des clients et du patron de l'auberge lorsque je viens régler la note. Sous sa jupe large, personne ne peut deviner qu'elle ne porte pas de culotte ; pourtant, Béatrice est gênée de se savoir nue et me le souffle dans l'oreille. Je lui réponds que je veux pouvoir la baiser avant de la raccompagner chez elle et qu'il sera plus facile de lui fourrer mon vit dans son con quand je le voudrais. Elle rougit de mes propos, mais, elle se love contre moi en m'embrassant dans le cou. C'est ainsi enlacé que nous récupérons mon scooter et que nous prenons la route du retour. Béatrice se retrouve à cheval sur la selle avec sa vulve au contact du cuir matelassé. Je compte bien sur les trépidations occasionnées par l'engin motorisé pour l'exciter durant notre parcours. D'ailleurs, elle s'est collée contre mon dos et je sens ses mamelles qui se pressent contre ma chemise. Elle entoure mon torse de ses deux bras et, bientôt sa main droite vient tâter mon pantalon à hauteur de la braguette. Nous suivons la Seine, lorsque nous la quittons pour traverser la forêt de Fontainebleau. Je connais bien cette région pour l'avoir parcouru à vélo durant mon adolescence, aussi, je dirige mon scooter vers un petit chemin sableux qui nous entraîne vers un coin tranquille et touffu où je stoppe mon engin.

Le scooter bien dissimulé, je prends par la main ma compagne et l'emmène au plus profond du fourré. À ce moment, je lui ôte sa robe et me déshabille en un tour de main. Ma queue est épouvantablement raide des attouchements de ma jolie Béatrice, aussi sans vergogne, je l'allonge dans l'herbe et la pénètre sauvagement. Elle entoure mon torse de ses jolies jambes et se projette contre mon vit de tout son bas-ventre pour se faire baiser avec encore plus de forces. Je la pilonne durant de longues minutes lorsque relavant la tête, je vois un voyeur qui n'en perd pas une miette. C'est un homme d'une cinquantaine d'années, un peu bedonnant et dégarni de la chevelure. Lorsqu'il s'aperçoit que je l'ai repéré, il veut s'éloigner ayant certainement peur de ma réaction. Je lui fais un grand sourire et plusieurs clignements d'yeux. Béatrice tout à son plaisir ne s'est rendue compte de rien. L'homme s'approche timidement en rampant presque et, lorsqu'il est à quelques pas, il dégrafe son pantalon et sort une verge violacée large et trapue, qu'il masturbe en regardant le corps de Béatrice qui s'agite sous moi. Je masse un des seins de ma belle tout en faisant un clin d'œil au voyeur pour qu'il en fasse autant. Celui-ci hésite, puis il se décide et englobe de ses gros doigts l'autre mamelon qui tressaute sous l'attouchement. Béatrice vient de se rendre compte qu'un intrus est en train de la voir nue se faire baiser et qu’il ose la peloter, aussi, elle veut se redresser. Je me penche vers elle et lui susurre dans son oreille :

- Laisse toi faire ma chérie, c'est un pauvre diable qui n'a pas vu depuis bien longtemps une aussi jolie fille que toi. Il va seulement te caresser un sein pendant que je vais continuer à te faire l'amour.

Béatrice se laisse retomber sur le sol et ferme les yeux, alors que deux larmes coulent à travers ses paupières. Je les sèche aussitôt avec mes lèvres puis je reprends ma besogne pendant que l'homme malaxe le sein et le mamelon de ma belle qui gémit sans que je sache ce qui lui fait le plus d'effet. J'amène pourtant Béatrice jusqu'à l'orgasme, car lorsque j'éjacule en elle, elle se tend vers moi et pousse un râle qui ne trompe pas. L'homme est assis à côté de nous et se masturbe furieusement.

Je prends alors la main de Béatrice et l'approche de la verge démesurément grossie et lui fait entourer de ses doigts le gros mandrin dont perle déjà une goutte de sperme. Elle veut retirer sa main, mais je lui dis fermement :

- Tu ne vas pas laisser ce pauvre homme repartir dans cet état. Il t'a admiré en train de prendre ton pied, rends-lui la pareille en le faisant jouir avec tes doigts. Ce n'est pas terrible après tout. Tu n'as pas ton pareil pour me branler, rends service à ce Monsieur qui t'a si bien caressé ton mamelon. Allons ma chérie, regarde cette queue qui attend tes jolis doigts pour pouvoir jouir.

Béatrice me regarde en pleurant, mais elle entoure de ses doigts la bite du voyeur et le masturbe avec une adresse dont une professionnelle pourrait être fière. D'ailleurs, l'homme sous les doigts fins de la jeune fille ne peut se retenir bien longtemps, car du gland congestionné, jaillit soudain un flot de sperme qui aboutit sur un sein de Béatrice. Celle-ci se rend à peine compte que l'homme éjacule, elle continue à actionner ses doigts sur le prépuce et presse le gland qui gicle sans interruption. Je prends Béatrice dans mes bras et lui masturbe son clitoris pour l'encourager dans cette situation qui lui paraît certainement impensable. Je me délecte de la voir masturber l'homme alors que sa semence asperge ses seins et son ventre. Elle a fermé les yeux et m'embrasse à pleine bouche et tout en serrant entre ses doigts la verge qui n'en peut plus de s'égoutter, elle gémit et râle sous la jouissance de mes doigts qui titillent son clitoris. L'homme s'est rajusté et repart sans un regard pour Béatrice, honteux de ce qu'il a fait. Je regarde ma jeune initiée qui dérobe ses yeux à mon regard. Je comprends qu'elle a honte, mais qu'elle a certainement eu du plaisir. Aussi, je veux tout de suite reprendre la situation en main :

- Alors ma chérie, tu as bien pris ton pied n'est-ce pas ? Ne dis pas le contraire, je t'ai senti jouir par deux fois au moins, alors que je te baisais et que le voyeur te triturait ton sein et lorsque tu l'as fait éjaculer dans tes doigts et qu'il maculait ton corps avec son sperme, j'ai bien vu que tu prenais ton plaisir ma salope.

- Mais c'est toi qui as voulu que je le touche, tu me fais des reproches maintenant, tu es... Tu es un monstre. Tu ne m'aimes plus. C'est ça... Tu veux te débarrasser de moi.

À ce moment, Béatrice éclate en sanglots. Je souris, car c'est là où je voulais l'amener et la prenant dans mes bras, je la berce tendrement et l'embrasse pour la consoler :

- Ma Chérie, je t'aime encore plus après ce qui vient de se passer. Je suis très heureux que tu m'aies obéi. C'est un bon commencement. Mais ta crise est impardonnable et me traiter de monstre mérite une petite punition. Es-tu d'accord pour la recevoir maintenant ?

Béatrice entoure mon cou de ses deux bras et m'embrasse tout en me disant.

- Tu peux me punir mon chéri, je veux tout accepter de toi. Tu vas me battre, cela va me faire mal ?

- Tu veux tout savoir, oui, je vais te faire mal, mais c'est pour ton bien. Et puis après, tu verras comme ce sera bon de refaire l'amour. Allons ma chérie, lève-toi, nous allons aller un peu plus loin.

Béatrice se lève et allant au Scooter, je prends dans les sacoches trois foulards que j'avais glissés à portée de main dans cette attention. Je lui en passe un autour de la tête et aveugle ses yeux. Puis la prenant par la main, je m'approche d'un arbre dont une rosse branche est à portée de mes mains. Alors entourant un foulard autour de chaque poignet, je le fixe solidement et prenant d'abord un bras que je lève, j'attache un foulard à la branche, puis, sans perdre de temps, l'autre à côté distant d'un mètre. Je caresse d'un doigt le vagin entrouvert de la jeune fille qui glousse croyant à un jeu. Je retourne au scooter et prends une paire de gants dans la boîte à gants et un solide couteau de poche. Puis je m'enfonce sans les taillis. Après quelques minutes, je repère un champ d'orties, aussi, sortant mon couteau, j'en coupe de grosses brassées et je rapporte ma cueillette auprès de ma proie. Celle-ci qui n'en mène pas large depuis mon départ pleurniche.

- Michel, mon chéri, j'ai peur, pourquoi m'avoir attachée, je suis d'accord pour que tu me punisses, d'ailleurs cela m'excite mon Chéri.

Tout en laissant ma main traîner dans son entrejambe et mes doigts s'infiltrer dans son vagin dégoulinant de mouille, je lui annonce ce qui l'attend.

- Ma chérie, je vais te fouetter d'abord les fesses et ensuite les seins avec un gros bouquet d'orties que je tiens dans ma main gantée. Es-tu toujours prête à être corrigé ?

- Tu vas me faire très mal n'est-ce pas mon amour. Mais pour toi, je veux bien souffrir.

Je commence par caresser avec les orties les fesses rebondies de Béatrice. D'abord, celle-ci ne dit rien, puis les feuilles urticantes commencent à faire leur effet et Béatrice pousse de petits aies...

- Aie.... Aie....

C'est alors que j'abats avec force les orties sur les globes charnus. En quelques secondes, les fesses deviennent rouges sombres et des cloques commencent à poindre. Béatrice geint et pleure presque silencieusement, les larmes coulent à travers son bandeau. C'est alors que je fouette les mamelons volumineux de ma tendre complice. La chair, là aussi, devient rouge et des pustules recouvrent bientôt entièrement les seins et le torse de ma belle. Elle se mord les lèvres pour éviter de hurler sa souffrance. Je m'approche d'elle avec une poignée d'orties fraîches, et tout en mélangeant ma langue à la sienne, je plonge ma main gantée dans son entrejambe et ramone sa vulve de l'entrecuisse jusqu'à l'anus. Béatrice dans un premier temps se tortille dans tous les sens pour échapper aux feuilles urticantes qui embrasent sa vulve et ses chairs intimes, puis elle tend son ventre vers ma main qui met le feu à l'intérieur de ses chairs si tendres. J'introduis quelques feuilles d'orties dans son vagin, les poussant le plus loin possible avec mes doigts gantés. Malgré la douleur, le sexe enflammé laisse s'écouler une mouille abondante, preuve s'il en est que ma suppliciée jouit de cette torture librement consentie. Le corps de Béatrice est à présent une véritable fournaise, aussi, je lui enlève son bandeau et la détache. Puis je l'allonge sur le sol et, de ma langue, j'étale ma salive sur toute sa peau, calmant aussitôt les douleurs urticantes. À défaut de plantain que je n'ai pas vu dans les sous-bois et qui est la plante qui soigne le mieux les piqûres d'ortie, la salive est un moyen efficace pour soulager rapidement la sensation de brûlure due aux poils urticants des feuilles d'orties. Je commence par ses seins et continue par ses fesses et enfin, je lui nettoie la vulve et l'intérieur de son vagin.

Épuisé par les soins linguaux que j'ai octroyés à Béatrice, je m'allonge de tout mon long sur l'herbe lorsque Béatrice se relève d'un bond et ramassant une poignée d'orties sans même se préoccuper de se piquer, elle m'enduit la verge des feuilles urticantes ce qui me fait hurler sous la douleur occasionnée. Mais je n'ai pas le temps de réagir, car la furie se mettant à califourchon sur moi, elle se saisit de ma queue et se l'enfonce sans coup férir dans sa matrice en feu. Ma verge, enserrée dans sa gaine brûlante a pris des proportions qui me font craindre qu'elle n'éclate. Mais ma belle se démène comme un démon, enserrant mon sexe dans sa gaine enflammée, allant et venant avec violence jusqu'à ce que j'éjacule dans un torrent de sperme au fond de son vagin. Exténuée par la fougue qu'elle a mise à me baiser, ma chérie s'abat sur mon torse tandis que je la serre fort contre moi, étonné tout de même, après tout ce que je viens de lui faire subir, de la fougue amoureuse dont elle vient de faire preuve. C'en est fini de cette journée de débauche et il faut tout de même envisager de rentrer à X.
à suivre...

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