Mathilde 1 : Joyeux Anniversaire mon chéri !

Récit érotique écrit par GregoryHirsch [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mathilde 1 : Joyeux Anniversaire mon chéri !
Aucun message, rien ! Pas même un petit bisou ce matin lorsque je me suis levé au milieu de la nuit pour partir prendre mon tour à l’entrepôt. Je ne sais même pas si le fait que ce soit mon anniversaire y change finalement quoi que ce soit. En fait, depuis quelques semaines, tout a changé avec Mathilde. Mathilde, c’est ma femme, nous sommes mariés depuis 7 ans maintenant et je commence à me demander si ce n’est pas un cap que nous n’arriverons pas à franchir. En fait cela fait déjà un bon moment qu’on ne baise plus, je croyais que ça arriverait plus tard, quand nous serions vieux. Visiblement non.
Et puis comme elle ne parle jamais d’enfants, je suppose que la chose l’intéresse peu.
Qu’est-ce que j’en sais en fait ? Rien au fond.
Moi ça m’arrange sans doute. Ça me permet de m’enfermer dans mon confort, en prétextant que le boulot à l’entrepôt me fatigue. Je me demande bien combien de temps encore elle va y croire !
Une vibration secoue la poche de mon bleu. Pourvu que ce soit elle ! Pourquoi je me dis ça moi d’ailleurs ? Je ne sais vraiment plus où j’en suis. En plus ce connard de contremaître me guette sans arrêt, je ne peux même pas regarder. Je ne sais pas pourquoi mais j’angoisse, cet anniversaire fantôme qui se profile me fait frissonner.
Je crois bien qu’elle va me quitter.
D’ailleurs la dernière vraie discussion que nous avons eue ne me rassure pas vraiment. La dernière ? La seule en vérité. C’est vrai quoi, il ne faut pas compter sur moi pour mettre les problèmes sur la table.
« Les choses doivent changer dans notre couple, Philippe, je vais m’en occuper si toi tu ne veux pas ! »
Qu’est-ce que ça pouvait bien vouloir dire ?
Qu’elle allait me quitter ? Elle devrait peut-être.
Enfin la pause ! À peine la porte du vestiaire passée, je me jette sur mon téléphone, il faut que je sache, tout de suite, quitte à ce que cela soit terrible. C’est bien un message de Mathilde. Pas d’anniversaire, pas plus d’indice, juste une phrase laconique et désespérément ignorante :
« Je rentrerai vers 14 h, je t’ai laissé quelque chose sur la table de la cuisine. »
Je crois que cette fois c’est vraiment fini. Je ne lui en veux même pas de le faire aujourd’hui. Elle mérite sans doute mieux que ce que je lui offre.
Il est 13 h 30 lorsque je franchis le seuil de notre appartement, je me sens désabusé, je n’ai même pas l’intention de me battre. Lorsque je pousse la porte de la cuisine, je suis très surpris, il n’y a même pas de quoi manger, juste une enveloppe blanche, avec mon prénom dessus. J’hésite à l’ouvrir, la gorge serrée. Il faudra pourtant bien affronter cette rupture.
Mon chéri, Il y a de cela quelques jours, je t’ai promis que les choses allaient changer, et bien quel meilleur jour pour cela qu’aujourd’hui. J’imagine que cela ne te parait pas très clair, mais je t’expliquerai en temps et en heure. En attendant, déshabille-toi entièrement et attends-moi les mains posées sur cette table, sans bouger. J’ai bien dit sans bouger, pas de télé, ni de jeux vidéo, ni quoi que ce soit. Une dernière chose : quoi qu’il arrive je t’interdis de te retourner, sans quoi c’en serait fini. J’espère que c’est clair.
Je me sens complètement retourné par ce simple petit mot. Mais qu’attend-elle de moi ? Pourquoi un tel cérémonial ? Qu’espère-t-elle ainsi ? Est-ce un cadeau d’anniversaire un peu sexy ? Ça ne lui ressemble vraiment pas ? J’avoue que j’ai du mal à la suivre, et que mes idées s’embrouillent.
D’ailleurs, J’ai traîné des pieds pour rentrer, hésitant à le faire, comme si je devais fuir, entérinant par là même cette rupture imminente. Je tourne la tête vers la pendule : 13 h 45. Elle sera là dans un quart d’heure. Je n’ai même pas le temps d’une douche. Je quitte mes habits à la hâte pour les jeter dans le panier à linge et enfin revenir me positionner là où elle m’a demandé de l’attendre.
Le cliquetis de la serrure résonne dans le hall de l’appartement. Merde mes chaussettes, j’ai oublié d’enlever mes chaussettes ! Trop tard.
Ses talons claquent dans le couloir, je l’entends derrière moi passer devant la porte de la cuisine sans même s’en approcher et se rendre dans notre chambre. Que fait-elle ? Elle a oublié ? Et elle m’a dit de ne pas bouger. Les minutes s’éternisent, quelques bruits inintelligibles me parviennent à travers les cloisons, je flippe. Je crois que cette situation me fait peur.
Enfin les bruits de talons résonnent à nouveau, les pas s’approchent, j’avale difficilement ma salive. Elle est là dans mon dos, je sens son souffle presque posé sur moi.
— Tiens, intéressante version de la nudité, s’exclame Mathilde sur un ton étrangement méprisant.
— J’étais un peu en retard.
— Et c’est censé être une excuse ? interroge-t-elle d’une voix que je ne lui connaissais pas.
— Je…
À cet instant précis, je sens Mathilde m’enfoncer une espèce de balle de ping-pong dans la bouche puis tirer deux lanières pour l’empêcher de ressortir. La gêne est insupportable et je proteste mais aucun son audible ne semble vouloir sortir de ma bouche, seuls quelques postillons réduits à de visqueux filets de bave ruissellent depuis mes commissures de lèvres.
— Chut, calme-toi, me chuchote-t-elle en me caressant les cheveux. En vérité tu n’as pas vraiment besoin de parler, mais plutôt d’écouter.
Je crève de peur, et voudrais me soustraire à cette infamie qu’elle me fait subir, et pourtant inexplicablement, au cœur de mes protestations, je n’ai même pas cherché à me retourner, respectant ainsi sa consigne.
— Je n’ai que deux questions à te poser. Est-ce que tu m’aimes encore ?
Décontenancé, tant par la question que par mon incapacité à y répondre, je panique presque de devoir me livrer ainsi sans le moindre filtre. Les sentiments se cognent et s’entrechoquent, la peur, la honte, mes sentiments pour elle aussi. Je lui concède un hochement de tête affirmatif, péniblement extrait à mes déchirements.
— Bien. Me fais-tu confiance pour sauver notre couple ?
De timides larmes imbibent le coin de mes yeux. Je dois bien l’admettre, la perdre me détruirait, alors j’acquiesce à nouveau.
— Bien ! ponctue-t-elle d’une voix ferme que je peine à reconnaître.
À peine a-t-elle prononcé ces mots, que sa main caressante descend le long de mon bras, puis de l’autre, les conduisant derrière mon dos. Je sens un foulard passer autour de mes poignets, qu’elle noue avec une extrême célérité, entre assurance et douceur. Elle serre fort, tellement que j’en tressaute.
— Je ne veux plus rien entendre maintenant, c’est clair ?
Je réponds d’un hochement de tête dont je me demande si elle le voit. Ses mains continuent de caresser mon dos, mes épaules et mes fesses, animées d’une étrange sensualité. Une délicatesse presque animale.
Jamais elle n’avait touché ainsi, je frissonne de tout mon long sous ses caresses de plus en plus impudiques. Puis d’un geste du pied, elle écarte ma jambe gauche, puis la droite, me plaçant dans une posture inconfortable mais terriblement excitante. Je n’ose regarder mon sexe tendu, que je sens pourtant couler abondamment, j’ai honte de m’abandonner à une telle indécence, mais je l’ai assuré de ma confiance, et je me sens incapable de me dédire désormais.
Un autre foulard passe le long de ma jambe, comme une subtile caresse, et en un instant je me trouve fermement ligoté au pied de la table, puis à l’autre. Je ne sais plus où donner de la tête, perdu entre excitation, honte et inquiétude.
Les caresses se multiplient, ses mains s’approchant de plus en plus de mon derrière, s’insinuant même entre mes fesses, timidement d’abord puis de plus en plus fermement. Que fait-elle ? Je n’ose pourtant pas bouger, pas laisser le moindre de mes poils se hérisser sous ce traitement qui me rend fou. Puis je sens son souffle remonter le long de mon dos, alors que ses mains abandonnent mon fessier. J’entends ses talons claquer à nouveau et je la vois apparaître devant moi, au bord de la table de la cuisine.
Un frisson d’effroi me parcourt et mon regard se fige. Elle est presque nue, arborant avec fierté sa lourde poitrine et ne portant qu’un étrange harnais de tissu noir autour de la taille, qui porte un sexe de latex dont le calibre ferait pâlir n’importe quel homme normalement constitué. Je suis terrifié.
— Tu as peur, mon chéri ? Il ne faut pas. Tu vois, je me suis un peu baladée sur l’ordinateur et j’ai remarqué que tu aimais la sodomie. Eh bien, moi aussi, vois-tu !
Je tente de protester, de me soustraire à mes liens, sans y parvenir. Je maugrée de puissants grognements de protestation que le bâillon retient avec fermeté.
En un éclair elle me décoche une baffe d’une terrible violence, à me faire tourner la tête. De chaudes larmes coulent le long de mes joues.
— J’ai dit que je ne voulais rien entendre, s’offusque-t-elle, les yeux rouges de colère.
Honteux et blessé, je baisse les yeux, encore aux portes d’une humiliation que je n’imagine pas encore. La mine renfrognée, elle quitte mon champ de vision, se replace derrière mon dos. Je panique, mais ne sais plus du tout comment échapper à cette situation qui me terrifie. Je sens ses caresses reprendre, encore plus fermes, de plus en plus intrusives, un liquide froid et visqueux coule le long de ma raie. Elle semble en badigeonner l’intérieur, allant même jusqu’à forcer mon anus du doigt, s’y engouffrant et jouant à l’intérieur. De chaudes larmes roulent le long de mes joues, des larmes de honte et d’humiliation.
Je la sens se redresser et présenter son phallus factice entre mes fesses, se poser même tout contre mon anus.
— Détends-toi si tu ne veux pas avoir mal, m’ordonne-t-elle dans un murmure.
Elle pousse, je hurle, enfin j’essaie mais je ne peux pas. J’ai mal, terriblement mal, la douleur me brule et irradie tout mon corps. Je sanglote, incapable d’opposer la moindre contre-attaque à cette violation de mon intimité. Elle pousse encore un peu plus, et je sens mes entrailles aspirer le phallus, mes parois internes bouillent sous cette répugnante friction, je voudrais pouvoir l’éjecter, mais plus je pousse plus l’intrusion me semble massive, impossible à contrecarrer.
Soudain, elle saisit violemment mes cheveux et tire ma tête en arrière.
— Maintenant, je vais te baiser, salope, et tu vas apprendre à aimer ça.
Déchiré par ma honte, et anéanti par la douleur, je me résigne. Je cède et je sens le sexe de latex se mouvoir en moi, d’avant en arrière, progressivement, brûlant mes parois, de plus en plus rapidement jusqu’à presque sentir la chatte de Mathilde taper contre mes fesses, et les enduire de son abondante mouille. Les remparts de mon esprit s’effondrent et je la laisse conquérir ce nouveau territoire, volonté et capacité de rébellion abandonnées, annihilées.
Les coups de boutoir se font de plus en plus violents, et le souffle de Mathilde de plus en plus puissant et rapide, mais la brûlure commence à se teinter d’autre chose, la chaleur gagne l’intérieur de mon ventre, elle fait fondre mes entrailles. Moi aussi je peine à respirer, je ne comprends rien de ce qu’il se passe.
Lorsque sa main saisit mon sexe tendu droit devant lui sous la table, je ne sais déjà plus du tout ni où je me trouve, ni pourquoi. Les sensations débordent tout et la conscience a disparu. Je jouis en à peine deux aller-retours, répandant un jet d’une incroyable puissance à même le sol. Un cri rauque, audible à tout le voisinage, transperce la barrière du bâillon. Mathilde jouit aussi dans mon dos, enfin je crois.
Puis elle s’affale sur moi, pesant de tout le poids de sa lourde poitrine contre mon dos ruisselant de sueur. De longues minutes passent ainsi avant qu’elle ne se retire, laissant mon orifice béant et meurtri d’une ultime douleur.
Elle détache mes mains, que je laisse pendre sans force le long de la table. Puis me lance une dernière semonce verbale.
— Rejoins-moi dans la chambre, j’ai d’autres choses à te dire, maintenant.
— Au fait, j’oubliais. Joyeux anniversaire mon chéri, ajoute-t-elle en franchissant le seuil de la cuisine, à la cadence de ses talons contre le carrelage.
Et puis comme elle ne parle jamais d’enfants, je suppose que la chose l’intéresse peu.
Qu’est-ce que j’en sais en fait ? Rien au fond.
Moi ça m’arrange sans doute. Ça me permet de m’enfermer dans mon confort, en prétextant que le boulot à l’entrepôt me fatigue. Je me demande bien combien de temps encore elle va y croire !
Une vibration secoue la poche de mon bleu. Pourvu que ce soit elle ! Pourquoi je me dis ça moi d’ailleurs ? Je ne sais vraiment plus où j’en suis. En plus ce connard de contremaître me guette sans arrêt, je ne peux même pas regarder. Je ne sais pas pourquoi mais j’angoisse, cet anniversaire fantôme qui se profile me fait frissonner.
Je crois bien qu’elle va me quitter.
D’ailleurs la dernière vraie discussion que nous avons eue ne me rassure pas vraiment. La dernière ? La seule en vérité. C’est vrai quoi, il ne faut pas compter sur moi pour mettre les problèmes sur la table.
« Les choses doivent changer dans notre couple, Philippe, je vais m’en occuper si toi tu ne veux pas ! »
Qu’est-ce que ça pouvait bien vouloir dire ?
Qu’elle allait me quitter ? Elle devrait peut-être.
Enfin la pause ! À peine la porte du vestiaire passée, je me jette sur mon téléphone, il faut que je sache, tout de suite, quitte à ce que cela soit terrible. C’est bien un message de Mathilde. Pas d’anniversaire, pas plus d’indice, juste une phrase laconique et désespérément ignorante :
« Je rentrerai vers 14 h, je t’ai laissé quelque chose sur la table de la cuisine. »
Je crois que cette fois c’est vraiment fini. Je ne lui en veux même pas de le faire aujourd’hui. Elle mérite sans doute mieux que ce que je lui offre.
Il est 13 h 30 lorsque je franchis le seuil de notre appartement, je me sens désabusé, je n’ai même pas l’intention de me battre. Lorsque je pousse la porte de la cuisine, je suis très surpris, il n’y a même pas de quoi manger, juste une enveloppe blanche, avec mon prénom dessus. J’hésite à l’ouvrir, la gorge serrée. Il faudra pourtant bien affronter cette rupture.
Mon chéri, Il y a de cela quelques jours, je t’ai promis que les choses allaient changer, et bien quel meilleur jour pour cela qu’aujourd’hui. J’imagine que cela ne te parait pas très clair, mais je t’expliquerai en temps et en heure. En attendant, déshabille-toi entièrement et attends-moi les mains posées sur cette table, sans bouger. J’ai bien dit sans bouger, pas de télé, ni de jeux vidéo, ni quoi que ce soit. Une dernière chose : quoi qu’il arrive je t’interdis de te retourner, sans quoi c’en serait fini. J’espère que c’est clair.
Je me sens complètement retourné par ce simple petit mot. Mais qu’attend-elle de moi ? Pourquoi un tel cérémonial ? Qu’espère-t-elle ainsi ? Est-ce un cadeau d’anniversaire un peu sexy ? Ça ne lui ressemble vraiment pas ? J’avoue que j’ai du mal à la suivre, et que mes idées s’embrouillent.
D’ailleurs, J’ai traîné des pieds pour rentrer, hésitant à le faire, comme si je devais fuir, entérinant par là même cette rupture imminente. Je tourne la tête vers la pendule : 13 h 45. Elle sera là dans un quart d’heure. Je n’ai même pas le temps d’une douche. Je quitte mes habits à la hâte pour les jeter dans le panier à linge et enfin revenir me positionner là où elle m’a demandé de l’attendre.
Le cliquetis de la serrure résonne dans le hall de l’appartement. Merde mes chaussettes, j’ai oublié d’enlever mes chaussettes ! Trop tard.
Ses talons claquent dans le couloir, je l’entends derrière moi passer devant la porte de la cuisine sans même s’en approcher et se rendre dans notre chambre. Que fait-elle ? Elle a oublié ? Et elle m’a dit de ne pas bouger. Les minutes s’éternisent, quelques bruits inintelligibles me parviennent à travers les cloisons, je flippe. Je crois que cette situation me fait peur.
Enfin les bruits de talons résonnent à nouveau, les pas s’approchent, j’avale difficilement ma salive. Elle est là dans mon dos, je sens son souffle presque posé sur moi.
— Tiens, intéressante version de la nudité, s’exclame Mathilde sur un ton étrangement méprisant.
— J’étais un peu en retard.
— Et c’est censé être une excuse ? interroge-t-elle d’une voix que je ne lui connaissais pas.
— Je…
À cet instant précis, je sens Mathilde m’enfoncer une espèce de balle de ping-pong dans la bouche puis tirer deux lanières pour l’empêcher de ressortir. La gêne est insupportable et je proteste mais aucun son audible ne semble vouloir sortir de ma bouche, seuls quelques postillons réduits à de visqueux filets de bave ruissellent depuis mes commissures de lèvres.
— Chut, calme-toi, me chuchote-t-elle en me caressant les cheveux. En vérité tu n’as pas vraiment besoin de parler, mais plutôt d’écouter.
Je crève de peur, et voudrais me soustraire à cette infamie qu’elle me fait subir, et pourtant inexplicablement, au cœur de mes protestations, je n’ai même pas cherché à me retourner, respectant ainsi sa consigne.
— Je n’ai que deux questions à te poser. Est-ce que tu m’aimes encore ?
Décontenancé, tant par la question que par mon incapacité à y répondre, je panique presque de devoir me livrer ainsi sans le moindre filtre. Les sentiments se cognent et s’entrechoquent, la peur, la honte, mes sentiments pour elle aussi. Je lui concède un hochement de tête affirmatif, péniblement extrait à mes déchirements.
— Bien. Me fais-tu confiance pour sauver notre couple ?
De timides larmes imbibent le coin de mes yeux. Je dois bien l’admettre, la perdre me détruirait, alors j’acquiesce à nouveau.
— Bien ! ponctue-t-elle d’une voix ferme que je peine à reconnaître.
À peine a-t-elle prononcé ces mots, que sa main caressante descend le long de mon bras, puis de l’autre, les conduisant derrière mon dos. Je sens un foulard passer autour de mes poignets, qu’elle noue avec une extrême célérité, entre assurance et douceur. Elle serre fort, tellement que j’en tressaute.
— Je ne veux plus rien entendre maintenant, c’est clair ?
Je réponds d’un hochement de tête dont je me demande si elle le voit. Ses mains continuent de caresser mon dos, mes épaules et mes fesses, animées d’une étrange sensualité. Une délicatesse presque animale.
Jamais elle n’avait touché ainsi, je frissonne de tout mon long sous ses caresses de plus en plus impudiques. Puis d’un geste du pied, elle écarte ma jambe gauche, puis la droite, me plaçant dans une posture inconfortable mais terriblement excitante. Je n’ose regarder mon sexe tendu, que je sens pourtant couler abondamment, j’ai honte de m’abandonner à une telle indécence, mais je l’ai assuré de ma confiance, et je me sens incapable de me dédire désormais.
Un autre foulard passe le long de ma jambe, comme une subtile caresse, et en un instant je me trouve fermement ligoté au pied de la table, puis à l’autre. Je ne sais plus où donner de la tête, perdu entre excitation, honte et inquiétude.
Les caresses se multiplient, ses mains s’approchant de plus en plus de mon derrière, s’insinuant même entre mes fesses, timidement d’abord puis de plus en plus fermement. Que fait-elle ? Je n’ose pourtant pas bouger, pas laisser le moindre de mes poils se hérisser sous ce traitement qui me rend fou. Puis je sens son souffle remonter le long de mon dos, alors que ses mains abandonnent mon fessier. J’entends ses talons claquer à nouveau et je la vois apparaître devant moi, au bord de la table de la cuisine.
Un frisson d’effroi me parcourt et mon regard se fige. Elle est presque nue, arborant avec fierté sa lourde poitrine et ne portant qu’un étrange harnais de tissu noir autour de la taille, qui porte un sexe de latex dont le calibre ferait pâlir n’importe quel homme normalement constitué. Je suis terrifié.
— Tu as peur, mon chéri ? Il ne faut pas. Tu vois, je me suis un peu baladée sur l’ordinateur et j’ai remarqué que tu aimais la sodomie. Eh bien, moi aussi, vois-tu !
Je tente de protester, de me soustraire à mes liens, sans y parvenir. Je maugrée de puissants grognements de protestation que le bâillon retient avec fermeté.
En un éclair elle me décoche une baffe d’une terrible violence, à me faire tourner la tête. De chaudes larmes coulent le long de mes joues.
— J’ai dit que je ne voulais rien entendre, s’offusque-t-elle, les yeux rouges de colère.
Honteux et blessé, je baisse les yeux, encore aux portes d’une humiliation que je n’imagine pas encore. La mine renfrognée, elle quitte mon champ de vision, se replace derrière mon dos. Je panique, mais ne sais plus du tout comment échapper à cette situation qui me terrifie. Je sens ses caresses reprendre, encore plus fermes, de plus en plus intrusives, un liquide froid et visqueux coule le long de ma raie. Elle semble en badigeonner l’intérieur, allant même jusqu’à forcer mon anus du doigt, s’y engouffrant et jouant à l’intérieur. De chaudes larmes roulent le long de mes joues, des larmes de honte et d’humiliation.
Je la sens se redresser et présenter son phallus factice entre mes fesses, se poser même tout contre mon anus.
— Détends-toi si tu ne veux pas avoir mal, m’ordonne-t-elle dans un murmure.
Elle pousse, je hurle, enfin j’essaie mais je ne peux pas. J’ai mal, terriblement mal, la douleur me brule et irradie tout mon corps. Je sanglote, incapable d’opposer la moindre contre-attaque à cette violation de mon intimité. Elle pousse encore un peu plus, et je sens mes entrailles aspirer le phallus, mes parois internes bouillent sous cette répugnante friction, je voudrais pouvoir l’éjecter, mais plus je pousse plus l’intrusion me semble massive, impossible à contrecarrer.
Soudain, elle saisit violemment mes cheveux et tire ma tête en arrière.
— Maintenant, je vais te baiser, salope, et tu vas apprendre à aimer ça.
Déchiré par ma honte, et anéanti par la douleur, je me résigne. Je cède et je sens le sexe de latex se mouvoir en moi, d’avant en arrière, progressivement, brûlant mes parois, de plus en plus rapidement jusqu’à presque sentir la chatte de Mathilde taper contre mes fesses, et les enduire de son abondante mouille. Les remparts de mon esprit s’effondrent et je la laisse conquérir ce nouveau territoire, volonté et capacité de rébellion abandonnées, annihilées.
Les coups de boutoir se font de plus en plus violents, et le souffle de Mathilde de plus en plus puissant et rapide, mais la brûlure commence à se teinter d’autre chose, la chaleur gagne l’intérieur de mon ventre, elle fait fondre mes entrailles. Moi aussi je peine à respirer, je ne comprends rien de ce qu’il se passe.
Lorsque sa main saisit mon sexe tendu droit devant lui sous la table, je ne sais déjà plus du tout ni où je me trouve, ni pourquoi. Les sensations débordent tout et la conscience a disparu. Je jouis en à peine deux aller-retours, répandant un jet d’une incroyable puissance à même le sol. Un cri rauque, audible à tout le voisinage, transperce la barrière du bâillon. Mathilde jouit aussi dans mon dos, enfin je crois.
Puis elle s’affale sur moi, pesant de tout le poids de sa lourde poitrine contre mon dos ruisselant de sueur. De longues minutes passent ainsi avant qu’elle ne se retire, laissant mon orifice béant et meurtri d’une ultime douleur.
Elle détache mes mains, que je laisse pendre sans force le long de la table. Puis me lance une dernière semonce verbale.
— Rejoins-moi dans la chambre, j’ai d’autres choses à te dire, maintenant.
— Au fait, j’oubliais. Joyeux anniversaire mon chéri, ajoute-t-elle en franchissant le seuil de la cuisine, à la cadence de ses talons contre le carrelage.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excitant ! À tester !!!
Non il n’y a pas de suites à attendre. Vu qu’il n’y a pas de consentements. 😡
Il faut arrêter l’hypocrisie de croire qu’un homme ou 1 femme adore le concept du viol.
Il faut arrêter l’hypocrisie de croire qu’un homme ou 1 femme adore le concept du viol.
Attendons la suite ...
Son historique révèle qu'il apprécié la sodomie.
Son consentement apparaîtra peut être plus tard.
Son historique révèle qu'il apprécié la sodomie.
Son consentement apparaîtra peut être plus tard.
Un viol c'est pitoyable
c'est en effet un viol!Ce texte ne devrait pas être publié!
C'est en effet ce qu'on appelle un viol caractérisé.
C’est 1 viol !!

