Me faire dominer, gouverner....
Récit érotique écrit par chrisSex1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Me faire dominer, gouverner....
Etre encadré, assisté, gouverné, dominer par des femmes, m'a souvent excité, de recevoir des ordres, me faire commander par des femmes, exécuter ce qu'elles m'imposeraient, même sans qu'elles
me demandent mon avis, attendent que je sois consentant, donc, qui me contraindraient à m'exécuter de leurs demandes, m'exciterais fortement. Les femmes de caractère fort, autoritaires, sévères, strictes, malgré le fait que je peux les craindre, j'aime, plus encore si elles devaient m'imposer leur matriarcat, m'infantiliser à bloc, m'imposer le maternage, m'exciterais puissamment. De même que de devoir être dans la stricte obligation de leur reconnaître sur moi, leur supériorité et suprématie de femme, devoir les respecter, malgré leur façon de me traiter, de me considérer, de devoir baisser la tête devant elles et sans dire un seul mot, sauf si elles devaient m'ordonner de les regarder dans les yeux lorsqu'elles me parlent, me questionnent, me fond des demandes aux quelles je serais obligé de leur répondre, même si questions très personnelles, très gênantes, tout de moi par elles, qui devrait se savoir, même de mon intimité sexuelle qui de fait leur appartiendrait de connaître, de gouverner, géré à ma place. Je serais dans l'obligation comme un petit garçon, de toujours leur demander permission pour tout, à tous moments, pour tous besoins et toutes envies, même qui soient trop personnel à moi, très intime et délicat, gênantes et abaissantes, comme par exemple, demander la permission d'aller faire mes besoins naturels, de leur dire ce que j'ai envie de faire, et de me présenter devant elles pour me faire vérifier, de les laisser me baisser le slip, contrôler les choses en observant me=on bas ventre, en passant la main dessus pour attester que j'ai bien du pipi dans ma vessie, puis me retourner afin de m'écarter les fesses, étudier mon anus, voir s'il à tendance à se dilater, s'ouvrir, si risque de sorti de caca, même allant jusqu'à me doigter le rectum pour vérifier si il y a bien du contenu dans mon conduit rectal. J'ai déjà vécu réellement cela avec une jeune femme que j'ai fréquenté pendant trois ans. Je me faisait entièrement commander par elle, la laissais me déshabiller intégralement, ou me baisser elle même pantalon, ou culotte courte, fonction de ce qu'elle m'ordonnait de porter sur moi, et enfin, le slip. Rabaissé je l'étais, humilié, mais de me faire ainsi traiter, assisté comme un réel petit garçon, m'excitait incroyablement, de me voir être saisi tout nu, par la main ou un bras, que cette femme me conduise tout nu sous ses yeux et ses regards partout sur moi, mon corps tout entier, parfois presque en érection, et pour cause, puis qu'elle me positionne elle même au dessus de la cuve de son wc, m'analysant l'anus, le bas ventre, me doigtant en ma saisissant le zizi presque raide, je devais à sa demande de me laisser faire, de me laisser aller, de la laisser faire sur moi ce qu'elle m'exigeait, soit de faire pipi devant elle, mon caca compris, et de pousser pendant qu'elle me fouillait jusqu'au fond de mon rectum, remuant et tournant aussi son indexe à l'intérieur, qui faisait descendre elle même mes excréments jusqu'à les faire aboutir enfin par l'anus, sortait tout de moi avec son doigt, et sans gants en plus. Cela ne la dégoutait pas, loin de là, ça l'excitait à fond, moi également, même si complètement bestial, animal, crade et avilissant, vulgaire. Elle aimait ainsi me mener, gérer les choses sexuelles de cette façon et sur moi, et moi, j'aimais ainsi qu'elle en décide de moi pour elle et ses follies sexuelles. Me faire ainsi traiter, qu'elle me trait comme un petit garçon ou comme son chien aussi, tout dépend de ce qu'elle attendais de moi qui l'excitait de me traiter, et qui oui, vraiment, m'excitait follement aussi. Le fait même que lorsque sous ses ordre, sous ses yeux, je faisais mon caca en étend doigté, fouillé, je devais m'accomplir pour ajouter encore plus d'excitation, je devais faire pipi, la laissé me regarder, étudier mes jets d'urines s'écouler dans la cuve pendant que mon caca sortait, qu'elle me retirait avec son doigt alors que je devais pousser pour lui faciliter de tout me sortir de moi, oui, complètement humiliant, atrocement rabaissant, même si ces faits étaient sexuels, mais j'aimais cette situation d'elle sur moi, qu'elle me traite selon ses envies, comme elle l'entendait, même qu'elle me torche elle même, m'essuie le zizi, le secoue, ou si elle m'ordonnait de rester sale. J'étais à elle, tout entier sa propriété et objet sexuel, lui appartenait de la tête aux pieds, ma nudité, ma propre sexualité, mon intimité sexuelle, à faire mes besoins naturels en plus, lui appartenait, faisait partie de sa propre intimité sexuelle de femme. Une fois encore, étant sali après passage et assistanat aux wc, encore et toujours, tout nu, elle me plaça devant le miroir d'une armoire de chambre, dans son séjour, me faisant me retourner devant la glace, me demanda de bien écarter les cuisses pour qu'elle puisse tout voir, regarder, étudier, examiner et de me saisir en mains dés que cela l'excitait de pouvoir me tripoter. Une fois présenté ainsi, sous ses regards vicieux, les cuisses grandes ouvertes pour lui offrir à sa vision, mon intimité sexuelle, mon zizi, mes testicules, puis par derrière, mes fesses, d'ailleurs qu'elle aimait me tâter, me claquer, et m'écarter avec vulgarité, et enfin, mon anus, tout était à elle, était de son affaire. Donc, devant le miroir de son armoire, entièrement donné à elle, tout nu et souillé, elle me chopa le zizi, qui commençait sérieusement à vouloir se dresser, se durcir ou se raidir, encore légèrement flasque, qui en profitait alors, pour l'agiter jusqu'à ce que les dernières goutes de pipi sorte de mon urètre ou méat urinaire et tombent au sol. La, pour me punir d'être u mauvais garçon, me donna une bonne rouste sur les fesses, en me faisant, tu m'a fait quoi là, qui franchement me grondait sérieusement pour ne pas être un gentil garçon, pour être sale et sentant très mauvais. Elle me rabaissait et m'humilier pour bien me punir et m'exciter à fond. Pour poursuivre de me descendre, de m'abaisser, finissait ma séance fortement dégradante et punitive, en me secouant énergiquement, m'ordonna en me trainant à ses pieds, de me bouger les fesses, puis me fit me mettre devant son lit, sur un côté du lit, genoux au sol et plat ventre sur le matelas de son lit, les bras au dessus de ma tête et de bien écarter les cuisses pour pouvoir me passer les mains entre mes jambes, me choper encore tout le sexe, pénis et couilles, se charger aussi de mon périnée, en me frappent fortement les cuisses et les fesses, me traitant de cochon, sale porc et de bon chien, bon garçon. Elle m'écartait alors les fesses, flaira fortement mon anus, passa la langue dessus en laissant s'échapper de la bave bien gluante qu'elle étalait sur mon anus mais aussi le long de ma raie, cela en gémissant tellement que ça l'excitait, malgré mes odeurs et les gouts, rien ne la répugnait de moi, même si elle fronçait les yeux en me respirant l'anus, le méat elle me prenait tout et tout entier. Aussi, elle me crachait dans la bouche, me faisait avaler ses baves, et flairer le fond de sa bouche, son haleine, pour que je sois imprégné complètement de sa féminité, pour que je me vois lui appartenir comme étant une partie d'elle, tout à elle. Histoire à suivre.
me demandent mon avis, attendent que je sois consentant, donc, qui me contraindraient à m'exécuter de leurs demandes, m'exciterais fortement. Les femmes de caractère fort, autoritaires, sévères, strictes, malgré le fait que je peux les craindre, j'aime, plus encore si elles devaient m'imposer leur matriarcat, m'infantiliser à bloc, m'imposer le maternage, m'exciterais puissamment. De même que de devoir être dans la stricte obligation de leur reconnaître sur moi, leur supériorité et suprématie de femme, devoir les respecter, malgré leur façon de me traiter, de me considérer, de devoir baisser la tête devant elles et sans dire un seul mot, sauf si elles devaient m'ordonner de les regarder dans les yeux lorsqu'elles me parlent, me questionnent, me fond des demandes aux quelles je serais obligé de leur répondre, même si questions très personnelles, très gênantes, tout de moi par elles, qui devrait se savoir, même de mon intimité sexuelle qui de fait leur appartiendrait de connaître, de gouverner, géré à ma place. Je serais dans l'obligation comme un petit garçon, de toujours leur demander permission pour tout, à tous moments, pour tous besoins et toutes envies, même qui soient trop personnel à moi, très intime et délicat, gênantes et abaissantes, comme par exemple, demander la permission d'aller faire mes besoins naturels, de leur dire ce que j'ai envie de faire, et de me présenter devant elles pour me faire vérifier, de les laisser me baisser le slip, contrôler les choses en observant me=on bas ventre, en passant la main dessus pour attester que j'ai bien du pipi dans ma vessie, puis me retourner afin de m'écarter les fesses, étudier mon anus, voir s'il à tendance à se dilater, s'ouvrir, si risque de sorti de caca, même allant jusqu'à me doigter le rectum pour vérifier si il y a bien du contenu dans mon conduit rectal. J'ai déjà vécu réellement cela avec une jeune femme que j'ai fréquenté pendant trois ans. Je me faisait entièrement commander par elle, la laissais me déshabiller intégralement, ou me baisser elle même pantalon, ou culotte courte, fonction de ce qu'elle m'ordonnait de porter sur moi, et enfin, le slip. Rabaissé je l'étais, humilié, mais de me faire ainsi traiter, assisté comme un réel petit garçon, m'excitait incroyablement, de me voir être saisi tout nu, par la main ou un bras, que cette femme me conduise tout nu sous ses yeux et ses regards partout sur moi, mon corps tout entier, parfois presque en érection, et pour cause, puis qu'elle me positionne elle même au dessus de la cuve de son wc, m'analysant l'anus, le bas ventre, me doigtant en ma saisissant le zizi presque raide, je devais à sa demande de me laisser faire, de me laisser aller, de la laisser faire sur moi ce qu'elle m'exigeait, soit de faire pipi devant elle, mon caca compris, et de pousser pendant qu'elle me fouillait jusqu'au fond de mon rectum, remuant et tournant aussi son indexe à l'intérieur, qui faisait descendre elle même mes excréments jusqu'à les faire aboutir enfin par l'anus, sortait tout de moi avec son doigt, et sans gants en plus. Cela ne la dégoutait pas, loin de là, ça l'excitait à fond, moi également, même si complètement bestial, animal, crade et avilissant, vulgaire. Elle aimait ainsi me mener, gérer les choses sexuelles de cette façon et sur moi, et moi, j'aimais ainsi qu'elle en décide de moi pour elle et ses follies sexuelles. Me faire ainsi traiter, qu'elle me trait comme un petit garçon ou comme son chien aussi, tout dépend de ce qu'elle attendais de moi qui l'excitait de me traiter, et qui oui, vraiment, m'excitait follement aussi. Le fait même que lorsque sous ses ordre, sous ses yeux, je faisais mon caca en étend doigté, fouillé, je devais m'accomplir pour ajouter encore plus d'excitation, je devais faire pipi, la laissé me regarder, étudier mes jets d'urines s'écouler dans la cuve pendant que mon caca sortait, qu'elle me retirait avec son doigt alors que je devais pousser pour lui faciliter de tout me sortir de moi, oui, complètement humiliant, atrocement rabaissant, même si ces faits étaient sexuels, mais j'aimais cette situation d'elle sur moi, qu'elle me traite selon ses envies, comme elle l'entendait, même qu'elle me torche elle même, m'essuie le zizi, le secoue, ou si elle m'ordonnait de rester sale. J'étais à elle, tout entier sa propriété et objet sexuel, lui appartenait de la tête aux pieds, ma nudité, ma propre sexualité, mon intimité sexuelle, à faire mes besoins naturels en plus, lui appartenait, faisait partie de sa propre intimité sexuelle de femme. Une fois encore, étant sali après passage et assistanat aux wc, encore et toujours, tout nu, elle me plaça devant le miroir d'une armoire de chambre, dans son séjour, me faisant me retourner devant la glace, me demanda de bien écarter les cuisses pour qu'elle puisse tout voir, regarder, étudier, examiner et de me saisir en mains dés que cela l'excitait de pouvoir me tripoter. Une fois présenté ainsi, sous ses regards vicieux, les cuisses grandes ouvertes pour lui offrir à sa vision, mon intimité sexuelle, mon zizi, mes testicules, puis par derrière, mes fesses, d'ailleurs qu'elle aimait me tâter, me claquer, et m'écarter avec vulgarité, et enfin, mon anus, tout était à elle, était de son affaire. Donc, devant le miroir de son armoire, entièrement donné à elle, tout nu et souillé, elle me chopa le zizi, qui commençait sérieusement à vouloir se dresser, se durcir ou se raidir, encore légèrement flasque, qui en profitait alors, pour l'agiter jusqu'à ce que les dernières goutes de pipi sorte de mon urètre ou méat urinaire et tombent au sol. La, pour me punir d'être u mauvais garçon, me donna une bonne rouste sur les fesses, en me faisant, tu m'a fait quoi là, qui franchement me grondait sérieusement pour ne pas être un gentil garçon, pour être sale et sentant très mauvais. Elle me rabaissait et m'humilier pour bien me punir et m'exciter à fond. Pour poursuivre de me descendre, de m'abaisser, finissait ma séance fortement dégradante et punitive, en me secouant énergiquement, m'ordonna en me trainant à ses pieds, de me bouger les fesses, puis me fit me mettre devant son lit, sur un côté du lit, genoux au sol et plat ventre sur le matelas de son lit, les bras au dessus de ma tête et de bien écarter les cuisses pour pouvoir me passer les mains entre mes jambes, me choper encore tout le sexe, pénis et couilles, se charger aussi de mon périnée, en me frappent fortement les cuisses et les fesses, me traitant de cochon, sale porc et de bon chien, bon garçon. Elle m'écartait alors les fesses, flaira fortement mon anus, passa la langue dessus en laissant s'échapper de la bave bien gluante qu'elle étalait sur mon anus mais aussi le long de ma raie, cela en gémissant tellement que ça l'excitait, malgré mes odeurs et les gouts, rien ne la répugnait de moi, même si elle fronçait les yeux en me respirant l'anus, le méat elle me prenait tout et tout entier. Aussi, elle me crachait dans la bouche, me faisait avaler ses baves, et flairer le fond de sa bouche, son haleine, pour que je sois imprégné complètement de sa féminité, pour que je me vois lui appartenir comme étant une partie d'elle, tout à elle. Histoire à suivre.
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