Merci chéri

- Par l'auteur HDS PCN764 -
Récit érotique écrit par PCN764 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Merci chéri Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(10.0 / 10)

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Merci chéri
Mon chéri. Si tu lis cette confession, que j’avais pris soin de très bien caché dans mon ordinateur, c’est que tu as des doutes sur ma fidélité. Je te connais si bien. Je sais parfaitement que ce n’est pas dans ta nature de fouiller dans mon téléphone ou dans mon ordinateur. Tu as dû te donner du mal pour trouver ce document.
De ton côté, tu n’es pas si discret. Un coup d’œil dans ton téléphone et je découvre que tu m’as trompé. Je voulais savoir deux choses. D’abord savoir avec qui tu avais couché et si c’était un moment d’égarement ou si tu avais pris une maitresse régulière. La première question n’était pas de savoir si elle était plus belle que moi mais de connaitre son nom pour répondre à la deuxième question. D’ailleurs, je ne la trouve pas plus jolie que moi mais je dois avouer qu’elle a un corps magnifique mais, les gouts et les couleurs ne se discutent pas. J’ai découvert avec tristesse que ce n’était pas qu’une aventure de passade mais bien une maitresse attitrée.
Donc je ne sais pas encore si je vais publier ce récit sur un site érotique mais si c’est le cas permet moi de nous présenter. Alexandre, mon mari, est directeur d’une agence bancaire. Grand et bel homme, il a un charme fou et je me suis laissé séduire. Je m’appelle Charlotte, je suis blonde (vraie blonde) mesure 1m65 pour 55 kg et surtout une poitrine de 90C (merci à mes grossesses) que j’aime mettre en valeur. Nous nous sommes mariés il y a dix ans, j’avais 25 ans et toi 30. Le jour de notre mariage, j’étais enceinte d’un mois de notre petit garçon qui fête aujourd’hui ses 10 ans. Notre fille est née 3 ans plus tard.
Je ne sais ce qui t’as mis la puce à l’oreille sur mon infidélité. Je n’ai pas changé ma garde de robe, composée principalement de jupes et robes, ni de comportement vis-à-vis de toi ni de retard ou absence injustifiés. J’ai continué à répondre à tes demandes et je n’ai jamais simulé le plaisir que tu me donnais en me faisant l’amour. Même si te partager aurait pu freiner mes ardeurs. Je me rappelle que tu m’avais dit que tu avais entièrement confiance en moi lorsque je te racontais que mon chef me draguait ouvertement. Laisse moi te raconter, ou leur raconter si je publie cette confession, comment je me suis vengée.
Mon attitude envers mon chef a changé. Je répondais à ses tentatives par des sourires ou des réponses ambigües qui pouvait lui faire croire à une ouverture. Il fut malgré tout surpris que j’accepte de déjeuner en tête à tête avec lui. Un midi, nous sommes partis en dehors de la ville dans un routier. Bon j’aurais préféré un resto un peu plus sélect mais ce n’était pas ça l’essentiel. Nous étions assis un à côté de l’autre sur une banquette. Durant le repas, il n’a pas cessé de me faire des compliments sur mon physique. Lorsqu’il me prenait la main, je ne la lui retirais pas. Il avait compris que j’allais lui céder et moi que j’allais coucher avec lui. Avant de partir, il m’a embrassé dans la voiture et j’ai répondu à son baiser. Quelques jours plus tard, j’ai accepté d’aller à l’hôtel avec lui pour un douze quatorze. A peine rentré dans la chambre, il m’a collé au mur et m’a embrassé. Ses mains ont commencé par caresser mes seins qui sont si sensibles. Je l’ai laissé dézipper ma robe qui est tombée à mes pieds. En petite culotte, je me suis couchée sur le lit et je l’ai regardé se déshabiller. Il bandait déjà et je l’ai trouvé plutôt pas mal fait. Couché dans les bras l’un de l’autre, on s’embrassait à la découverte de nos corps. Ma culotte n’a pas résisté longtemps et lorsqu’il a entrepris un cunnilingus, j’ai joui une première fois. Sa langue et ses doigts m’ont fait tellement mouiller qu’il pu me pénétrer avec trois doigts. A mon tour de lui faire plaisir. J’ai commencé à lécher son gland puis toute la longueur de sa queue avant de le prendre en bouche. Je me suis appliquée en jouant avec ma langue et j’ai réussi à le prendre entièrement dans ma bouche. C’est moi qui lui ai demandé de me baiser. Il s’est couché sur moi et m’a embrassé. J’ai senti son sexe s’enfoncer lentement en moi. Il me faisait l’amour mais je voulais qu’il me baise, qu’il ne me ménage pas. Il a pris un grand plaisir à me prendre sauvagement en m’écartant encore plus les jambes pour s’enfoncer plus profondément. Puis, il m’a prise en levrette et tenant fermement mes fesses, il me donnait de grands coups de bite qui me faisait vibrer et gémir de plus en plus fort. Je prenais vraiment mon pied. J’ai joui une deuxième fois lorsqu’il a enfoncé un doigt dans mon conduit plus étroit. Lorsqu’il a voulu se retirer pour éjaculer, je lui ai demandé de jouir en moi. Je voulais sentir son sperme chaud se vider en moi. C’est à ce moment qu’un orgasme me terrassa. Je me suis affalé sur le lit, repue et heureuse d’avoir pris tant de plaisir. Il bandait toujours alors je lui ai nettoyé son sexe et j’ai gouté à ma cyprine mélangée à son sperme. J’ai senti un dernier jet se répandre dans ma bouche avant qu’il ne débande. Bien sûr, j’ai tout avalé. Nous nous sommes blottis l’un contre l’autre avant de se dépêcher de se rhabiller et de retourner au boulot. J’ai tout raconté à ma collègue et amie qui ne m’a pas jugé.
Bien sûr, je ne me suis arrêté là même si j’ai refusé de coucher à nouveau avec lui ni aucun autre prétendant du boulot. Ce soir-là, je suis allé à ma soirée entre filles. Exceptée ma collègue, toutes avaient décommandé. Nous sommes allées toutes les deux au ciné avant de terminer la soirée dans un pub irlandais. Ma copine, soupçonnant certainement mes intentions pour la soirée avait insisté pour que l’on se retrouve sur place. Il y avait une super ambiance dans ce pub. Tout le monde dansait sur des musiques celtiques et l’alcool coulait à flot. Deux britanniques typiques ont insisté pour nous apprendre une danse folklorique. Lorsque la cloche à sonner pour signaler les dernières commandes de boisson, mon amie, ne voulant pas tenir la chandelle, m’abandonna. Je me suis retrouvée à la table des deux garçons avec un verre de Baileys et eux une pinte de bière. Comme je parle anglais, je pu rire de leur humour. Ils ne devaient pas être à leur première bière et si langues étaient déliées, les mains commençaient à être entreprenantes. J’ai laissé une main se poser sur la cuisse que ma robe dévoilait. A ma gauche, l’autre homme trinque avec moi en ayant posé sa main sur mon épaule. Il caresse mon cou, ma joue, écarte mes cheveux puis pose sa bouche sur la mienne. Pendant le baiser que j’ai accepté, l’autre a progressé sous ma robe vers le haut de ma cuisse, à la limite de mon entrejambe. Après le baiser, il me propose de les accompagner à leur hôtel, tout proche. Je reste perplexe, indécise et quand la main se retire de sous ma robe, je réalise que cette caresse ma plaisait. Je regarde ma montre et leur dit qu’ils ont une heure. Arrivée à leur hôtel, il n’y a pas d’ambiguïté sur pourquoi nous sommes là. Nous nous déshabillons tous les trois. L’un me fait un cunni, je suce l’autre et inversement. Le premier enfile un préservatif et j’écarte impudiquement les jambes. Je suce son copain alors qu’il me pénètre. Son sexe s’’enfonce profondément et accélère progressivement ses assauts. J’ai même du mal à garder le sexe en bouche. Puis je change de partenaire et je me suis empalée sur son sexe. Je suis presque couché sur lui pour qu’il s’occupe en même temps de mes seins. Le deuxième profite de ma position pour me faire un anulingus. Jamais je n’ai connu une telle situation et j’en jouis mais je ne suis pas prête à me faire sodomiser. Pourtant, je le stoppe alors qu’il a introduit son gland dans mon p’tit cul car j’ai eu un peu mal. Il n’insiste pas et vient se faire sucer. Il a retiré son préservatif et s’est aller jusqu’à jouir dans ma bouche. Lorsque j’ai senti son sexe avoir des soubresauts, je l’ai bien gardé dans ma bouche pour recevoir ses jets de sperme au fond de ma gorge. J’ai avalé et c’est à ce moment que j’ai senti l’autre jouir dans sa capote. J’ai joui à mon tour. Une douche rapide et me voilà de retour au domicile conjugal.
Ma dernière aventure extra-conjugale est surement celle qui te fera le plus mal, mon chéri. J’étais seule à la maison puisque tu étais chargé d’emmener les enfants à leurs activités sportives respectives. Ton meilleur copain est passé rentre un outil que tu lui avais prêté.
- Oh, merci. Alex sera ravi de récupérer son truc.
- C’est une meuleuse, Charlotte.
- Ah, ok.
- Dis-moi, tu n’as pas l’air bien, toi qui es si joyeuse d’habitude.
- Mon mari me trompe si tu veux tout savoir.
- Sans vouloir prendre sa défense, c’est surement une aventure sans lendemain.
- C’est ce que j’ai cru au début mais non, il a une maitresse.
- J’en suis désolé, votre couple paraissait si uni.
- Je ne dois plus lui plaire, le satisfaire. Me trouve tu encore désirable ?
- Tu es ravissante. Très jolie et bien faite.
- Embrasse-moi.
- Tu n’y pense pas, je suis votre ami.
Je me suis levé et assise à côté de lui. J’ai posé mes lèvres sur les siennes. D’abord retissant, il s’est laissé allé au plaisir de me toucher. J’ai retiré mon haut pour lui offrir mes seins. Il s’en est emparé et s’est occupé de mes tétons. Une main s’est faufilée sous ma jupe et je l’ai laissé atteindre mon intimité. A mon tour je lui ai retiré short et boxer pour le sucer avec avidité- J’ai envie de te prendre.
- Moi aussi, je veux que tu me baises.
En deux temps, trois mouvements, nous voilà nu sur le canapé. Je voulais qu’il me prenne sans capote. J’ai attrapé son sexe et l’ai présenté à mon puit d’amour.
- Baise-moi.
Il s’est enfoncé en moi et s’est mis à faire des aller-retours rapides, puis plus lents, profondément puis tout au bord de mon vagin. Il me fait gémir, geindre, dire que c’était bon. Puis, je me suis calé contre le dossier du canapé, dos à lui et une jambe posée sur le dossier. Il me pénétra à nouveau et dans cette position, mon sexe était encore plus ouvert et il allait encore plus profondément en moi. Puis, j’attrapa son sexe et le présenta à mon anus.
- J’ai envie d’essayer mais sois doux, c’est la première fois.
- Tu es sure.
- Oui, je le veux.
Il prit de ma cyprine et de sa bave pour mouiller son sexe et mon conduit. Il enfonça un doigt pour aider à la dilatation. Il y mit un deuxième et je me suis à me tendre. Puis, je me suis décontractée. Le gland introduit, il s’enfonça lentement et progressivement. Une fois calé au fond, il me laissa le temps de m’y faire mais déjà j’appréciait cette pénétration. Il entama de lents va-et vient et avec délicatesse accéléra.
- Oh, j’aime ça. Oui, c’est bon. Accélère, vas-y.
Maintenant, il me sodomisait avec vigueur sans être brusque. J’ai joui en criant tellement c’était bon.
- Je ne tiens plus, je vais venir.
- Oh, reprend moi normalement et jouis en moi, je veux sentir ton sperme.
Il me pénétra à nouveau et en quelques mouvements, se vida. Mon orgasme fut merveilleux.
- Charlotte, c’était super mais je crois que c’était une connerie.
- Peut-être. Tu as raison mais c’était tellement bon.
Lorsque mon mari et les enfants sont rentrés, nous étions assis dans la cuisine, buvant un café et meuleuse sur la table. Alex ne vu que du feu et resta avec son copain à discuter bricolage.

Je me suis vengée en prenant du plaisir.
Merci chéri
Epilogue :Chéri, je sais que tu n’as encore lu ma confession. Tu peux supprimer l’historique, effacer les documents lus, faire toutes les manipulations que tu veux, je saurais quand tu l’auras lu car j’ai mis un mouchard qui me préviendra.
C’est décidé, si tu ne l’as pas lu d’ici une semaine, je te la donnerai en main propre.
Maintenant que tu sais, 2 options s’offre à toi et voilà ce que je te propose :Tu quittes ta pouf.
Tu organise notre 2ème voyage de noce. Tu choisis le lieu, l’hôtel, tu t’occupes de faire garder les enfants.
N’en veux pas à ton copain. Il ne voulait pas c’est ma force de décision qui l’a fait craquer.
Tu pourras disposer de mon p’tit cul à ta guise.
Je serais toute à toi et fidèle.

Par contre si tu ne la quittes pas.
Tu ne profiteras jamais de mon cul.
Je me ferais sauter, baiser, enculer par d’autres. Tu seras à chaque fois que je t’ai trompé.
Bien sûr, tu pourras divorcer mais ça te coûtera une fortune et c’est moi qui obtiendrai la garde des enfants.

Fais ton choix et vite.
Je t’aime.
BisousCharlotte

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