Mes confidences érotiques - histoire érotique

Mes confidences érotiques

Chapitre 1 : Mon oncle adoré

Je vais commencer par vous raconter comment j’ai compris que le sexe deviendrait une de mes activités préférées après avoir eu de belles jouissances et des super orgasmes qui font vibrer tout votre corps.
Avant d’en arriver là, j’ai joué à touche pipi avec ma voisine et son grand frère qui a fini par me dépuceler bien avant ma majorité. C’est avec lui que j’ai découvert mon attraction pour le pénis, car j’adorais le voir grossir en s’allongeant, devenir tout dur sous mes caresses, puis assez rapidement, sur ma langue quand je le suçais. Je lui ai appris comment caresser et sucer une chatte pour qu’il me donne du plaisir avec des frissons dans mon ventre. Nous étions jeunes et il n’avait pas une grosse bite. Lorsqu’il me baisait, cela ne me faisait pas jouir beaucoup plus, mais c’était quand même bien agréable de le sentir entrer dans mon sexe en me prenant par-derrière et en caressant mon petit clito et mes seins assez sensibles quand je suis excitée avec mes tétons bien durs.

Bon, revenons à mon oncle Jacques. C’était le mari de la sœur de maman qui l’a quitté pour un autre homme. Du coup, maman ne lui parle plus depuis 3 ans. Tonton Jacques est un homme charmant, brun avec de beaux yeux bleus qui m’a toujours chouchouté et je reconnais que j’en ai souvent profité. Maintenant c’est devenu mon fantasme, car j’ai découvert lors d’une baignade et qu’on chahutait que c’est un homme avec une grosse bosse dans son pantalon quand il est un peu excité.
Pour les vacances d’été, maman m’a envoyé chez mon oncle qui vit en Normandie et qui possède une belle maison avec piscine.
Même si c’est un peu pour me surveiller qu’elle lui a demandé de m’accueillir pour que je ne traine pas trop avec les garçons du coin. J’ai accepté, car j’ai une idée en tête. Séduire mon tonton adoré et faire l’amour avec lui. Je ne suis pas encore vraiment une femme, mais malgré mon jeune âge, j’ai déjà une grosse poitrine et un beau cul.
Je suis quasiment sure qu’il m’aime, car il me dit souvent que je suis mignonne et adorable quand il me prend dans ses bras en me serrant contre lui et quand je suis arrivée, j’ai même eu droit à un,

- Tu es de plus en plus belle ma chérie. Il va te falloir un garde du corps si tu sors en boite.

Aujourd’hui il fait un temps splendide et j’ai décidé de voir comment il va réagir à mes avances.
Il est assis sur un transat et avec mon air angélique, je viens vers lui en bikini, juste avec mon petit slip. Je vois tout de suite que ses yeux sont fixés sur ma belle poitrine bien ronde avant que je lui demande.

- Tu veux me mettre de la crème dans le dos. Le soleil tape aujourd’hui.

Ses yeux quitte ma poitrine quand je lui tends le tube de crème et j’ajoute avec une légère pointe d’ironie.

- Dans le dos, Tonton.

Et je me tourne pour lui présenter mon dos, mais aussi mon adorable fessier bien rebondi et à peine caché par mon mini slip.
Il met de la crème dans la paume de sa main et commence par l’appliquer sur ses épaules. Ses mains grasses glissent ensuite dans mon dos qu’il caresse doucement. Ses yeux sont juste au-dessus de mon postérieur et ils doivent s’attarder sur la fente de mes fesses, bien visible au-dessus de mon slip qui ne couvre pas la totalité de mon cul de jeune fille en bonne santé.
Ses mains descendent dans le bas de mon dos, remontent sur mes hanches bien dessinées pour finir sous mes aisselles avec le bout de ses doigts qui frôlent le dessous de mes seins.
Il se reprend un peu et avec une petite tape sur mes fesses, il me dit.

- Je pense que ça suffit. Tu peux aller te faire bronzer.

Je vais m’allonger sur une chaise longue, les seins nus, avec l’insouciance d’une jeune fille des années 70. Du coin de l’œil je regarde mon oncle qui s’est aussi allongé et je vois bien dans son short que son sexe n’est pas tout à fait au repos.
Je réfléchis à une tactique pour exciter un peu plus mon tonton et une de mes lectures érotiques me revient en tête. Je me lève et quand je vois qu’il me regarde, je m’étire en levant mes bras et en faisant ressortir ma poitrine nue.

- Waouh ! Il fait chaud ! Je vais prendre une douche.
- C’est vrai, ça tape dur. Je vais me mettre à l’ombre dans la maison.

Il arrive à détacher ses yeux de mes seins et leur téton érigé, mais c’est pour les poser sur mon mignon popotin qui ondule avec grâce lorsque je passe devant lui et qu’il me suit 2 pas derrière.
La salle de bain étant juste à côté du salon, je laisse la porte entrouverte pour qu’il perçoive la douche couler et qu’il m’imagine nue sous les gouttelettes d’eau qui ruissellent sur mon corps comme une photo de David Hamilton. Mes mains nues caressent mon ventre pour remonter sous mes seins afin de les prendre en coupe pour évaluer leur grosseur. Comme toute jeune fille, je me demande si j’aurai de beaux gros seins pour attirer de beaux jeunes hommes que j’aurai choisis et les prendre dans mes filets d’amour.

J’entends un léger bruit et en écartant le rideau pare eau, je vois dans la glace au-dessus du lavabo que la porte c’est un peu plus entrouvert.
Connaissant bien la configuration de sa salle de bain, comme un voleur…non… comme un voyeur, il pousse un peu plus la porte et il doit me voir à moitié cachée par le rideau.
Je laisse tomber mon savon et avec un « Zut ! » sonore, je me baisse pour le ramasser en tendant bien mon cul en dehors du rideau.

Pour lui ça doit être … l’extase ! Mon charmant et adorable petit cul, comme il me disait lorsque j’étais plus jeune, doit être bien visible et j’espère qu’il est ébloui par la beauté de ses courbes.

La nuit suivante, j’entends qu’il s’est levé pour une envie pressante et lorsqu’il regagne sa chambre en passant devant la mienne, il entend les faibles gémissements que j’émets pour voir ce qu’il va faire. Je monte un peu le ton et je vois qu’il entrouvre la porte de sa chambre et à pas feutrés il s’approche de ma couche.

Les rayons de la pleine lune qui passe par la fenêtre ouverte lui permettent de voir sa jolie nièce apparemment endormie, couchée sur le dos et… entièrement nue, qui doit faire un rêve érotique, car ma main aux doigts fins est entre mes cuisses, posée sur mon pubis et cache le portail du paradis. La lumière jaune de la lune sur ma peau bronzée crée des reflets dorés sur les courbes harmonieuses de mon jeune corps. Je m’imagine en déesse de l’Olympe, comme Aphrodite, la déesse de l’amour, de la beauté et des plaisirs.

Je pousse un petit soupir en retirant ma main d’entre mes cuisses qui restent écartées. Comme dans un rêve il doit voir mon sexe, ses lèvres finement ourlées comme les pétales d’une rose, entouré d’une fine auréole de poils blonds bouclés.
Comme il doit avoir ses yeux fixés sur ma chatte, j’entrouvre légèrement un œil et je vois que le bout de sa langue caresse sa lèvre supérieure comme si c’était la lèvre intime de ma petite chatte qui le nargue.

Il ne doit plus très bien se contrôler, car son corps est attiré par le mien comme si c’était un aimant. Plus près de moi, il se penche pour respirer l’odeur de mon corps et l’arôme que dégage mon sexe humide doit pénétrer dans ses narines grandes ouvertes. À cet instant il doit être persuadé que j’ai vraiment fait un rêve érotique et que mes doigts caressaient mon joli minou. Il respire à plein poumon pour s’enivrer de ce parfum qu’on ne peut acheter et que je lui offre sans qu’il le sache.

Rien que de penser à sa grosse bite qui doit être en érection, mon corps se contracte et je respire pus fort. Croyant que je vais me réveiller il se sauve avant de commettre l’irréparable.
Cette nuit-là j’ai eu beaucoup de mal à m’endormir, car je veux de plus en plus qu’il devienne mon amant pour me faire découvrir tous les plaisirs de la chair.

Le lendemain je suis irréprochable. Enfin, presque car je me promène dans la maison presque à poil et je vois bien que discrètement ses yeux sont plus souvent sur mon admirable fessier et sur ses seins qui promettent d’être de toute beauté dans 1 à 2 ans. Parfois ses mains effleurent ou touchent ma peau si douce dès qu’il en a la possibilité et que ça paraisse normal. Parfois, en se promenant dans le bois adjacent à sa propriété, il me tient par les épaules et je suis au paradis quand je passe ma main autour de sa taille pour marcher avec lui ou que je l’embrasse chastement pour le remercier de quelque chose et qu’il me serre contre lui plus qu’il ne le faudrait. Mais tout cela peut passer pour des gestes de tendresse affectueuse d’une jeune fille qui l’apprécie particulièrement pour sa gentillesse.

J’arrive à contenir, tant bien que mal, ce trop-plein d’amour et de désir que m’inspire cet homme mur et je me demande si je ne suis pas un peu folle, voir nymphomane pour agir ainsi avec mon oncle que j’aime tant.
Mais comme l’a dit Blaise Pascal dans ses pensées, « Le cœur à ses raisons que la raison ne connaît point »

Quand le visage de mon oncle et son corps d’adulte en pleine forme est venu insidieusement hanter mes rêves, mon esprit immoral et vicieux me transforme en Ange pervers prêt à tout pour le séduire et faire l’amour avec lui.