Mes confidences érotiques: Chapitre 2 : Rêve ou réalité ? - histoire érotique

Chapitre 2 : Rêve ou réalité ?

La nuit suivante, je laisse volontairement la porte de ma chambre entrouverte en espérant que mon oncle va me rendre une petite visite.
Je n’attends pas très longtemps pour le voir entrer à pas de loup. Je suis nue et j’ai repoussé la couverture et le drap sur mes jambes et je fais semblant de dormir, couchée sur le côté.

Grâce à la pleine lune qui est toujours présente, il doit bien voir le beau galbe de mes hanches et mes seins qui lui font des clins d'œil. Va-t-il oser me toucher, me caresser pour me donner le plaisir que j’attends ? Je sens qu’il s’approche, mais…non ! il repart !
Non, ce n’est pas possible ! Comment peut-il résister à mon corps, qui je le remarque bien, le fait bander de plus en plus souvent.

Je suis très déçue et frustrée. Je me mets sur le dos et je commence à me caresser. J’écarte les lèvres de ma chatte pour me doigter, mais j’entends mon oncle qui revient vers ma chambre. Je pose mes mains sur le côté de mon corps en écartant un peu mes jambes pour qu’il puisse voir ma chatte légèrement humide et briller sous les rayons de cette utile pleine lune.

Couchée sur le dos, ma poitrine est moins en valeur, mais mes tétons pointent fièrement tellement je suis excitée. Comme la nuit dernière, il admire mon corps, ma poitrine et cette vallée entre mes cuisses qu’il croit peut-être, encore inexplorée. S’il savait qu’elle a été souvent visitée et défrichée, il serait sur moi en train de me baiser.

J’écarte un peu plus mes jambes pour qu’il voie mieux mon roudoudou à la framboise.
Probablement sans réfléchir, il plonge une de ses mains à l'intérieur de son pyjama pour serrer son sexe qui se redresse. Moi, c’est mes genoux que je redresse en écartant encore plus mes jambes, offrant une vue idéale sur ma petite touffe de poils blonds qui garde ma grotte des plaisirs et des félicités en essayant de garder une respiration calme.

Mon oncle ne bouge pas, mais lui,il respire de plus en plus fort. Pour qu’il ne se sauve pas une nouvelle fois, je laisse tomber mes genoux de chaque côté de mon corps. Le seul bruit dans la chambre est le bruit de sa respiration. Il s’approche du bord du lit et rampe entre mes jambes jusqu'à ce que sa tête se place entre mes cuisses. Sa tête et ma chatte sont si proches qu’il doit sentir le doux parfum qui émane d'elle dans une effluence chaude qui sort de cette rose aux pétales délicatement ourlés. Je l’entends respirer lentement, mais longuement, pour remplir ses poumons de ce fumet qu’il aime surement.
Ses joues frôlent l'intérieur de mes cuisses et ses lèvres caressent la douceur de mes poils pubiens, des fils de soie qu’il caresse du bout de sa langue. Je ne peux retenir un petit soupir et il recule, figé de peur que je me réveille.
Imagine-t-il que je ne fais pas semblant de dormir depuis qu’il est entré dans ma chambre.
Quoi qu’il puisse penser, le parfum de ma chatte avec une nuance légèrement musquée doit agir comme une drogue, car il se rapproche de nouveau vers ce fruit défendu et sa langue, comme le serpent de la Genèse se glisse à l'intérieur de ma fente qui s'entrouvre quelque peu.

Enfin ! Mon oncle a craqué et il peut goûter à cet abricot fendu et sa langue dans mon sexe s'affaire de haut en bas, pour en extraire toutes les subtiles saveurs. Elle s'égare même brièvement sur le trou étoilé qui se trouve plus bas. Depuis combien de temps n’a-t-il pas goûté une peau aussi fine et aussi douce de jeune fille.
Sa bouche a trouvé la timide perle de mon clitoris qui restait caché au début, mais qui pointe maintenant hors de sa coquille et c’est assez rare qu’une jeune fille ait un clitoris aussi érectile. Le mien est tendu comme un petit sexe de bébé. Il l’aspire dans sa bouche, le suce, et sa langue en explore tous les recoins. Ses lèvres glissent plus bas et il pousse sa langue dans ma fente mouillée pour goûter les sécrétions mielleuses de ma jeune chatte.

Il se régale de mon jus assez abondant quand je suis très excitée et c’est le cas. Sa langue glisse le plus loin possible en frôlant les parois de mon vagin.
Maintenant qu’il doit se douter que je suis réveillée et consentante, je pose mes mains sur sa tête pour guider ses mouvements et il suit mon désir avec sa langue suivant les pressions de mes mains.
La bouche ouverte, je gémis doucement, les seins tendus et le ventre contracté. Ses lèvres remontent le long de ma fente, atteignent mon clitoris rose qu’il reprend dans sa bouche.
À nouveau, il le suce et le lèche et sa langue tourne autour de lui. Je geins et râle en continu et je ne contrôle plus les mouvements de mon pubis qui se déplace à la recherche de mon plaisir total. Doucement, il mordille mon clitoris.
Mon corps se cambre violemment et sa langue tourne rageusement autour de mon clito avant qu’il prenne à pleine main mon cul pour écraser ma chatte contre sa bouche et forcer le plus loin possible l’introduction de sa langue dans mon tunnel maintenant très humide.

Tout mon corps commence à trembler et je me tortille sous lui en gémissant de plus en plus fort. Il écrase mes fesses et un de ses doigts appuie sur ma rosette pendant qu’il se goinfre de ma chatte et de son jus qui coule.
Je jouis d'un coup, la respiration coupée, mon corps tendu comme un arc.
Dès que j’ai commencé à jouir, mes cuisses ont enserré sa tête et tout au long de mon orgasme sa bouche est arrosée d'un nectar mi- acide mi- sucré, et sa langue attrape tout ce qui sort de mon sexe. Lorsqu’il reprend mon clito dans sa bouche pour le sucer puis le mordre, je pousse un cri et je m’évanouis.

Un bruit dans la maison me réveille et je prends conscience que j’ai ma main sur ma chatte et je sens qu’elle est poisseuse. Mon Dieu ! j’ai fait un rêve érotique ! Mon oncle n’est pas venu dans ma chambre pour me faire jouir avec sa bouche ! Mon rêve était si réel que je me suis masturbée en imaginant ses mains et sa bouche sur mon corps. Ou bien…je mélange tout…il est bien venu et je perds la raison…
Je me lève et sans faire de bruit je vais vers sa chambre, j’ouvre sa porte et je vois que mon oncle dort en ronflant doucement. Je me recouche l’esprit perturbé, mais j’espère que je n’ai pas rêvé.

Sophie