Mes confidences érotiques Ch.5: Interludes
Récit érotique écrit par Sophie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes confidences érotiques Ch.5: Interludes
Chapitre 5 : Interlude
La dernière soirée n'a fait qu'attiser mon désir pour mon oncle qui est encore bien vigoureux pour son âge. Il m’a quand même avoué que pour la première fois ou nous avons fait l’amour, il avait pris par précaution et pour ne pas me décevoir, une pilule de Cialis qui lui permet de bander plus longtemps.
De mon côté, il a pu se rendre compte que sa nièce, malgré mon jeune âge, n'est pas tombée de la dernière pluie en matière de sexe et même avec plusieurs sexes, car je lui ai dit que j’avais déjà baisé avec plusieurs mecs ensemble.
Je me demande quand même si je n’en fais pas un peu trop pour l'exciter à mort.
Je vous raconterais peut-être cet épisode de ma vie sexuelle si mes confessions vous plaisent.
C'est dimanche soir et il est tard, et la seule excitée dans cette maison c'est moi !
Dans mon lit, je n'arrive pas à dormir en pensant sans cesse à mon tonton d’amour qui n'est pas loin et j’espère qu’il pense à moi malgré la présence de son amie Carole.
Depuis que nous avons fait l'amour puis baisé comme des fous avec sa grosse bite bien au chaud dans mon doux et étroit tunnel d'amour, je ne pense qu’à ça. Bien la sucer pour la rendre bien dure puis m’empaler dessus pour la sentir envahir ma jeune chatte toujours en manque de bite.
Je ferme mes yeux et j'ai l'image de son corps qui m'a fait tellement fantasmer quand j’étais plus jeune. Maintenant c’est sa merveilleuse queue qui me fait fantasmer.
Pour lui, c’est tout mon corps qui hante ses rêves et particulièrement ma poitrine orgueilleuse et mon cul tout en rondeur qui le fait bander comme un jeune puceau en manque de sexe. Bien souvent c’est juste mes lèvres qui le font craquer dès que je souris d’une façon coquine en le regardant avec mes yeux brillants pleins de promesses.
Tout le weekend avec la présence de Carole, son amie, qui décidément ne nous a pas lâché plus de 10 mn, il n’a pu me toucher intimement en passant sa main sous ma jupe que lorsqu’il était sûr que Carole ne pouvait pas nous voir. Comme je n'ai pas de slip, il pouvait constater que je pensais à lui ou plutôt à sa bite, car il ressortait ses doigts mouillés, qu’il suçait aussitôt pour enlever toute odeur suspecte sur ses doigts.
C'est une vraie torture pour moi d'être si près de mon amant, de la regarder lire, manger et passer sa langue sur ses lèvres en me fixant dans les yeux. De faire la vaisselle et de me retourner pour voir s’il me regarde quand je tortille mes adorables fesses charnues en affichant mon sourire coquin.
Néanmoins, samedi soir, nous regardions la télé et Carole est tombée de sommeil.
Je suis assise dans un fauteuil sur le côté et quand je vois qu’il me fixe des yeux, je mets une de mes jambes par-dessus l'accoudoir. Il voit immédiatement que je n’ai toujours pas de slip et que je suis nue sous ma robe légère. Une sacrée coquine sa Sophie !
En caressant son sexe à travers son short, il admire ma belle chatte sans poil sous la douce lumière émanant de la télé en face de moi.
Je me lève doucement et je lui fais signe de me suivre dans la cuisine.
J'attends un peu, mais finalement il me rejoint avec un sourire vicieux sur son visage. Il m’attrape par le cou et m'embrasse rudement à pleine bouche. Sa langue est chaude, délicieuse, et pleine de fougue. Il me pousse contre l'évier et je sens contre mon bas ventre, son sexe qui a bondi dans son short. Je murmure ;
- Doucement, Tonton.
Quand sa main tripote mes cuisses et glisse vers ma chatte pour lui fourrer deux doigts dedans.
- Ma chatte est encore très sensible depuis vendredi soir et samedi matin.
- Je te veux, Sophie ! gémit-il doucement dans mon oreille.
- Je sais Tonton, moi aussi ! Mais…j'ai vraiment mal quand je touche ma chatte juste après mes petites lèvres. Elle est encore irritée.
- Je n'arrête pas de penser à toi ! Je te désire comme un fou !
- Je ne sais pas quoi faire…
Lui dis-je en attrapant néanmoins sa queue coincée entre son short et ma cuisse.
- Ta bite est vraiment trop grosse et ma chatte est si serrée que tu m'as sûrement déchiré quelque chose.
- Je suis désolée Sophie, j’ai du mal à me maitriser quand je suis dans ta chatte.
- Ne le sois pas, car c’est de ma faute si on a remis çà samedi matin. Je n’aurais pas dû te sauter dessus en me réveillant. Je n’ai pas pu m’en empêcher quand j’ai vu que tu bandais comme un taureau en chaleur.
Il ne peut s’empêcher de gémir lorsque je frotte mon pubis sa bite qui tremble de plaisir sous cette pression.
- Ce n'est pas de ta faute Tonton. Je ne suis tout simplement pas habituée à quelque chose d'aussi gros dans ma chatte. Faut dire aussi que tu m'as baisé comme un sauvage.
- Mon cœur…pardonne-moi, mais tu n'arrêtais pas de me dire…encore…plus fort…
- Oui…c'est vrai…c'était tellement bon que je ne sentais même pas que cela m'irritait. L'envie de jouir et le plaisir de ta queue dans ma chatte effacent la douleur. Je suis désolée, j'espère juste que ça passera et que lundi je serais en pleine forme. Au moins, j'ai appris ce que veut dire « se faire défoncer le con ».
- Ma petite chérie…mets-toi souvent de la crème apaisante. Moi aussi j'espère que tu vas aller mieux rapidement, car ma queue va exploser ! Tu pourrais peut-être me soulager autrement…
Je baisse son short et son slip et je lui demande en pressant sa bite dans ma main.;
- Tu veux dire comme ça, avec ma main ?
- Non...autrement…
- Tu veux dire avec ma bouche ?
Je lui demande ça en mimant une toute jeune pucelle qui passe sa langue sur ses lèvres luisantes tout en décalottant bien son gland.
- Noooon, tu m'as montré autre chose vendredi dernier.
- Quoi d'autre…,
- Tu sais bien… quand tu t'es penchée en avant et que…
- Oooh…non…dit le Tonton ! Dis-moi clairement à quoi tu penses !
- À ton cul ! Permets-moi de te baiser dans le cul.
- Tonton ! Oooh, je ne peux pas faire ça avec toi ! Imagine les dégâts que fera ton monstre dans mon petit trou du cul ! Avec mon amie Stéphanie, c'est autre chose ! Elle a un cul encore plus gros que le mien et il est rodé. Je t'ai dit qu'elle aime ça et elle le fera sûrement avec toi malgré la grosseur de ta bite. Ça va même sûrement l'exciter à mort. Elle va bientôt nous rendre visite. N'oublie pas de prévenir Carole. Il ne faut pas qu'elle vienne nous déranger.
- Je le ferai, sois-en sure
Il bouge son sexe dans ma main et il ajoute.
- Mais s'il te plaît, fais quelque chose pour me soulager !
- Bon… sale pervers…surveille la porte.
J’attrape de mes deux mains sa queue qui n'en peut plus. Je la branle doucement et, seulement après quelque va et viens et ses couilles dans une de mes mains, il éjacule dans la cuisine, debout, comme un vieux cochon.
Je lâche à regret sa queue encore palpitante et je lui montre mes mains remplies de sperme qu'elles ont récolté en enfermant son gland pendant sa jouissance.
En souriant, je lèche son sperme tout en me dirigeant vers le salon.
- Où étiez-vous, demande Carole émergeant de son sommeil
- Dans la cuisine, Tonton avait besoin de moi. Il a mal au ventre…et…aux reins…
- Avec son âge, il faut qu'il fasse attention à ne pas faire d'excès et trop d'efforts.
Elle se lève et se dirige vers la cuisine. J’espère qu’il a remonté vivement son slip et son short avant qu'elle ne fasse irruption.
Le voyant appuyé sur l'évier elle lui demande :
- Que t'arrive-t-il ? Tu en as une mine ! Tu ne digères pas bien ?
- Peut-être, ça ressemble à ça…ça grouille dans mon ventre.
- Seigneur, ne me dis pas qu'il va falloir te mettre des couches !
Lui dit-elle, d'un air dégoûté en regardant son entre-jambes et en apercevant une tache humide sur son short.
- Je vais me coucher ! Je ne suis pas bien.
- Assure-toi que tu n'as plus envie, avant d'entrer dans le lit !
**********
J’ai du mal à m’endormir et une heure plus tard j’entends mon oncle dans le couloir et il s’arrête devant ma chambre. Va-t-il oser entrer avec la présence de Carole ? Je ferme mes yeux et remonte mon drap sur mon corps nu.
Il entre silencieusement et je reste les yeux fermés. Je sens qu’il tire mon drap pour admirer l’adorable corps de la petite salope que je suis devenue et qui parait si innocente quand elle dort.
Il est au pied de mon lit et il doit regarder ma chatte toute lisse aux lèvres humides, car je me suis doigté en pensant à sa belle bite. Je soulève légèrement une paupière et je vois qu’il a baissé son pyjama et qu’il se branle comme un salaud en manque.
D’une certaine façon je suis heureuse, car c’est moi qui occupe son esprit alors qu’il pourrait baiser son amie.
Quelles pensées cochonnes a-t-il en tête ?
Avant que Carole arrive ce Weekend, je lui ai demandé quelle partie de mon corps il aime le mieux. Il m’a répondu que tout l'attire. Ma beauté naturelle, mes yeux de biche, mes lèvres un peu pulpeuses, mes gros seins aux mamelons roses, mon ventre légèrement bombé, mon cul bien rond au-dessus de mes deux longues cuisses, ma peau si douce comme celle d’un bébé et ma chatte plus belle que la plus belle des roses de son jardin.
Moi je suis moins poétique, car je pense plutôt à toutes les choses sexuelles et perverses que je pourrais faire avec lui et avec Stéphanie qui est aussi salope que moi, peut-être même plus !
Je ne sais pas à quoi il pense en cet instant, mais sa main accélère son mouvement et son orgasme doit le surprendre, car il essaye, de son autre main, d'attraper son sperme qui gicle tout en étouffant ses grognements de plaisir.
Il reste là pendant une minute avec sa bite dans ses mains poisseuses avant de remonter son pyjama et de quitter ma chambre.
La dernière soirée n'a fait qu'attiser mon désir pour mon oncle qui est encore bien vigoureux pour son âge. Il m’a quand même avoué que pour la première fois ou nous avons fait l’amour, il avait pris par précaution et pour ne pas me décevoir, une pilule de Cialis qui lui permet de bander plus longtemps.
De mon côté, il a pu se rendre compte que sa nièce, malgré mon jeune âge, n'est pas tombée de la dernière pluie en matière de sexe et même avec plusieurs sexes, car je lui ai dit que j’avais déjà baisé avec plusieurs mecs ensemble.
Je me demande quand même si je n’en fais pas un peu trop pour l'exciter à mort.
Je vous raconterais peut-être cet épisode de ma vie sexuelle si mes confessions vous plaisent.
C'est dimanche soir et il est tard, et la seule excitée dans cette maison c'est moi !
Dans mon lit, je n'arrive pas à dormir en pensant sans cesse à mon tonton d’amour qui n'est pas loin et j’espère qu’il pense à moi malgré la présence de son amie Carole.
Depuis que nous avons fait l'amour puis baisé comme des fous avec sa grosse bite bien au chaud dans mon doux et étroit tunnel d'amour, je ne pense qu’à ça. Bien la sucer pour la rendre bien dure puis m’empaler dessus pour la sentir envahir ma jeune chatte toujours en manque de bite.
Je ferme mes yeux et j'ai l'image de son corps qui m'a fait tellement fantasmer quand j’étais plus jeune. Maintenant c’est sa merveilleuse queue qui me fait fantasmer.
Pour lui, c’est tout mon corps qui hante ses rêves et particulièrement ma poitrine orgueilleuse et mon cul tout en rondeur qui le fait bander comme un jeune puceau en manque de sexe. Bien souvent c’est juste mes lèvres qui le font craquer dès que je souris d’une façon coquine en le regardant avec mes yeux brillants pleins de promesses.
Tout le weekend avec la présence de Carole, son amie, qui décidément ne nous a pas lâché plus de 10 mn, il n’a pu me toucher intimement en passant sa main sous ma jupe que lorsqu’il était sûr que Carole ne pouvait pas nous voir. Comme je n'ai pas de slip, il pouvait constater que je pensais à lui ou plutôt à sa bite, car il ressortait ses doigts mouillés, qu’il suçait aussitôt pour enlever toute odeur suspecte sur ses doigts.
C'est une vraie torture pour moi d'être si près de mon amant, de la regarder lire, manger et passer sa langue sur ses lèvres en me fixant dans les yeux. De faire la vaisselle et de me retourner pour voir s’il me regarde quand je tortille mes adorables fesses charnues en affichant mon sourire coquin.
Néanmoins, samedi soir, nous regardions la télé et Carole est tombée de sommeil.
Je suis assise dans un fauteuil sur le côté et quand je vois qu’il me fixe des yeux, je mets une de mes jambes par-dessus l'accoudoir. Il voit immédiatement que je n’ai toujours pas de slip et que je suis nue sous ma robe légère. Une sacrée coquine sa Sophie !
En caressant son sexe à travers son short, il admire ma belle chatte sans poil sous la douce lumière émanant de la télé en face de moi.
Je me lève doucement et je lui fais signe de me suivre dans la cuisine.
J'attends un peu, mais finalement il me rejoint avec un sourire vicieux sur son visage. Il m’attrape par le cou et m'embrasse rudement à pleine bouche. Sa langue est chaude, délicieuse, et pleine de fougue. Il me pousse contre l'évier et je sens contre mon bas ventre, son sexe qui a bondi dans son short. Je murmure ;
- Doucement, Tonton.
Quand sa main tripote mes cuisses et glisse vers ma chatte pour lui fourrer deux doigts dedans.
- Ma chatte est encore très sensible depuis vendredi soir et samedi matin.
- Je te veux, Sophie ! gémit-il doucement dans mon oreille.
- Je sais Tonton, moi aussi ! Mais…j'ai vraiment mal quand je touche ma chatte juste après mes petites lèvres. Elle est encore irritée.
- Je n'arrête pas de penser à toi ! Je te désire comme un fou !
- Je ne sais pas quoi faire…
Lui dis-je en attrapant néanmoins sa queue coincée entre son short et ma cuisse.
- Ta bite est vraiment trop grosse et ma chatte est si serrée que tu m'as sûrement déchiré quelque chose.
- Je suis désolée Sophie, j’ai du mal à me maitriser quand je suis dans ta chatte.
- Ne le sois pas, car c’est de ma faute si on a remis çà samedi matin. Je n’aurais pas dû te sauter dessus en me réveillant. Je n’ai pas pu m’en empêcher quand j’ai vu que tu bandais comme un taureau en chaleur.
Il ne peut s’empêcher de gémir lorsque je frotte mon pubis sa bite qui tremble de plaisir sous cette pression.
- Ce n'est pas de ta faute Tonton. Je ne suis tout simplement pas habituée à quelque chose d'aussi gros dans ma chatte. Faut dire aussi que tu m'as baisé comme un sauvage.
- Mon cœur…pardonne-moi, mais tu n'arrêtais pas de me dire…encore…plus fort…
- Oui…c'est vrai…c'était tellement bon que je ne sentais même pas que cela m'irritait. L'envie de jouir et le plaisir de ta queue dans ma chatte effacent la douleur. Je suis désolée, j'espère juste que ça passera et que lundi je serais en pleine forme. Au moins, j'ai appris ce que veut dire « se faire défoncer le con ».
- Ma petite chérie…mets-toi souvent de la crème apaisante. Moi aussi j'espère que tu vas aller mieux rapidement, car ma queue va exploser ! Tu pourrais peut-être me soulager autrement…
Je baisse son short et son slip et je lui demande en pressant sa bite dans ma main.;
- Tu veux dire comme ça, avec ma main ?
- Non...autrement…
- Tu veux dire avec ma bouche ?
Je lui demande ça en mimant une toute jeune pucelle qui passe sa langue sur ses lèvres luisantes tout en décalottant bien son gland.
- Noooon, tu m'as montré autre chose vendredi dernier.
- Quoi d'autre…,
- Tu sais bien… quand tu t'es penchée en avant et que…
- Oooh…non…dit le Tonton ! Dis-moi clairement à quoi tu penses !
- À ton cul ! Permets-moi de te baiser dans le cul.
- Tonton ! Oooh, je ne peux pas faire ça avec toi ! Imagine les dégâts que fera ton monstre dans mon petit trou du cul ! Avec mon amie Stéphanie, c'est autre chose ! Elle a un cul encore plus gros que le mien et il est rodé. Je t'ai dit qu'elle aime ça et elle le fera sûrement avec toi malgré la grosseur de ta bite. Ça va même sûrement l'exciter à mort. Elle va bientôt nous rendre visite. N'oublie pas de prévenir Carole. Il ne faut pas qu'elle vienne nous déranger.
- Je le ferai, sois-en sure
Il bouge son sexe dans ma main et il ajoute.
- Mais s'il te plaît, fais quelque chose pour me soulager !
- Bon… sale pervers…surveille la porte.
J’attrape de mes deux mains sa queue qui n'en peut plus. Je la branle doucement et, seulement après quelque va et viens et ses couilles dans une de mes mains, il éjacule dans la cuisine, debout, comme un vieux cochon.
Je lâche à regret sa queue encore palpitante et je lui montre mes mains remplies de sperme qu'elles ont récolté en enfermant son gland pendant sa jouissance.
En souriant, je lèche son sperme tout en me dirigeant vers le salon.
- Où étiez-vous, demande Carole émergeant de son sommeil
- Dans la cuisine, Tonton avait besoin de moi. Il a mal au ventre…et…aux reins…
- Avec son âge, il faut qu'il fasse attention à ne pas faire d'excès et trop d'efforts.
Elle se lève et se dirige vers la cuisine. J’espère qu’il a remonté vivement son slip et son short avant qu'elle ne fasse irruption.
Le voyant appuyé sur l'évier elle lui demande :
- Que t'arrive-t-il ? Tu en as une mine ! Tu ne digères pas bien ?
- Peut-être, ça ressemble à ça…ça grouille dans mon ventre.
- Seigneur, ne me dis pas qu'il va falloir te mettre des couches !
Lui dit-elle, d'un air dégoûté en regardant son entre-jambes et en apercevant une tache humide sur son short.
- Je vais me coucher ! Je ne suis pas bien.
- Assure-toi que tu n'as plus envie, avant d'entrer dans le lit !
**********
J’ai du mal à m’endormir et une heure plus tard j’entends mon oncle dans le couloir et il s’arrête devant ma chambre. Va-t-il oser entrer avec la présence de Carole ? Je ferme mes yeux et remonte mon drap sur mon corps nu.
Il entre silencieusement et je reste les yeux fermés. Je sens qu’il tire mon drap pour admirer l’adorable corps de la petite salope que je suis devenue et qui parait si innocente quand elle dort.
Il est au pied de mon lit et il doit regarder ma chatte toute lisse aux lèvres humides, car je me suis doigté en pensant à sa belle bite. Je soulève légèrement une paupière et je vois qu’il a baissé son pyjama et qu’il se branle comme un salaud en manque.
D’une certaine façon je suis heureuse, car c’est moi qui occupe son esprit alors qu’il pourrait baiser son amie.
Quelles pensées cochonnes a-t-il en tête ?
Avant que Carole arrive ce Weekend, je lui ai demandé quelle partie de mon corps il aime le mieux. Il m’a répondu que tout l'attire. Ma beauté naturelle, mes yeux de biche, mes lèvres un peu pulpeuses, mes gros seins aux mamelons roses, mon ventre légèrement bombé, mon cul bien rond au-dessus de mes deux longues cuisses, ma peau si douce comme celle d’un bébé et ma chatte plus belle que la plus belle des roses de son jardin.
Moi je suis moins poétique, car je pense plutôt à toutes les choses sexuelles et perverses que je pourrais faire avec lui et avec Stéphanie qui est aussi salope que moi, peut-être même plus !
Je ne sais pas à quoi il pense en cet instant, mais sa main accélère son mouvement et son orgasme doit le surprendre, car il essaye, de son autre main, d'attraper son sperme qui gicle tout en étouffant ses grognements de plaisir.
Il reste là pendant une minute avec sa bite dans ses mains poisseuses avant de remonter son pyjama et de quitter ma chambre.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour votre encouragement
J’aime bien le fait d’exciter ton oncle et de le branler j’adore les détails de ton ressenti. Je trouve ton histoire bandante. Merci pour le plaisir que tu m’as offert . J’aimerais échanger par mail avec toi si le cœur t’en dit.