Mes études de langues (1)

- Par l'auteur HDS Magnate -
Récit érotique écrit par Magnate [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mes études de langues (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes études de langues (1)
Mes études de langues (1)Sa langue léchait mes rondeurs à m’en rendre folle. Mes pointes étaient tendues et chaque aspiration de sa bouche accélérait mon pouls. Je saisis sa tête pour le guider sur ma poitrine. Mon bas-ventre me démangeait et a son humidité commençait à couler et gouter sur le matelas.
Lorsque mon réveil sonna, je me réveillai, nue, la main entre les jambes, toute transpirante.

C’est chaque mois comme ça, quelques jours avant mes règles mes rêves deviennent intenses. J’étais encore toute chaude lorsque je pris ma douche. J’optai pour une douche froide qui ne réussit qu’à me faire prendre conscience qu’une longue journée de cours s’annonçait et que j’avais d’autres envies que d’aller à l’université. L’eau froide qui s’écoulait sur mon corps me durcit les boutons encore engourdis par l’excitation de mon rêve.

Cette journée de printemps m’inspira une courte jupe assortie à un blouson. Je ne me justifierai pas sur mon choix de ne pas mettre de soutien-gorge, mais mon instinct de femme parla pour moi.

Le campus n’est pas loin de l’école et je n’ai pas beaucoup à marcher, mais ce matin, je décidai tout de même pour le bus. Il n’y avait pas grand monde le mercredi et je m’assis dans le fond du bus, éloigné des 2 autres passagers, deux charmants jeunes hommes. Évidemment, ils n’ont pas manqué de regarder mes longues jambes passer devant eux.

À peine étais-je assise au fond du bus que mes hormones me refrappaient l’entrejambe. À l’abri des regards, j’en ai profité pour me masser discrètement. Les bouchons ralentissaient le bus qui ne faisait que de faire des à-coups en s’arrêtant. Moi qui pensais rapidement arriver et devoir arrêter mon petit plaisir contre mon grès me voilà prise au piège de mon excitation. J’écartais de plus en plus les jambes et m’enfonçai confortablement dans le siège. Nous n’étions plus loin d’arriver, mais ma culotte me gênais et me sentais tellement bien que je n’ai pu m’empêcher de l’enlever discrètement. Une fois mise dans mon sac je repris le massage avec ma main. Mes doigts étaient détrempés et je laissai quelques soupirs provenant du fond de ma gorge s’échapper de ma bouche. Mon bassin commençait à suivre les mouvements de ma main. J’étais en train de prendre mon pied dans un bus public. Je rouvris les yeux lorsque la sonnette de sortie retentit. Le bus s’arrêta. Surprise et encore toute étourdie j’eus à peine eu le temps de m’essuyer les mains sur le siège que je dus descendre du bus.

J’étais à l’heure, mais il ne fallait pas que je traine. Je traversai toute la cour encore toute chamboulée par ce trajet en bus. C’est fou ce que les hormones peuvent faire subir à une femme. La brise de printemps caressait mon minou à l’air libre! Je n’avais pas eu le temps de remettre ma culotte. Je rougis un peu en pensant que je me promenais nue sous ma jupe devant toutes ces personnes. Si elles le savaient… et qui sait, peut-être qu’elles aussi elles sont nues sur leurs habits.

Lorsque j’arrivai en classe, il ne restait plus que des places à l’arrière. Peut-être une journée de chance, mais un beau jeune homme était déjà là. À peine étais-je assise que le cours commença: espagnol. Le premier d’une longue série. J’essaie de suivre le cours, mais la présence de ce bel homme et ma nudité ne m’aidaient pas pour me concentrer. Je jetai de temps en temps un regard sur lui pour voir si lui aussi avait du mal à se concentrer.

Je devais le perturber un peu, car nos regards se croisèrent plusieurs fois. Le prof commença les explications sur les devoirs. Je me mis à bâiller. Je n’avais pas fait les devoirs.

Une caresse effleura ma jambe. Mon regard parti directement vers mon voisin qui me sourit. Je fis mine continuer à suivre le cours. Je n’étais pourtant pas crédible. Mes deux pointes se voyaient clairement sous mon blouson.

Sa main se dirigeait de plus en plus vers mon entrejambe. Ici, en salle de classe, avec cet inconnu. C’était étrange et pourtant, je n’allais clairement pas refuser ses avances.

Je me laissais faire. Mes jambes s’écartaient toutes seules je perdais le contrôle de mon cops. Il du être surpris du fait que je n’avais pas de culotte, car il hésita un peu avant de continuer. Ses doigts étaient froids et mon sexe brulant. Je n’en pouvais plus, l’excitation était à son comble. Le prof restait concentré sur ses corrections, moi j’étais ailleurs. Après les caresses, les doigts commencèrent à me pénétrer. Là c’était plus fort que moi et je lâchai un petit cri qui fit retourner un couple devant moi. Je leur souris comme je pu, telle la sensation me prenait. Les frissons grimpaient mon corps. Je fermis les yeux. Les doigts s’accéléraient. Ma chatte coulait. Deux doigts me pénétraient maintenant. Je pouvais entendre les clapotis des pénétrations. Mes seins étaient brulants. Je commençais à jouer avec mes tétons qui perçaient mon blouson.

Lorsque son troisième doigts me pénétra, je dû me reculer et me cramponner à lui. Ma chatte était ouverte. Le cours me passait largement au-dessus de la tête. Je devais me contenir de hurler. Mais mon intérieur était secoué par les doigts de cet inconnu.


Mon orgasme, silencieux, ne fut pourtant pas si discret, mon corps convulsa et je tombai sur l’épaule de cet acharné de sexe. Mes jambes se resserrèrent d’un coup et je lui mordis l’oreille en lui soufflant un râle de désir. J’en voulais encore! C’était tellement bon.

Les trois doigts se retirèrent de ma chatte, dégoulinante et bien écartée. Il s’essuya la main sur ma cuisse. Je ne bougeais plus. J’étais vidée, mais à la fois excitée. Il dû le ressentir. Il me prit la main et me l’insérera dans son pantalon. Il ne m’a pas fallu me le dire deux fois! Je la saisis.

Pourtant, mon compagnon n’était pas de cet avis et me l’enleva brusquement de son pantalon avant de se lever. C’était la fin du cours, déjà. Au milieu du bruit des chaises qui grincent sur le sol, j’entendis mon nom. C’était le prof qui m’appela, il désirait me voir.


Que pouvait-il bien me vouloir?

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