Mes études de langues (2)
Récit érotique écrit par Magnate [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes études de langues (2)
En suivant les indications de mon professeur, je me suis donc avancée devant la classe pendant que les autres élèves sortaient.
- Dites-moi Samanta, vous subissez vos hormones sans discrétion. C’est trop vous demander de le faire sans perturber mon cours?
Je me sentis très mal à l’aise et ai commencé à rougir. Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il me caressait déjà les seins. Ils étaient encore tout dur de mon dernier orgasme. Mon entrejambe me démangeait déjà.
- Je vois que ça ne vous a pas suffi, et vous ne refusez rien, vos hormones doivent être bien fortes.
En effet, je me laissais faire. Je sentis ses doigts se glisser sous ma jupe et caressait ma cyprine qui coulait le long de mes jambes. Je n’en reviens pas, j’étais en train ne me faire toucher par mon prof et je ne disais rien. J’aimais ça. Ses doigts caressaient gentiment mon petit bouton. Ça m’excitait. Mon souffle commençait à s’accélérer et à résonner dans la salle de classe vide.
Mon prof s’assit sur sa chaise et me présenta son énorme phallus. Il devait faire faire 15 bons centimètres de long et un diamètre énorme.
- Alors, voyons si vous avez la langue bien pendue très chère.
Sans réfléchir, je m’agenouillai devant lui et empoigna son sexe. Je le masturbai gentiment admirant ce bel engin qui, je l’espérais, allait se vider en moi dans minutes qui allait suivre! Il me guida de manière à me mettre sous son bureau. C’est alors que je me mis à le sucer goulument. Sa bite glissait le long de mon gosier et il commençait à gémir. Soudain, la porte s’ouvrit et quelqu’un entra! Je reconnus la voix du prof de chimie. Heureusement je suis cachée sous le bureau. Mais je n’osai imaginer même pas les conséquences si je me faisais attraper. J’ai essayé de reculer un peu pour me cacher un peu mieux sous le bureau, mais mon prof me retint la tête et me la maintenu sur sa bite. Prise de panique j’essaie de m’arracher de lui et me cogna la tête au bureau. Le prof de chimie qui avait avancé était maintenant juste derrière le bureau.
- Tout va bien Simon?
- Oui, oui, je viens juste de me cogner le genou au bureau. Ces maudites chaises, elles ne sont à la bonne hauteur pour personne!
J’ai compris ce qui le faisait fantasmer. Et cette énorme bite devant moi m’ouvrait l’appétit. Je la ressaisis donc et recommençai à le sucer caché sous le bureau. Mon excitation était encore augmentée par le risque de me faire attraper. J’étais en train de sucer mon prof pendant qu’il discutait avec son collègue. Il était là, à 1 mètre de moi!
Je ne les écoutais pas. Ma langue glissait de haut en bas, jouait avec ses boules puis gobait l’entier de sa bite. J’aimais ça, le sucer! Son gland était succulent et je me régalais. Je m’amusais à grader le tour de son gland, de le mordiller même. Je me caressais le visage avec sa bite. Mes ma main gauche jouait avec ma chatte, tellement écartée. L’autre saisissait son énorme verge. Parfois je descendais avec ma langue pour lui humidifier l’anus. Ses jambes tremblaient. Il aimait ça, que je lui lèche l’anus. Sa goute de désir apparu très vite et je la dégustai avec un grand plaisir. Elle était sucrée, je me réjouissais d’avoir le reste! Alors je m’activais à le sucer. Mes doigts m’excitaient et j’aurais voulus plus que ça, j’aurais voulu qu’il me prenne, là sur le bureau maintenant! Qu’il me défonce la chatte et que j’hurle pour me soulager de ce qu’il me mettrait.
Lorsque j’entendis la porte claquer, je compris que le prof de chimie était parti. C’est alors que Simon recula sa chaise et me saisit la tête. Il commença alors à me baiser la bouche. Je sentais sa verge s’enfoncer profondément dans ma gorge. Ça faisait de gros bruits. Au fur et à mesure des pénétrations je perdis mon souffle et le rythme. Ma tête commençait à tourner et devenait rouge. J’ai cru que j’allais m’évanouir. Mais mon prof accélérait, il me labourait la bouche. Il criait de plus en plus fort. Lorsque ces pénétrations devinrent plus saccadées, une nuée de crème fraiche m’inonda la gorge, puis la bouche et finalement me gicla sur le visage. Ma gorge était en feu, mais ce bon sperme, si doux, réparait les irritations infligées par sa bite. Mon prof me regarda avec des yeux de tueur. Il a bien dû prendre son pied. Il finit par se laisser tomber sur sa chaise me jeta un:
- Ça vous apprendra à vous astiquer en classe! Cela dit, vous pouvez recommencer quand vous voulez, à condition d’en payer ce prix! Allez, partez!
Son sperme était si sucré, je m’essuyai le visage avec sa bite et la suçait encore une dernière fois pour en prendre tout les restes. J’en voulais plus! Je voulais qu’il me baise! J’aurais donné n’importe quoi pour me faire défoncer le troufion! Qu’il m’écartèle et me domine sur son bureau, que je lui griffe le dos pendant qu’il me pénètre en profondeur.
- Allez, partez! Il ne faut pas qu’on nous attrape!
Il me saisit la main et m’écarta de lui.
Frustrée par son comportement, je sortis donc de la classe.
- Dites-moi Samanta, vous subissez vos hormones sans discrétion. C’est trop vous demander de le faire sans perturber mon cours?
Je me sentis très mal à l’aise et ai commencé à rougir. Je n’ai pas eu le temps de répondre qu’il me caressait déjà les seins. Ils étaient encore tout dur de mon dernier orgasme. Mon entrejambe me démangeait déjà.
- Je vois que ça ne vous a pas suffi, et vous ne refusez rien, vos hormones doivent être bien fortes.
En effet, je me laissais faire. Je sentis ses doigts se glisser sous ma jupe et caressait ma cyprine qui coulait le long de mes jambes. Je n’en reviens pas, j’étais en train ne me faire toucher par mon prof et je ne disais rien. J’aimais ça. Ses doigts caressaient gentiment mon petit bouton. Ça m’excitait. Mon souffle commençait à s’accélérer et à résonner dans la salle de classe vide.
Mon prof s’assit sur sa chaise et me présenta son énorme phallus. Il devait faire faire 15 bons centimètres de long et un diamètre énorme.
- Alors, voyons si vous avez la langue bien pendue très chère.
Sans réfléchir, je m’agenouillai devant lui et empoigna son sexe. Je le masturbai gentiment admirant ce bel engin qui, je l’espérais, allait se vider en moi dans minutes qui allait suivre! Il me guida de manière à me mettre sous son bureau. C’est alors que je me mis à le sucer goulument. Sa bite glissait le long de mon gosier et il commençait à gémir. Soudain, la porte s’ouvrit et quelqu’un entra! Je reconnus la voix du prof de chimie. Heureusement je suis cachée sous le bureau. Mais je n’osai imaginer même pas les conséquences si je me faisais attraper. J’ai essayé de reculer un peu pour me cacher un peu mieux sous le bureau, mais mon prof me retint la tête et me la maintenu sur sa bite. Prise de panique j’essaie de m’arracher de lui et me cogna la tête au bureau. Le prof de chimie qui avait avancé était maintenant juste derrière le bureau.
- Tout va bien Simon?
- Oui, oui, je viens juste de me cogner le genou au bureau. Ces maudites chaises, elles ne sont à la bonne hauteur pour personne!
J’ai compris ce qui le faisait fantasmer. Et cette énorme bite devant moi m’ouvrait l’appétit. Je la ressaisis donc et recommençai à le sucer caché sous le bureau. Mon excitation était encore augmentée par le risque de me faire attraper. J’étais en train de sucer mon prof pendant qu’il discutait avec son collègue. Il était là, à 1 mètre de moi!
Je ne les écoutais pas. Ma langue glissait de haut en bas, jouait avec ses boules puis gobait l’entier de sa bite. J’aimais ça, le sucer! Son gland était succulent et je me régalais. Je m’amusais à grader le tour de son gland, de le mordiller même. Je me caressais le visage avec sa bite. Mes ma main gauche jouait avec ma chatte, tellement écartée. L’autre saisissait son énorme verge. Parfois je descendais avec ma langue pour lui humidifier l’anus. Ses jambes tremblaient. Il aimait ça, que je lui lèche l’anus. Sa goute de désir apparu très vite et je la dégustai avec un grand plaisir. Elle était sucrée, je me réjouissais d’avoir le reste! Alors je m’activais à le sucer. Mes doigts m’excitaient et j’aurais voulus plus que ça, j’aurais voulu qu’il me prenne, là sur le bureau maintenant! Qu’il me défonce la chatte et que j’hurle pour me soulager de ce qu’il me mettrait.
Lorsque j’entendis la porte claquer, je compris que le prof de chimie était parti. C’est alors que Simon recula sa chaise et me saisit la tête. Il commença alors à me baiser la bouche. Je sentais sa verge s’enfoncer profondément dans ma gorge. Ça faisait de gros bruits. Au fur et à mesure des pénétrations je perdis mon souffle et le rythme. Ma tête commençait à tourner et devenait rouge. J’ai cru que j’allais m’évanouir. Mais mon prof accélérait, il me labourait la bouche. Il criait de plus en plus fort. Lorsque ces pénétrations devinrent plus saccadées, une nuée de crème fraiche m’inonda la gorge, puis la bouche et finalement me gicla sur le visage. Ma gorge était en feu, mais ce bon sperme, si doux, réparait les irritations infligées par sa bite. Mon prof me regarda avec des yeux de tueur. Il a bien dû prendre son pied. Il finit par se laisser tomber sur sa chaise me jeta un:
- Ça vous apprendra à vous astiquer en classe! Cela dit, vous pouvez recommencer quand vous voulez, à condition d’en payer ce prix! Allez, partez!
Son sperme était si sucré, je m’essuyai le visage avec sa bite et la suçait encore une dernière fois pour en prendre tout les restes. J’en voulais plus! Je voulais qu’il me baise! J’aurais donné n’importe quoi pour me faire défoncer le troufion! Qu’il m’écartèle et me domine sur son bureau, que je lui griffe le dos pendant qu’il me pénètre en profondeur.
- Allez, partez! Il ne faut pas qu’on nous attrape!
Il me saisit la main et m’écarta de lui.
Frustrée par son comportement, je sortis donc de la classe.
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Mais l'excitation est toujours présente ....