Mes expériences sexuelles.(1)

- Par l'auteur HDS Trekkie -
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mes expériences sexuelles.(1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes expériences sexuelles.(1)
Une cliente très accueillante.

J'ai 50 ans et je suis ouvrier en menuiserie. Physiquement, je suis dans la moyenne, 1,70m pour 80kg. Au niveau de mes attributs, je n'ai rien d'extraordinaire, mais ma femme ne c'est jamais plainte de mes 17cm en érection, ni de son volume. Et avant cette histoire, je lui avais toujours été fidèle. Mais un jour...
C'était un vendredi après-midi, je terminait une réparation quand mon patron m’appela.
« Patrick, as-tu terminé ? »« Je range et j'ai fini ! »« Je sais que ta journée est terminée, mais pourrais-tu passé chez un client ? Il y eu un effraction et il voudrais une devis pour remplacer un châssis. J'aurai besoin que tu ailles vérifier les mesures. Je t 'envois l'adresse, c'est à 5 minutes d'où tu es. »« OK, pas de souci ! »Je termine de ranger mes outils et je reçois un SMS avec l'adresse et le nom du client. Ça ne me prendra pas beaucoup de temps et en plus cela permettra que je compte mon temps de retour. Alors me voilà parti.
J'arrive de un grand portail et je vais sonner. C'est une douce voix féminine qui me répond.
« Oui ? C'est pourquoi ? »« Bonjour madame ! Je viens prendre les mesures du châssis. »« Ah, oui ! Laissez votre véhicule devant le portail, il est bloqué et entrez par la porte de côté. C'est au bout de l'allée. Je vous ouvre. »Je pousse la porte et je m'avance dans cette immense propriété. La villa se trouve à au moins 50m . J'arrive à l'entrée quand la maîtresse de maison ouvre la porte et m'invite. Elle est vraiment très belle, 1,75m environ, blonde et question mensurations, je dirais presque parfaite. Même si je n'ai jamais trompé ma femme, cela ne m'empêche pas de regarder les jolies femmes. Mon épouse en fait d’ailleurs de même et ça ne pose pas de problème tant qu'on ne touche pas.
Mais cette fois, je dois avouer que sa robe printanière blanche dessinant ses formes m'ont obligé de faire preuve d'une grande maîtrise de moi. De plus que arrivé devant le châssis en question, elle fut en contre-jour et par transparence je pus constater qu'elle avait de belles longue jambes.
Me sortant de mon 'rêve', elle dit :« C'est celui-ci. »« Ah oui ! », c'était une grande double porte fenêtre et j'allais avoir besoin d'une escabelle pour prendre convenablement les mesures. Je me préparais à aller en chercher une dans ma camionnette. Lorsqu'elle me proposa de prendre celle qui était dans son garage. Elle m'accompagna et me précédant, je pu admirer ses fesses que son déhanchement mettait en évidence. Il devenait de plus en plus difficile de cacher qu'elle me faisait de l'effet. L'escabelle sous le bras, je suis retourné dans le living et en regardant dehors et dit :Le temps se couvre, je crois qu'il va tomber une bonne averse. En effet, le ciel était en une fois devenu tout noir et le vent s'était levé.
« Je vais faire vite, je vais commencer par les mesures extérieures. »« Je crois que c'est plus raisonnable. » me dit-elle.
Je venais de monter sur mon escabelle quand en une fois, une 'drache' comme on dit en Belgique, m'est tombée dessus. Je fis au plus vite, mais quand je suis rentré, j'étais trempé et même si elle n'y était pour rien, la cliente était embarrassée. Elle me proposa d'aller me sécher dans la salle de bain ce que j'ai accepté. Une nouvelle fois elle m'accompagna pour pas que je me 'perde' me dit-elle. Nous sommes monté à l'étage et encore une fois elle me précéda. Je ne sais pas si elle le faisait exprès ou si elle n'en n'était pas consciente, mais maintenant, ce n'est plus uniquement se fesses que je voyais se balancer, mais sa robe s'arrêtant à mi-cuisse, j'avais une vue directe sur son entre-jambe. Je fus d'autant plus excité qu'elle ne portait pas de culotte. Sa chatte était lisse, rasée ou épilée, je ne savais pas. Presque arrivé en haut, elle voulu se retourné, peut-être sentait elle mon regard insistant, et elle rata une marche. Elle faillit tomber en arrière mais heureusement je la rattrapa en la saisissant par les hanches. Mais étant en dessous d'elle mes mais firent remonter sa robe et découvrirent son intimité. Elle me remercia avec un grand sourire jusqu'à ce qu'elle se rende compte qu'elle avait ses fesses nues presque sur mon visage. En un bond, elle se retrouva sur le palier, les mains réajustant en toute hâte sa robe et tout en balbutiant des excuses.
« Oh... pardon... je suis... désolée... »« Ce n'est rien ! Ne vous inquiétez pas ! Je n'ai presque rien vu ! » lui ai-je dit en la rejoignant.
Ayant reprit ses esprits, elle ajouta et me fixant l'entre-jambe :« Peut-être presque rien vu, mais ce fut suffisant » et ajoutant le geste à la parole, elle posa sa main sur la bosse qui maintenant déformait visiblement mon pantalon. Et là, ce fut moi qui écartant sa main, essaya de cacher mon excitation tout en balbutiant des excuses incompréhensibles.
« Ce n'est rien. J'ai ma part de responsabilité. Je ne peux pas vous en vouloir d'être excité quand vous avez une chatte sur le nez. »« Merci, mais c'est embarrassant. Que dirait votre mari si il me voyait bandant à côté de vous ? »« Mon mari ! Il est tellement fier de moi qu'il en serait flatter. Mais de toute façon il n'est pas là, il à du partir en urgence pour son boulot. Et vu le temps, il n'est pas prêt de rentrer.»Encore une fois je ne savais pas si c'était une invitation ou une maladresse, mais ce n'était pas pour calmer mes envies.
«  Mais passons, venez, la salle de bain est au fond du couloir. »Elle m'y accompagna et après m'avoir donné une essuie, elle retourna au living. Je me suis séché avant de l'y rejoindre. Elle était devant la baie vitrée et regardait dehors, on aurait cru que la nuit était tombée tellement le ciel était noir. Elle se tourna vers moi et me dit :« Je crois que vous allez devoir attendre avant de partir. Regardez ! »Je me penche et je vois qu'il tombait des grêlons. Ils avaient la taille de grosses billes. C'était évident, il était dangereux de sortir. Elle me proposa de prendre un café le temps que cela passe. Elle m'invita à m'asseoir à la table de la cuisine, car même si je m'étais essuyé,mes vêtements eux, étaient toujours trempé. Elle nous servi et nous avons commencé à parler de choses et d'autres notamment des dégâts aux châssis.
« Ça va nous coûter cher, » me demanda-t-elle.
« Je ne pourrais pas vous dire le prix, c'est mon patron qui fait les devis,mais vu la taille de la baie, ce ne sera pas donné ! »« C'est ce que je craignait »« Mais ne vous en faites pas, quand vous aurez le devis, transmettez-le à votre assurance et c'est elle qui payera. »« C'est ce que mon mari m'a dit, mais j'ai toujours peur qu'elle refuse. »Regardant dehors, la grêle avait cessé, mais c'était maintenant une pluie battante qui tombait et j’eus un frisson qui me glaça.
« Je vais boire un peu, je suis transis de froid. »Je la vis hésiter, mais après avoir jeté elle aussi un coup d’œil dehors, elle proposa :« Ce n'est apparemment pas près de s'arrêter. Si vous voulez je peux vous proposer d'aller enlever vos vêtements et d'enfiler un peignoir de mon mari. Je pourrais ainsi mettre vos affaires à sécher devant le feu ouvert ? »« Je vous remercie, mais je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse et en plus je ne crois pas que ce serait prudent. Que dirait votre mari si il trouvait chez lui un homme dans un de ses peignoir ? »« C'est comme vous voulez, mais je crois que vous allez attraper quelque chose si vous rester dans vos habits mouillés. »Un silence et elle se leva, me prit pas le bras et « Ça suffit, venez ! Je ne vais pas vous laisser ainsi. Vous allez prendre un bonne douche bien chaude, enfiler un peignoir et quand vos affaires seront sèche et le temps calmé, vous rentrerez chez vous. »Je dois avouer que c'était la première fois que je rencontrait quelqu'un comme ça. Sa gentillesse et sa bienveillance était rare de nos jours.
Je me suis laissé faire, mais cette fois, elle me fit passer en premier dans les escaliers et à nouveau dans la salle de bain, elle me donna un nouvelle essuie, me montra le savon et parti me chercher un peignoir dans sa chambre.
« Quand je reviens je dois pouvoir prendre tes... pardon... vos affaires. »« Ce n'est rien, si TU veux, on peut se tutoyer. »« Très bien, j'arrive »Vu son ton autoritaire, je m'exécute et avant qu'elle ne revienne, j'étais sous la douche. Elle était vitrée, j'avais donc pris soin d'asperger les parois, pour flouter ma silhouette. Je l'entendis entrer pour déposer le peignoir et elle dit :« Je m'appelle Sylvie et toi ? »« Patrick »« OK, Patrick, quand tu es changé des vêtements secs et bien chaud t'attendront en bas. »« Merci »Et elle sorti, j'ai vite pris ma douche et en sortant, j’enfilais le peignoir.
Ah bon, il était certes bien chaud, mais aussi assez court, les pans descendaient à peine au dessus de mes genoux. Mais je n'avais rien d'autre à mettre. Je m’apprêtais à descendre dans cette tenue quand lorsque je fus en haut des escalier, je vis Sylvie m'attendre en bas. Elle avait un grand sourire et manifestement elle attendait que je la rejoigne sachant qu'ainsi c'est elle cette fois qui aurait un vue imprenable sur mon entre-jambe.
«  Allez, descends ! A chacun son tour. »Je descendis donc sous son regard brillant. C'est tout ce qu'il me fallait pour que ma bite recommence à bander. Je fus un peu gêner, mais je ne pouvais rien n'y faire. Arrivé en bas, elle dit :« Désolé, mais c'était de bonne guerre. »« Je le reconnais j'avais aussi profité de la vue. »« Va t'asseoir, j'arrive. »Elle monta, tout en s'assurant que cette fois je n'égarais pas mon regard. Je me suis installé à la table où m'attendait une nouvelle tasse de café bien chaud.
Cinq minutes plus tard, j'entendis une voix dans mon dos.
« Alors à ce que je vois le temps n'est pas prêt de s'améliorer, Tu ne devrais pas prévenir ta femme que tu vas être en retard ? Les hommes n'y pensent jamais, mais cela nous rassure. »« Oui, bonne idée ! »Je me retourne pour prendre mon GSM dans mon pantalon qui sèche et je me retrouve devant Sylvie. Elle avait passé un peignoir, mais le sien devait être en satin blanc, elle avait la taille marquée par un fine ceinture de la même matière qui tenait réuni les deux pans de cette tenue qui ne descendait pas au dessus de ses genoux, mais à peine en dessous de ses fesses. Je suis resté comme paralysé jusqu'à ce qu'elle me tende le GSM et me dise d’appeler ma femme. Sortant de ma vision de rêve, je le saisi, composa machinalement le numéro et tout en ne la quittant pas du regard je prévins mon épouse que je serais en retard, le temps me bloquant sur un chantier. Et je raccrocha.
« Ferme la bouche, tu vas avaler les mouches ! »« Heu, oh oui... pardon. Vous... heu... tu es... magnifique »« Merci, c'est flatteur » « Oh pardon... c'est pas ce que je voulais dire... heu si tu es très belle... non... si... je ne sais plus ce que je dis ! »« C'est pas grave, je l'ai fais un peu exprès.  Juste pour voir quel effet je te faisait vraiment. »Je la regardais, je la déshabillais du regard à vrai dire. J'imaginais sa chatte épilée, et je devinais ses deux beaux seins ferme à peine caché par son peignoir et dont les tétons sûrement déjà bien dur déformaient le tissu.
« Et je constate que je te fais de l'effet tout comme tu m'en à fait quand je t'ai vu descendre les escaliers. C'est même pour cela que j'ai du me changer, j'étais aussi toute mouillée. »Stupidement je ne pus répondre que « Ah bon »Elle s'approcha de moi et tout en ne quittant pas mon regard, je la sentir saisir ma bite.
« Range-moi ça ! On verra plus tard si on vas plus loin. »J'avais ma bite qui s'était mise au garde à vous et sans peine avait écarté les pans du peignoir pour témoigner de mon excitation.
Sylvie me proposa de m'installer dans un fauteuil du living le temps qu'elle aille chercher nos cafés. Aprés les avoir déposé sur la table base, en prenant bien soin de se pencher en avant pour que je profite de la vu sur ses seins, elle alla vérifier si mes vêtements étaient secs. Pour cela elle ne s'agenouilla pas, mais se baissa et son peignoir remontant sur le haut de ses fesses, je pus à loisir profiter d'une magnifique vue sur sa chatte luisante. Elle jouais avec moi car elle est venue s'asseoir face à moi et quand elle fut assise dans le divan face à moi, elle écarte légèrement les cuisses dévoilant à nouveau son sexe, mais cette fois je pouvais voir son clito gonflé d’excitation. Tout cela n'arrangea rien à mon état. Je ne pouvais plus tenir, même en pensant à ma femme, la tentation était trop grande. Je me levais et me dirigeant vers Sylvie je lui dis :« Je suis désolé, mais je ne peux pas faire autrement ! »Elle fut un peu perturbée par mes paroles, jusqu'à ce que me glissant près d'elle, je m'agenouille entre ses jambes, les lui écartant et plonge ma tête entre ses cuisses pour lui lécher la chatte et lui sucer son clito. Bien que je ressenti qu'elle fut surprise, elle n'opposa aucune résistance. Elle me facilita même le passage en posant ses pied sur son fauteuil. Je venais de passer un bas autour de chacune de ses cuisses pour bien les écarter et maintenant je m'en donnais à cœur joie. J'avais son clito entre les lèvres et écartant son sexe avec mes mains, je descendit ma langue vers sa chatte pour l''y introduire. Elle aimait, elle avait la tête posée en arrière sur le dossier du fauteuil et poussait de plus en plus de gémissements. Je sentis ses mains se poser sur ma tête comme pour m'inviter à intensifier mes coups de langue. Ce que je fis insistant sur son clito. Je la sentait de plus en plus agitée et dans un grand coup de rein, elle se cambra et m'envoya un volée de jet de son jus en plein visage. Elle venait d'avoir un premier orgasme.
« Oh désolée, tu est à nouveau trempé. »« Ce n'est rien. »Et ajoutant le geste à la parole, je me redressa, dénoua la ceinture et fis tomber le peignoir à mes pieds. Elle s'était assise dans le fauteuil si bien que ma queue tendue se plaça d'elle même contre ses lèvres. Elle la saisi, ouvrit la bouche et la fourra bien au fond. Quand mon gland touche le fond de sa gorge, je ressenti un frisson qui me parcouru tout le corps. Elle me suça divinement, si elle n'était pas mariée, je l'aurai bien prise pour une professionnelle. Elle faisait des vas et vient le long de ma bite tout en caressant mon gland avec sa langue. Une main sur mon manche et l'autre me massant les couilles, elle me fit jouir dans sa bouche. Mais non contente d'avoir tout avaler, elle continua jusqu'à ce que ma queue reprenne toute sa vigueur. Après quoi elle se redressa, se retourna et s'accoudant sur le dossier du fauteuil, me proposa de l'enfiler en levrette. Je saisi ma bite et la présentant devant sa grotte, je m'introduis en elle sans aucun effort tant elle mouillait. Mes mouvements de plus en plus rapide et ma pénétration de plus en plus profonde lui arrachèrent de plus en plus de gémissements jusqu'à ce qu'elle jouisse une nouvelle fois. Elle voulu se retourner, mais je l'en empêchais.
« Pas encore, je n'en n'ai pas finis avec toi. »Sur ce tout en continuant a faire glisser ma bite contre son clito, d'une main j'entreprit de lui caresser l'anus. Elle sursauta,« Que veux-tu faire ? » J'introduis un doigt dedans,« Tu n'y pense même pas ? »« Pourquoi, il est tout mouillé lui aussi ? »« Je suis encore vierge de là. Et je n'ai jamais permis que l'on y entre. »« Il faut un commencement à tout ! »« Non, baise-moi encore ! Et si je suis satisfaite, peut-être qu'une prochaine fois ? »Une prochaine fois, elle envisageait que nous nous revoyons ? Je ne savais pas quoi penser ni quoi faire. Elle se redressa, m poussa dans le divan sur le dos avec ma queue dressée, elle est venue m'enjamber pour s’empaler sur mon pieu. Elle n'y alla pas de même ordre et alors qu'elle se relevait doucement, elle se laissait ensuite retomber violemment sur ma queue et à chaque fois elle faisait claquer ses fesses sur mes cuisses. Elle sentait l'orgasme à nouveau arriver et manifestait son plaisir avec de grands cris,« Oui... encore, baise-moi... plus fort... plus vite ! Défonce-moi, remplis-moi de ton foutre... »Dans cette position je pus me retenir pendant encore bonnes minutes avant de lui inonder la chatte alors qu'elle jouissait une troisième fois. Elle resta ensuite assise sur moi et s'affala sur mon torse épuisée. Je sentais mon sperme mélangé à son jus couler de sa chatte et se répandre sur mes cuisses. Elle se retira et avant que je me redresse, me suça une dernière fois faisant bien attention de lécher tout le sperme qui avait coulé. Après quoi elle s’assit sur ma tête plaquant sa chatte contre mes lèvres elle jouait avec ses muscles fit coulé le reste dans ma bouche. C'était la première fois que je goûtait à mon foutre et même si je n’eus pas le choix, j’avalai tout ce qu'elle me donna avec plaisir.
Trois heures étaient passée depuis mon arrivée et avant de partir, le temps s'était calmé, nous avons été prendre une douche. Et tout en nous lavant, je profitai pour la caresser et lui donner un dernier orgasme.
Alors que j'allais partir, elle me dit :« Si je dois l'avouer , ta bite est un peu plus petite que celle de mon mari, je dois aussi avouer que tu sais mieux t'en servir et en plus tu sais comment faire jouir avec ta langue. »« Je suis content de t'avoir donné du plaisir, mais toit aussi tu m'as comblé. »« Patrick, j'aimerai que l'on se revois ! »« Moi aussi, mais il y a ma femme et je l'aime. »« Je comprends, mais sans vouloir te forcer la main. Si tu ne veux pas qu'elle apprenne ce qui vient de se passer, débrouille-toi pour revenir. Et profites-en pour me présenter à ton épouse. J'aime aussi les femmes. Alors reviens avec elle et je deviendrais son amie ou alors... »Je dois avouer qu'elle venait de me refroidir, mais en y pensant, ce qu'elle proposait m'excitait et avec Céline nous avions déjà fait l'amour en fantasmant sur une plan à trois. Nous deux avec un homme ou une femme.
Je tourna la poignée de la porte et sortant, je me suis retourner pour lui dire :« A plus tard... »Mais cela est une autre histoire.
A suivre...

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