Mes premiers pas en tant que candauliste ( Partie 3) - histoire érotique

Depuis maintenant quelques semaines, le sexe entre nous est très intensif. Grégory et le souvenir de ces trois mois ou il est devenu l’amant de ma chérie a laissé des traces dans notre couple et notre sexualité. Je suis redevenu son unique et elle a pris gout à une légère domination et autre exigence, ma fois très légère mais non moins érotique.
Elle aime me faire mettre nue, exiger les mains attachées dans le dos, que je lui dévore le minou jusqu’à ce qu’elle décide que ça suffit. Elle aime m’entendre la supplier de me fourrer un doigt dans l’anus pendant qu’elle me suce. Elle peut m’interdire de jouir sous risque de lécher moi-même ma semence. M’interdire de me branler ou encore me laisser le soir avec une terrible érection et me demander de dormir en me faisant miroiter que le lendemain j’aurais le droit à une gâterie à même le réveil.
Toute ces frustrations ne sont que sublimes et intenses et j’aime le sexe avec cette femme, même si je sens qu’elle voudrait des fois s’évader à nouveau dans de nouvelles aventure, car elle a l’âme vagabonde et friponne.
Un soir alors qu’elle me reparle de ce fameux film porno ou plusieurs hommes démontent littéralement une femme et me questionne sur mon plaisir à ce moment-là. La queue dans sa bouche à cet instant, je m’entend lui dire « Tu sais ma chérie, j’aime tout de toi et de tes envies, je suis prêt à les vivre avec toi et auprès de toi. Toi et moi c’est pour la vie et rien ne pourra m’empêcher de t’aimer et te désirer » Cerise sur le gâteau « Tes fantasmes et envies sont aussi les miens »
Ce soir-là. Elle finit sa majestueuse pipe, me laisse lui remplir la bouche et se blottit tendrement contre moi.

Une semaine plus tard, alors que nous étions en course, chacun dans nos rayons à la recherche de nos produits préférés, je la vois discuter avec un grand gaillard d’une dizaine d’années de moins et rire sincèrement à son discours. Une érection me prend subitement, car il faut dire que j’adore quand mon amoureuse se fait accoster et draguer, c’est très érotique de voir que sa moitié excite les autres hommes. Je continue mes courses et attends qu’elle me rejoigne au bout d’environ 10 mn. Elle revient toute enchantée de sa rencontre et me demande si je l’ai vu. Elle me dit qu’il était très courtois, très entreprenant et qu’il sentait terriblement bon et qu’elle serait volontiers allez boire un café avec lui, mais qu’il ne l’avait pas proposé au contraire d’autres propositions auxquelles elle n’a pas donné suite.
Ce dernier m’a aussi vu et au regard de mon gabarit, il s’était ravisé pensant que je pourrais le prendre mal et lui faire physiquement regretter. J’étais très fier d’elle et ma foi ravis que ce dernier soit impressionné. La suite des courses n’était que bonheur pour moi lorsque nos regards se croisaient et que je prenais un malin plaisir à le torturer. D’ailleurs Stéphanie me fit la remarque d’arrêter mais c’était plus fort que moi.
Malheureusement, Stéphanie n’est pas femme à se répéter plusieurs fois et sa décision serait irréversible.
« Je n’aime pas que tu fasses le malin et que tu n’écoutes pas mes consignes. Du coup, tu vas aller le voir, t’excuser de l’avoir mis mal à l’aise, lui dire que c’est ta femme qui t’envoie. Qu’elle a réfléchis à sa proposition et que c’est bien volontiers qu’elle accepte ce verre proposé ce soir à 21h00 au bar précédemment évoqué. Et quand il te demandera si cela ne te dérange pas, tu lui diras que les désirs de ta femme sont les tiens et qu’au-delà du fait que tu aimes que d’autres hommes la drague, tu n’es pas contre le rôle de cocu de temps à autre lorsque la situation s’y prête et que là, tu as bien senti qu’il me plaisait beaucoup. Et tu finiras par un « s’il vous plait, acceptez de passer un bout de soirée avec elle » et reviens vers moi…. Allez.
Résigné je me dirige vers lui et entame la conversation. Les premières secondes, il était un peu anxieux de mon approche. Lors de mon explication, il a changé littéralement d’attitude en souriant et en regardant par-dessus mon épaule mon épouse souriante au bout du rayon.
Il acquiesça puis lorsque je l’ai supplié d’accepter, alors là il a mis sa main sur mon épaule, prenant de ce fait le rôle de dominant puis m’a informé de son choix « Bien sûr le cocu, que j’irais prendre ce verre avec ta femme. Dis-lui qu’elle s’habille comme je lui ai demandé, car j’ai des amis là-bas et il est hors de question que je ramène une femme qui ne les séduirait aucunement par sa tenue. Ciao…
Lui partit, Stéphanie me rejoins et entends ma réponse et s’en trouve ravie. Je lui pose mille et une questions sur le retour mais elle met le veto en me disant que je n’en saurais rien jusqu’à son retour. Mai en me promettant que si ça va trop loin, elle m’appellera avant. La discussion était terminée.

Arrivés à la maison, elle rangea les courses avec moi, puis me dit de nous faire à manger pendant qu’elle irait se prendre une douche et se préparer. Alors que ma préparation était au four, elle m’appela pour un service. Dans la salle de bain, elle était assise sur le bord de la baignoire, nue, jambes écartées. Elle me tend un rasoir de la mousse et me demande de lui faire le maillot et les jambes. « On ne sait jamais ce qui peut arriver »
J’ai aimé ce moment pou je la fais belle, je bande et demande pour un petit plaisir mais le refuse sous le prétexte qu’elle va se mettre en retard et que cela ne se fait pas. Je crois qu’elle s’amuse à me frustrer.
Nous finissons de souper et elle me demande de venir l’aider à s’habiller. Je crains la demande de l’autre et ses exigences. Elle me sort string et soutien-gorge noirs, bas, bottes, jupes mi longues et petit chemiser blanc, avec une petite veste en jeans.
Je prends le temps de la parer afin qu’elle soit désirable. Point vulgaire mais très sexy et désirable et je me rêve à penser que ce serait moi qui la déshabillerai et j’envie cet inconnu.
Elle part non sans m’embrasser et me remercier. Elle me demande de ranger la cuisine et ensuite de l’attendre et me souhaite une belle soirée. J’ai aussi l’autorisation de me branler deux fois maximum pendant son absence, car elle sait déjà l’excitation qui m’habitera chaque minute ou elle ne rentrera pas… Elle glisse quelques préservatifs dans son sac et referme la porte. Ça y’est je bande déjà.

Ma soirée est confuse et mon excitation à son paroxysme. Je bande, je jalouse ce mec, je suis content pour elle et fier et en même temps frustré de ne pas la posséder moi ce soir. Je m’attends à un appel de sa part pour me dire quelle va craquer ou qu’elle va finir chez lui, rien durant des heures….
Je me branle comme un fou à l’imaginer se faire prendre. Ma Stéphanie dans telle ou telle position. Je l’imagine couiner, jouir, se faire fesser, et ma main astique mon chibre énergiquement jusqu’à l’explosion. Encore et encore, chaque quart d’heure je recommence car je bande sans cesse.

Minuit et toujours rien. Mais que fait-elle ? Cette salope m’a oublié et elle se fait retrousser par ce bellâtre qui sait combien j’accepte ma condition de cocu. Elle doit prendre cher j’en suis persuadé.

Puis soudain aux aguets, j’entends sa voiture se garer et en sortir. Je l’entends mettre les clefs dans la porte et me découvrir devant elle. « Oh mon chéri tu m’attendais, tu aurais dû te coucher » Alors pourquoi tu ne m’as pas appelé que s’est-il passé ?
Mon chéri je vais te raconter, mais tu ne t’es pas branlé plus que deux fois ??

La suite prochainement si elle est souhaitée !!!