Mes premiers pas en tant que candauliste ( partie 5 ) - histoire érotique

Voilà maintenant plus de 4 mois que je profite et baise exclusivement ma Steph depuis le retour de notre week-end avec son amant, hormis le type du centre commercial . J’aime l’avoir près de moi, même si la soumission du jeu et la vision de la voir se régaler d’une autre queue me maque beaucoup.
Ce jour alors qu’on regarde un film basé sur un club échangiste, elle me fait part, sachant mon désir de tester ce lieu qu’elle aimerait bien y aller avec moi juste par curiosité mais qu’elle ne fera rien et ne veut pas que j’essaye de la forcer, sinon je serais d’ailleurs puni. Oui en effet depuis 2 mois notre sexualité est passionnante mais elle aime me dominer. Un jour c’est la cage pendant une semaine. Un autre c’est juste un cunnilingus avec interdiction de me branler ou encore certains soirs c’est massage des pieds et des jambes gratuitement. Souvent j’ai le droit de me faire sucer ou branler mais rarement j’ai l’autorisation de lui éjaculer à l’intérieur ou encore m’aventurer dans son magnifique petit cul, car elle n’aime pas plus que cela. Mais jouir avec elle est pour moi le plus grand bonheur.
Ce samedi soir, nous nous affrétons pour notre visite de ce club que nous ne connaissons pas du tout. Stéphanie me demande de lui sortir des vêtements aguichant mais sans excès et qu’elle choisira ensuite. Je pose sur le lit mon choix et les accessoires constituant le code, puis je pars me doucher à mon tour. En sortant de la salle de bain, je retrouve ma belle en train de se préparer dans la chambreLa première chose que je remarque c’est le large collier de chienne qui orne son coup m’indiquant son envie d’être quand même un peu chienne, ce soir, Je ne peux m’empêcher de sentir Il mon sexe gonfler instantanément puis je remarque la cage de chasteté posée sur mon pantalon et deux autres accessoires dont nous parlerons plus tard. Le symbole est clair, elle n’a pas spécialement envie de se faire baiser par d’autres devant moi, mais dans le meilleur des scénarios je ne participerais pas, selon sa décision. J’adore ces jeux et il va falloir que je laisse mon érection se calmer pour pouvoir enfiler cette cage.
Elle a, avant de partir, mis au point un « code » afin de déterminer ses envies du moment et en aucunes manières les miennes car je suis dans l’obligation d’être exclusif, si je veux qu’elle me fasse vivre ce fantasme de candauliste voyeur. Donc ce seront SES envies à elle uniquement.
Une fois prête Stéphanie recouvre sa tenue sous un pantalon large et un grand pull, elle glisse ses talons dans son sac et enfile une paire plus classique. Je me prépare à mon tour sans avoir vu la tenue de ma chérie. Me concernant, en dehors de la cage tout est très classique un pantalon que j’enfile sans mettre de sous-vêtements, une chemise, blouson léger et chaussures de ville.
Durant le trajet d’une demi-heure jusqu’au club, Stéphanie enlève son pantalon sous lequel elle dévoile une paire de bas noire, puis son pull. Elle ne porte qu’une petite robe en satin sexy, moulante et échancrée sur les côtés laissant apercevoir la douceur de sa peau et qu’elle ne porte rien en haut, puisqu’on peut apercevoir, un profond décolleté et un dos nu jusqu’aux dessus des fesses.

Elle resta ainsi pendant le trajet, prenant un malin plaisir à allumer le plafonnier à l’approche des camions afin d’être parfaitement visible dans l’habitacle. Pendant ce temps, alors que mon sexe est en érection et comprimé dans sa cage, j’encourageait à sa demande, ma chérie à être toujours plus salope et ralentissait en doublant les camions pour que les chauffeurs aient le temps de profiter du spectacle. Certains la klaxonnaient ou nous faisais des appels de phare pour la remercier.

Enfin nous arrivons au club, débarrassés des manteaux et après avoir salué les patrons et nous être fais expliquer un peu le fonctionnement nous pouvons commencer à profiter de la soirée.
Un superbe buffet permet de se restaurer, un peu d’alcool mais pas trop. Nous discutons avec les couples présents puis allons danser.
Je caresse ma belle sans pudeur, j’adore l’exhiber et adore encore plus la savoir chaude et sentir qu’elle a envie de sexe…ça l’excite terriblement…et elle ? Ce qui l’excite c’est de voir son homme excité…une sorte de cercle vicieux.

Nous allons curieusement nous promener à l’étage, Je pousse ma petite chienne dans une pièce équipée d’un fauteuil puis m’agenouille entre ses jambes pour la lécher et faire monter le désir. De mon côté je sent toujours mon sexe à l’étroit dans sa cage bandé à me faire mal.
je me redresse et caresse le collier autour du cou de Steph puis je lui montre que j’ai bien emmené les deux objets qu’elle a choisi, puis en la regardant droit dans les yeux je lui demande si c’est bien de cela qu’elle a désormais envie pour ce soir ? Le regard de Stéphanie se trouble et dans un soupir elle me répond oui. C’est ce que je veux…fais de moi une chienne en chaleur. J’ai ce désir depuis des mois de m’offrir à plusieurs hommes comme dans tes films pornos et d’être possédé devant toi comme un pantin.

Je me redresse, attrape ma chérie par la main et l’entraîne un peu plus loin dans le club que nous découvrons. L’établissement a la particularité d’être coupé en deux. Le club, ouvert uniquement le samedi soir et réservé aux couples et à côté un sauna, ouvert 7 jours/7 dans lequel les hommes seuls sont admis. Cette partie est accessible par une porte située au ré de chaussé. À l’étage une porte, permet d’accéder à des pièces équipées d’ouvertures auxquelles les hommes ont accès depuis l’autre côté. Pour être précis deux pièce équipée d’un trou où ils peuvent glisser leur sexe sans voir qui est derrière et une pièce séparée en deux par des barreaux permettant le passage des sexes et des bras. Des menottes sont fixées côtés couples aux barreaux en haut et en bas. Donc, le samedi soir les hommes étaient « parqués » côté sauna et les couples qui le souhaite peuvent soit passer de leur côté soit s’amuser par le biais des pièces communicantes.

Pour commencer j’entraine ma moitié dans la première pièce équipée d’un trou. Un sexe noir en sortait. L’homme avait glissé son sexe et semblait attendre patiemment une bouche coquine. J’attrape Stéphanie par la nuque et la dirige à se pencher jusqu’à ce que sa bouche soit au contact du sexe offert. Au contact elle ouvrit la bouche et commença à sucer l’homme. Je glisse ma main entre ses jambes et je ne peux que constater qu’elle mouillait déjà tellement, qu’elle coulait littéralement toute seule. Excitée par la situation elle demande à l’homme de se mettre un préservatif puis se propose de lui offrir sa chatte trempée à travers la paroi. L’homme après quelques minutes se vida rapidement et disparu, laissant Stéphanie encore plus excitée qu’avant.
Je l’entraîne alors vers la pièce avec les barreaux et la pousse de dos contre le grille. Rapidement des mains vinrent parcourir son corps sans délicatesse…Je voyais les hommes se presser derrière la grille pour pouvoir toucher ma salope offerte. Ils semblaient être très nombreux ce soir. Je les laissais malaxer le corps de ma chérie, explorer sa chatte avec leurs doigts gourmands, lui caresser et lui pincer les tétons jusqu’à ce que je juge qu’ils en avaient assez eu.

Nous sommes redescendus afin de danser et boire un verre. Steph était surexcité. Je luis demandais une nouvelle fois si elle était sûre d’elle, ce qu’elle confirma. Je l’entraina à l’écart et sorti le premier objet caché dans ma poche. C’était un rosebud dont le bijou représentait un sens interdit…et oui, bien que très salope elle n’était pas fan de sodomie et préférait interdire cet accès. Une fois le bijou en elle je l’entraîna côté sauna. Je montais directement à l’étage et me cachât immédiatement dans la première chambre, qui par chance était vide. Pour ceux qui connaissent le club, un lit rond se trouve juste en face de cette pièce en haut des escaliers totalement libre d’accès. Je sors le deuxième objet de ma poche, une cagoule équipée d’un seul trou pour la bouche que je plaçais sur la tête de Julie, la privant ainsi de la vue comme elle le désirait par pudeur.
Je lui retirai sa robe et ses bas pour qu’elle se retrouve nue, puis je sors ensuite de la chambre en tenant ma belle par la main pour la guider. Les hommes étaient montés pour découvrir leur nouvelle proie mais j’avais envie de faire durer un peu le plaisir. Je fis faire le tour complet de cet espace à ma chérie en la guidant…la première pièce ouverte puis la salle de projection, les couloirs…partout des hommes la touchaient sans qu’elle ne puisse les voir et je prenais mon temps pour les laisser profiter…Je la faisait passer devant moi ou derrière selon les cas pour l’exposer au maximum…Je voyais sa magnifique vulve se liquéfier et couler le long de ses jambes. Le tour terminé la fait mettre à quatre pattes sur le lit rond central et dit tout de haute voix « elle est à vous » Capotes obligatoires mais vous pouvez la retirer pour lui éjaculer dessus. Je précise quand même à cet instant qu’il fallait laisser son cul tranquille et qu’il ne fallait pas être violent.
Les hommes se jetèrent sur elle, un dans sa bouche et un autre dans sa chatte pendant que les autres se faisaient branler ou la caressaient…ils étaient une douzaine. Certains ne résistèrent pas suffisamment longtemps pour pouvoir la prendre et se vidèrent sur son corps. Les autres la prenaient sans ménagement lui imposant de puissants coup de bite et baisant littéralement sa bouche. Pendant ce temps je veillais à ce que tout le monde mette bien un préservatif et respect ma belle…Je l’entendais gémir de plaisir et je visionnais sa chatte qui dégoulinait tellement que le matelas sous elle était trempé.

Il faut être honnête, si elle les avait vu ma Stéph n’aurait probablement baisé avec aucun des hommes qui venaient de la prendre…trop jeunes, trop vieux, bedonnant, peu plaisant…c’est ce qui rendait la chose encore plus excitante pour elle comme pour moi. D’ailleurs, j’aurais pu profiter que ma belle n’y voyait rien pour ôter ma cage et la prendre à mon tour mais je n’en fis rien…Je préférais attendre que ma douce ai envie de s’occuper de moi, puisque je préférais être seul avec elle.

Une fois que les deux derniers se sont vidés les couilles sur le corps de ma chérie, je lui prends de nouveau la main et lui dit vient, je t’emmène aux douches…mais je ne choisis pas celle de l’étage, je l’ai fait descendre jusqu’au rez-de-chaussée après lui avoir enlevé sa cagoule dans l’escalier. Du sperme coulait sur son dos, ses fesses et ses seins et elle traversa l’espace entre le bar et les douches comme ça, portant sur elle les stigmates de ce qu’elle venait de faire. Les hommes présents découvraient le visage de celle qu’ils venaient de baiser…quant à elle, elle se demandait lesquelles venaient de la prendre et lesquelles avaient réussi à la faire jouir…mais ça elle ne le saurais jamais.

Une fois douchée, je lui redonne sa robe et ses bas et nous retournons du côté club pour boire un verre bien mérité. Ensuite nous sommes retournés danser un moment avant de prendre le chemin du retour.
Arrivé sur l’autoroute elle me demande si la soirée m’avait plus. Un « Oh oui éloquent » fût ma réponse et je précisai que je me sentais toujours terriblement à l’étroit dans ma cage. Julie ouvrit alors mon pantalon et ne put que constater le sexe de son homme comprimé dans la cage en raison d’une érection violente. Elle ôta le cadenas puis la cage. Elle s’agenouilla ensuite sur son siège pour venir prendre mon sexe entre ses lèvres pendant que je roulais toujours. Pendant que Stéphanie me suçait j’en profitais pour remonter le manteau sur ses fesses et ainsi les dévoiler par la fenêtre passager…En la caressant je me rendis compte qu’elle portait toujours son plug. Je grognai un « salope » Puis je l’avertis que nous allions doubler un camion. Ma chienne accéléra le mouvement de succion et quand elle sentit la voiture changer de voie, elle se redressa le temps d’allumer la lumière du plafonnier puis s’assurât que son cul était bien découvert, puis me dit de ralentir pour doubler. Elle replongea ensuite sur ma verge au garde à vous. Arrivé à hauteur de la cabine, je lève le pied de l’accélérateur, car je savais que le chauffeur, s’il tournait la tête allait voir le cul de ma belle et qu’elle était en train de me pomper. Je sentis le plaisir monter d’un seul coup et l’avertis…mais elle ne ralentit pas…alors qu’il était toujours à hauteur de la cabine, j’entends le klaxon du camion retentir plusieurs fois…le chauffeur semblait apprécier le spectacle…au même moment j’explosa dans sa bouche car la gourmande me fit gicler jusqu’à la dernière goutte. Elle se redressa et essuya sa bouche après avoir avalé. Elle me regarda pour me demander si je me sentais mieux avec un regard très coquin. Je souris en gémissant un oh oui putain….
Elle se replaçât sur son fauteuil sans réajuster sa tenue et se laissa aller au repos épuisée par cette folle soirée.