Mon chéri 3 Le piège se referme
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mon chéri 3 Le piège se referme
Dès qu'il franchit le seuil du salon de Zoé, avant même de saluer, l'amant s'exclame :
- Oh! ma cochonne! Tu es pressée de te faire ramoner les orifices et démonter le sexe ! Quoi, tu ne pouvais plus attendre, te voilà déjà complètement à poil, prête à te faire sauter immédiatement ? Tu es ravissante quand tu es en chaleur, quand tes yeux brillent de désir Tu as de la chance, je suis en forme olympique et je promets de te faire reluire et gueuler de plaisir longuement. Prends de quoi écrire, après chaque orgasme tu feras un trait sur ta feuille. Aujourd’hui, grâce à moi, tu battras tes records ou je me ferai moine. Viens ici que je caresse ta magnifique croupe et ton entrejambe grassouillet mais si sensuel.
Zoé réplique par un rire nerveux. Elle n’a pas tout entendu de l’amant excité par sa nudité surprenante mais dont il ignore la véritable cause. Il reprend :
-De plus je me propose de t’offrir une somptueuse première sodomie ; puisque ton paresseux manque à ses devoirs élémentaires, je vais remédier à l’ignorance où il te maintien après des années de mariage. Pourquoi veux-tu nous installer sur le canapé, ne serions-nous pas mieux dans ton lit pour des ébats longs et acrobatiques.
Zoé est embarrassée par ma présence dans la chambre conjugale. En me découvrant également nue, le glorieux séducteur perdrait une part importante de ses illusions, comprendrait qu’il n’est pas le seul à faire le bonheur de sa maîtresse en dehors du mari trop négligent. Elle écarte la solution du lit :
- Je veux préserver les avantages légaux du mari. Un jour peut-être sa libido se réveillera-t-elle. Tu m'as expliqué que le mariage est une erreur. J’en conclus que jamais tu ne souhaiteras m’épouser et que lorsque tu m’oublieras, car tu te lasseras un jour, je serai contente de pouvoir compter sur Martin.
Imprudente Zoé ! De la chambre j'entends s'abattre, sur ses fesses rebondies, une volée de claques sonores. Elle répond par un rire joyeux qui tourne vite à la plainte amoureuse. Les coups cessent. La femme réclame un baiser. Suit un silence vite interrompu par la voix grave du préposé à la baise bienfaisante. Lui va de surprise en surprise
- Oh! là.la ! Mais qu'est-ce que c'est ? Ton sexe est trempé, j'ai les doigts pleins de mouille épaisse. Ma parole, tu t'es masturbée en m'attendant ? Ou tu sors des bras d'un autre ? Alors vite, suce-moi, fais-moi bander dur que je te prenne. Ah! Non, ne te sauve pas.
Une course s'engage autour de la table basse du salon. J'entends des cris, des rires et le chant de victoire du mâle :
- Voilà ; je te tiens. Commence par la pipe, couvre tes dents avec les lèvres. Allez...Attends, j'ouvre le zip... Là, suce salope. Oui, mais tu peux mieux ; souviens-toi, j’adore chatouiller ta luette, plus profond, ma chérie… C’est mieux, continue… Voilà, c’est bon, oh ! Que c’est fort. Allez, prends ça sur la langue mâche et avale. Ouah, que tu es bonne, ma poule.
Je ne résiste pas à l’envie puissante de voir. Je suis curieuse de savoir si je suis à la page ou si je peux apprendre de nouvelles pratiques dont tu serais le bénéficiaire forcément. J’entrebâille doucement la porte qui sépare le salon de la chambre où je me cache. S’il ne fermait pas les yeux, le prétentieux pourrait voir le petit espace entre la porte et l’huisserie par lequel je les observe. Il a mieux à faire.
Après quelques minutes de récupération, l’amant se relève, fait coucher Zoé à plat dos sur le canapé, tire sur les jambes, installe le pli des genoux sur l’accoudoir le plus proche de moi. Il se glisse maintenant entre les jambes, tire encore, place les fesses sur l’accoudoir dont elles débordent légèrement. Le sexe de Zoé est plus haut que le reste de son corps, bien exposé à mon regard et à la convoitise de l’homme. Il est de dos, grand, imposant. Il plonge la tête entre les cuisses charnues de Zoé. C’est parti pour un cunnilingus savoureux qui répond à la fellation reçue de la bouche de Zoé.
Il doit compter sur cet intermède pour se refaire une santé avant de posséder sa maîtresse et de réaliser sa promesse d’orgasmes multiples. Il s’applique longuement à exciter les lèvres, grandes et petites, à titiller des doigts puis de la langue ce clitoris que je réjouissais avant qu’il ne débarque. La cyprine qu’il avale avec gourmandise, ces écoulements qui trempaient déjà la vulve et ses doigts indiscrets à son arrivée, sont en partie le résultat de mes bons soins à la chatte de Zoé. Aussi longtemps que ce monsieur n’était qu’un être abstrait, que je goûtais seule ces liquides féminins à la source, je ne lui accordais aucune importance. .Mais à la vue de ces fesses et du dos cassé au-dessus du minou de ma copine secrète, à entendre les premiers feulements amoureux de Zoé, j’ai un pincement au cœur, un brin de jalousie ? Ce n’est pas raisonnable, qu’en penserait mon Jean s’il savait qu’en plus de mes égarements physiques, j’éprouve le sentiment d’être trompée par cette femme ?
Zoé soudain s’essouffle et réclame d’être enfin prise. Je la trouve même crue lorsqu'elle crie :
Mais qu’attends-tu pour me tringler? Allez, bourre-moi, j’en crève d’envie. Baise-moi enfin. Montre que tu es un homme !
L’homme se relève, porte ses mains vers l’avant, sans doute pour diriger sa verge vers la fente baveuse en ébullition. Il tâtonne, pousse ses fesses vers la croupe, entre, pénètre et arrache un râle de satisfaction en s’enfonçant dans le vagin impatient. Voilà, ce que je suis incapable de fournir à Zoé, le mâle le lui donne, il l’enfile en profondeur et commence le mouvement quasi mécanique de la copulation ; ses fesses roulent, forcent vers l’avant puis se retirent puis elles repartent de l’avant, la verge la sabre enfin. Ils font l’amour.
J'assiste alors à un festival de toutes les positions connues de l'accouplement humain. Il l'enfile à quarez pattes sur le tapis, il la farcit sur le canapé,il la tringle couchée sur la table basse les pieds sur ses épaules, lui à genoux; contre un mur, dos cassé au niveau de la taille il la saute comme un sauvage. Ils ont en commun une sorte de rage, ils s'épuisent avec fureur avec des cris et des grognements de bêtes en rut à la recherche d'un délire sexuel qui leur échappe.
De rares pauses entrecoupent ces assauts interminables. Pour finir l'homme s'immobilise sur le tapis. Insatiable, Zoé le ranime avec la bouche avant de l'enjamber et de l"enfourner dans son vagin enflammé. Et elle reprend une chevauchée folle, interminable jusqu'à obtenir une dernière giclée de foutre. Elle se relève enfin et le sperme dégouline à l'intérieur de ses cuisses. Elle va embrasser son héros mais lui adresse un reproche moqueur :
- Mon pauvre chéri, tu as beaucoup promis. Hélas te voilà complètement à plat, couilles vides, quéquette en berne et tu ne m'as toujours pas enculée. Je suppose que ce sera pour la prochaine fois. Hé, Roland, tu ne peux plus bander ? Si je te présentais de la chair fraîche, une poulette excitante et neuve, te sentirais tu capable de la niquer ? Bof, tu n'en as pas l'air.Bon, assez flâné, debout, je te mets à l'épreuve. Je veux m'assurer que j'ai convenablement travaillé et que pour aujourd'hui tu es hors d'état d'enconner une jeune femme des plus sexuellement désirables.En sortant d'ici tu dois être comme impuissant. Viens mourir d'envie impossible à satisfaire à la vue d'un formidable petit lot.
Elle le tire vers la chambre. Je n'ai que le temps de me jeter sous un drap. Zoé me prend comme cobaye. Je suis le tas de chair fraîche qui fera tirer la langue au mâle qu'elle croit avoir rendu inoffensif pour des heures.Ils entrent dans la chambre, on arrache le drap. Au pied du lit le couple d'amants me sourit. Ciel, je connais ce Roland. Lui aussi me reconnaît.
- Mimi ? Que fais-tu dans ce lit complètement à poil. Qu'est-ce que tu es belle ! Tu sais Zoé, cette petite a été ma fiancée. Elle venait d'avoir 17 ans, on devait se marier avec l'accord de ses parents. Déjà elle était formidablement désirable. Je bandais dès que je la voyais, même dans son manteau d'hiver. Là, tu me l'offres et tu me crois impuissant. Je relève le pari. Puisqu'elle pose nue, quitte à crever, je vais la troncher.
- Oh! Doucement Roland. Dis-moi d'abord pourquoi tu ne l'as pas épousée.
- Oh! Merde, une histoire à la con. Un soir, en revenant d'un bal bien arrosé à la bière, nous nous étions installés à l'arrière de ma voiture. C'était plus commode pour se faire des câlins. Elle apprenait vite à embrasser. Ce soir j'ai tenté un progrès dans notre relation. Je lui ai déballé ma verge. Elle a accepté de toucher puis de prendre en main. A force de discours je l'ai persuadée de déposer un bisou, un deuxième. Elle a compris comment dégager le gland. Après,elle s'est amusée à faire coulisser mon prépuce. La découverte la faisait rire, d'autant plus que mon pénis a pris des proportions imposantes. Elle riait d'un rire étonné, joyeux mais avec une note de gêne.
Arrivé à ce point je lui ai juré que le stade suivant serait une étape vers le bonheur. Etait-elle naïve ou hypocrite et vicieuse ? Quand elle a posé ses lèvres sur mon gland dénudé, j'ai perdu le contrôle. Pendant qu'elle suçotait ou mâchonnait l'extrémité de mon membre, je me suis mis à tâter ses seins, ses fesses. Elle s'est relevée un peu fâchée. Pour la calmer je l'ai assise sur mes genoux et embrassée sur la bouche. Elle n'a pas vu arriver l'étape suivante. Assise sur mes genoux elle l'était aussi sur mon érection. Il m'a suffi d'écarter mes genoux pour me donner accès à l'entrejambe de sa culotte. De caresse en caresse j'ai écarté l'obstacle, j'ai poussé ma pine vers son con. Si grand était mon désir qu'il m'a fallu peu de mouvements pour lui inonder la fente, les poils et les cuisses de mon sperme.
A ce moment elle s'est mise à hurler que je la violais, que j'étais un salaud, qu'elle n'épouserait jamais un type qui abuse de la faiblesse d'une fille pour la déflorer par surprise. Je l'ai reconduite chez ses parents. Elle a ensuite refusé mes excuses, à menacé de me dénoncer à la police. La rupture était consommée.
Zoé m'interroge :
- Mimi, dis-moi, c'est vrai cette histoire ? Roland a été ton premier homme ? C'est lui qui a pris ta virginité ?
- Oui et non. En réalité il était plutôt mou. Il a franchi l'entrée et s'est agité dans le vestibule avant de cracher son foutre à la porte de mon sexe. La bière devait avoir réduit ses force. Lors de l'examen prénuptial, notre médecin de famille m'a félicitée d'avoir su protéger ma virginité en constatant que mon hymen restait intact, à déchirer par mon futur époux. Jean a accompli sa tâche d'époux et j'ai saigné lors de notre nuit de noces. J'ai constaté que Roland avait fait d'énormes progrès, que l'éjaculateur précoce d'alors est devenu un terrible étalon sous ton joug. Je me réjouis surtout de le savoir actuellement hors d'état de nuire. Mais tu aurais dû ne pas m'exposer à ses yeux.
Zoé s'excuse d'un geste de la main. Roland se sent humilié et se retire en entraînant Zoé. Ouf ! Je suis soulagée. Hélas pour peu de temps. Les amants reviennent et c'est Roland qui parle.
- Oh! ma cochonne! Tu es pressée de te faire ramoner les orifices et démonter le sexe ! Quoi, tu ne pouvais plus attendre, te voilà déjà complètement à poil, prête à te faire sauter immédiatement ? Tu es ravissante quand tu es en chaleur, quand tes yeux brillent de désir Tu as de la chance, je suis en forme olympique et je promets de te faire reluire et gueuler de plaisir longuement. Prends de quoi écrire, après chaque orgasme tu feras un trait sur ta feuille. Aujourd’hui, grâce à moi, tu battras tes records ou je me ferai moine. Viens ici que je caresse ta magnifique croupe et ton entrejambe grassouillet mais si sensuel.
Zoé réplique par un rire nerveux. Elle n’a pas tout entendu de l’amant excité par sa nudité surprenante mais dont il ignore la véritable cause. Il reprend :
-De plus je me propose de t’offrir une somptueuse première sodomie ; puisque ton paresseux manque à ses devoirs élémentaires, je vais remédier à l’ignorance où il te maintien après des années de mariage. Pourquoi veux-tu nous installer sur le canapé, ne serions-nous pas mieux dans ton lit pour des ébats longs et acrobatiques.
Zoé est embarrassée par ma présence dans la chambre conjugale. En me découvrant également nue, le glorieux séducteur perdrait une part importante de ses illusions, comprendrait qu’il n’est pas le seul à faire le bonheur de sa maîtresse en dehors du mari trop négligent. Elle écarte la solution du lit :
- Je veux préserver les avantages légaux du mari. Un jour peut-être sa libido se réveillera-t-elle. Tu m'as expliqué que le mariage est une erreur. J’en conclus que jamais tu ne souhaiteras m’épouser et que lorsque tu m’oublieras, car tu te lasseras un jour, je serai contente de pouvoir compter sur Martin.
Imprudente Zoé ! De la chambre j'entends s'abattre, sur ses fesses rebondies, une volée de claques sonores. Elle répond par un rire joyeux qui tourne vite à la plainte amoureuse. Les coups cessent. La femme réclame un baiser. Suit un silence vite interrompu par la voix grave du préposé à la baise bienfaisante. Lui va de surprise en surprise
- Oh! là.la ! Mais qu'est-ce que c'est ? Ton sexe est trempé, j'ai les doigts pleins de mouille épaisse. Ma parole, tu t'es masturbée en m'attendant ? Ou tu sors des bras d'un autre ? Alors vite, suce-moi, fais-moi bander dur que je te prenne. Ah! Non, ne te sauve pas.
Une course s'engage autour de la table basse du salon. J'entends des cris, des rires et le chant de victoire du mâle :
- Voilà ; je te tiens. Commence par la pipe, couvre tes dents avec les lèvres. Allez...Attends, j'ouvre le zip... Là, suce salope. Oui, mais tu peux mieux ; souviens-toi, j’adore chatouiller ta luette, plus profond, ma chérie… C’est mieux, continue… Voilà, c’est bon, oh ! Que c’est fort. Allez, prends ça sur la langue mâche et avale. Ouah, que tu es bonne, ma poule.
Je ne résiste pas à l’envie puissante de voir. Je suis curieuse de savoir si je suis à la page ou si je peux apprendre de nouvelles pratiques dont tu serais le bénéficiaire forcément. J’entrebâille doucement la porte qui sépare le salon de la chambre où je me cache. S’il ne fermait pas les yeux, le prétentieux pourrait voir le petit espace entre la porte et l’huisserie par lequel je les observe. Il a mieux à faire.
Après quelques minutes de récupération, l’amant se relève, fait coucher Zoé à plat dos sur le canapé, tire sur les jambes, installe le pli des genoux sur l’accoudoir le plus proche de moi. Il se glisse maintenant entre les jambes, tire encore, place les fesses sur l’accoudoir dont elles débordent légèrement. Le sexe de Zoé est plus haut que le reste de son corps, bien exposé à mon regard et à la convoitise de l’homme. Il est de dos, grand, imposant. Il plonge la tête entre les cuisses charnues de Zoé. C’est parti pour un cunnilingus savoureux qui répond à la fellation reçue de la bouche de Zoé.
Il doit compter sur cet intermède pour se refaire une santé avant de posséder sa maîtresse et de réaliser sa promesse d’orgasmes multiples. Il s’applique longuement à exciter les lèvres, grandes et petites, à titiller des doigts puis de la langue ce clitoris que je réjouissais avant qu’il ne débarque. La cyprine qu’il avale avec gourmandise, ces écoulements qui trempaient déjà la vulve et ses doigts indiscrets à son arrivée, sont en partie le résultat de mes bons soins à la chatte de Zoé. Aussi longtemps que ce monsieur n’était qu’un être abstrait, que je goûtais seule ces liquides féminins à la source, je ne lui accordais aucune importance. .Mais à la vue de ces fesses et du dos cassé au-dessus du minou de ma copine secrète, à entendre les premiers feulements amoureux de Zoé, j’ai un pincement au cœur, un brin de jalousie ? Ce n’est pas raisonnable, qu’en penserait mon Jean s’il savait qu’en plus de mes égarements physiques, j’éprouve le sentiment d’être trompée par cette femme ?
Zoé soudain s’essouffle et réclame d’être enfin prise. Je la trouve même crue lorsqu'elle crie :
Mais qu’attends-tu pour me tringler? Allez, bourre-moi, j’en crève d’envie. Baise-moi enfin. Montre que tu es un homme !
L’homme se relève, porte ses mains vers l’avant, sans doute pour diriger sa verge vers la fente baveuse en ébullition. Il tâtonne, pousse ses fesses vers la croupe, entre, pénètre et arrache un râle de satisfaction en s’enfonçant dans le vagin impatient. Voilà, ce que je suis incapable de fournir à Zoé, le mâle le lui donne, il l’enfile en profondeur et commence le mouvement quasi mécanique de la copulation ; ses fesses roulent, forcent vers l’avant puis se retirent puis elles repartent de l’avant, la verge la sabre enfin. Ils font l’amour.
J'assiste alors à un festival de toutes les positions connues de l'accouplement humain. Il l'enfile à quarez pattes sur le tapis, il la farcit sur le canapé,il la tringle couchée sur la table basse les pieds sur ses épaules, lui à genoux; contre un mur, dos cassé au niveau de la taille il la saute comme un sauvage. Ils ont en commun une sorte de rage, ils s'épuisent avec fureur avec des cris et des grognements de bêtes en rut à la recherche d'un délire sexuel qui leur échappe.
De rares pauses entrecoupent ces assauts interminables. Pour finir l'homme s'immobilise sur le tapis. Insatiable, Zoé le ranime avec la bouche avant de l'enjamber et de l"enfourner dans son vagin enflammé. Et elle reprend une chevauchée folle, interminable jusqu'à obtenir une dernière giclée de foutre. Elle se relève enfin et le sperme dégouline à l'intérieur de ses cuisses. Elle va embrasser son héros mais lui adresse un reproche moqueur :
- Mon pauvre chéri, tu as beaucoup promis. Hélas te voilà complètement à plat, couilles vides, quéquette en berne et tu ne m'as toujours pas enculée. Je suppose que ce sera pour la prochaine fois. Hé, Roland, tu ne peux plus bander ? Si je te présentais de la chair fraîche, une poulette excitante et neuve, te sentirais tu capable de la niquer ? Bof, tu n'en as pas l'air.Bon, assez flâné, debout, je te mets à l'épreuve. Je veux m'assurer que j'ai convenablement travaillé et que pour aujourd'hui tu es hors d'état d'enconner une jeune femme des plus sexuellement désirables.En sortant d'ici tu dois être comme impuissant. Viens mourir d'envie impossible à satisfaire à la vue d'un formidable petit lot.
Elle le tire vers la chambre. Je n'ai que le temps de me jeter sous un drap. Zoé me prend comme cobaye. Je suis le tas de chair fraîche qui fera tirer la langue au mâle qu'elle croit avoir rendu inoffensif pour des heures.Ils entrent dans la chambre, on arrache le drap. Au pied du lit le couple d'amants me sourit. Ciel, je connais ce Roland. Lui aussi me reconnaît.
- Mimi ? Que fais-tu dans ce lit complètement à poil. Qu'est-ce que tu es belle ! Tu sais Zoé, cette petite a été ma fiancée. Elle venait d'avoir 17 ans, on devait se marier avec l'accord de ses parents. Déjà elle était formidablement désirable. Je bandais dès que je la voyais, même dans son manteau d'hiver. Là, tu me l'offres et tu me crois impuissant. Je relève le pari. Puisqu'elle pose nue, quitte à crever, je vais la troncher.
- Oh! Doucement Roland. Dis-moi d'abord pourquoi tu ne l'as pas épousée.
- Oh! Merde, une histoire à la con. Un soir, en revenant d'un bal bien arrosé à la bière, nous nous étions installés à l'arrière de ma voiture. C'était plus commode pour se faire des câlins. Elle apprenait vite à embrasser. Ce soir j'ai tenté un progrès dans notre relation. Je lui ai déballé ma verge. Elle a accepté de toucher puis de prendre en main. A force de discours je l'ai persuadée de déposer un bisou, un deuxième. Elle a compris comment dégager le gland. Après,elle s'est amusée à faire coulisser mon prépuce. La découverte la faisait rire, d'autant plus que mon pénis a pris des proportions imposantes. Elle riait d'un rire étonné, joyeux mais avec une note de gêne.
Arrivé à ce point je lui ai juré que le stade suivant serait une étape vers le bonheur. Etait-elle naïve ou hypocrite et vicieuse ? Quand elle a posé ses lèvres sur mon gland dénudé, j'ai perdu le contrôle. Pendant qu'elle suçotait ou mâchonnait l'extrémité de mon membre, je me suis mis à tâter ses seins, ses fesses. Elle s'est relevée un peu fâchée. Pour la calmer je l'ai assise sur mes genoux et embrassée sur la bouche. Elle n'a pas vu arriver l'étape suivante. Assise sur mes genoux elle l'était aussi sur mon érection. Il m'a suffi d'écarter mes genoux pour me donner accès à l'entrejambe de sa culotte. De caresse en caresse j'ai écarté l'obstacle, j'ai poussé ma pine vers son con. Si grand était mon désir qu'il m'a fallu peu de mouvements pour lui inonder la fente, les poils et les cuisses de mon sperme.
A ce moment elle s'est mise à hurler que je la violais, que j'étais un salaud, qu'elle n'épouserait jamais un type qui abuse de la faiblesse d'une fille pour la déflorer par surprise. Je l'ai reconduite chez ses parents. Elle a ensuite refusé mes excuses, à menacé de me dénoncer à la police. La rupture était consommée.
Zoé m'interroge :
- Mimi, dis-moi, c'est vrai cette histoire ? Roland a été ton premier homme ? C'est lui qui a pris ta virginité ?
- Oui et non. En réalité il était plutôt mou. Il a franchi l'entrée et s'est agité dans le vestibule avant de cracher son foutre à la porte de mon sexe. La bière devait avoir réduit ses force. Lors de l'examen prénuptial, notre médecin de famille m'a félicitée d'avoir su protéger ma virginité en constatant que mon hymen restait intact, à déchirer par mon futur époux. Jean a accompli sa tâche d'époux et j'ai saigné lors de notre nuit de noces. J'ai constaté que Roland avait fait d'énormes progrès, que l'éjaculateur précoce d'alors est devenu un terrible étalon sous ton joug. Je me réjouis surtout de le savoir actuellement hors d'état de nuire. Mais tu aurais dû ne pas m'exposer à ses yeux.
Zoé s'excuse d'un geste de la main. Roland se sent humilié et se retire en entraînant Zoé. Ouf ! Je suis soulagée. Hélas pour peu de temps. Les amants reviennent et c'est Roland qui parle.
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