Mon cocufiage et ma soumission... suite - histoire érotique

<p>Suite de ma soumission très volontaire...

Je me retrouvais seul dans l'appartement et regardais partir ma femme et son amant qui lui pelotait clairement le cul en sortant. Ils prirent la voiture du mec pour se rendre au boulot. Je me dis donc que ses collègues allaient rapidement comprendre que ma femme me trompait. J'en connaissais quelques uns et ce n'était pas sans excitation que je pensais à leurs regards et leurs commentaires sur cette situation nouvelle.
Au milieu de la journée, ma femme m'appela. "Mon chéri, tu as aimé ce matin ? Tu sais, il est très vigoureux et arrivés au boulot, il a encore tenu à me lécher la moule que j'avais en feu. Nous l'avons fait sur mon bureau en fermant la porte. C'était merveilleux... J'ai parlé de ma situation à Christiane (sa collègue que je connais bien...) qui a trouvé cela très excitant et qui va peut-être venir ce soir dîner avec X..., si il l'accepte, bien sûr. Il aura comme ça deux salopes à son service au lit. Elle aimerait te voir, à nos ordres toute la soirée, tu n'y vois pas d'inconvénient ? Tu mets donc un couvert de plus et j'aimerais que tu mettes le tablier pour nous accueillir à la porte, que Christiane soit là ou pas, tout en restant totalement nu dessous... Merci et si tu es sage, dans la nuit, tu pourras nous lécher un peu... A ce soir, je te tiens au courant."
Ce message m'excita au plus haut point. Tout allait très vite et l'idée de servir de valet sexuel à mes hôtes me ravissait, je me languissais que passent les heures. Et elles passèrent... très lentement ! Je pris ce temps pour me laver, me parfumer, me balader nu et apprendre à porter le tablier qui ne faisait que couvrir mon sexe dont on voyait la bosse immédiatement dès que je bandais.
(Le soir)
J'avais été prévenu (et j'avais accepté) que Christiane arrive à l'avance pour me voir seule. Elle sonna et je devais être à son service. "Je te préviens, elle est très cochonne et elle a des envies, si elle l'ose, assez salaces, mais tu dois faire tout ce qu'elle veut, OK ?"
Très belle femme de 32 ans, brune souriante et gaie, aux seins de taille respectable et au cul très proéminent. Elle me connaissait époux normal et donc à son arrivée, nous fûmes un peu gênés de nous retrouver seuls. Mais je pris les devants en lui ôtant son manteau et en lui demandant "Je peux faire quelque chose de spécial pour toi en attendant ma femme ?" "David, puisque tu le demandes, j'en ai parlé avec ta femme et j'aimerais vraiment que tu me lèches les pieds et qu'ensuite, si l'envie de pisser me prend, que tu boives à ma source en me léchant... Tu crois que tu peux me satisfaire ? Je suis très mouillée à l'idée de diriger le mari de ma copine"
J'étais... sur le cul d'une telle demande mais très excité. "J'ai très envie de te satisfaire, c'est mon engagement et tu peux tout me demander. Je vais te servir à boire, accompagne moi dans la cuisine, je vais te retirer les chaussures (ce que je fis tout de suite) et tu n'as pas besoin de te mettre nue, bien sûr. Viens..."
Elle but deux grands verres d'eau et je m'accroupis devant elle pour lui prendre un pied entre mes mains. J'entrepris de le lécher avec ardeur, je la vis se masser les seins et fermer les yeux rapidement. Je pris l'autre pied. Sa jupe me laissait voir son string déjà taché de mouille. Délicieux. Elle me dit rapidement en commençant à gémir. "Tu lèches bien, David, j'ai envie de ta langue au creux de ma moule, enfonces toi et fais moi jouir dans la cuisine, debout, comme ça, vite"
Je m'exécutais avec plaisir. J'étais nu sous le tablier et elle pouvait voir ma bite dressée contre le tissu. Cette vue l'excitait mais elle ne voulait pas me toucher et je ne devais rien lui demander. Je me mis à lécher sexe en enfouissant le plus profondément ma langue pour la faire jouir. Elle serrait ma tête contre elle et me parlait ainsi : "Tu lèches bien David...oh...ouiiii... vas-y au fond... Prends mon clito, vite, vite.... je vais jouir, je vais venir et exploser.... Tu es un bon esclave.... Tu me fais du bien et là... oh! Oui c'est bon... je jouis encore et encore...."
Elle avait une jambe relevée et j'avais écarté son string pour mieux la lécher. Elle gémit longtemps et doucement. Elle remis son string en place devant son sexe et me regarda dans les yeux à moi qui restait sous elle, soumis à ses désirs. "Enlève ton tablier, David, j'ai envie de pisser sur toi et le carrelage. Ensuite tu nettoieras et tu viendras me doucher et je veux te regarder dans les yeux me boire toute entière. Viens, colle toi à mon string... je vais pousser et tu vas boire ma pisse, elle est pour toi, mon petit soumis."
(Elle était douce avec moi, ce qui changeait et j'aimais cela. Je collais ma bouche contre son string plein de mouille collée et je la sentis pousser. "Ah c'est bon, je sens que ça vient, colle toi bien...oh la la ... ouiiiii...."
Rapidement son string fut trempé et coloré en jaune clair. J'avais écarté le tissu et ouvert ma bouche. Les premiers jets furent délicats et irréguliers. Ils correspondaient à ses premières poussées puis son jet de pisse se fit plus dru sur mon visage. Elle me regardait en souriant et dirigeait le tout dans ma bouche et sur ma poitrine. Tout dégoulinait aussi sur ses jambes et sur le sol souillé. J'étais toujours en train de bander à mort et j'aimais que cette femme m'arrose de sa pisse chaude. J'en ai bu le plus possible, un goût âcre mais très supportable.... "Je jouis encore en même temps que je te pisse dessus, David, tu sens comme j'aime te souiller... Que c'est bon d'avoir un homme soumis, elle a de la chance ta femme, je vais lui demander si je peux encore aller plus loin avec toi, tu obéis bien et j'ai des envies toujours plus chaudes pour toi et moi. Bois bien ma pisse, j'adore te voir..."

Je pris un grand plaisir ensuite à me relever, à bien lui avoir nettoyé son con et sa raie et ses jambes léchées totalement et elle me demanda de me balader ainsi devant elle. Elle me prit en photo sur son portable pour immortaliser ce moment et pour me remercier, sans le dire à ma femme, me branla le sexe que j'avais en feu. Elle me fit jouir dans ses mains et lécha le tout avec le sourire. Il nous restait à attendre ma femme et son amant....


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