Mon cocufiage... suite - histoire érotique

<p>Voici la suite des aventures de ma femme...

"Il a du rapidement me laisser après m'avoir bien fait jouir et hurler, car je devais reprendre le travail mais nous avons vite repris rendez-vous pour 17h. Tu vois, mon petit cocu, j'avais de la suite dans les idées... et lui aussi !
Il est venu me chercher à la fermeture et m'a proposé de me ramener chez moi, chez nous, donc, mon chéri. "On prend ma voiture et j'ai envie de te prendre en bas de chez moi, ma belle salope, ça te tente ?"
Tu penses bien que j'étais emballé, vu la grosseur de sa bite que je n'avais pu que lécher ce midi. Bien plus imposante que la tienne, je savais qu'elle me remplirait la chatte efficacement, voire le cul. Tu me comprends, mon chéri, n'est-ce pas ?
(Piqué par ces attaques je n'en étais pas moins excité car je sentais qu'elle était rapidement devenue accroc à ce mec, je l'avais voulu et je l'en avais autorisée, je ne pouvais plus reculer... En même temps, je sentais sa chatte dégouliner sous mes doigts et son anus dilaté et je bandais toujours comme un phoque à l'idée de la suite... "Oui, je te comprends, ma chérie, une bonne bite bien grosse a du te changer et te donner beaucoup de plaisir ?")
"Oh, tu n'imagines pas, le jour et la nuit avec toi, mon amour. Dorénavant, je veux des grosses bites au cul dès que possible et toi tu ne viendras qu'en second, OK, et si et seulement si j'en ai encore envie... Mais je reprends mon récit, je veux que tu saches tout du plaisir que j'ai pris sans toi.
Je suis donc sans hésiter monté avec lui dans sa voiture et il m'a très vite mis la main sur la chatte en conduisant (je n'avais plus de culotte ni de soutif... c'est plus facile pour lui être offerte, tu vois, pour être sa chose rien qu'à lui ?) et m'a doigté frénétiquement jusqu'à arriver devant notre porte. Heureusement ses vitres étaient fumées et nos voisins n'ont rien pu voir. Je savais que tu étais à la maison, rentré et que tu m'attendais et je me sentais très très salope. J'avais gardé les traces de son sperme sur mes seins...
Nous sommes passés derrière dans son quatre quatre et il a commencé à me parler très crûment. " Tourne toi salope et montre moi ton cul de soumise". J'ai bombé le cul et tu sais, toi, combien il est gros et rond, n'est-ce pas ? Il a écarté mes deux fesses et recommencé à me lécher l'anus et la moule à la fois. Je gémissais de plaisir. C'était si bon, si doux et fort de savoir que j'allais enfin goûter sa bite, une vraie bite de vrai mec ! Il n'a pas été patient, a vite défait son froc et présenté son sexe tendu devant ma chatte. "Tu vas raconter à ton mari ce que tu as fait aujourd'hui, n'est-ce pas ?" "Oui...oh ouiiii..." "Tu vas lui dire que tu es à moi désormais et que je te ramènerai tous les soirs jusqu'à ce que j'en ai assez de toi..." "Tout ce que tu voudras, je le ferai, je veux être ta salope soumise, je veux être une vraie pute pour toi..."
Ces mots l'excitaient énormément et il a enfoncé sans ménagement sa bite dans ma moule et a commencé à me labourer vivement. J'étais aux anges. Gros, bien plus fort que toi, il m'a fait jouir deux fois fortement en m'insultant et j'en redemande encore, tu te rends compte, mon chéri ? Je veux être à lui, rien qu'à lui, qu'il puisse user de mon sexe à sa guise, avant toi et je veux que tu sentes combien j'aime ce qu'il me fait que tu ne m'as jamais donné, toi, jamais..."
(J’étais énervé mais si excité que j'ai lâché tout mon sperme sur ses doigts qui me branlaient toujours. J'étais un peu honteux mais désormais bien... soumis, aux désirs de ma salope de femme. Elle repris son récit en me regardant... un peu dépitée)
"Mieux que toi, il tenait mes hanches comme un vrai homme viril et m'enfonçait son pieu au fond de la chatte que j'avais en feu... "Oui...prends moi encore...oh..oooh... j'aime ton sexe en moi, j'aime être ta pute, je veux être ta putain,que tu m'offres à d'autres mecs...." "Tu es une vraie salope, je l'ai toujours senti... tiens... tiens..." Il me fessait en même temps de plus en plus fort, j'avais le cul rouge et puis il m'a enfin prise par le cul qu'il avait si bien léché et préparé ce midi...
Je ne me reconnaissais plus mais je crois que ma vraie nature est révélée... mon petit chéri. Il a joui au fond de mon cul et j'ai avec amour, oui, avec amour, léché son sexe ramolli sorti de mon cul. Nous sommes restés lovés plus d'une heure l'un contre l'autre à se cajoler et vite il a remalaxé mes seins et s'est refait une branlette espagnole. Pour jouir au fond de ma gorge. Nous avons parlé et passé le contrat suivant. Tu sais, je te remercie de m'avoir laissé vivre cette aventure mais tu dois savoir qu'elle va continuer, à mes conditions, avec ou sans toi. Je veux rester ta femme, mais je veux faire ce que je veux de mon cul. Tu auras le droit de lécher, sucer, toucher, laver, admirer, mais pour me prendre, il faudra mon autorisation expresse. Tu es OK ? (Je n'avais plus de choix possible et je l'aimais. Je sentais son attrait pour ma soumission et je rebandais presque à l'idée de continuer...)
"Oui, mon amour, mais je veux juste tout savoir et voire, tout voir. J'aime que tu sois heureuse enfin ! "
Elle reprit : alors voilà, demain matin, il passe me chercher tôt, je lui ai dit que tu dormirais et il veut venir tôt pour me prendre dans notre salon. Tu pourras entendre mon plaisir et sa voix... Et demain soir, il vient passer la nuit avec moi, nous irons au cinéma et je dois m'habiller très sexy pour qu'il me montre et m'exhibe, tu vois le plan ? Je meurs d'envie de le suivre et je sais que je vais prendre mon pied. Je te raconterai à mon retour et en attendant, tu peux te branler encore mais aussi me lécher la chatte car je suis très excité par ce que je viens de te raconter et de vivre. Merci de me l'avoir permis, mais ce sera sans retour en arrière, je te l'avais dit. Tu sais, il m'a aussi dit qu'il pourrait me baiser devant toi, si tu le veux bien ? J'avoue que cela me fait énormément mouiller que tu saches quel bel homme il est et que tu vois sa bite entrer en moi... Il veut aussi faire des photos de mon cul et de mes seins... ici, dans notre maison, je lui ai dit que tu avais un bon appareil et que tu me le prêteras...
C'est ainsi que commença ma vie d'homme soumis aux moindres désirs de ma femme devenue en une journée plus salope que tout ce que je pouvais imaginer...


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