Mon épouse, cette inconnue - 3ème partie : Retour de l'infidèle

- Par l'auteur HDS Bricol08 -
Récit érotique écrit par Bricol08 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon épouse, cette inconnue - 3ème partie : Retour de l'infidèle Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mon épouse, cette inconnue - 3ème partie : Retour de l'infidèle
Je récupère ma voiture et prends la direction de l'appartement. Je suis triste, effondré par la perspective que, dés cet instant, tout pourrait être fini entre ma femme et moi. Je réalise maintenant que c'est peut-être tout un pan de ma vie qui va s'effondrer, les années que je considère comme les plus heureuses. Ma relation avec mon épouse que j'aimais à la folie. La naissance de mes enfants que j'adore. Une vie réussie, sans soucis, sans accrocs majeurs. Et voilà qu'à cause du comportement irréfléchi d'une écervelée, de cette catin, tout s'écroule. En cet instant, je la hais.
En roulant j'essaie de réfléchir aux différents scénarios possibles:
- «Mon épouse se réfugie chez un autre de ses collègues: je n'y croyais pas, après ce qui venait de se passer chez Gérard, ils allaient avoir peur de connaître la même mésaventure.
- «Elle se réfugie chez Guy, le seul célibataire: çà, c'était un risque qu'elle pouvait envisager en dernier recours, mais cela aurait été assez étonnant car elle n'avait pas suffisamment d'atomes crochus avec lui et, comme avait dit Aline, il tenait à son indépendance. Mais peut-être un jour ou deux!
- «Elle rentre à la maison et là, je ne savais pas trop comment gérer la situation, mais c'était l'hypothèse la plus plausible.
A peine entré, je vais prendre une douche pour me nettoyer de toutes les saloperies auxquelles je venais d'assister.
Puis, revêtu de ma robe de chambre, confortablement installé dans mon fauteuil, dégustant un whisky, j'attendis la suite des événements.
C'est le téléphone qui me tire de mes méditations. Ma première réaction est de me dire:
« Elle vient aux nouvelles, elle vient tâter le terrain ».
Après le message d'attente du répondeur, une voix féminine que je connais désormais très bien et qui me fait plaisir à entendre, annonce: « Bonjour, c'est Madame D., la femme de Gérard, je vous demande Monsieur R. de me rappeler au.... ». Je me précipite aussitôt sur le combiné et décroche, comprenant avec le retour du vouvoiement qu'elle doit-être avec son mari:
- «Allo, allo, oui je suis là!
- «Ah! Monsieur D.! Oui, je vous appelle car le sac à main de votre épouse est resté dans le salon. Alors, qu'est-ce qu'on fait? Vous venez le chercher?
Je réfléchis quelques instants et répond:
- «Non non! Je n'en ai pas le courage. Je le récupérerai vendredi! De toute façon elle n'est pas rentrée. Ou alors Gérard peut lui rendre demain au travail.
- «Il n'en est pas question. Je ne veux plus que Gérard ait un rapport quelconque avec cette catin. Je l'ai prévenu! J'ai suffisamment de connaissances à leur boulot pour le savoir.
Et si j'apprends qu'il ne ferait ne serait-ce que discuter avec elle, c'est le divorce. Je vais avoir à ma disposition assez de preuves pour l'obtenir à ses torts exclusifs.
- «OK! Bon, je le récupère vendredi. Je sais que tu ne peux pas discuter librement mais l'entretien avec ton mari s'est bien passé?
- «Dur!
- «Bon je te laisse! A vendredi! Je t'embrasse!
En plus elle a oublié son sac! Si elle revient, elle n'a donc pas de clés pour rentrer. Elle devra sonner.
Je repris mon attente en laissant errer ma pensée ce qui m'amena à réaliser tout le mal qu'avait fait, ou qu'allait faire mon épouse. Des couples qui risquaient de se désunir, des enfants rendus malheureux par la séparation de leurs parents. Et tout cela pour des parties de jambes en l'air, pour quelques instants de plaisirs. Je lui en veux encore plus. Tout cela par égoïsme, pour assouvir sa faim de jouissance sexuelle, son besoin irrationnel de conquêtes, d'attirer les hommes et de les amener à lui rendre hommage dans des baises infinies et innombrables afin de la rassurer sur son irrésistible pouvoir de séduction, pouvoir oh! combien réel, j'en conviens. Cette femme est diabolique, elle ne se rend pas compte de son pouvoir de nuisance.
Mais c'est cette femme qui est la mère de nos trois enfants, c'est cette femme que j'ai aimé à la folie. Mais est-ce que vraiment je ne l'aime plus? Je ressens un sentiment confus que j'ai extrêmement de mal à analyser. Il me faut plus de recul pour me décider complètement.
Bien revenons à mes hypothèses. Je pense donc qu'elle va revenir. Par contre, d'après le laps de temps qui vient de s'écouler depuis les événements de chez Gérard, si cette hypothèse est la bonne, elle devrait déjà être ici. Elle est donc repassée chez Guy pour remettre de l'ordre dans sa tenue. Si c'est le cas, la connaissant comme je la connais maintenant, ce ne sont pas les événements que l'on vient de traverser qui vont l'empêcher d'en reprendre un petit coup dans le cul.
Je déplace donc mon siège prés de la porte-fenêtre et guette les mouvements sur le parking.
Une demie heure plus tard une voiture stoppe devant l'immeuble. Je reconnais Guy au volant. Mon épouse descend, elle récupère sa valise et sa vanity sur le siège arrière. La voiture repart sans attendre et mon épouse traverse.
Et bien voilà, on y est, l'heure de l'explication a sonné, comme la porte d'entrée d'ailleurs.
- «Oui! Qui est-ce?
- «?????
- «Allo! Il y a quelqu'un?
Une petite voix me répond:
- «C'est moi;
- «Moi qui?
- «Ben moi! Ta femme!
- «Ma femme? Je n'ai plus de femme depuis vendredi soir! Au revoir madame!
Le silence fait suite à ma remarque. Elle va rappeler. Je n'ai pas ôté le combiné de mon oreille. J'entends les bruits de la rue. Puis une voix:
- «Bonjour Madame R. . Vous rentrez de voyages? Vous n'avez pas vos clés apparemment?
- «Ben non! Je ne les trouve pas.
- «Attendez, je vous ouvre.
Elle a rencontré une résidente de l'immeuble. Elle va donc arriver à la porte palière. J'anticipe son arrivée et vais entrebâiller le dite porte. Quelques minutes plus tard, elle grince puis je l'entends se fermer discrètement. Puis plus rien, le silence. Elle est dans l'entrée, elle n'ose pas se présenter à moi, trop honteuse. Je ne fais pas un geste, je la laisse donc gérer son embarras.
Après une attente qui me paraît interminable, elle apparaît enfin sur le seuil, tête baissée et regard fuyant.
Puis brusquement elle traverse le salon sans un regard et à grandes enjambées , faisant claquer ses hauts talons. Elle va se réfugier dans la salle de bains. Malgré la brièveté du passage, j'avais eu le temps de remarquer qu'elle ne portait plus la robe que je l'avais vu enfiler en vitesse dans la rue tout à l'heure, donc elle est bien repassée quelque-part pour se changer.
Il me reste à l'attendre de pieds fermes.
Une demie heure plus tard elle n'est toujours pas sortie. Je vais à la porte, elle a mis le verrou mais j'entends des bruits d'eau, elle doit-être dans la baignoire.
Enfin, après une heure, elle apparaît vêtue d'un peignoir de bain. Elle s'assoie dans le canapé et demeure muette, tête baissée.
- «C'est tout ce que tu as à me dire?
- «Ben oui!
- «Tu te fous de moi en plus? Tu disparais quatre jours sans donner le moindre signe de vie, je te trouve en posture plus que fâcheuse chez Aline et ce après ton exhibition de vendredi, tu rentres la bouche en coeur et tu n'as rien à me dire?
- «????????
- «Alors si tu n'as rien à me dire, moi tu vas m'écouter. Cela a commencé vendredi soir.
Après ta scabreuse prestation avec tes copains, je dois te dire que même si j'ai été extrêmement choqué au départ, j'ai fini par me prendre au jeu et par n'avoir plus qu'une seule idée, te sauter moi aussi tellement je bandais. Il fallait que je me soulage absolument tellement tu m'avais excité. Et après être revenu des toilettes et toi sortie de la salle de bains, tu m'annonces, tout de go: «On part finir la soirée en boite». Là, je me suis rendu compte que tu avais décidé de m'interdire de te faire l'amour. Devant tes amis, tu m'as fait subir la honte de ma vie!
- «Mais pas du tout, je t'ai dit après, en revenant!
- «Alors là, arrête de te foutre de ma gueule, parce que tu n'as jamais eu l'intention de revenir à l'appartement et je m'en suis rapidement rendu compte, simplement en vous regardant aller à la voiture puisque tu avais ta vanity de maquillage à la main alors que tu venais de te remaquiller. Pourquoi emporter ce bagage si c'était pour revenir trois heures plus tard? Et cette vanity, tu as attendu que je me rende aux toilettes pour vite sortir de la salle de bains afin de la planquer dans l'entrée sans que je la vois. De plus, ton empressement à me dire, la bouche en coeur: «tu n'as qu'à nous attendre ici, tu n'aimes pas fréquenter ces lieux là», de manière à prendre les devants et à surtout m’empêcher de me joindre à vous car, sinon, tes plans visant à m'écarter tombaient à l'eau. Je ne suis tout de même pas naïf à ce point. Et depuis en quatre jours, j'ai eu le temps de réfléchir.
- «Oui, mais tout çà n'était pas prévu, je ne pensais pas que la soirée allait se dérouler ainsi!
- «Tu te fous encore de moi! Tu crois que je ne t'ai pas vu allumer de façon éhontée tes collègues, en faisant admirer tes seins en les exposant sous leur nez, en croisant et recroisant tes jambes, en faisant exprès de faire crisser tes bas et en montrant tes cuisses dénudées, jusqu'à faire admirer aux deux ploucs qui étaient devant toi ta fourrure pubienne! Au début je me disais qu'ils devaient voir ta culotte, mais ils en voyaient beaucoup plus! D'ailleurs, le fait de ne pas mettre de culotte, la aussi cela m'a choqué et de te montrer en spectacle en te masturbant carrément sur la jambe de Gérard, le fait de laisser les deux hommes te mettre à poil devant ton mari, te faire bouffer le cul et la facilité avec laquelle Guy t'a enculé alors que tu m'as toujours refusé cette manière de te faire l'amour! Manifestement cette pratique est pour toi chose courante et enfin la façon vorace et bestiale d'emboucher le sexe de Jean-Luc, te laissant aller presque jusqu'à l’asphyxie et le plaisir évident que tu as pris à avaler son jus! Ça aussi tu me l'as toujours refusé! Et après m'avoir imposé tout ce spectacle, madame refuse que je participe à la fête!
- «Je te rappelle que je ne voulais pas les inviter, c'est toi qui a insisté.
- «Oui mais comme m'a dit Gérard lorsque tu étais dans la salle de bains, tu aurais pu leur dire la vérité, que je n'étais au courant de rien et la soirée se serait déroulée normalement.
D'ailleurs Gérard m'a fait d'autres révélations: vos parties de jambes en l'air tous les vendredis chez Guy et chez Gérard pendant les vacances scolaires, il m'a même dit que ces soirs là, quand tu rentrais à la maison, tu avais déjà pris au moins douze à vingt queues dans le cul, avec moi tu en prenais donc une énième en plus. Sans compter celle que tu prends le midi dans les chiottes de l'usine puisqu'ils ont chacun leur jour pour t'y sauter. Il y a aussi ton chef, tous les mercredis soirs. Tu es vraiment une vrai salope!
- «Je n'y peux rien, c'est un besoin pour moi, je ne peux pas rester sans sexe, c'est un besoin vital, comme manger ou respirer. Je n'y peux rien, tu n'y peux rien. Je sais que cela complique mes relations avec toi mais pourtant je t'aime, je n'aime que toi et n'aimerai que toi, c'est avec toi que j'ai eu mes enfants et c'est avec toi que je veux vivre!
- «Alors là, attends, n'allons pas trop vite. Vendredi, je passe chez Aline, elle va me donner une copie du constat d'adultère et les photos qui ne vont pas être piquées des hannetons. Copies, qui je te le rappelle, vont également être remises aux épouses de tes trois collègues mariés qui ont participé à ta petite sauterie. Du coup, avec ton inconscience, te voilà responsable de la destruction de quatre couples, plus le notre, parce que moi, je n'ai encore rien décidé quant à l'utilisation à laquelle je destine ces documents. Il est évident que si ces photos atterrissent sur le bureau d'un juge aux affaires familiales, je n'aurais aucune difficulté à obtenir un divorce à tes torts exclusifs et tu n'aurais même pas la garde des enfants, peut-être même pas l'autorisation de les recevoir chez toi. Le juge ne prendra jamais le risque de confier des mineurs à une adulte, à une mère indigne qui se livre à des orgies torrides et qui sert à assouvir l'avidité sexuelle de mâles en rut.
- «Mais ce n'est pas possible, tu ne peux pas me faire çà!
- «Comment çà je ne peux pas te faire çà! Encore une fois je n'ai encore rien décidé, mais je le peux parfaitement! Mais enfin, retombe sur terre, tu me trompes tous les jours et même plusieurs fois par jour, tu me mens, tu me prends pour un con, tu disparais quatre jours et quatre nuits en me laissant dans un désarroi total, j'étais malade de jalousie, malade d'inquiétude, je te voyais continuellement en train de râler sous les coups de bites que t'enfilaient tes copains dans tous les orifices. Tu trouves que tout cela ne mériterait pas que je demande le divorce?
- «Mais qu'est-ce que je deviendrais moi?
- «Çà, il fallait y penser avant! De toute façon tu vas avoir des célibataires sur le marché qui vont bientôt pouvoir te recevoir, car je pense qu'on va assister à une vague de divorces dans ton entourage dans les semaines à venir. Vous allez pouvoir monter une association pour vous entraider. Malheureusement je ne suis pas certain que tes copains vont bien accepter la tournure que vont prendre les événements, tu risques d'avoir des surprises dans les prochains jours dès que l'épouse de Gérard aura averti tout le monde. Déjà, Aline m'a prévenu que Gérard a interdiction complète de t'approcher, même de t'adresser la parole.
Elle a des espions dans ton usine qui la préviendront s'il déroge à ces ordres.
- «Mais enfin tu ne peux pas me faire çà Didier. Et nos dix ans de mariage, nos enfants, la vie que nous avons eu jusqu'à maintenant, çà compte tout de même!
- «Une vie de mensonges, de tromperies. Je me demande bien depuis quand tu te fais sauter à droite et à gauche. Si çà se trouve, toutes nos connaissances masculines rigolent dans mon dos en me plaignant, moi, le pauvre cocu. Combien parmi eux ont profité de tes faveurs? En parlant des enfants, je ne sais même plus s'ils sont réellement de moi!
- «Ne dis pas çà, bien sur qu'ils sont de toi!
- «Comment en être certain après tout ce que je viens de découvrir.
Des larmes se mirent à couler et elle ne put empêcher les sanglots.
- «Bon, je vais me changer les idées, je vais boire un demi! On reparlera de cela tout à l'heure, mais de toute façon il faut me laisser un temps de réflexion.
Mais avant tout, il faut que j'aille vérifier une chose à laquelle j'avais pensé tout à l'heure. Je vais dans la chambre m'habiller et je repasse par la salle de bains et me dirige vers le panier à linge sale. Les vêtements qu'elle portait tout à l'heure sont bien là. C'est sous son chemisier que je découvre sa culotte, elle en a donc remise une. Je la saisis et regarde à l'intérieur, l'entre-cuisse est couvert d'une abondante substance visqueuse dans laquelle nagent des résidus d'excréments. La salope, elle s'est bien fait enculer chez l'un ou l'autre. Je reviens dans le salon en brandissant le trophée, je lui mets sous le nez: « En plus il a fallu que tu ailles terminer ce que tu avais commencé chez Gérard! Combien étaient-ils cette fois? Les trois qui ont été chassés de chez Gérard? »
Elle me regarde sans répondre. Je lui balance la pièce de lingerie souillée sur ses genoux, j'enfile ma veste et sors.
Mais je ruse et accomplit une fausse sortie. Avec elle, il faut être plus malin. En fait je claque la porte mais en restant dans l'entrée. J'avais laissé intentionnellement la porte du salon entrouverte, je suis persuadé qu'elle va téléphoner. Deux minutes plus tard j'entends effectivement le déclic du combiné que l'on décroche et les cliquetis des numéros que l'on compose. Puis après quelques instants:
- «Allo, Jean-Luc? C'est Joss!
- «???
- «Je suis chez moi, non il est sorti boire un demi.
- «???
- «Je ne sais pas. Il me parle de divorce mais demande à réfléchir. C'est une catastrophe.
J'ai fait une connerie monumentale.
- «???
- «Je sais bien que j'ai géré comme une conne la soirée de vendredi, c'était une erreur d'aller m'installer chez Gérard. Le problème, c'est qu'une fois là-bas, je ne savais plus comment me dépêtrer de cette situation dans laquelle j'étais allée trop loin. Il me reproche un tas de choses et Gérard qui lui a raconté toutes nos frasques, il est complètement fou!
- «???
- «Non, mais en fait, pour vendredi soir, il me reproche surtout de l'avoir repoussé, de ne pas avoir repris nos ébats en le faisant participer!
- «???
- «Je sais bien que Gérard m'a dit que j'avais fait une erreur, mais sur le moment je ne pensais pas que cela atteindrait de telles proportions.
- «???
- «Non, je vais attendre qu'il revienne. Pourvu qu'il se calme. Le problème c'est que je l'aime, il m'est impossible d'envisager la vie sans lui. Vendredi il passe chez Aline qui lui remet copie du constat d'huissier avec les photos, c'est en s'appuyant sur ces documents qu'il demanderait le divorce....
- «???
- «Évidemment c'est de la dynamite. En plus, tu te souviens qu'elle a dit qu'elle allait contacter les autres épouses pour leur proposer la même chose, dont la tienne.
- «???
- «Mais arrête de hurler! Ce n'est quand même pas moi qui vous ai obligé à me sauter! Ce soir, tu es venu de ton plein gré chez Gérard, oui ou non?
- «???
- «Arrête de me traiter de salope, vous étiez bien contents de me trouver pour vous vider les couilles merde à la fin!!!
Clac, elle a raccroché.
Je l'entendis jurer, maugréer. Je me doutais que cela allait tourner au vinaigre et ce n'était que le début.
A peine m'être fait ces réflexions, la sonnerie du téléphone retentit.
- «Oui allo!
- «????
- «Ah Gérard! Oui je suis seule, il est parti boire un demi. Et toi?
- «???
- «Ah! D'accord! Tu as quelques minutes de répit! Non, çà ne se passe pas bien du tout, il parle de divorce, je suis dans une merde noire. Et toi?
- «???
- «Ah, tant mieux, même si çà va te compliquer la vie, je ne sais pas comment on va faire pour continuer à nous voir.
- «???
- « C'est fini? Comment ça c'est fini?
- «???
- «Ah d'accord! Alors tu vas obéir comme un petit toutou à ta femme! Alors pour toi aussi c'est moi la salope et vous des petits anges innocents! Bravo les mecs, quel courage!
- «???
- «Que je t'évite dorénavant à l'usine? Pas de problème, je ne te connais pas, je ne t'ai jamais connu. Salut!
Clac!
Et çà continue, c'est la grosse débandade, sans jeux de mots.
Discrètement cette fois je sors, il ne devrait plus rien se passer ce soir.
Trois quarts d'heure plus tard je reviens dans l'appartement. Elle est toujours dans le canapé et s'est servie un apéritif. Elle a retiré sa sortie de bain et a revêtu un déshabillé que je lui avais offert à son dernier anniversaire. L'opération séduction a débuté.
- «Tu veux un apéritif?
- «Je veux bien!
Quelle amabilité soudaine. Elle doit-être marquée par les deux conversations téléphoniques qu'elle vient d'avoir.
Elle me tend mon whiskies et se rassoit.
- «Alors, on fait quoi?
- «Comment ça, on fait quoi? Je t'ai dit qu'il me fallait un temps de réflexion. Tiens, pendant qu'on discute, une chose que je voudrais savoir et je te demande de me dire la vérité pour une fois, vendredi soir, vous êtes réellement allés en boite ou vous êtes directement allés baiser chez Gérard?
- «On est allé chez Gérard.
- «Merde! Merde! J'ai vraiment dû passer pour un con auprès de tes potes!
- «En fait, Gérard m'a reproché que si c'était pour aller chez lui, il ne voyait pas trop l'intérêt d'être parti, qu'on aurait aussi bien pu faire cela ici et qu'ainsi tu aurais pu participer.
Il m'a dit qu'il pensait que tu allais l'avoir mauvaise.
- «Content de savoir que quelqu'un qui me fait cocu pense à moi en tes lieu et place. J'aurais préféré que ce soit toi qui se fasse cette réflexion.
- «En fait, j'avais peur qu'avec toi comme participant je ne réussisse pas à me libérer!
- «Ah! Mais tu n'avais pas du tout l'air coincé vendredi, rassure-toi!
- «Excuse-moi! J'ai complètement déconné.
Malgré moi, en buvant mon verre je jette de rapides regards vers elle et je ne peux que me répéter: « Mon dieu, mais qu'elle est belle cette femme ». D'où je suis, je vois ses seins tendre le tissu semi transparent de son déshabillé, les pointes érigées, on devine les aréoles.
Les jambes croisées, elle laisse admirer ses magnifiques cuisses rondes et pleines. La voir ainsi offerte déclenche alors une mini tempête dans mon pantalon et je fais mon possible pour masquer cette érection incongrue vue les circonstances. Bien que je me sois bien vidé les bourses tout à l'heure, cela fait maintenant cinq jours que je n'ai pas touché à ma femme, ce n'était jamais arrivé en temps ordinaires, alors, bien sur, la nature reprend le dessus.
Elle dut sentir mon trouble, cette femme là a un sixième sens pour les affaires qui touchent au sexe. Elle pose son verre, se lève et vient derrière mon fauteuil. Elle pose ses mains à la base de mon cou et commence à le masser. Je me dis que je ne devrais pas capituler aussi vite, mais que faire?
.
De ses doigts habiles elle commence à déboutonner ma chemise, me fait pencher le torse et m’ôte le vêtement. Une fois torse nu elle défait ma ceinture, déboutonne mon pantalon et baisse la fermeture éclaire. Pendant ce temps ses lèvres se posent délicatement dans mon cou où elles déposent de petits baisers. Puis elles glissent vers ma bouche qu'elles enveloppent voracement. Sa langue rejoint ma langue et nos respirations ne font plus qu'une. Je ne peux m’empêcher de me dire que ce sont ces mêmes lèvres, cette même bouche, qui ont certainement données du plaisir cet après-midi à certains de ses collègues.
Elle me sort le sexe qui se dresse fièrement et entreprend une lente masturbation. Puis elle repasse devant le fauteuil, s'agenouille et l'engloutit jusqu'à la garde. Quelle sensation extraordinaire. Je sens mon gland enfoncé dans la gorge, coincé dans le conduit et qui est comme massé par ses amygdales. Une de ses mains se saisit de mes bourses et les triture.
Soudain elle se recule et me fait lever. Elle me descend pantalon et caleçon aux chevilles et son autre main s'insinue dans la raie des fesses. Un doigt vient prendre position sur l'anus et tente de forcer le passage, mais c'est trop sec et cela risque de devenir douloureux. Alors, elle me fait faire demi-tour, ses mains écartent d'autorité mes fesses et sa bouche vient me téter l'anus. Elle l'humidifie en y introduisant de la salive avec la langue. La sensation est nouvelle, c'était agréable. Puis, au bout d'un certain temps, elle représente son doigt qui s'enfonce maintenant sans problème dans mes viscères. Elle me fait alors retourner en maintenant son doigt bien introduit, gobe de nouveau mon sexe et me malaxe les couilles. Je dois présenter la même scène que celle dont j'avais été témoin vendredi avec Guy. Et comme avec Guy cela ne peut pas durer longtemps. Un plaisir extraordinaire commence à me monter des reins, ma queue devient raide comme jamais. Elle a maintenant le nez écrasé contre mon pubis, ma queue au fond de sa gorge. C'est dans cette position que je ne peux me retenir, je lâche toute la purée en poussant un cri de bête en rut. Mes couilles de nouveau bien pleines par l’excitation mettent de longues secondes à se vider en je ne sais combien de jets saccadés qui aboutissent directement dans son œsophage. Là non plus elle n'en perd pas une goutte. Puis elle me libère et de sa langue lèche ma verge toujours dressée, la nettoyant du peu de sécrétions qui y adhérent.
Elle se redresse puis me chuchote à l'oreille: « Je te laisse reprendre quelques forces puis, si tu le désires, tu pourras m'enculer ».
En utilisant ces termes crus, elle fait tout pour m'occuper l'esprit et m’empêcher de réfléchir!
Elle s'assoit alors sur le canapé et m'invite à la rejoindre:
- «Viens ici s'il te plaît. Allonge toi et pose ta tête sur mes cuisses. Tu m'as demandé tout à l'heure des explications, je vais te les donner. Surtout, ne m'interromps pas, c'est assez difficile comme cela!
Je me mets en place comme elle me le demande, ma tête posée sur l'oreiller soyeux de ses cuisses, sa merveilleuse poitrine surplombant mon visage. Je décide de fermer les yeux car je ne pourrai jamais me concentrer avec ces seins diaboliques que je voudrai tant caresser.
- «Alors voilà! Tu as pu te rendre compte ces derniers jours que j'ai un sérieux problème qui remonte déjà à plusieurs années. Apparemment tu ne t'es aperçu de rien. Ce problème est simple et relève peut-être de la psychiatrie. En fait, il coexiste deux femmes en moi:
- la femme normale, celle que tu connaissais jusqu'à vendredi. C'est l'épouse, celle qui aime son mari, c'est la mère de famille qui aspire à son bonheur et à celui de ceux qu'elle aime.
- et il y a l'autre, une femme dépravée, qui se détruit et qui maintenant risque de détruire jusqu'à sa cellule familiale, ce qu'elle ne peut supporter. Alors, qu'elle est-elle cette femme? C'est assez compliqué à t'expliquer. Lorsque je quitte mes repères familiaux et que je me retrouve au sein d'un milieu masculin, je suis atteinte de délire maniaque, de désirs violents du coït. Je ressens alors de violentes secousses dans mes organes sièges de la volupté: le clitoris, le vagin, la matrice et, tel l'estomac qui a des crampes lorsqu'il est en manque de nourriture, mes organes réclament ce qu'ils ont besoin, le sexe, plusieurs sexes, du sperme, des quantités de sperme. Leur fringale devient immense, j'ai alors une envie irrépressible de me rouler dans la copulation. Ce besoin est insatiable, c'est pourquoi il me faut de préférence plusieurs hommes pour l'assouvir. Je suis alors purement atteinte de fureur utérine et rien, rien ne peut alors me faire retrouver la raison. Vendredi, mon problème se situait dans le fait que j'ai fait cohabiter ensemble mes deux personnalités: la femme normale, matérialisée par ta présence et le fait de me trouver dans notre appartement et la femme dépravée, celle représentée par la présence de mes collègues, mes partenaires sexuels habituels. Hormis le fait que nous nous trouvions dans notre logement, c'est surtout ta présence qui jurait, qui me dérangeait, tu étais l’intrus, celui qui n'avait pas le droit de savoir, mais surtout celui qui ne pouvait en aucun cas se salir en participant à toutes ces horreurs. Alors, je me suis enfuie. Ensuite, j'avais honte, terriblement honte vis à vis de toi. Alors je me suis roulé dans la fange, dans la débauche. Je m'y complaisais, j'y trouvais mon bonheur, mais surtout, cela m’empêchait de réfléchir, de penser, je n'étais plus moi-même, je n'étais qu'une bête assoiffée de sexe et si tu n'étais pas intervenu tout à l'heure, je suis incapable de te dire comment je me serais sortie de cette situation tant j'étais déstabilisée. Je ne sais pas ce que tu vas décider mon chéri. Mais je te supplie de me garder. Il faut que tu m'aides, sans toi je suis foutue. J'irai me faire soigner auprès d'un spécialiste et, avec toi, je devrais pouvoir m'en sortir. Alors, qu'en penses-tu?
- «Ce que tu viens de m'expliquer rejoint les conclusions que j'avais tirées de la situation observée depuis quelques jours et de ce qu'a pu me dire Gérard vendredi lorsqu'il m'a parlé de toi. Maintenant le problème reste entier. Tu m'as trompé, menti, ridiculisé! Tu veux guérir? c'est bien! Mais que va t-il se passer entre maintenant et le moment hypothétique de ta guérison? Quelle va être notre vie? A quoi vais-je penser lorsque tu seras absente de l'appartement? Que fait-elle? Avec qui est-elle? Combien sont-ils à la sauter? Et à ton retour tous les soirs: combien l'ont sauté aujourd'hui? Ma vie va devenir un enfer!
- «Je sais bien mon chéri, mais peut-être existe t-il un médicament qui puisse calmer mes pulsions? Il y en a bien pour les hommes avec le bromure!
- «Écoute, je ne sais pas ce que je vais décider. Je ne peux pas prendre une telle décision à chaud. Alors voilà ce que nous allons faire. Demain, tu téléphones à ton boulot pour dire que tu es souffrante, de toute façon tu ne peux pas prendre la voiture, tu as oublié ton sac chez Gérard, tu n'as donc pas tes papiers. Et il vaut mieux que tu prennes un peu de recul vis à vis de tes collègues et ex-partenaires dont certains ne vont peut-être pas sauter de joie en te voyant après ce qu'Aline les a menacé de dire à leurs épouses. Ainsi, j'ai du temps pour te faire part de ma décision. Je ne t'ai pas dit, mais je suis en congé le restant de la semaine.
- «Comme tu veux!
Ouf! Le plus difficile est passé. Ma décision est toutefois déjà prise: je ne peux pas abandonner cette femme, je l'aime trop. Oui, elle m'a fait souffrir horriblement, mais j'ai un besoin vital de ce corps, de ces somptueuses formes, il me faut les toucher, les palper. La faire jouir, jouir moi-même en parfaite communion avec elle est une nécessité à laquelle je ne pourrai jamais me soustraire. Maintenant, il va falloir réfléchir comment combiner tout cela avec son statut déclaré de nymphomane!
Cette journée a été terriblement difficile et stressante, je décide d'aller me coucher.
Demain il fera jour et les esprits seront plus clairs.
(A suivre)

Les avis des lecteurs

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Vivement la suite , mais a Mon avis elle a trouvé un nouveau job , et lui une poule aux œufs d or .

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Texte coquin : Mon épouse, cette inconnue - 3ème partie : Retour de l'infidèle
Histoire sexe : Une rose rouge
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