Mon épouse, cette inconnue- 7ème partie: retour difficile
Récit érotique écrit par Bricol08 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mon épouse, cette inconnue- 7ème partie: retour difficile
- «Et me voici de retour. Voila ce que j'avais à te dire. Ce fut tout de même extrêmement fort, je n'avais jamais connu un tel délire sexuel.
- « Ma pauvre chérie! Je me doutais que ta journée n'allait pas être de tout repos, mais là, ça dépasse tout ce que j'aurais pu imaginer! Quant à tes délires, tu sais, je pense que cela vient de ta particularité à sur-réagir à toute forme d'excitation sexuelle dès lors qu'il s'agit de circonstances exceptionnelles. C'est ainsi quand tu te trouves dans un groupe d'hommes qui commencent à t'exciter, bien vite tu perds pieds et tu ne maîtrises plus rien du tout, ce qui t'amène aux excès qu'on a pu connaître dernièrement ici même. La différence c'est qu'il s'agit en l’occurrence d'une expérience inédite dans le nombre de coïts d'une intensité inaccoutumée qui t'a procuré une jouissance extrême et excessive, d'où une réaction à la mesure de ces excès. Maintenant je ne te cache pas que cela m'inquiète, tu as vraiment quelque chose qui ne fonctionne pas chez toi! Tu me l'avais plus ou moins expliqué lors de ton retour de chez Gérard, tu as un désordre dans tes organes génitaux qui ne te permettent plus de réagir logiquement lorsque ceux-ci sont anormalement excités. La première des choses à faire, c'est de surtout arrêter toute nouvelle expérience telle que celle d'aujourd'hui, tu finirais par en perdre la raison.
- « Tu crois? Pourtant j'ai ressenti une telle jouissance, comparable à nulle autre, que c'est tentant d'y retourner.
- « Écoute, si tu le fais, ce sera sans mon aval! Et crois bien qu'un jour où l'autre ça risque de mal se terminer!
- « Mais non! Tu exagères! Quels risques veux-tu qu'il y ait !
- « Bon, écoute, on en parlera un autre jour. Sinon, physiquement, tu ne souffres pas trop au niveau de tes parties génitales? Elles ont été tellement malmenées.
- « Ben, ça pourrait aller mieux! J'ai la vulve et le rectum distendus et endoloris, il me faudra quelques jours pour que tout redevienne normal.
- « Tu veux que je te mettes de la crème adoucissante?
- « Si tu veux!
- « OK! Va dans la chambre et allonge toi sur le lit, j'arrive.
Je passai donc dans la salle de bains prendre le pot de crème et une serviette et partis la rejoindre.
Je la trouvai allongée. Je dégageai son peignoir et lui fit écarter les cuisses. Je pris une bonne dose de crème avec mes doigts et lui étalai sur la vulve qui était effectivement bien rouge. J'enduisis l'extérieur puis entrepris de lui en mettre également à l'intérieur. Très vite, ce sont quatre doigts de ma main qui entrèrent sans difficulté à l'intérieur de son vagin. Il était complètement distendu. Je réunis mes doigts en cône, le pouce à l'intérieur, et poussai ma main en tournant et en rajoutant de la crème. Ma main avança sans difficulté, la partie la plus large disparut bientôt à l'intérieur et quelques instants plus tard, c'est ma main complète qui fut introduite. Cela se fit sans aucune difficulté. J'étais en train de fister ma femme sans qu'elle n'émette aucune plainte.
- « Ça va?
- « Oui! Oui!
De contempler ce moignon de bras sortir du sexe de mon épouse me provoqua un véritable délire sexuel. Encore plongé dans l'excitation cérébrale provoquée par l'écoute de ses dernières aventures du jour, l'érotisme de cette scène me déclencha une glorieuse érection. Je sortis ma main de ce fourreau brûlant et m'essuyai rapidement dans la serviette.
Puis je pris position entre la fourche des cuisses restées écartées et m'engouffrai dans ce sexe béant. La sensation fut des plus bizarres dans la mesure où je ne sentis pratiquement pas les parois du vagin dans lequel coulissait librement ma verge. Mon épouse ne réagissait pas non plus. Il faut dire à sa décharge, qu'après ce qu'elle avait vécu aujourd'hui, ce n'est pas un sexe d'une taille même relativement enviable qui allait la faire monter au 7ème ciel.
Par contre, en ce qui me concernait, même avec une excitation mécanique plus que modérée, rien que de savoir que j'occupais la même place que celle qui avait était complètement envahie une bonne partie de l'après-midi me mit en transes. Très rapidement je sentis le plaisir me monter des reins et je me déversai longuement dans ce pauvre sexe malmené.
Complètement épuisée par cette journée dont elle se souviendra longtemps, mon épouse dormait déjà. Je l'installai dans le lit et la recouvris avec draps et couvertures. Je lui déposai un baiser sur ses lèvres en lui souhaitant bonne nuit mais elle ne m'entendit pas.
Après avoir pris un léger repas, je partis à mon tour me coucher.
Le lendemain matin, je me levai de bonne heure comme d'habitude. Je réveillai mon épouse. Lorsqu'elle me rejoignit dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner, je m'aperçus que la nuit de sommeil lui avait fait le plus grand bien.
Par contre, lorsque je rentrai le soir, je vis que çà n'était pas la grande forme. Elle était toujours rêveuse, elle semblait comme absente. Lorsque je lui en fis la remarque, elle me rassura :
- « Non, non! Tout va bien!
Toute la semaine ce fut la même chose. Ce qui m'inquiéta au plus haut point, c'est le fait qu'elle semblait avoir perdu tout appétit sexuel. Le calme plat : pas de soirée du mercredi avec son chef, pas de gang-bang le vendredi chez Guy et même moi, lorsque j'essayais elle me faisait comprendre qu'elle n'avait pas envie. C'est comme si son expérience de samedi lui avait donné une indigestion du sexe ! J'en vins à craindre qu'elle ne soit en train de sombrer dans une dépression.
En fait, elle était sortie très marquée de sa partie de chasse. Le bouleversement qui s'était opéré en elle avait atteint son équilibre psychique.
Ce week-end nous allons dans les Ardennes récupérer les enfants. Si lundi il n'y a pas d'amélioration, nous irons consulter.
Heureusement le changement d'air du week-end sembla lui être bénéfique. Elle parut plus gaie, plus active. Samedi soir, nous avons fait l'amour.
La semaine suivante sa santé s'améliora tous les jours, elle était désormais sortie de l'espèce de spleen qui l'isolait et l'avait plongé dans une crise d'angoisse. Signe de sa guérison, elle repris ses sorties. La première fois que j'étais heureux que ma femme me trompe.
Mais désormais, j'avais décidé d'être vigilant et de surveiller la nature de ses sorties. Les parties de chasse seront définitivement à bannir. Je vais également surveiller sa relation avec le fromager, je n'ai pas confiance en ce gars là.
Notre vie put donc reprendre son cours.
(A suivre...)
- « Ma pauvre chérie! Je me doutais que ta journée n'allait pas être de tout repos, mais là, ça dépasse tout ce que j'aurais pu imaginer! Quant à tes délires, tu sais, je pense que cela vient de ta particularité à sur-réagir à toute forme d'excitation sexuelle dès lors qu'il s'agit de circonstances exceptionnelles. C'est ainsi quand tu te trouves dans un groupe d'hommes qui commencent à t'exciter, bien vite tu perds pieds et tu ne maîtrises plus rien du tout, ce qui t'amène aux excès qu'on a pu connaître dernièrement ici même. La différence c'est qu'il s'agit en l’occurrence d'une expérience inédite dans le nombre de coïts d'une intensité inaccoutumée qui t'a procuré une jouissance extrême et excessive, d'où une réaction à la mesure de ces excès. Maintenant je ne te cache pas que cela m'inquiète, tu as vraiment quelque chose qui ne fonctionne pas chez toi! Tu me l'avais plus ou moins expliqué lors de ton retour de chez Gérard, tu as un désordre dans tes organes génitaux qui ne te permettent plus de réagir logiquement lorsque ceux-ci sont anormalement excités. La première des choses à faire, c'est de surtout arrêter toute nouvelle expérience telle que celle d'aujourd'hui, tu finirais par en perdre la raison.
- « Tu crois? Pourtant j'ai ressenti une telle jouissance, comparable à nulle autre, que c'est tentant d'y retourner.
- « Écoute, si tu le fais, ce sera sans mon aval! Et crois bien qu'un jour où l'autre ça risque de mal se terminer!
- « Mais non! Tu exagères! Quels risques veux-tu qu'il y ait !
- « Bon, écoute, on en parlera un autre jour. Sinon, physiquement, tu ne souffres pas trop au niveau de tes parties génitales? Elles ont été tellement malmenées.
- « Ben, ça pourrait aller mieux! J'ai la vulve et le rectum distendus et endoloris, il me faudra quelques jours pour que tout redevienne normal.
- « Tu veux que je te mettes de la crème adoucissante?
- « Si tu veux!
- « OK! Va dans la chambre et allonge toi sur le lit, j'arrive.
Je passai donc dans la salle de bains prendre le pot de crème et une serviette et partis la rejoindre.
Je la trouvai allongée. Je dégageai son peignoir et lui fit écarter les cuisses. Je pris une bonne dose de crème avec mes doigts et lui étalai sur la vulve qui était effectivement bien rouge. J'enduisis l'extérieur puis entrepris de lui en mettre également à l'intérieur. Très vite, ce sont quatre doigts de ma main qui entrèrent sans difficulté à l'intérieur de son vagin. Il était complètement distendu. Je réunis mes doigts en cône, le pouce à l'intérieur, et poussai ma main en tournant et en rajoutant de la crème. Ma main avança sans difficulté, la partie la plus large disparut bientôt à l'intérieur et quelques instants plus tard, c'est ma main complète qui fut introduite. Cela se fit sans aucune difficulté. J'étais en train de fister ma femme sans qu'elle n'émette aucune plainte.
- « Ça va?
- « Oui! Oui!
De contempler ce moignon de bras sortir du sexe de mon épouse me provoqua un véritable délire sexuel. Encore plongé dans l'excitation cérébrale provoquée par l'écoute de ses dernières aventures du jour, l'érotisme de cette scène me déclencha une glorieuse érection. Je sortis ma main de ce fourreau brûlant et m'essuyai rapidement dans la serviette.
Puis je pris position entre la fourche des cuisses restées écartées et m'engouffrai dans ce sexe béant. La sensation fut des plus bizarres dans la mesure où je ne sentis pratiquement pas les parois du vagin dans lequel coulissait librement ma verge. Mon épouse ne réagissait pas non plus. Il faut dire à sa décharge, qu'après ce qu'elle avait vécu aujourd'hui, ce n'est pas un sexe d'une taille même relativement enviable qui allait la faire monter au 7ème ciel.
Par contre, en ce qui me concernait, même avec une excitation mécanique plus que modérée, rien que de savoir que j'occupais la même place que celle qui avait était complètement envahie une bonne partie de l'après-midi me mit en transes. Très rapidement je sentis le plaisir me monter des reins et je me déversai longuement dans ce pauvre sexe malmené.
Complètement épuisée par cette journée dont elle se souviendra longtemps, mon épouse dormait déjà. Je l'installai dans le lit et la recouvris avec draps et couvertures. Je lui déposai un baiser sur ses lèvres en lui souhaitant bonne nuit mais elle ne m'entendit pas.
Après avoir pris un léger repas, je partis à mon tour me coucher.
Le lendemain matin, je me levai de bonne heure comme d'habitude. Je réveillai mon épouse. Lorsqu'elle me rejoignit dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner, je m'aperçus que la nuit de sommeil lui avait fait le plus grand bien.
Par contre, lorsque je rentrai le soir, je vis que çà n'était pas la grande forme. Elle était toujours rêveuse, elle semblait comme absente. Lorsque je lui en fis la remarque, elle me rassura :
- « Non, non! Tout va bien!
Toute la semaine ce fut la même chose. Ce qui m'inquiéta au plus haut point, c'est le fait qu'elle semblait avoir perdu tout appétit sexuel. Le calme plat : pas de soirée du mercredi avec son chef, pas de gang-bang le vendredi chez Guy et même moi, lorsque j'essayais elle me faisait comprendre qu'elle n'avait pas envie. C'est comme si son expérience de samedi lui avait donné une indigestion du sexe ! J'en vins à craindre qu'elle ne soit en train de sombrer dans une dépression.
En fait, elle était sortie très marquée de sa partie de chasse. Le bouleversement qui s'était opéré en elle avait atteint son équilibre psychique.
Ce week-end nous allons dans les Ardennes récupérer les enfants. Si lundi il n'y a pas d'amélioration, nous irons consulter.
Heureusement le changement d'air du week-end sembla lui être bénéfique. Elle parut plus gaie, plus active. Samedi soir, nous avons fait l'amour.
La semaine suivante sa santé s'améliora tous les jours, elle était désormais sortie de l'espèce de spleen qui l'isolait et l'avait plongé dans une crise d'angoisse. Signe de sa guérison, elle repris ses sorties. La première fois que j'étais heureux que ma femme me trompe.
Mais désormais, j'avais décidé d'être vigilant et de surveiller la nature de ses sorties. Les parties de chasse seront définitivement à bannir. Je vais également surveiller sa relation avec le fromager, je n'ai pas confiance en ce gars là.
Notre vie put donc reprendre son cours.
(A suivre...)
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant.
Merci.
Merci.
Très excitant.
Merci.
Merci.
Non pas bizarre, je penche plutôt pour un chapitre de transition pour mieux comprendre de la suite du récit au demeurant très vivant.
J'attends les prochains épisodes avec impatience et excitation.
J'attends les prochains épisodes avec impatience et excitation.
Bizarre ce chapitre
Rudy
Rudy