Mon gendre est un obsédé 7

- Par l'auteur HDS Belle-Mère -
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Récit libertin : Mon gendre est un obsédé 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon gendre est un obsédé 7
Après que mon gendre ait joui en me dévorant du regard, bien que je ne lui aie montré que ma culotte de coton blanc couvrant mon cul, je mesure combien sa libido est excessive et que j’ai là un puissant moyen pour obtenir ce dont la plupart des femmes rêvent : un homme fiable, parfaitement honnête et transparent, attentif et doux, et bien sûr amoureux permanent. Je parcours des sites internet sur la chasteté masculine contrôlée, la gynarchie, la psychologie des hommes notamment leur désir profond pour certains de se soumettre à leur femme. J’apprends la gestion de la frustration masculine, les punitions et les récompenses, l’excitation et le refus imposé par la femme.

A ma demande, Paul n’a pas encore déménagé en totalité et je lui demande de réaliser plusieurs bricolages qui me rendent bien service. Lorsqu’il dort à la maison et s’il partage mon lit, je l’exempte du port de cage de chasteté. Si je lui demande de dormir dans la chambre voisine, il doit porter une de ses cages et je continue à ranger les clés de sa cage dans ma commode.

- Paul, je te demande de dessiner un petit cœur rouge sur ton journal intime à chaque date où il arrivera que je t’autorise à jouir. Je veux savoir où tu en es dans ton calendrier des récompenses pour compter tes jours d’abstinence. Je te rappelle que tu as signé ton engagement à me confier ta libido.
- Oui ma chérie, ce sera fait. Réalises-tu que nous n’avons encore jamais fait l’amour comme un couple normal ? Je rêve de te montrer mon désir de toi, te pénétrer, je serai doux, je veux que tu sois vraiment ma nouvelle femme.
- Je vais y réfléchir. J’en ai envie aussi mais je n’ose pas. Comment peux-tu me désirer avec mes 75 ans ? Je n’ai plus mon corps de 20 ans. Tu vas te lasser de moi. Tu aurais dû rester avec ma fille.
- Pourquoi doutes-tu ? Il y a longtemps que je ne désirais plus ta fille qui ne me faisait plus bander. Longtemps que je te trouve plus séduisante, plus féminine, plus attentive à tes tenues, mieux conservée. Ta chair tendre et tes rides me font fondre. J’aime ton caractère fort. Je découvre que j’ai envie de t’obéir. Laisse-moi une chance de te montrer combien je t’aime.

Trois jours après, alors que je rentre en fin d’après-midi d’une course, j’entends un bruit dans mon appartement. Je trouve Paul rougissant dans la salle de bain en train de remonter son pantalon.

- Tu es rentré plus tôt du travail ? Pourquoi ma culotte sale est sur le lavabo ? Viens-là. Mais…. Tu n’as pas ta cage ? Pourquoi est-elle dans ta poche ? Tu as pris les clés ? Que faisais-tu ? Réponds, que bricolais-tu avec ma culotte ?
- Mon amour, je vais tout t’avouer car je ne te cacherai jamais rien. Oui, j’ai pris les clés dans ta commode. J’ai tellement envie de toi que tes dessous dans le panier à linge m’excitent. Oui je me suis masturbé avec ta culotte.
- Tu es vraiment vicieux. Je suis choquée. Mais que fais-tu avec mes dessous ? je n’en reviens pas.
- Ils m’évoquent ton intimité que j’aime tant. Alors oui, je regarde tes culottes, tes soutien-gorges, tes collants, je les touche, je sens leurs parfums, et j’ai craqué : j’ai retiré ma cage car c’était plus fort que moi. Je te jure que je n’ai pas joui.
- Parce que je suis arrivée à temps sans doute. Comment peut-on être si pervers ? Je veux te garder avec moi, mais je vais prendre des mesures. Vas-y, montre-moi comment tu faisais….
Je le vois reprendre ma culotte Sloggi et se la poser sur le nez. De son autre main, il s’astique la saucisse. Il hume l’entre-jambe de ma culotte. Ca me dégoute. Lorsque sa queue est bien dure, je lui demande de cesser.

- Sale vicieux. Lave-toi maintenant, et reboucle ta cage, donne-moi les clés. Je t’interdis de recommencer sans mon autorisation.

Après réflexion je décide de porter ses clés en permanence au bout d’un pendentif en cuir orange de chez Hermès que je lui demande de m’offrir. Je lui demande également de commander des bracelets larges avec système d’accroche, et de fixer au mur de sa chambre deux pitons à 1m60 de hauteur et à 1m50 d’écart en vue de ses futures punitions.

Je continue à lui demander de retirer sa cage avant sa douche et de se masturber 5 minutes en me regardant tout en me disant des mots d’amour. J’y avais pris goût. La plupart du temps, je reste habillée. J’aime voir son désir de moi, sa soumission, sa frustration augmenter. Depuis l’incident de la culotte volée, j’ai compris que je pouvais faire de mon gendre mon tendre esclave.

- Maitresse, ça fait 17 jours que je n’ai pas joui. Quand ferons-nous l’amour ? ou quand me laisseras-tu jouir ?
- Tu me casses les pieds. Sois heureux que je m’occupe de ta libido. Tu resteras sans te soulager au moins jusqu’à ton 20ème jour.
- C’est dur mais je te remercie, Maitresse.
- Ce matin, tu passeras l’une de mes Sloggi déjà portée sous ton costume. Je suppose que tu aimeras porter mes parfums dans ton pantalon.
- Oh merci mon amour. Et un de tes soutien-gorge ?
- Tu es vraiment pervers, c’est dingue. Non, tu vas les déformer car je ne fais que du 85. Mais c’est une bonne idée, prends l’un des tiens. Si tu déformes mes slips Sloggi, tu m’en rachèteras. Je t’imagine ainsi parmi tes collègues et j’en ris déjà ! Toi en cage, et en lingerie…assez ridicule en fait.

Trois jours après, à son 20ème jour d’abstinence et parce qu’il s’est bien comporté, je lui fais un cadeau. Je suis habillée d’un jean et d’un tee-shirt blanc. Assise dans un fauteuil, je lui dis:

- Voici les clés, baisse ton pantalon et enlève ta cage. Caresse-toi.

Lorsque son sexe devient raide, je relaye mon gendre. Ma main le branle tandis que mon autre main lui presse ses testicules. Je les serre jusqu’à ce qu’il crie de douleur. Il a très envie et arrive rapidement au bord de l’orgasme. Je cesse pour prendre son gland en bouche. Je fais le tour de son prépuce avec le bout de ma langue. Mes lèvres vont et viennent sur sa hampe. Ca fait si longtemps que sucer un mâle ne m’est pas arrivé ! j’y vais doucement. Il grogne tout en me disant combien il m’aime. Je suis heureuse de ce moment. Je me redresse au moment où il jouit tout en le branlant. Il hurle de jouissance. Une dizaine de jets crémeux zèbrent le haut de mon jeans et mon tee-shirt.

- Allez rhabille toi. C’était bon de te sucer. Te voila soulagé. Je t’accorde 24 heures sans cage.

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Une bien belle récompense pour un soumis qui a frôlé la punition. Votre parcours est toujours excitant

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