Un domestique soumis 9
Récit érotique écrit par Belle-Mère [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un domestique soumis 9
Un jour, pendant que Paul travaillait, ma meilleure amie Evelyne vint me voir et nous primes un thé. Le début de notre dialogue me donna l’occasion de me confier à elle. Elle me dit :
- J’ai vu que tu portes des clés sur ton joli pendentif orange. C’est sympa mais cela symbolise-t-il quelque chose ?
- Ce pendentif de chez Hermès m’a été donné par Paul. Evelyne, je vais me confier à toi avant que tu n’en entendes parler par notre réseau. Je t’informe que Paul et moi cohabitons désormais chez moi. Nous avons toujours été assez proches, et son divorce après le décès de Robert nous a encore rapproché. Au lieu de vivre chacun de notre côté, nous avons décidé de partager le même toit.
- C’est assez surprenant qu’une belle-mère vive avec son gendre, mais je comprends les circonstances. Si vous vous entendez bien, pourquoi ne pas se voir plus souvent ?
- Oui, et je dois aussi ajouter, pour être claire, que nous ne sommes pas … amants au sens strict, nous nous sommes engagés dans une forme de liaison un peu inhabituelle qui nous convient bien. Il se trouve qu’il m’adore et dit vouloir tout faire pour me rendre heureuse. Petit à petit, une relation de soumission de lui à moi s’est mise en place à son initiative. Bref, il aime me rendre service.
- Tu en as de la chance. Paul est un homme sympa et plutôt beau.
- Je dois te confesser que nous sommes allés un peu plus loin qu’une relation de seule amitié : Il aime être mon domestique…. Je te vois sourire d’incompréhension et c’est normal. Bien qu’il ait de gros besoins sexuels, il s’est engagé à me respecter complètement, y compris dans nos éventuelles relations intimes. Il m’a promis d’être le plus chaste possible pour me désirer continuellement…. En gros, il me confie sa libido.
- Mmmm… pas courant, mais j’ai déjà lu des choses sur ce thème. Comment fait-il pour gérer ses envies ?
- Il m’a présenté un objet qui est une cage de chasteté. Ca te parle ?
- J’imagine que c’est l’équivalent d’une ceinture de chasteté pour homme ?
- Oui, c’est cela : une cage de plastique ou de métal avec un verrou, et qui l’empêche de faire toutes les bêtises que tu imagines. D’où les clés que je garde sur moi. Compris ?
- Oui je pense : il ne peut rien faire si tu ne lui ouvre pas …sa boite, c’est ça ?
- Oui. Je vais en chercher dans sa chambre pour te montrer à quoi ça ressemble.
- ….
- Ouahouuu ; assez ingénieux en fait. C’est dingue ce qu’on fait maintenant.
- Regarde, un anneau pour l’ensemble et un tube pour la chose. Les 2 parties s’emboitent et voici la clé qui vérouille l’ensemble. Ainsi son abstinence donc sa frustration sont maintenues tant que je n’en décide pas autrement. Le plus beau c’est qu’il en redemande. Je n’ai jamais eu un homme aussi gentil et amoureux.
- Tu as bien de la chance, car avec le mien, il y a longtemps que c’est le désert question badinage.
- J’y pense : que dirais-tu si je te prêtais mon domestique ? je ne lui en ai pas parlé, mais il obéit à toutes mes demandes. J’imagine qu’il serait heureux d’obéir à une autre femme, en tout bien tout honneur ! De toute façon, j’ai les clés, hihihi… il est inoffensif.
C’est ainsi que le soir même, je présentai à Paul un résumé de notre conversation. Je lui demandai de contacter Evelyne pour convenir d’un moment où elle aurait besoin de lui. Il fut très surpris de mon initiative. Ce qui l’agita fut surtout le fait qu’Evelyne en parlerait à son mari et que tout ce petit monde se connaissait. Il rougit quand il réalisa que le soir même, Evelyne dévoilait certainement à son mari le nouveau secret de Paul et Annette : un gendre encagé par sa belle-mère, prêt à faire la soubrette à la demande d’Annette chez eux… Paul parvint à surmonter un sentiment d’humiliation et de panique après que je lui fis remarquer que tout cela était de son initiative et qu’il avait signer une obéissance totale à mes désirs.
Le soir suivant, je lui fis pratiquer son rôle de soubrette en cage pour le préparer. Je choisis une tenue parmi son vestiaire féminin : jupe grise longue sur collant, chemisier blanc, perruque et clips d’oreille, ballerines noires.
Pour l’encourager après cet essai, je me dévêtis pour lui permettre de me prendre nue en photos. Sur le point de rire à chaque instant, je posai à quatre pattes puis sur le dos les jambes écartées, totalement impudique. Pour une fois, je lui exposai toute mon intimité. Tout cela l’avait bien excité, et pour le récompenser encore avant sa douche, je lui permis de retirer sa cage et de se masturber quelques minutes sans jouir. Devançant ses désirs, je lui tendis ma culotte Sloggi en coton blanc du jour qu’il se posa sur le nez en se branlant comme un cochon. Se yeux plantés dans les miens, je voyais bien le grand désir qui le consumait, et cela m’amusait car il savait qu’il n’aurait aucune chance de se soulager. Il était pris à son propre piège : se soumettre volontairement au contrôle de sa vieille belle-mère et lui confier le moyen physique (la cage) d’être frustré après s’être engagé par écrit à obéir en tout.
- Ca suffit maintenant. Prend ta douche, remet ta cage et va préparer le diner.
Je me sentais comme une Reine avec un amant permanent répondant à tous mes désirs. Plus tard au lit, avant de m’endormir, je lui demandai de me lécher la chatte. Tout cela m’avait troublé, il lapait avidement et avec de petits grognements la mouille suintante entre mes poils gris. Il osa rentrer sa langue dans mon anus et je le laissai faire. Je lui demandai de me dire un de ses fantasmes.
- Mon amour, j’aimerais beaucoup lécher tes aisselles.
- Tu es vraiment un porc vicieux. On verra ça un autre jour.
Après qu’il m’ait donné deux orgasmes, je le congédiai.
C’était son 22ème jour de chasteté selon son carnet intime. Les clés que je portais en permanence étaient la preuve de son amour total. A moi de le laisser jouir …ou pas….ou jamais. J’avais pris goût à son obéissance, sa tendresse, son respect et son attention. Pour lui : pas de masturbation, pas d’érection, pas d’éjaculation sans ma décision. Il était désormais trop tard pour qu’il change d’avis.
- J’ai vu que tu portes des clés sur ton joli pendentif orange. C’est sympa mais cela symbolise-t-il quelque chose ?
- Ce pendentif de chez Hermès m’a été donné par Paul. Evelyne, je vais me confier à toi avant que tu n’en entendes parler par notre réseau. Je t’informe que Paul et moi cohabitons désormais chez moi. Nous avons toujours été assez proches, et son divorce après le décès de Robert nous a encore rapproché. Au lieu de vivre chacun de notre côté, nous avons décidé de partager le même toit.
- C’est assez surprenant qu’une belle-mère vive avec son gendre, mais je comprends les circonstances. Si vous vous entendez bien, pourquoi ne pas se voir plus souvent ?
- Oui, et je dois aussi ajouter, pour être claire, que nous ne sommes pas … amants au sens strict, nous nous sommes engagés dans une forme de liaison un peu inhabituelle qui nous convient bien. Il se trouve qu’il m’adore et dit vouloir tout faire pour me rendre heureuse. Petit à petit, une relation de soumission de lui à moi s’est mise en place à son initiative. Bref, il aime me rendre service.
- Tu en as de la chance. Paul est un homme sympa et plutôt beau.
- Je dois te confesser que nous sommes allés un peu plus loin qu’une relation de seule amitié : Il aime être mon domestique…. Je te vois sourire d’incompréhension et c’est normal. Bien qu’il ait de gros besoins sexuels, il s’est engagé à me respecter complètement, y compris dans nos éventuelles relations intimes. Il m’a promis d’être le plus chaste possible pour me désirer continuellement…. En gros, il me confie sa libido.
- Mmmm… pas courant, mais j’ai déjà lu des choses sur ce thème. Comment fait-il pour gérer ses envies ?
- Il m’a présenté un objet qui est une cage de chasteté. Ca te parle ?
- J’imagine que c’est l’équivalent d’une ceinture de chasteté pour homme ?
- Oui, c’est cela : une cage de plastique ou de métal avec un verrou, et qui l’empêche de faire toutes les bêtises que tu imagines. D’où les clés que je garde sur moi. Compris ?
- Oui je pense : il ne peut rien faire si tu ne lui ouvre pas …sa boite, c’est ça ?
- Oui. Je vais en chercher dans sa chambre pour te montrer à quoi ça ressemble.
- ….
- Ouahouuu ; assez ingénieux en fait. C’est dingue ce qu’on fait maintenant.
- Regarde, un anneau pour l’ensemble et un tube pour la chose. Les 2 parties s’emboitent et voici la clé qui vérouille l’ensemble. Ainsi son abstinence donc sa frustration sont maintenues tant que je n’en décide pas autrement. Le plus beau c’est qu’il en redemande. Je n’ai jamais eu un homme aussi gentil et amoureux.
- Tu as bien de la chance, car avec le mien, il y a longtemps que c’est le désert question badinage.
- J’y pense : que dirais-tu si je te prêtais mon domestique ? je ne lui en ai pas parlé, mais il obéit à toutes mes demandes. J’imagine qu’il serait heureux d’obéir à une autre femme, en tout bien tout honneur ! De toute façon, j’ai les clés, hihihi… il est inoffensif.
C’est ainsi que le soir même, je présentai à Paul un résumé de notre conversation. Je lui demandai de contacter Evelyne pour convenir d’un moment où elle aurait besoin de lui. Il fut très surpris de mon initiative. Ce qui l’agita fut surtout le fait qu’Evelyne en parlerait à son mari et que tout ce petit monde se connaissait. Il rougit quand il réalisa que le soir même, Evelyne dévoilait certainement à son mari le nouveau secret de Paul et Annette : un gendre encagé par sa belle-mère, prêt à faire la soubrette à la demande d’Annette chez eux… Paul parvint à surmonter un sentiment d’humiliation et de panique après que je lui fis remarquer que tout cela était de son initiative et qu’il avait signer une obéissance totale à mes désirs.
Le soir suivant, je lui fis pratiquer son rôle de soubrette en cage pour le préparer. Je choisis une tenue parmi son vestiaire féminin : jupe grise longue sur collant, chemisier blanc, perruque et clips d’oreille, ballerines noires.
Pour l’encourager après cet essai, je me dévêtis pour lui permettre de me prendre nue en photos. Sur le point de rire à chaque instant, je posai à quatre pattes puis sur le dos les jambes écartées, totalement impudique. Pour une fois, je lui exposai toute mon intimité. Tout cela l’avait bien excité, et pour le récompenser encore avant sa douche, je lui permis de retirer sa cage et de se masturber quelques minutes sans jouir. Devançant ses désirs, je lui tendis ma culotte Sloggi en coton blanc du jour qu’il se posa sur le nez en se branlant comme un cochon. Se yeux plantés dans les miens, je voyais bien le grand désir qui le consumait, et cela m’amusait car il savait qu’il n’aurait aucune chance de se soulager. Il était pris à son propre piège : se soumettre volontairement au contrôle de sa vieille belle-mère et lui confier le moyen physique (la cage) d’être frustré après s’être engagé par écrit à obéir en tout.
- Ca suffit maintenant. Prend ta douche, remet ta cage et va préparer le diner.
Je me sentais comme une Reine avec un amant permanent répondant à tous mes désirs. Plus tard au lit, avant de m’endormir, je lui demandai de me lécher la chatte. Tout cela m’avait troublé, il lapait avidement et avec de petits grognements la mouille suintante entre mes poils gris. Il osa rentrer sa langue dans mon anus et je le laissai faire. Je lui demandai de me dire un de ses fantasmes.
- Mon amour, j’aimerais beaucoup lécher tes aisselles.
- Tu es vraiment un porc vicieux. On verra ça un autre jour.
Après qu’il m’ait donné deux orgasmes, je le congédiai.
C’était son 22ème jour de chasteté selon son carnet intime. Les clés que je portais en permanence étaient la preuve de son amour total. A moi de le laisser jouir …ou pas….ou jamais. J’avais pris goût à son obéissance, sa tendresse, son respect et son attention. Pour lui : pas de masturbation, pas d’érection, pas d’éjaculation sans ma décision. Il était désormais trop tard pour qu’il change d’avis.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On est en France donc 1 démocratie n’en déplaise mon cher on a encore le droit de donner notre avis positif ou négatif point.
j'adore lire, en plus des textes érotiques, les commentaires de la lectrice aux trois !!!.
Elle sévit sur tous les textes avec sa morale et sa vertu inoxydable.
Je pense qu'une oeuvre Sainte (Bible, Coran, Torah etc), ou, plus coquine comme la vie de Sainte Thérèse de Lisieux lui serait une bien meilleure lecture.
Elle sévit sur tous les textes avec sa morale et sa vertu inoxydable.
Je pense qu'une oeuvre Sainte (Bible, Coran, Torah etc), ou, plus coquine comme la vie de Sainte Thérèse de Lisieux lui serait une bien meilleure lecture.
moi aussi j'adore cette histoire, chacun vit sa nature!
Histoire intéressante, on attend la suite
Moi, contrairement aux avis précédents, j’adore cette histoire dans laquelle une femme découvre ses instincts dominateurs sadiques et à la chance de pouvoir s’y adonner en faisant du même coup le bonheur de sa victime. Je vous comprends parfaitement et j’attends la suite avec impatience
C’est creux depuis un moment déjà. Aucun rebondissement… peu de fonds … du même avis que les autres …
Je suis assez d'accord avec le commentaire précédent . Ça ne ressemble plus à grand chose a part une forme d esclavage sans grand intérêt
Et l’amour le votre en l’occurrence !!!
Surtout que si les amis vont être au courant la famille risquerait de l’être aussi !!!
Vous allez gérer comment vos filles et vos petits enfants !!!
Au début il y avait de la complicité maintenant votre dernier récit donne l’impression d’une vieille qui a besoin d’une bonniche et rien d’autre pour ses vieux jours.
On ne récent pas d’amour de votre part dans ce récit en tout cas.
Surtout que si les amis vont être au courant la famille risquerait de l’être aussi !!!
Vous allez gérer comment vos filles et vos petits enfants !!!
Au début il y avait de la complicité maintenant votre dernier récit donne l’impression d’une vieille qui a besoin d’une bonniche et rien d’autre pour ses vieux jours.
On ne récent pas d’amour de votre part dans ce récit en tout cas.