Mon infirmière.
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon infirmière.
Jacques : Mon infirmière
(dans les opus précédents, nous avons découvert l’attirance que l’infirmière avait eu pour son patient Jacques Rocier et ce qu’il en était advenu. Voyons maintenant comment le dénommé Jacques a vécu cela).
Je m’appelle Jacques Rocier et je suis le patron d’une entreprise d’électricité d’une petite ville du centre de la France. J’ai 52 ans, je suis mariée à Sylvie. Nous n’avons pas d’enfants.
Je suis grand, costaud, et surtout je suis doté d’un sexe aux dimensions supérieures à la moyenne, dont je sais admirablement me servir. Et j’adore m’en servir.
Et j’ai souvent des gros besoins. Sylvie le sait et l’accepte, d’autant que je lui ai appris à en profiter de son côté.
L’an dernier, j’avais remarqué de Karim, un de mes employés, était moins présent et semblait fatigué. Je décidai alors un soir de fouiller dans son armoire, ayant peur qu’il ne se drogue. Je n’avais rien trouvé, hormis une clé USB dissimulée entre deux tee shirts.
Intrigué, je retourne au bureau, insère la clé dans mon ordinateur. Des fichiers apparaissent. J’ouvre le premier intitulé « J ». Ce sont des photos. On y voit un homme que je reconnais comme étant Paul Guibaud, un de mes clients, avec une jeune femme, le plus souvent nus tous les deux, en train de baiser. Il y a au moins deux cents photos. Je regarde attentivement la femme, son visage ne m’est pas inconnu, mais impossible de mettre un nom dessus. Visiblement, les photos ont été prisses à différents moments, mais toujours au domicile de Guibaud.
Je passe au deuxième dossier. Même décor, même homme mais une autre femme, la quarantaine. Elle aussi me dit quelque chose. Je flashe sur elle. Elle me plait. Cheveux mi-longs châtains clairs, peau claire, beaux yeux bleus, assez grande. Une poitrine encore bien ferme. Une belle allure, style BCBG, mais sans en rajouter. Un air BCBG, mais les photos la dévoilent dans de multiples postures, le plus souvent dénudée et appréciant à l’évidence l’art amoureux. Je sens mon sexe se raidir dans mon slip. Je la veux, je l’aurai.
Le lendemain matin, je duplique la clé sur l’ordi, et vais attendre Karim pour avoir des explications. Il me raconte alors qu’il a surpris un jour la première femme se rendant le soir chez Paul Guibaud. Il avait pu s’introduire dans le jardin, et par la fenêtre avait surpris leurs ébats. Il s’était organisé pour pouvoir les espionner, les photographier, puis faire chanter la femme pour pouvoir en faire sa maitresse. C’est ainsi que j’appris que cette femme était Judith, la femme d’un boulanger de notre ville.
Un peu plus tard, il avait surpris un soir par hasard la deuxième femme sortir de chez elle habillée de manière sexy, il l’avait suivie et découvert qu’elle avait pris la suite de Judith chez Guibaud. « Et c’est qui, elle ? » lui demandai-je. « Elle c’est une infirmière, elle s’appelle Clotilde ». « Démerde toi, je la veux. Tu as carte blanche. Et pas dans six mois. ».
Le hasard fit que je me blessai à la main sur un chantier et, ayant négligé de me soigner, je fus contraint de consulter aux urgences de l’hôpital. Le médecin décela une infection et ordonna un traitement par antibiotiques. Je lui suggérai de me le faire administrer en piqures afin que je puise guérir plus rapidement compte tenu de mes obligations professionnelles. Sortant de l’hôpital, j’appelai Karim pour lui demander d’appeler le cabinet infirmier de Clotilde pour les soins. « Je m’occupe de tout, je vous la prépare, dans quelques jours elle sera à vous. » Sacré Karim !
Le lendemain, j’eu affaire à son associé, et c’est le 3ème jour que je vis débarquer Clotilde.
Plus belle que sur les photos. Il dégage d’elle un mélange de douceur, de timidité (tu parles, quand tu as vu les photos !), un côté BCBG mais aussi une touche d’animalité que je ressens. Elle me plait et pendant qu’elle prépare son injection mon regard s’attarde sur sa poitrine, ni trop volumineuse ni trop petite, dissimulée sous un pull large, sur ses fesses que l’on sent encore fermes et sur ses cuisses dissimulées dans un pantalon beige qui se rejoignent en dessinant un renflement tentant. Elle sent bon, une eau de toilette qui rappelle le jasmin.
Elle n’est pas habillée sexy mais elle me fait de l’effet.
Je me tourne vers la glace et adresse un clin d’œil. Car c’est une glace sans tain derrière laquelle deux personnes peuvent prendre place dans un recoin aménagé dans la cloison. Et aujourd’hui il y a Karim. Karim qui dirige les opérations.
Le lendemain, mon infirmière a troqué son pantalon contre une jupe qui descend sous le genou. Je la regarde s’accroupir pour me piquer. J’imagine ses cuisses et cette évocation entraine un frémissement agréable de ma verge. Le jour suivant, la jupe est plus courte. En s’accroupissant elle m’offre une vue fugace sur ses cuisses. Il me semble qu’elle porte des bas.
Le lendemain. Sa jupe est courte. Elle tire sur mon slip pour dégager une fesse. La glace me renvoie mon image, slip un peu baissé, racine du sexe visible. Elle, accroupie, écarte légèrement les cuisses. Elle a des bas. Je surprends son regard qui remonte vers mon bassin. Je bande à moitié, mais c’est bien visible. Et elle le voit, sa pupille semble se dilater. Dans un mouvement lent, elle écarte d’avantage les cuisses, faisant semblant de devoir garder son équilibre. Je vois sa culotte blanche qui moule son sexe. Je sens ma bite se déployer, arrêtée par mon slip. Elle prend son temps la garce. Je vais lui faire payer.
Le lendemain, elle vient. Je suis déçu : jean et baskets. Elle fait le soin, non sans jeter un regard sur mon bassin. Rien que ce regard me fait bander. « Ne vous inquiétez pas, demain vous allez en prendre plein les yeux » me dit Karim. « Elle est presque à point cette salope ».
Le lendemain, elle arrive, petite jupe courte. Elle tire sur mon slip. Mon sexe est à moitié découvert. « attention, je pique ». Je grimace, la piqure est douloureuse. Je feins de fermer les yeux et je la vois écarter largement les cuisses, découvrant une chatte lisse et nue. Une fois partie, Karim sort de derrière la glace « Demain, c’est le grand jour Jacques. Elle est à point ! On regardera ça avec Sylvie ».
Le lendemain, j’attends son passage avec impatience. J’en bande à l’avance. Sonnerie à la porte. C’est elle. Elle enlève sa veste. Elle est vêtue d’une robe noire mini, avec des bretelles fines. On distingue nettement ses têtons sous le tissu. Je baisse moi-même mon pantalon et mon slip. Seul le gland reste caché par le tissu. Elle est penchée en avant pour préparer l’injection. De côté je distingue le bas de ses fesses nues. Elle s’accroupit, cuisses légèrement disjointes. Elle tire mon slip vers le bas jusqu’à mi-cuisses. Je bande. Elle regarde ma bite qui pulse. Pendant qu’elle injecte le produit, elle écarte largement les cuisses. Je vois son sexe entrouvert, de la cyprine s’en échappant. Elle a fini d’injecter, elle masse à présent ma fesse plus longtemps qu’il ne faudrait. Je n’en peux plus. Je pivote vers elle, amenant mon sexe tendu à hauteur de son visage « vas-y, suce-moi salope » Elle tend les mains et approche sa bouche. Elle me branle et me suce en même temps. C’est divin. Elle me fait un effet d’enfer. Je sens que je viens. C’est trop tôt, qu’est ce qui m’arrive ? Putain, ça vient. Je crache des jets de sperme dans sa bouche. Je m’affale sur le fauteuil. Je la vois se diriger vers la salle de bain. Je vois Karim, nu, entrer à sa suite dans la pièce qui n’est pas éclairée. J’entends des bruits, des halètements. Le salaud, il la baise. Sylvie sort à son tour du réduit, elle a les seins nus et la jupe retroussée. « C’était bon mon chéri à ce que je vois. Karim se paie sur la bête. Heureusement pour toi, sinon c’est moi qui y passais. Il est en superforme, elle va déguster. » Un peu plus tard, je la vois passer devant moi. Je fais semblant de dormir. Elle s’est rhabillée et jette un regard sur moi. Elle quitte la pièce et j’entends la porte d’entrée claquer. Karim sort ensuite du réduit. Il s’est rhabillé également. Il sourit béatement. « Désolé Jacques, mais c’était trop tentant. Elle est super bonne. Dans cinq jours, vous la baisez. Promis. » Karim est un salaud.
Mercredi. Je reçois un SMS de Karim : ce soir – 22 heures – chez Guibaud- portail sera ouvert. J’arrive dix minutes en avance. Le portail est entr’ouvert. Je rentre dans la cour. La porte d’entrée n’est pas fermée à clé. De la lumière provient d’une chambre au bout du couloir. Je m’approche sans bruit. Sur le lit, je vois Clotilde couchée sur Karim qui la laboure, lui arrachant des soupirs. Je me déshabille dans le couloir. A l’idée de la baiser enfin, je bande comme un ado. Elle me plait c’est animal. Je m’approche du lit. Karim m’a vu. Il ralentit le rythme. Je pose une main sur ses fesses et une autre sur ses cheveux. Elle tourne la tête. Sa peau est douce et chaude. « Suce-moi. Je bande tous les jours en pensant à toi. Ce soir je vais te baiser ». Elle suce comme une reine. Mieux qu’une professionnelle. C’est bon. Mais cette fois ci je me retiens. Je la veux. Je veux la prendre, m’enfoncer en elle. Je m’allonge sur le lit et lui demande de venir. Elle se couche sur moi. C’est elle qui guide mon sexe en elle. Je m’y enfonce sans difficulté tellement elle est trempée. Je la baise sans ménagement. Elle aime. Karim se place derrière elle et la sodomise. Prise par nos deux bites, elle perd pied. Nous jouissons presque en même temps. Karim se relève, m’adresse un petit signe et sort de la pièce. Elle est à moi. A moi seul. Ma verge reprend de la vigueur. Je n’en reviens pas. Je la fais basculer, l’allonge sur le dos, relève ses cuisses et la pénètre sans un mot. Après dix minutes de ce traitement, un long cri déchire la nuit. Elle se tortille sous moi, balbutiant des mots incompréhensibles. Longtemps après, je me vide en elle en grognant. Putain, c’était bon. C’était trop bon.
Trois mois ont passé. Je l’ai croisée quelques fois et à chaque fois j’ai senti une envie animale me tordre le ventre. Je me suis fait mal à l’épaule. Je demande au toubib qu’il me prescrive des piqures. « c’est pour guérir plus vite, je suis artisan, je ne peux pas m’arrêter ». J’appelle le cabinet. Je tombe sur elle. « Je passerai en fin de tournée. Après vingt heures ». Rien que d’entendre sa voix, je bande. Il est vingt heures. Je me suis préparé : juste un peignoir. Je bande et une bosse déforme le devant du peignoir. Je vais la baiser. C’est sûr. Sonnerie à la porte d’entrée. Elle entre et me sourit. Il y en a qui fondraient, moi je sens ma bite pulser toute seule. Elle est vêtue d’un imperméable bleu ciel. C’est vrai qu’il pleut dehors. Il a plu toute la journée. Elle me regarde droit dans les yeux et retire son vêtement. Hormis un porte-jarretelle et des bas noirs, elle est nue. Intégralement nue. A mon tour, je me débarrasse de mon peignoir. Elle fixe ma bite tendue. Elle fait son soin et, un air de défi dans les yeux, s’allonge sur le tapis, cuisses largement écartées. J’avance vers elle. M’allonge sur elle et la prend d’un coup sans la quitter du regard. Elle est trempée. La joute dure trois heures. Je la baise sans ménagement, variant les positions. Je ne compte plus ses jouissances. Elle en veut, elle en a. A la fin, sa chatte est rougie par mes assauts. J’éjacule entre ses seins. J’ai encore envie. Elle me rend dingue cette nana.
Quelques semaines ont passé. J’ai eu plein de boulot, notamment la réfection de la maison des associations. J’ai accepté de faire une partie des travaux gratuitement car je sais que la municipalité n’a pas trop d’argent, et puis…ça peut servir un jour. Justement, aujourd’hui c’est l’inauguration de la « nouvelle » maison des associations. Je suis certain d’y retrouver mon infirmière préférée. A l’idée je bande déjà. Après les discours, je me mêle au public. J’ai vite fait de la repérer. Elle est accompagnée de la petite boulangère. Tiens, les ex de Guibaud. Et si je me faisais les deux ? Je m’approche d’elles. Elles sont ravissantes. Clotilde me regarde. Je sens du désir dans ses yeux. C’est gagné. Elle sent l’amour à cent mètres cette nana. Je les aborde. Je lui demande, devant l’autre « as-tu mis une culotte ma salope préférée ? je parie que non » L’autre a entendu. Elle baisse les yeux. Je leur propose de filer à l’anglaise. Clotilde, pose sa main sur ma bite pour en vérifier la dureté. Nous quittons la salle. Direction le parking. La boulangère monte derrière. Je lui demande si elle veut que j’appelle un de mes employés pour s’occuper d’elle pendant que je vais baiser sa copine. Elle est intimidée. Je lui demande d’écarter les cuisses. Elle a un string blanc. « Quand on vient chez Jacques, on ne met pas de culotte. Parce qu’on va baiser ». Sur ce, je me tourne vers Clotilde et envoie ma main sous sa jupe. Comme je m’y attendais, elle est nue et sa chatte ruisselle déjà. Nous arrivons chez moi. Elles sont en face de moi. Clotilde me fixe d’un regard de braise. Elle fait passer son pull par-dessus la tête. Ses seins sont arrogants. Pointes dressées. Elle s’approche de moi. Je sens que je bande. Elle se frotte à moi. Elle est plus petite que moi. J’envoie mes mains sur ses fesses, retrousse sa jupe et pelote les fesses. « Allez les filles, mettez-moi la bite à l’air ». Clotilde s’accroupit. Ouvre ma braguette et descend mon pantalon. Ma bite est dans le fourreau de sa bouche. Elle me suce. Elle aime ça. Moi aussi. J’attrape la boulangère par le bras et l’attire à moi. Elle ne va pas rester passive. Je la débarrasse de son pull et de son soutien-gorge. Elle a de beaux seins. Clotilde me branle et me suce en même temps. C’est trop bon. Bientôt elles sont face à moi. Deux beautés en porte-jarretelles. J’attire Clotilde contre moi, passe mes mains sous ses fesses et la prends debout. Mon sexe la pénètre d’un coup. Elle ruisselle. Je sais que ça va être bon. Je la défonce littéralement. C’est du sexe animal. Je la sens qui s’échappe. Je lui mets un doigt, puis un deuxième dans le cul. Je fixe sa copine des yeux. Elle est tétanisée. Clotilde hurle sa jouissance. Je la repose par terre et m’avance vers la boulangère qui ne nous a pas quittés des yeux. Je la plaque au sol et la prends fébrilement. Elle est bonne. Ce n’est pas Clotilde mais c’est bon. Je la baise sauvagement. Elle me griffe le dos. Elle jouit bruyamment. Je me retire et éjacule sur son ventre, lui envoyant plusieurs giclées de foutre.
Je les raccompagne à la maison des associations et les laisse sur le parking. J’ai la bite anesthésiée.
Trois semaines plus tard, je passe un soir devant le cabinet infirmier. La voiture de Clotilde est là. C’est vrai que je n’ai pas payé les derniers soins. Je gare le camion. Je rentre dans le cabinet. Elle est assise en train de faire de l’administratif. Rien que de la voir, j’ai une érection. Je jette un billet de cinquante euros sur le bureau. « tu me rends la monnaie en nature ». En la regardant, j’ouvre ma combinaison et dégage le haut. Le pantalon tombe. Je m’approche d’elle, la queue droite. J’attrape son pull que je fais passer par-dessus tête et enlève son soutien-gorge. J’attrape ses seins. Je les caresse, les embrasse, les suce. Je passe mes mains dans son dos et descends vers le bas du dos. Elle ronronne déjà. Elle se recule et se débarrasse de son pantalon et de sa culotte. Je l’allonge sur le bureau. N’importe qui pourrait rentrer dans le cabinet mais on s’en fout l’un et l’autre. Je la prends d’un trait, ma queue coulisse dans sa chatte détrempée. L’assaut ne dure pas longtemps mais l’orgasme est puissant pour les deux. Je me rhabille. « Salut poupée ! A la prochaine » Justement, la prochaine, c’est ce soir. Je me suis débrouillé pour les inviter, Judith, la boulangère, et Clotilde, sans leur dire pourquoi. Elles savent juste que c’est pour une soirée baise. Il y aura six mecs : Karim, Frédéric, Mourad, Sylla, Minh, tous mes employés et moi. Et trois filles : Judith, Clotilde et Sylvie, mon épouse que seul Karim connait intimement. Sylvie, convertie fraichement au libertinage.
Nous, les mecs sommes tous réunis dans la pièce. Torses nus. Nous attendons nos invitées. Ils ne savent pas de qui il s’agit. Il va y avoir de la surprise car certains sont clients de la boulangerie, et d’autres ont été vaccinés par Clotilde. Et tous connaissent Sylvie et son engagement catéchèse.
Il est à peine vingt heures. Un bruit de moteur. Des portières qui claquent. Nous sommes en arc de cercle. Judith s’avance. Elle a une jupe courte arrivant à mi-cuisse et des bas, on voit la couture. Ses seins sont nus sous une chemise légèrement translucide. Les ouvriers n’en reviennent pas. Elle en reconnait certains et semble gênée. Clotilde rentre à sa suite, uniquement vêtue d’une grande chemise ouverte sur le haut des seins et dont l’absence de boutonnage en bas découvre sa chatte épilée. Puis Sylvie fait son apparition, nue. Murmure d’étonnement. Je bande sec. Les autres aussi. J’explique les règles. Le jeune Minh (il a vingt ans) est encore puceau, et ce soir, il connaitra les trois femmes. Pour le reste, toutes les combinaisons sont permises. Je les ai baisées toutes les trois, à tour de rôle, seul ou à plusieurs. La soirée touche à sa fin, tout le monde se repose. Clotilde vient vers moi « J’ai envie de ta queue. Fais mois jouir. Fais-moi hurler. J’en veux encore. Fais de moi ce que tu veux. Baise-moi devant eux. ». Elle s’agrippe à moi et m’escalade. Je la soutiens sous les fesses. Elle s’empale. Je la besogne. A chaque poussée je cogne le fond de son vagin. Je me retire presque entièrement à chaque fois pour mieux l’investir. Elle n’est plus qu’une poupée avide de sexe qui soliloque. L’assaut dure un gros quart d’heure. Je n’en peux plus de me retenir. Je la sens qui part, qui vient dans un grand cri rauque. Je me vide en elle, terrassé par un orgasme qui me laisse pantelant. Cette fille me rendra dingue.
(dans les opus précédents, nous avons découvert l’attirance que l’infirmière avait eu pour son patient Jacques Rocier et ce qu’il en était advenu. Voyons maintenant comment le dénommé Jacques a vécu cela).
Je m’appelle Jacques Rocier et je suis le patron d’une entreprise d’électricité d’une petite ville du centre de la France. J’ai 52 ans, je suis mariée à Sylvie. Nous n’avons pas d’enfants.
Je suis grand, costaud, et surtout je suis doté d’un sexe aux dimensions supérieures à la moyenne, dont je sais admirablement me servir. Et j’adore m’en servir.
Et j’ai souvent des gros besoins. Sylvie le sait et l’accepte, d’autant que je lui ai appris à en profiter de son côté.
L’an dernier, j’avais remarqué de Karim, un de mes employés, était moins présent et semblait fatigué. Je décidai alors un soir de fouiller dans son armoire, ayant peur qu’il ne se drogue. Je n’avais rien trouvé, hormis une clé USB dissimulée entre deux tee shirts.
Intrigué, je retourne au bureau, insère la clé dans mon ordinateur. Des fichiers apparaissent. J’ouvre le premier intitulé « J ». Ce sont des photos. On y voit un homme que je reconnais comme étant Paul Guibaud, un de mes clients, avec une jeune femme, le plus souvent nus tous les deux, en train de baiser. Il y a au moins deux cents photos. Je regarde attentivement la femme, son visage ne m’est pas inconnu, mais impossible de mettre un nom dessus. Visiblement, les photos ont été prisses à différents moments, mais toujours au domicile de Guibaud.
Je passe au deuxième dossier. Même décor, même homme mais une autre femme, la quarantaine. Elle aussi me dit quelque chose. Je flashe sur elle. Elle me plait. Cheveux mi-longs châtains clairs, peau claire, beaux yeux bleus, assez grande. Une poitrine encore bien ferme. Une belle allure, style BCBG, mais sans en rajouter. Un air BCBG, mais les photos la dévoilent dans de multiples postures, le plus souvent dénudée et appréciant à l’évidence l’art amoureux. Je sens mon sexe se raidir dans mon slip. Je la veux, je l’aurai.
Le lendemain matin, je duplique la clé sur l’ordi, et vais attendre Karim pour avoir des explications. Il me raconte alors qu’il a surpris un jour la première femme se rendant le soir chez Paul Guibaud. Il avait pu s’introduire dans le jardin, et par la fenêtre avait surpris leurs ébats. Il s’était organisé pour pouvoir les espionner, les photographier, puis faire chanter la femme pour pouvoir en faire sa maitresse. C’est ainsi que j’appris que cette femme était Judith, la femme d’un boulanger de notre ville.
Un peu plus tard, il avait surpris un soir par hasard la deuxième femme sortir de chez elle habillée de manière sexy, il l’avait suivie et découvert qu’elle avait pris la suite de Judith chez Guibaud. « Et c’est qui, elle ? » lui demandai-je. « Elle c’est une infirmière, elle s’appelle Clotilde ». « Démerde toi, je la veux. Tu as carte blanche. Et pas dans six mois. ».
Le hasard fit que je me blessai à la main sur un chantier et, ayant négligé de me soigner, je fus contraint de consulter aux urgences de l’hôpital. Le médecin décela une infection et ordonna un traitement par antibiotiques. Je lui suggérai de me le faire administrer en piqures afin que je puise guérir plus rapidement compte tenu de mes obligations professionnelles. Sortant de l’hôpital, j’appelai Karim pour lui demander d’appeler le cabinet infirmier de Clotilde pour les soins. « Je m’occupe de tout, je vous la prépare, dans quelques jours elle sera à vous. » Sacré Karim !
Le lendemain, j’eu affaire à son associé, et c’est le 3ème jour que je vis débarquer Clotilde.
Plus belle que sur les photos. Il dégage d’elle un mélange de douceur, de timidité (tu parles, quand tu as vu les photos !), un côté BCBG mais aussi une touche d’animalité que je ressens. Elle me plait et pendant qu’elle prépare son injection mon regard s’attarde sur sa poitrine, ni trop volumineuse ni trop petite, dissimulée sous un pull large, sur ses fesses que l’on sent encore fermes et sur ses cuisses dissimulées dans un pantalon beige qui se rejoignent en dessinant un renflement tentant. Elle sent bon, une eau de toilette qui rappelle le jasmin.
Elle n’est pas habillée sexy mais elle me fait de l’effet.
Je me tourne vers la glace et adresse un clin d’œil. Car c’est une glace sans tain derrière laquelle deux personnes peuvent prendre place dans un recoin aménagé dans la cloison. Et aujourd’hui il y a Karim. Karim qui dirige les opérations.
Le lendemain, mon infirmière a troqué son pantalon contre une jupe qui descend sous le genou. Je la regarde s’accroupir pour me piquer. J’imagine ses cuisses et cette évocation entraine un frémissement agréable de ma verge. Le jour suivant, la jupe est plus courte. En s’accroupissant elle m’offre une vue fugace sur ses cuisses. Il me semble qu’elle porte des bas.
Le lendemain. Sa jupe est courte. Elle tire sur mon slip pour dégager une fesse. La glace me renvoie mon image, slip un peu baissé, racine du sexe visible. Elle, accroupie, écarte légèrement les cuisses. Elle a des bas. Je surprends son regard qui remonte vers mon bassin. Je bande à moitié, mais c’est bien visible. Et elle le voit, sa pupille semble se dilater. Dans un mouvement lent, elle écarte d’avantage les cuisses, faisant semblant de devoir garder son équilibre. Je vois sa culotte blanche qui moule son sexe. Je sens ma bite se déployer, arrêtée par mon slip. Elle prend son temps la garce. Je vais lui faire payer.
Le lendemain, elle vient. Je suis déçu : jean et baskets. Elle fait le soin, non sans jeter un regard sur mon bassin. Rien que ce regard me fait bander. « Ne vous inquiétez pas, demain vous allez en prendre plein les yeux » me dit Karim. « Elle est presque à point cette salope ».
Le lendemain, elle arrive, petite jupe courte. Elle tire sur mon slip. Mon sexe est à moitié découvert. « attention, je pique ». Je grimace, la piqure est douloureuse. Je feins de fermer les yeux et je la vois écarter largement les cuisses, découvrant une chatte lisse et nue. Une fois partie, Karim sort de derrière la glace « Demain, c’est le grand jour Jacques. Elle est à point ! On regardera ça avec Sylvie ».
Le lendemain, j’attends son passage avec impatience. J’en bande à l’avance. Sonnerie à la porte. C’est elle. Elle enlève sa veste. Elle est vêtue d’une robe noire mini, avec des bretelles fines. On distingue nettement ses têtons sous le tissu. Je baisse moi-même mon pantalon et mon slip. Seul le gland reste caché par le tissu. Elle est penchée en avant pour préparer l’injection. De côté je distingue le bas de ses fesses nues. Elle s’accroupit, cuisses légèrement disjointes. Elle tire mon slip vers le bas jusqu’à mi-cuisses. Je bande. Elle regarde ma bite qui pulse. Pendant qu’elle injecte le produit, elle écarte largement les cuisses. Je vois son sexe entrouvert, de la cyprine s’en échappant. Elle a fini d’injecter, elle masse à présent ma fesse plus longtemps qu’il ne faudrait. Je n’en peux plus. Je pivote vers elle, amenant mon sexe tendu à hauteur de son visage « vas-y, suce-moi salope » Elle tend les mains et approche sa bouche. Elle me branle et me suce en même temps. C’est divin. Elle me fait un effet d’enfer. Je sens que je viens. C’est trop tôt, qu’est ce qui m’arrive ? Putain, ça vient. Je crache des jets de sperme dans sa bouche. Je m’affale sur le fauteuil. Je la vois se diriger vers la salle de bain. Je vois Karim, nu, entrer à sa suite dans la pièce qui n’est pas éclairée. J’entends des bruits, des halètements. Le salaud, il la baise. Sylvie sort à son tour du réduit, elle a les seins nus et la jupe retroussée. « C’était bon mon chéri à ce que je vois. Karim se paie sur la bête. Heureusement pour toi, sinon c’est moi qui y passais. Il est en superforme, elle va déguster. » Un peu plus tard, je la vois passer devant moi. Je fais semblant de dormir. Elle s’est rhabillée et jette un regard sur moi. Elle quitte la pièce et j’entends la porte d’entrée claquer. Karim sort ensuite du réduit. Il s’est rhabillé également. Il sourit béatement. « Désolé Jacques, mais c’était trop tentant. Elle est super bonne. Dans cinq jours, vous la baisez. Promis. » Karim est un salaud.
Mercredi. Je reçois un SMS de Karim : ce soir – 22 heures – chez Guibaud- portail sera ouvert. J’arrive dix minutes en avance. Le portail est entr’ouvert. Je rentre dans la cour. La porte d’entrée n’est pas fermée à clé. De la lumière provient d’une chambre au bout du couloir. Je m’approche sans bruit. Sur le lit, je vois Clotilde couchée sur Karim qui la laboure, lui arrachant des soupirs. Je me déshabille dans le couloir. A l’idée de la baiser enfin, je bande comme un ado. Elle me plait c’est animal. Je m’approche du lit. Karim m’a vu. Il ralentit le rythme. Je pose une main sur ses fesses et une autre sur ses cheveux. Elle tourne la tête. Sa peau est douce et chaude. « Suce-moi. Je bande tous les jours en pensant à toi. Ce soir je vais te baiser ». Elle suce comme une reine. Mieux qu’une professionnelle. C’est bon. Mais cette fois ci je me retiens. Je la veux. Je veux la prendre, m’enfoncer en elle. Je m’allonge sur le lit et lui demande de venir. Elle se couche sur moi. C’est elle qui guide mon sexe en elle. Je m’y enfonce sans difficulté tellement elle est trempée. Je la baise sans ménagement. Elle aime. Karim se place derrière elle et la sodomise. Prise par nos deux bites, elle perd pied. Nous jouissons presque en même temps. Karim se relève, m’adresse un petit signe et sort de la pièce. Elle est à moi. A moi seul. Ma verge reprend de la vigueur. Je n’en reviens pas. Je la fais basculer, l’allonge sur le dos, relève ses cuisses et la pénètre sans un mot. Après dix minutes de ce traitement, un long cri déchire la nuit. Elle se tortille sous moi, balbutiant des mots incompréhensibles. Longtemps après, je me vide en elle en grognant. Putain, c’était bon. C’était trop bon.
Trois mois ont passé. Je l’ai croisée quelques fois et à chaque fois j’ai senti une envie animale me tordre le ventre. Je me suis fait mal à l’épaule. Je demande au toubib qu’il me prescrive des piqures. « c’est pour guérir plus vite, je suis artisan, je ne peux pas m’arrêter ». J’appelle le cabinet. Je tombe sur elle. « Je passerai en fin de tournée. Après vingt heures ». Rien que d’entendre sa voix, je bande. Il est vingt heures. Je me suis préparé : juste un peignoir. Je bande et une bosse déforme le devant du peignoir. Je vais la baiser. C’est sûr. Sonnerie à la porte d’entrée. Elle entre et me sourit. Il y en a qui fondraient, moi je sens ma bite pulser toute seule. Elle est vêtue d’un imperméable bleu ciel. C’est vrai qu’il pleut dehors. Il a plu toute la journée. Elle me regarde droit dans les yeux et retire son vêtement. Hormis un porte-jarretelle et des bas noirs, elle est nue. Intégralement nue. A mon tour, je me débarrasse de mon peignoir. Elle fixe ma bite tendue. Elle fait son soin et, un air de défi dans les yeux, s’allonge sur le tapis, cuisses largement écartées. J’avance vers elle. M’allonge sur elle et la prend d’un coup sans la quitter du regard. Elle est trempée. La joute dure trois heures. Je la baise sans ménagement, variant les positions. Je ne compte plus ses jouissances. Elle en veut, elle en a. A la fin, sa chatte est rougie par mes assauts. J’éjacule entre ses seins. J’ai encore envie. Elle me rend dingue cette nana.
Quelques semaines ont passé. J’ai eu plein de boulot, notamment la réfection de la maison des associations. J’ai accepté de faire une partie des travaux gratuitement car je sais que la municipalité n’a pas trop d’argent, et puis…ça peut servir un jour. Justement, aujourd’hui c’est l’inauguration de la « nouvelle » maison des associations. Je suis certain d’y retrouver mon infirmière préférée. A l’idée je bande déjà. Après les discours, je me mêle au public. J’ai vite fait de la repérer. Elle est accompagnée de la petite boulangère. Tiens, les ex de Guibaud. Et si je me faisais les deux ? Je m’approche d’elles. Elles sont ravissantes. Clotilde me regarde. Je sens du désir dans ses yeux. C’est gagné. Elle sent l’amour à cent mètres cette nana. Je les aborde. Je lui demande, devant l’autre « as-tu mis une culotte ma salope préférée ? je parie que non » L’autre a entendu. Elle baisse les yeux. Je leur propose de filer à l’anglaise. Clotilde, pose sa main sur ma bite pour en vérifier la dureté. Nous quittons la salle. Direction le parking. La boulangère monte derrière. Je lui demande si elle veut que j’appelle un de mes employés pour s’occuper d’elle pendant que je vais baiser sa copine. Elle est intimidée. Je lui demande d’écarter les cuisses. Elle a un string blanc. « Quand on vient chez Jacques, on ne met pas de culotte. Parce qu’on va baiser ». Sur ce, je me tourne vers Clotilde et envoie ma main sous sa jupe. Comme je m’y attendais, elle est nue et sa chatte ruisselle déjà. Nous arrivons chez moi. Elles sont en face de moi. Clotilde me fixe d’un regard de braise. Elle fait passer son pull par-dessus la tête. Ses seins sont arrogants. Pointes dressées. Elle s’approche de moi. Je sens que je bande. Elle se frotte à moi. Elle est plus petite que moi. J’envoie mes mains sur ses fesses, retrousse sa jupe et pelote les fesses. « Allez les filles, mettez-moi la bite à l’air ». Clotilde s’accroupit. Ouvre ma braguette et descend mon pantalon. Ma bite est dans le fourreau de sa bouche. Elle me suce. Elle aime ça. Moi aussi. J’attrape la boulangère par le bras et l’attire à moi. Elle ne va pas rester passive. Je la débarrasse de son pull et de son soutien-gorge. Elle a de beaux seins. Clotilde me branle et me suce en même temps. C’est trop bon. Bientôt elles sont face à moi. Deux beautés en porte-jarretelles. J’attire Clotilde contre moi, passe mes mains sous ses fesses et la prends debout. Mon sexe la pénètre d’un coup. Elle ruisselle. Je sais que ça va être bon. Je la défonce littéralement. C’est du sexe animal. Je la sens qui s’échappe. Je lui mets un doigt, puis un deuxième dans le cul. Je fixe sa copine des yeux. Elle est tétanisée. Clotilde hurle sa jouissance. Je la repose par terre et m’avance vers la boulangère qui ne nous a pas quittés des yeux. Je la plaque au sol et la prends fébrilement. Elle est bonne. Ce n’est pas Clotilde mais c’est bon. Je la baise sauvagement. Elle me griffe le dos. Elle jouit bruyamment. Je me retire et éjacule sur son ventre, lui envoyant plusieurs giclées de foutre.
Je les raccompagne à la maison des associations et les laisse sur le parking. J’ai la bite anesthésiée.
Trois semaines plus tard, je passe un soir devant le cabinet infirmier. La voiture de Clotilde est là. C’est vrai que je n’ai pas payé les derniers soins. Je gare le camion. Je rentre dans le cabinet. Elle est assise en train de faire de l’administratif. Rien que de la voir, j’ai une érection. Je jette un billet de cinquante euros sur le bureau. « tu me rends la monnaie en nature ». En la regardant, j’ouvre ma combinaison et dégage le haut. Le pantalon tombe. Je m’approche d’elle, la queue droite. J’attrape son pull que je fais passer par-dessus tête et enlève son soutien-gorge. J’attrape ses seins. Je les caresse, les embrasse, les suce. Je passe mes mains dans son dos et descends vers le bas du dos. Elle ronronne déjà. Elle se recule et se débarrasse de son pantalon et de sa culotte. Je l’allonge sur le bureau. N’importe qui pourrait rentrer dans le cabinet mais on s’en fout l’un et l’autre. Je la prends d’un trait, ma queue coulisse dans sa chatte détrempée. L’assaut ne dure pas longtemps mais l’orgasme est puissant pour les deux. Je me rhabille. « Salut poupée ! A la prochaine » Justement, la prochaine, c’est ce soir. Je me suis débrouillé pour les inviter, Judith, la boulangère, et Clotilde, sans leur dire pourquoi. Elles savent juste que c’est pour une soirée baise. Il y aura six mecs : Karim, Frédéric, Mourad, Sylla, Minh, tous mes employés et moi. Et trois filles : Judith, Clotilde et Sylvie, mon épouse que seul Karim connait intimement. Sylvie, convertie fraichement au libertinage.
Nous, les mecs sommes tous réunis dans la pièce. Torses nus. Nous attendons nos invitées. Ils ne savent pas de qui il s’agit. Il va y avoir de la surprise car certains sont clients de la boulangerie, et d’autres ont été vaccinés par Clotilde. Et tous connaissent Sylvie et son engagement catéchèse.
Il est à peine vingt heures. Un bruit de moteur. Des portières qui claquent. Nous sommes en arc de cercle. Judith s’avance. Elle a une jupe courte arrivant à mi-cuisse et des bas, on voit la couture. Ses seins sont nus sous une chemise légèrement translucide. Les ouvriers n’en reviennent pas. Elle en reconnait certains et semble gênée. Clotilde rentre à sa suite, uniquement vêtue d’une grande chemise ouverte sur le haut des seins et dont l’absence de boutonnage en bas découvre sa chatte épilée. Puis Sylvie fait son apparition, nue. Murmure d’étonnement. Je bande sec. Les autres aussi. J’explique les règles. Le jeune Minh (il a vingt ans) est encore puceau, et ce soir, il connaitra les trois femmes. Pour le reste, toutes les combinaisons sont permises. Je les ai baisées toutes les trois, à tour de rôle, seul ou à plusieurs. La soirée touche à sa fin, tout le monde se repose. Clotilde vient vers moi « J’ai envie de ta queue. Fais mois jouir. Fais-moi hurler. J’en veux encore. Fais de moi ce que tu veux. Baise-moi devant eux. ». Elle s’agrippe à moi et m’escalade. Je la soutiens sous les fesses. Elle s’empale. Je la besogne. A chaque poussée je cogne le fond de son vagin. Je me retire presque entièrement à chaque fois pour mieux l’investir. Elle n’est plus qu’une poupée avide de sexe qui soliloque. L’assaut dure un gros quart d’heure. Je n’en peux plus de me retenir. Je la sens qui part, qui vient dans un grand cri rauque. Je me vide en elle, terrassé par un orgasme qui me laisse pantelant. Cette fille me rendra dingue.
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