Mon premier travail 01
Récit érotique écrit par Patrice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2005 dans la catégorie Plus on est
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Mon premier travail 01
<p>Mon premier travail
Mon premier jour
Je venais d’avoir mes 18 ans et pendant la période des vacances, je souhaitais travailler pour m’acheter un cyclomoteur.
Une voisine m’avait donné l’adresse d’une société qu’elle connaissait bien et qui recherchait des manutentionnaires.
Elle me dit que sa nièce (Maria) que je connaissais pas devait, elle aussi travailler pendant un mois.
Elle avait tout arrangé avec le service du personnel.
Elle me dit que le mieux serait d’y aller avec elle, comme elle connaissait bien car elle y avait déjà travaillé l’année précédente.
Elle avait donc organisé un RDV pour que l’on puisse partir ensemble.
Nous devions prendre le bus, puis le métro, pour allez jusqu’à Bécon-les-Bruyères.
Dès le lundi matin, à l’heure dite, je me rendis sur place avec une certaine curiosité et appréhension.
Au lieu dit, il n’y avait personne et je m’inquiétais déjà, je regardais ma montre, j’étais en avance.
Le soleil brillait déjà quand je vis sur le trottoir d’en face, une jeune fille qui me faisait signe.
C’était elle, sa ligne était élancée dans une robe blanche, et une jolie chevelure brune tombant sur ses épaules.
Elle avait un petit pull bleu clair posé sur ses épaules et un sac à main en toile beige.
Je m’appelle Maria et je suis la nièce de Mme xxx, tu es Patrice ! dit elle en me souriant et en avançant sa tête vers moi pour me faire la bise.
Un peu surpris, et hébété, je lui répondis par l’affirmative.
Elle avait un joli visage et elle respirait la joie de vivre, un peu plus petite que moi malgré ces chaussures à talons qui laissait voir ces orteils peints en rouge.
Tu as déjà travaillé ? demanda-t-elle, non c’est mon premier travail ! Répondis-je !
Tu vas voir c’est super là-bas, les gens sont sympa, j’y ai travaillé l’année dernière,
Je la regardais m’expliquer tout cela alors que le bus arrivait,
Je la laissais passer devant moi pour monter dans le bus et déjà des pensées m’envahirent en voyant ses formes ondulées en montant les marches du bus.
Ma tête était à quelques centimètres de ses fesses (alors que je venais de faire sa connaissance) et j’imaginais déjà plein de folies.
A cette époque, j’avais une « petite amie » Marie Christine, qui était plus une amourette de passage.
Donc coté sexe, c’était bien calme et la petite Maria réveillait dès ce matin d’été des pulsions bien naturelles.
Arrivé dans le bus nous avions choisis de nous mettre l’un en face de l’autre pour se parler et mieux faire connaissance.
Assise, sa robe révélait ses genoux qu’elle maintenait bien serrés l’un contre l’autre, je pus aussi voir que sa poitrine était plus que généreuse. Ses mains étaient fines et bien jolies avec des ongles ornés de rouge.
A l’un de ses poignets une montre qu’elle regardait souvent indiquait déjà 7heures 30.
Elle poursuivait la discussion en me demandant ce que je faisais comme études, mes passe-temps favoris, un tas de questions pour combler la conversation.
J’appris que ses parents étaient marchands de légumes, qu’elle était fille unique, qu’elle pratiquait la gymnastique et qu’elle adorait la musique.
Son sac était posé à coté d’elle et elle en sorti un petit portefeuille noir.
Tu as des tickets de métro, sinon j’en ai ? Me dit elle en sortant son ticket
En même temps elle fit tomber un morceau de papier qu’elle s’empressa de ramasser mais en se baissant, je remarquais l’échancrure de sa robe qui m’offrait une vue imprenable.
Je fis celui qui n’avait rien vu mais que c’était beau, ce soutien gorge blanc avec une dentelle qui comprimait sa jolie poitrine.
Nous arrivions à la station de métro et nous remarquions que malgré l’heure matinale, il y avait déjà pas mal de monde sur le quai.
Alors que nous nous engouffrâmes dans le premier wagon tant bien que mal et nous nous sommes retrouvés serré l’un contre l’autre ce qui la fit sourire.
Nous étions comme des sardines et les mouvements du métro ne faisaient qu’accentuer les frottements de nos corps bien malgré nous.
Pour commencer la journée, c’était vraiment du « tout bon », mais rien à coté de ce qui m’attendais par la suite.
Nos visages étaient à quelques centimètres et je voyais ses yeux marron clair qui ne me quittaient pas du regard.
Elle continuait à me parler d’elle et de sa famille, de ses copines et je répondais par quelques phrases banales.
J’étais fasciné par ses yeux légèrement maquillés et sa bouche qui sentait bon la menthe.
Ses fines lèvres découvraient de jolies petites dents blanches parfaitement alignées.
Les stations défilaient et le monde augmentait dans le wagon, nous étions face à face et de plus en plus serrés.
Avec les mouvements, son pull avait glissé de ses épaules et était maintenant sur le sol.
Après bien des efforts, elle réussi à se baisser pour le ramasser, mais un virage plaqua sa tête à la hauteur de ma braguette qui devait être gonflée vu l’état dans lequel j’étais. J’en revenais pas, je rêvais où quoi !
Je n’osais bouger, et je voyais bien qu’elle avait du mal à se relever, avait-elle remarqué quelque chose ?
Alors, pour l’aider, je lui ai tendu la main pour la relever.
Ses petites joues étaient roses (sûrement la confusion)
Merci Patrice ! Me dit-elle avec un regard évocateur, (alors là elle m’échauffait vraiment) ou était ce un jeu ?
Nous nous retrouvions donc plaqués l’un contre l’autre et je sentais la main qui tenait son sac sur ma cuisse.
J’ai rien pour me tenir, tu permets que je me tienne à toi ? Me dit elle en me faisant une moue, un mouvement de la tête lui fit comprendre que j’étais d’accord (Et comment)
Maria posa donc sa main libre sur mon bras pour se tenir et s’agrippa fermement.
Nous étions à mi-chemin du trajet mais nous avions déjà sans le savoir fait un bon bout de chemin.
A chaque virage, nos corps se frottaient, sa poitrine s’écrasait sur mon corps, sa chevelure envahissait mes narines, sa main serrait mon bras, son autre main effleurait ma bosse, l’avait-elle sentie ?
Quelques stations après, un flot de voyageurs descenda du métro et nous pûmes alors nous assoire l’un en face l’autre, ouf, c’était chaud !
Je passais le reste du trajet à la dévisager et à repenser a ces contacts furtifs qui m’avaient procuré autant d’excitation.
Le midi, nous avons une cantine ou alors on peu manger dehors en se promenant, c’est comme tu veux ? Me dit-elle en me sortant de mes pensées les plus intimes.
Oui bonne idée, comme il fait beau, il faut en profiter, tu connais bien le coin ? Lui répondis-je du tac au tac.
A 8 heures 20, nous étions devant le lieu de travail, j’avais rendez-vous dix minutes plus tard au service du personnel.
Elle me laissa alors en me disant : à toute à l’heure devant la porte d’entrée !
Oui on sort à midi, c’est bien ça ? lui dis-je, Oui oui ! fit-elle en s’éloignant
Je la regardais, j’étais « aux anges » et elle disparut par la porte de coté
C’était une usine de production de parfum et je fus tout d’abord accueilli par le responsable du service du personnel.
Il me demanda quelques formalités et documents à remplir puis appela Mme Cécile
Quelques instants plus tard apparu Mme Cécile, une blonde (vraie ou fausse) sculpturale d’une trentaine d’années se présentant comme étant la contremaître de l’équipe de conditionnement..
Elle me demanda de la suivre jusqu’aux vestiaires, pour me changer, ma surprise était de taille car dans les vestiaires, il n’y avait que des femmes plus ou moins habillées.
Elle me dit : T’inquiètes pas, ici il y a cinquante femmes et trois hommes, toi, tu es le quatrième ! en faisant un clin d’œil aux autres.
Donc ici c’est les vestiaires avec les douches, tu n’auras qu’à choisir le tien, tu n’as pas d’affaires pour le travail, je vais te donner une blouse, viens suis-moi !
Je la suivais en entendant derrière nous quelques propos et rires étouffés.
Elle sorti de sa poche une clé et ouvrit une porte qui donnait sur une petite pièce sans fenêtres.
Ici c’est la réserve, entre, que je trouve une blouse à ta taille, c’est comment ton prénom ! Me dit-elle
Son tutoiement m’avait surpris au début mais il était plutôt rassurant et je lui répondis : moi c’est Patrice !
Elle me dit : tiens on a déjà eu un Patrice et on en garde un bon souvenir !
Dans la pièce, il y avait des cartons, une table avec quelques chaises empilées, et deux grandes armoires.
Elle ouvra l’une d’entre elles et me demanda ma taille, heu, je ne sais pas ! Bredouillais-je
Pas grave essaye cette blouse pour voir ! dit-elle en souriant car la blouse était rose
La plupart des blouses sont roses mais je sais qu’il y en a des bleues !
Je crois savoir où elle sont, aide moi, passe moi une chaise ! répondit-elle
Elle monta sur la chaise en écartant au passage la blouse laissant apparaître une cuisse parfaite.
Evidemment elles sont rangées sur l’étagère la plus haute et j’y arrive pas, donne moi l’escabeau !
Un escabeau était rangé derrière le tas de carton et je lui amenais aussitôt.
Elle colla l’escabeau à l’armoire et commença à monter mais arrivée à la deuxième marche elle me dit :
Patrice, tu devrais le tenir car il n’est pas très stable !
Je m’approchais donc de l’escabeau pour le maintenir fermement et elle pu en toute tranquillité commencer a monter pour atteindre l’étagère où se trouvait les blouses bleues.
C’est vrai que l’escabeau n’était pas stable et qu’il se mit à tanguer dangereusement, ce qui fit crier Cécile.
Mais tiens le donc, tu vas me faire tomber
Je n’avais pas encore osé regarder vers elle de peur qu’elle surprenne mon regard mais son interpellation me fit lever la tête et le spectacle était grandiose, décidemment c’était mon jour de chance.
La vue est belle d’en bas ? Me lança-t-elle, je ne savais que faire, coller à cet escabeau avec au dessus de ma tête une vraie femme qui me dévoilait ses trésors et mon sexe qui me démangeait.
Hello y a quelqu’un en bas, tu pourrais me regarder quand je te parle ! Insista-t-elle
Doucement, je levais la tête vers elle en prenant soin de ne pas regarder sous la blouse, mais c’était impossible vu la position qu’elle avait prise, je n’en ratais pas une miette,
Sous la blouse, elle ne devait porter que ce minuscule petit slip et un soutien gorge
Ca te plait de me regarder, ça t’excite, moi aussi, regarde encore !
Une de ses mains remonta alors la blouse pour bien dégager ses fesses, j’étais complètement excité et mon sexe était gonflé à bloc, près à exploser après toutes les émotions que j’avais vécues depuis le matin.
Tiens attrape les blouses, il y en a sûrement une a ta taille ! dit elle brusquement en rompant le charme.
Maintenant il faut se dépêcher, on a du boulot ! Lança-t-elle
Elle avait mis le feu en moi et mon sexe était aussi dur que la barre de l’escabeau.
Je passais une blouse et on referma la porte de la pièce en remettant la clef dans sa poche.
Je gardais en mémoire la vision de cette femme, les jambes écartées au-dessus de ma tête.
En arrivant dans l’atelier, elle s’adressa à l’ensemble du personnel présent :
Mesdames et mesdemoiselles, je vous présente Patrice qui va travailler avec nous pendant un mois et je vous demande d’être gentilles avec lui, maintenant au travail !
La chef d’équipe s’appelait Michelle, c’était une petite brune boulotte avec des lunettes qui lui allaient à ravir.
Elle me présenta les autres femmes qui se trouvaient sous ses ordres : Mélanie, Pascale, Emilie et Rolande.
Le travail était simple à réaliser, car on devait monter les boites et mettre les flacons de parfum dedans.
L’odeur et l’ambiance qui régnait étaient agréables.
Pendant cette première matinée de travail, certains regards furent échangés, des sourires aussi témoignaient d’une grandes complicité comme je pu m’en apercevoir par la suite.
Rolande, la plus âgée, environ la cinquantaine chantait des chansons d’autrefois et dotée d’une très belle voix.
Je remarquais également, le décolleté de la blouse d’Emilie qui travaillait à deux mètres de moi,
C’était une petite rousse aux yeux verts avec une peau très claire et je pouvais voir qu’elle avait la manie de se caresser les cheveux d’une manière très sensuelle.
Tout en travaillant, nous avons bien sur engagé la conversation, elle devait avoir entre vingt trois ou vingt cinq ans et elle me dit qu’elle avait un petit garçon de deux ans, et qu’elle était divorcée.
Les yeux d’Emilie, vert clair étaient magnifiques tout comme sa chevelure, pendant les petits déplacements nécessaires à la réalisation des tâches, je pouvais voir qu’elle n’avait pas de soutien-gorge, car les boutons espacés de sa blouse laissaient apparaître sa pale poitrine.
Michelle vint plus tard me voir pour me demander si tout allait bien, et si les filles ne me posaient pas de problème.
Non, non, tout va bien ! Je lui répondis
Ah oui, elles t’on pas prévenu qu’à dix heures il y a une pose d’environ un quart d’heure ? Dit-elle
Elle interpella Emilie : Tu iras cet après midi avec Patrice chercher de la paille pour les envois fragiles !
Bien Michelle ! Répondis Emilie en souriant
Patrice, va voir Pascale, elle a besoin de toi, il nous faut un homme fort ! dit Michelle tout fort
J’arrivais de l’autre coté et je demandais à Pascale en quoi je pouvais l’aider.
Il fallait décharger les lourds paquets de la remorque du camion qui était à coté du quai.
Merci, toute seule je n’y serais sûrement pas arrivée ! Me dit Pascale
Elle aussi était petite, brune la trentaine les cheveux coupés très courts avec de belles boucles d’oreilles.
Elle avait de beaux yeux noisette très maquillés.
Elle m’aidait du mieux qu’elle pouvait en me passant les paquets stockés dans la remorque.
Mon regard fut attiré comme un aimant quand Pascale voulu s’accroupir pour ramasser les paquets les plus bas.
Décidemment je pensais qu’elles avaient toutes le feu au cul, c’est pas possible.
Ses deux cuisses ouvertes m’offraient la vision d’une culotte rose, elle me regardait, elle l’avait fait exprès.
Une sonnerie retentie pour nous prévenir de la pose, mais je m’en serais bien passé.
Elle me dit : je t’offre un café si tu veux ou bien autre chose ?
Je ne sais pas ce qui m’a pris quand je lui ai dit comme par réflexe : et c’est quoi autre chose ?
Tu verras bien, suis moi ! Me dit-elle
A suivre…
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Mon premier jour
Je venais d’avoir mes 18 ans et pendant la période des vacances, je souhaitais travailler pour m’acheter un cyclomoteur.
Une voisine m’avait donné l’adresse d’une société qu’elle connaissait bien et qui recherchait des manutentionnaires.
Elle me dit que sa nièce (Maria) que je connaissais pas devait, elle aussi travailler pendant un mois.
Elle avait tout arrangé avec le service du personnel.
Elle me dit que le mieux serait d’y aller avec elle, comme elle connaissait bien car elle y avait déjà travaillé l’année précédente.
Elle avait donc organisé un RDV pour que l’on puisse partir ensemble.
Nous devions prendre le bus, puis le métro, pour allez jusqu’à Bécon-les-Bruyères.
Dès le lundi matin, à l’heure dite, je me rendis sur place avec une certaine curiosité et appréhension.
Au lieu dit, il n’y avait personne et je m’inquiétais déjà, je regardais ma montre, j’étais en avance.
Le soleil brillait déjà quand je vis sur le trottoir d’en face, une jeune fille qui me faisait signe.
C’était elle, sa ligne était élancée dans une robe blanche, et une jolie chevelure brune tombant sur ses épaules.
Elle avait un petit pull bleu clair posé sur ses épaules et un sac à main en toile beige.
Je m’appelle Maria et je suis la nièce de Mme xxx, tu es Patrice ! dit elle en me souriant et en avançant sa tête vers moi pour me faire la bise.
Un peu surpris, et hébété, je lui répondis par l’affirmative.
Elle avait un joli visage et elle respirait la joie de vivre, un peu plus petite que moi malgré ces chaussures à talons qui laissait voir ces orteils peints en rouge.
Tu as déjà travaillé ? demanda-t-elle, non c’est mon premier travail ! Répondis-je !
Tu vas voir c’est super là-bas, les gens sont sympa, j’y ai travaillé l’année dernière,
Je la regardais m’expliquer tout cela alors que le bus arrivait,
Je la laissais passer devant moi pour monter dans le bus et déjà des pensées m’envahirent en voyant ses formes ondulées en montant les marches du bus.
Ma tête était à quelques centimètres de ses fesses (alors que je venais de faire sa connaissance) et j’imaginais déjà plein de folies.
A cette époque, j’avais une « petite amie » Marie Christine, qui était plus une amourette de passage.
Donc coté sexe, c’était bien calme et la petite Maria réveillait dès ce matin d’été des pulsions bien naturelles.
Arrivé dans le bus nous avions choisis de nous mettre l’un en face de l’autre pour se parler et mieux faire connaissance.
Assise, sa robe révélait ses genoux qu’elle maintenait bien serrés l’un contre l’autre, je pus aussi voir que sa poitrine était plus que généreuse. Ses mains étaient fines et bien jolies avec des ongles ornés de rouge.
A l’un de ses poignets une montre qu’elle regardait souvent indiquait déjà 7heures 30.
Elle poursuivait la discussion en me demandant ce que je faisais comme études, mes passe-temps favoris, un tas de questions pour combler la conversation.
J’appris que ses parents étaient marchands de légumes, qu’elle était fille unique, qu’elle pratiquait la gymnastique et qu’elle adorait la musique.
Son sac était posé à coté d’elle et elle en sorti un petit portefeuille noir.
Tu as des tickets de métro, sinon j’en ai ? Me dit elle en sortant son ticket
En même temps elle fit tomber un morceau de papier qu’elle s’empressa de ramasser mais en se baissant, je remarquais l’échancrure de sa robe qui m’offrait une vue imprenable.
Je fis celui qui n’avait rien vu mais que c’était beau, ce soutien gorge blanc avec une dentelle qui comprimait sa jolie poitrine.
Nous arrivions à la station de métro et nous remarquions que malgré l’heure matinale, il y avait déjà pas mal de monde sur le quai.
Alors que nous nous engouffrâmes dans le premier wagon tant bien que mal et nous nous sommes retrouvés serré l’un contre l’autre ce qui la fit sourire.
Nous étions comme des sardines et les mouvements du métro ne faisaient qu’accentuer les frottements de nos corps bien malgré nous.
Pour commencer la journée, c’était vraiment du « tout bon », mais rien à coté de ce qui m’attendais par la suite.
Nos visages étaient à quelques centimètres et je voyais ses yeux marron clair qui ne me quittaient pas du regard.
Elle continuait à me parler d’elle et de sa famille, de ses copines et je répondais par quelques phrases banales.
J’étais fasciné par ses yeux légèrement maquillés et sa bouche qui sentait bon la menthe.
Ses fines lèvres découvraient de jolies petites dents blanches parfaitement alignées.
Les stations défilaient et le monde augmentait dans le wagon, nous étions face à face et de plus en plus serrés.
Avec les mouvements, son pull avait glissé de ses épaules et était maintenant sur le sol.
Après bien des efforts, elle réussi à se baisser pour le ramasser, mais un virage plaqua sa tête à la hauteur de ma braguette qui devait être gonflée vu l’état dans lequel j’étais. J’en revenais pas, je rêvais où quoi !
Je n’osais bouger, et je voyais bien qu’elle avait du mal à se relever, avait-elle remarqué quelque chose ?
Alors, pour l’aider, je lui ai tendu la main pour la relever.
Ses petites joues étaient roses (sûrement la confusion)
Merci Patrice ! Me dit-elle avec un regard évocateur, (alors là elle m’échauffait vraiment) ou était ce un jeu ?
Nous nous retrouvions donc plaqués l’un contre l’autre et je sentais la main qui tenait son sac sur ma cuisse.
J’ai rien pour me tenir, tu permets que je me tienne à toi ? Me dit elle en me faisant une moue, un mouvement de la tête lui fit comprendre que j’étais d’accord (Et comment)
Maria posa donc sa main libre sur mon bras pour se tenir et s’agrippa fermement.
Nous étions à mi-chemin du trajet mais nous avions déjà sans le savoir fait un bon bout de chemin.
A chaque virage, nos corps se frottaient, sa poitrine s’écrasait sur mon corps, sa chevelure envahissait mes narines, sa main serrait mon bras, son autre main effleurait ma bosse, l’avait-elle sentie ?
Quelques stations après, un flot de voyageurs descenda du métro et nous pûmes alors nous assoire l’un en face l’autre, ouf, c’était chaud !
Je passais le reste du trajet à la dévisager et à repenser a ces contacts furtifs qui m’avaient procuré autant d’excitation.
Le midi, nous avons une cantine ou alors on peu manger dehors en se promenant, c’est comme tu veux ? Me dit-elle en me sortant de mes pensées les plus intimes.
Oui bonne idée, comme il fait beau, il faut en profiter, tu connais bien le coin ? Lui répondis-je du tac au tac.
A 8 heures 20, nous étions devant le lieu de travail, j’avais rendez-vous dix minutes plus tard au service du personnel.
Elle me laissa alors en me disant : à toute à l’heure devant la porte d’entrée !
Oui on sort à midi, c’est bien ça ? lui dis-je, Oui oui ! fit-elle en s’éloignant
Je la regardais, j’étais « aux anges » et elle disparut par la porte de coté
C’était une usine de production de parfum et je fus tout d’abord accueilli par le responsable du service du personnel.
Il me demanda quelques formalités et documents à remplir puis appela Mme Cécile
Quelques instants plus tard apparu Mme Cécile, une blonde (vraie ou fausse) sculpturale d’une trentaine d’années se présentant comme étant la contremaître de l’équipe de conditionnement..
Elle me demanda de la suivre jusqu’aux vestiaires, pour me changer, ma surprise était de taille car dans les vestiaires, il n’y avait que des femmes plus ou moins habillées.
Elle me dit : T’inquiètes pas, ici il y a cinquante femmes et trois hommes, toi, tu es le quatrième ! en faisant un clin d’œil aux autres.
Donc ici c’est les vestiaires avec les douches, tu n’auras qu’à choisir le tien, tu n’as pas d’affaires pour le travail, je vais te donner une blouse, viens suis-moi !
Je la suivais en entendant derrière nous quelques propos et rires étouffés.
Elle sorti de sa poche une clé et ouvrit une porte qui donnait sur une petite pièce sans fenêtres.
Ici c’est la réserve, entre, que je trouve une blouse à ta taille, c’est comment ton prénom ! Me dit-elle
Son tutoiement m’avait surpris au début mais il était plutôt rassurant et je lui répondis : moi c’est Patrice !
Elle me dit : tiens on a déjà eu un Patrice et on en garde un bon souvenir !
Dans la pièce, il y avait des cartons, une table avec quelques chaises empilées, et deux grandes armoires.
Elle ouvra l’une d’entre elles et me demanda ma taille, heu, je ne sais pas ! Bredouillais-je
Pas grave essaye cette blouse pour voir ! dit-elle en souriant car la blouse était rose
La plupart des blouses sont roses mais je sais qu’il y en a des bleues !
Je crois savoir où elle sont, aide moi, passe moi une chaise ! répondit-elle
Elle monta sur la chaise en écartant au passage la blouse laissant apparaître une cuisse parfaite.
Evidemment elles sont rangées sur l’étagère la plus haute et j’y arrive pas, donne moi l’escabeau !
Un escabeau était rangé derrière le tas de carton et je lui amenais aussitôt.
Elle colla l’escabeau à l’armoire et commença à monter mais arrivée à la deuxième marche elle me dit :
Patrice, tu devrais le tenir car il n’est pas très stable !
Je m’approchais donc de l’escabeau pour le maintenir fermement et elle pu en toute tranquillité commencer a monter pour atteindre l’étagère où se trouvait les blouses bleues.
C’est vrai que l’escabeau n’était pas stable et qu’il se mit à tanguer dangereusement, ce qui fit crier Cécile.
Mais tiens le donc, tu vas me faire tomber
Je n’avais pas encore osé regarder vers elle de peur qu’elle surprenne mon regard mais son interpellation me fit lever la tête et le spectacle était grandiose, décidemment c’était mon jour de chance.
La vue est belle d’en bas ? Me lança-t-elle, je ne savais que faire, coller à cet escabeau avec au dessus de ma tête une vraie femme qui me dévoilait ses trésors et mon sexe qui me démangeait.
Hello y a quelqu’un en bas, tu pourrais me regarder quand je te parle ! Insista-t-elle
Doucement, je levais la tête vers elle en prenant soin de ne pas regarder sous la blouse, mais c’était impossible vu la position qu’elle avait prise, je n’en ratais pas une miette,
Sous la blouse, elle ne devait porter que ce minuscule petit slip et un soutien gorge
Ca te plait de me regarder, ça t’excite, moi aussi, regarde encore !
Une de ses mains remonta alors la blouse pour bien dégager ses fesses, j’étais complètement excité et mon sexe était gonflé à bloc, près à exploser après toutes les émotions que j’avais vécues depuis le matin.
Tiens attrape les blouses, il y en a sûrement une a ta taille ! dit elle brusquement en rompant le charme.
Maintenant il faut se dépêcher, on a du boulot ! Lança-t-elle
Elle avait mis le feu en moi et mon sexe était aussi dur que la barre de l’escabeau.
Je passais une blouse et on referma la porte de la pièce en remettant la clef dans sa poche.
Je gardais en mémoire la vision de cette femme, les jambes écartées au-dessus de ma tête.
En arrivant dans l’atelier, elle s’adressa à l’ensemble du personnel présent :
Mesdames et mesdemoiselles, je vous présente Patrice qui va travailler avec nous pendant un mois et je vous demande d’être gentilles avec lui, maintenant au travail !
La chef d’équipe s’appelait Michelle, c’était une petite brune boulotte avec des lunettes qui lui allaient à ravir.
Elle me présenta les autres femmes qui se trouvaient sous ses ordres : Mélanie, Pascale, Emilie et Rolande.
Le travail était simple à réaliser, car on devait monter les boites et mettre les flacons de parfum dedans.
L’odeur et l’ambiance qui régnait étaient agréables.
Pendant cette première matinée de travail, certains regards furent échangés, des sourires aussi témoignaient d’une grandes complicité comme je pu m’en apercevoir par la suite.
Rolande, la plus âgée, environ la cinquantaine chantait des chansons d’autrefois et dotée d’une très belle voix.
Je remarquais également, le décolleté de la blouse d’Emilie qui travaillait à deux mètres de moi,
C’était une petite rousse aux yeux verts avec une peau très claire et je pouvais voir qu’elle avait la manie de se caresser les cheveux d’une manière très sensuelle.
Tout en travaillant, nous avons bien sur engagé la conversation, elle devait avoir entre vingt trois ou vingt cinq ans et elle me dit qu’elle avait un petit garçon de deux ans, et qu’elle était divorcée.
Les yeux d’Emilie, vert clair étaient magnifiques tout comme sa chevelure, pendant les petits déplacements nécessaires à la réalisation des tâches, je pouvais voir qu’elle n’avait pas de soutien-gorge, car les boutons espacés de sa blouse laissaient apparaître sa pale poitrine.
Michelle vint plus tard me voir pour me demander si tout allait bien, et si les filles ne me posaient pas de problème.
Non, non, tout va bien ! Je lui répondis
Ah oui, elles t’on pas prévenu qu’à dix heures il y a une pose d’environ un quart d’heure ? Dit-elle
Elle interpella Emilie : Tu iras cet après midi avec Patrice chercher de la paille pour les envois fragiles !
Bien Michelle ! Répondis Emilie en souriant
Patrice, va voir Pascale, elle a besoin de toi, il nous faut un homme fort ! dit Michelle tout fort
J’arrivais de l’autre coté et je demandais à Pascale en quoi je pouvais l’aider.
Il fallait décharger les lourds paquets de la remorque du camion qui était à coté du quai.
Merci, toute seule je n’y serais sûrement pas arrivée ! Me dit Pascale
Elle aussi était petite, brune la trentaine les cheveux coupés très courts avec de belles boucles d’oreilles.
Elle avait de beaux yeux noisette très maquillés.
Elle m’aidait du mieux qu’elle pouvait en me passant les paquets stockés dans la remorque.
Mon regard fut attiré comme un aimant quand Pascale voulu s’accroupir pour ramasser les paquets les plus bas.
Décidemment je pensais qu’elles avaient toutes le feu au cul, c’est pas possible.
Ses deux cuisses ouvertes m’offraient la vision d’une culotte rose, elle me regardait, elle l’avait fait exprès.
Une sonnerie retentie pour nous prévenir de la pose, mais je m’en serais bien passé.
Elle me dit : je t’offre un café si tu veux ou bien autre chose ?
Je ne sais pas ce qui m’a pris quand je lui ai dit comme par réflexe : et c’est quoi autre chose ?
Tu verras bien, suis moi ! Me dit-elle
A suivre…
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