Mon premier travail 03
Récit érotique écrit par Patrice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2005 dans la catégorie Plus on est
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Mon premier travail 03
<p>Maria
Après cette surprise de taille, et une bonne douche, je regagnais ma place à l’atelier et je jetais un coup d’œil à la pendule, elle indiquait déjà onze heures un quart et dans trois quart d’heure je retrouverais Maria.
Si elle savait tout ce qui c’est passé ici depuis mon arrivée, jamais on ne me croira !
Les clins d’oeils et les sourires fusaient de partout, j’étais assez fier de ma prestation et à en juger par les mines réjouies de mes collègues, je ne me trompais pas.
Emilie revenue aussi n’arrêtait pas de me regarder en me souriant, cela commençait à me gêner sérieusement.
J’avais hâte de prendre l’air pour me changer les idées mais les images de la réserve étaient si fortes que je ne pouvais penser à autre chose.
J’avais encore l’odeur de tous ces sexes et je portais instinctivement mes doigts discrètement vers mon nez pour les renifler. J’avais l’impression que tout mon corps était baigné par cette odeur de femelles en chaleur, malgré les essences de parfums multiples qui nous entouraient.
Ah il était midi, une sonnerie retentie et je me dirigeais vers les vestiaires pour me préparer quand Emilie m’interpella : Tu manges avec nous Patrice ? je lui répondis : Non pas aujourd’hui, j’ai autre chose de prévu !
Dehors le temps était splendide tout comme Maria dans sa robe blanche qui m’attendait, assise sur un banc sur le trottoir d’en face. Elle lisait un livre en attendant et quand elle releva la tête elle m’aperçu, elle me lança un immense sourire en me faisant signe de venir la rejoindre.
Son sourire était éclatant et ne pouvais détacher mes yeux de sa bouche et de ses belles dents blanches.
Alors, cette première journée, pas trop dur ? dit-elle, Ah si elle savait, mais je me contentais de lui dire :
Non ça c’est bien passé, et les personnes avec qui je travaillent sont très sympa, et les chefs aussi, il n’y a que des femmes ! Ah bon ! fit-elle, d’un air étonné, moi je travaille dans les bureaux et les gens aussi sont très gentils ! Continua –t-elle.
Je lui dis : J’ai très faim, tu connais un endroit ? (L’exercice du matin m’avait ouvert l’appétit)
Elle répondit : Et bien si tu veux, on peu prendre un bon sandwich au café du coin et aller manger dans le parc !
Elle pris un sandwich à la salade avec une bouteille d’eau et moi un sandwich au jambon avec de l’eau également.
Après cela, nous étions arrivé dans ce magnifique par et après avoir marcher quelques temps, elle me dit :
On va s’installer par là, on sera tranquille ! En me désignant un petit carré de pelouse loin des passages piétons et des regards indiscrets. Elle s’assis la première et d’une drôle de façon, en écartant sa robe blanche pour éviter de la salir. On set bien là, c’est sympa comme coin ! dit-elle en regardant autour d’elle. En tournant la tête, son corps pivota et sa jambe s’écarta, relevant la robe et découvrant sa cuisse. Elle mordait à belles dents dans son sandwich.
Elle avait posé son sac dans l’herbe près de moi et je pu voir qu’elle lisait un roman d’amour.
Je lui posais la question : Moi aussi j’adore lire, c’est bien ce que tu lis ?
Oh tu sais, j’aime bien lire ce genre de roman où il y a des sentiments et des histoires d’amour, ça me fait rêver ! dit-elle d’un air penseur.
Après avoir bu une gorgée d’eau, elle s’installa plus confortablement et regarda ses jambes.
Tu trouves pas mes jambes un peu blanches, regarde ? dit-elle en les massant
Non elles sont très bien comme elles sont, et je les trouve très belles ! Rajoutais-je rapidement
C’est gentil, tu les trouves belles mais j’ai envie de profiter du soleil et les faire bronzer un peu ! dit-elle
Sur ce, elle remonta sa robe légèrement pour découvrir ses cuisses.
Je devinais sous cette robe blanche sa petite culotte qui faisait une légère marque sous le tissu.
Ses cuisses étaient de plus en plus dégagées pour profiter de la chaleur du soleil et ça chauffait dur en ce mois de juillet.
Ah ça fait du bien ! dit elle en renversant sa tête en arrière pour que son visage soit lui aussi inondé de soleil.
Je vais m’allonger un peu pour faire un bain de soleil, tu veux faire pareil ? Continua-t-elle en se couchant dans l’herbe. Oui tu as raison je vais en faire autant ! Répondis-je.
J’étais assis en face d’elle et je basculais mon corps sur le coté de façon que ma tête soit en pleine ligne avec ses jambes. Ses cuisses étaient bien serrées l’une contre l’autre et je guettais le moindre de ses mouvements.
Le soleil devait lui procurer du plaisir, car elle se mit à desserrer doucement son entre jambe.
Soudain, une fourmi la chatouilla et elle fit un geste brusque pour la chasser et dévoilant en même temps le trésor que je cherchais à découvrir.
Elle avait gardé les cuisses dans cette position et je pouvais ainsi profiter du spectacle qui s’offrait à moi.
Au fond de ses deux cuisses, on pouvait voir se dessiner nettement une culotte blanche qui contrastait avec la pelouse et ses jambes.
Je m’imaginais être la petite fourmi pour m’introduire dans la petite culotte et pénétrer dans sa petite fente.
Je commençais à fantasmer un max devant la position de Maria et ma queue déjà bien sollicitée gagna en volume au point de me gêner dans mon jean.
Je regardais fixement le centre de la petite culotte ou je devinais les lèvres et son clitoris.
J’étais en train de m’imaginer en train de lui lécher la chatte quand une abeille pénétra sous sa jupe pour se poser sur sa cuisse. Un cri me fit sursauter et Maria se mit brusquement debout
Une bête ma piquée ! Cria-t-elle tu l’as vue, qu’est ce que c’était ? demanda –t-elle
Je n’osais lui avouer que j’avais vu une abeille se faufiler sous sa robe.
Non j’ai rien vu, tu es sure qu’elle ta piquée ? Lui répondis-je
Tiens, regarde ! dit-elle en me montrant l’endroit où l’abeille avait piquée.
Elle me montrait l’intérieure du haut de sa cuisse et elle avait relevée sa robe au ras de sa culotte.
Je m’approchais de sa cuisse pour voir une trace rouge laissée par l’insecte.
Ah oui elle t’a piquée, il doit y avoir le dard à l’intérieur ! (Je pensais en disant cela à mon dard qui serait bien aussi à l’intérieur)
Ma main touchait l’intérieur de la cuisse, à cet endroit, sa peau était d’une douceur exceptionnelle et je jetais furtivement un coup d’oeil en direction de sa culotte, l’aubaine était trop belle.
Tu vois quelque chose, il faut retirer le dard, sinon ça risque de s’aggraver ! demanda-t-elle
Elle sentait bon le miel (normal qu’une abeille fut attirée)
Ce que je voyais était superbe, tout en regardant la trace de l’insecte, j’admirais les environs et je n’étais pas déçu.
Mon sexe était de nouveau dur comme une barre de fer et j’avais du mal à cacher mon excitation.
Comment veux tu que je fasse, je te coupe la jambe ? Répondis-je pour la faire rigoler mais aussi la rassurer.
Moi je ne peux rien faire, tu dois sucer le venin et retirer le dard ! dit elle en me regardant dans les yeux alors que j’étais à ses genoux.
La situation était vraiment gênante pour elle et je faisais celui qui n’osait pas
Allez dépêche toi c’est pas si compliqué ! Implorait-elle
Attends si quelqu’un nous vois, que vont-ils penser, allons ailleurs ! dit elle en m’entraînant derrière les buissons.
Là personne ne peu nous voir, allez lèche mon dard ! dit-elle en portant sa main à sa bouche et se retrouvant toute bête avec sa robe relevée. Trop tard elle avait prononcé ces paroles sans s’en rendre compte.
C’n’est pas ce que je voulais dire mais t’a compris ! Continua-t-elle morte de confusion et rouge de honte.
C’était un appel ou je ne m’y connaissais pas en femmes, j’approchais ma tête de sa cuisse et posa ma main sur l’endroit à traiter, ma bouche effleura sa peau de satin et ma langue s’approcha de la zone boursouflée.
Je respirais sa peau qui sentait le miel, sa petite culotte était à dix centimètres à peine de ma bouche.
Je sentais aussi le haut de ma tête qui frottait sa culotte, elle sursauta.
Je lui dit : ne bouge pas, je dois localiser le dard pour le retirer ! Pour la maintenir, mon autre main se plaça derrière sa cuisse pour bien l’immobiliser.
Je ne savais pas vraiment où étais la priorité, mais je m’appliquais à retirer le dard que je sentais bien maintenant du bout de ma langue. Je pressais en aspirant en même temps et à ce moment elle me passa ses doigts dans mes cheveux pour les caresser, puis elle appuya sur ma tête pour la serrer contre son corps.
Tu me fais mal ! Me dit –elle en se crispant sur ma tête enfoui entre ses jambes
J’avais retiré le petit morceau du dard et je l’avais entre les dents, je n’osais lui annoncer de peur que tout s’arrête.
A travers sa robe je voyais la clarté du soleil et en relevant ma tête je pouvais voir distinctement sa culotte dont un coté s’infiltrait dans sa chatte. Qu’est ce que je risque, pensais –je en mettant mon nez sur le renflement de son sexe. En même temps je reniflais les effluves de ce merveilleux endroit. Ses mains appuyèrent davantage et mon nez était maintenant complètement écrasé sur sa culotte.
J’avais le feu vert !
Je me relevais pour la prendre dans mes bras, elle se laissait faire, je l’embrassais tendrement dans le coup et je lui murmurais que j’avais retiré le dard et qu’elle était guérie.
Elle me dit : je serais guérie quand tu m’auras embrassé ! Je la renversais sur le coté pour lui rouler une pelle d’enfer, mes mains s’activaient sous sa robe, j’aurais voulue la coucher sur le sol mais avec sa robe blanche il fallait pas trop y penser. Mes mains pétrissaient ses fesses, je relevais sa robe pour mieux sentir sa peau, ses fesses étaient douces comme de la soie et je sentais à mes caresses quelques contractions de ses muscles fessiers.
Nos langues ne se détachaient pas et continuaient leurs petits jeux pour mieux faire connaissance de l’autre.
Une de mes mains s’attaquait maintenant à la culotte, elle réussie à s’infiltrer pour atteindre sa petite raie qui était trempée de sueur ou d’excitation.
Je sentais maintenant une de ses mains glisser son mon polo, elle me caressait le ventre et le torse.
Mon sexe était bandé à mort et j’avais encore une grosse envie de jouir malgré les prouesses matinales.
Debout, nous étions dans une position inconfortable mais tant pis, une main dans les fesses l’autre attaquait maintenant la petite chatte qui devait être bien mouillée. Je passais sur le coté de la culotte comme je l’avais vu tout a l’heure quand j’étais sous la robe. Mon doigt écarta l’élastique et ma main trouva l’entrée de ce sexe qui provoqua un gémissement et un plaisir immense à Maria.
L’entrée de sa chatte était chaude et gluante, je lui demandais si elle avait déjà fait l’amour, elle me fit signe que non et que pour elle s’était une première fois mais que dès qu’elle m’avait vu, je lui avais plut.
Elle voulait faire l’amour avec moi, que je sois le premier.
Je continuais à la caresser et mes doigts passaient inlassablement de l’intérieur de sa chatte à son petit bouton.
Brusquement, elle plaqua sa main sur ma main et la pris pour mieux guider la manœuvre et arriva bientôt à la jouissance qui la plia en deux.
Je la redressais doucement en l’embrassant et en la caressant, je sais pas pourquoi mais dans cet assaut, j’avais complètement oublié sa poitrine. Je sentis pendant que nous étions enlacés sa main explorer l’avant de mon jean et caresser mon sexe à travers le tissu. J’en pouvais plus et elle devait le savoir.
Je lui caressais la poitrine à travers la robe et le soutien gorge, j’eu pas de difficultés pour dégager les quelques boutons qui m’empêchait d’atteindre le soutien gorge que j’avais vu le matin même dans le bus.
J’arrivais à le dégrafer sans peine pour libérer ses deux fruits qui ne demandaient que cela, qu’on s’occupe d’eux.
Je plongeais alors ma tête pour la noyer dans cette poitrine alors qu’au même moment je sentis la manoeuvre de la fermeture éclair vers le bas pour libérer ma queue, ses doigts étaient maintenant posés sur mon slip et recherchaient l’ouverture pour le baisser.
Maria avait quelques difficultés pour sortir l’objet, alors je l’aidais à extirper mon sexe qui se retrouva vite dehors.
L’excitation était à son comble, depuis le matin je n’avais cesser de bander, mes couilles étaient gonflées à bloc.
Quelques aller et retour eurent raison de cette terrible érection.
Elle regarda ma queue déverser quelques jets de sperme et décharger le reste dans sa main et me dit :
Tu m’a fais super jouir et j’espère que pour toi c’était bon aussi !
Demain j’amènerais une couverture
A suivre
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Après cette surprise de taille, et une bonne douche, je regagnais ma place à l’atelier et je jetais un coup d’œil à la pendule, elle indiquait déjà onze heures un quart et dans trois quart d’heure je retrouverais Maria.
Si elle savait tout ce qui c’est passé ici depuis mon arrivée, jamais on ne me croira !
Les clins d’oeils et les sourires fusaient de partout, j’étais assez fier de ma prestation et à en juger par les mines réjouies de mes collègues, je ne me trompais pas.
Emilie revenue aussi n’arrêtait pas de me regarder en me souriant, cela commençait à me gêner sérieusement.
J’avais hâte de prendre l’air pour me changer les idées mais les images de la réserve étaient si fortes que je ne pouvais penser à autre chose.
J’avais encore l’odeur de tous ces sexes et je portais instinctivement mes doigts discrètement vers mon nez pour les renifler. J’avais l’impression que tout mon corps était baigné par cette odeur de femelles en chaleur, malgré les essences de parfums multiples qui nous entouraient.
Ah il était midi, une sonnerie retentie et je me dirigeais vers les vestiaires pour me préparer quand Emilie m’interpella : Tu manges avec nous Patrice ? je lui répondis : Non pas aujourd’hui, j’ai autre chose de prévu !
Dehors le temps était splendide tout comme Maria dans sa robe blanche qui m’attendait, assise sur un banc sur le trottoir d’en face. Elle lisait un livre en attendant et quand elle releva la tête elle m’aperçu, elle me lança un immense sourire en me faisant signe de venir la rejoindre.
Son sourire était éclatant et ne pouvais détacher mes yeux de sa bouche et de ses belles dents blanches.
Alors, cette première journée, pas trop dur ? dit-elle, Ah si elle savait, mais je me contentais de lui dire :
Non ça c’est bien passé, et les personnes avec qui je travaillent sont très sympa, et les chefs aussi, il n’y a que des femmes ! Ah bon ! fit-elle, d’un air étonné, moi je travaille dans les bureaux et les gens aussi sont très gentils ! Continua –t-elle.
Je lui dis : J’ai très faim, tu connais un endroit ? (L’exercice du matin m’avait ouvert l’appétit)
Elle répondit : Et bien si tu veux, on peu prendre un bon sandwich au café du coin et aller manger dans le parc !
Elle pris un sandwich à la salade avec une bouteille d’eau et moi un sandwich au jambon avec de l’eau également.
Après cela, nous étions arrivé dans ce magnifique par et après avoir marcher quelques temps, elle me dit :
On va s’installer par là, on sera tranquille ! En me désignant un petit carré de pelouse loin des passages piétons et des regards indiscrets. Elle s’assis la première et d’une drôle de façon, en écartant sa robe blanche pour éviter de la salir. On set bien là, c’est sympa comme coin ! dit-elle en regardant autour d’elle. En tournant la tête, son corps pivota et sa jambe s’écarta, relevant la robe et découvrant sa cuisse. Elle mordait à belles dents dans son sandwich.
Elle avait posé son sac dans l’herbe près de moi et je pu voir qu’elle lisait un roman d’amour.
Je lui posais la question : Moi aussi j’adore lire, c’est bien ce que tu lis ?
Oh tu sais, j’aime bien lire ce genre de roman où il y a des sentiments et des histoires d’amour, ça me fait rêver ! dit-elle d’un air penseur.
Après avoir bu une gorgée d’eau, elle s’installa plus confortablement et regarda ses jambes.
Tu trouves pas mes jambes un peu blanches, regarde ? dit-elle en les massant
Non elles sont très bien comme elles sont, et je les trouve très belles ! Rajoutais-je rapidement
C’est gentil, tu les trouves belles mais j’ai envie de profiter du soleil et les faire bronzer un peu ! dit-elle
Sur ce, elle remonta sa robe légèrement pour découvrir ses cuisses.
Je devinais sous cette robe blanche sa petite culotte qui faisait une légère marque sous le tissu.
Ses cuisses étaient de plus en plus dégagées pour profiter de la chaleur du soleil et ça chauffait dur en ce mois de juillet.
Ah ça fait du bien ! dit elle en renversant sa tête en arrière pour que son visage soit lui aussi inondé de soleil.
Je vais m’allonger un peu pour faire un bain de soleil, tu veux faire pareil ? Continua-t-elle en se couchant dans l’herbe. Oui tu as raison je vais en faire autant ! Répondis-je.
J’étais assis en face d’elle et je basculais mon corps sur le coté de façon que ma tête soit en pleine ligne avec ses jambes. Ses cuisses étaient bien serrées l’une contre l’autre et je guettais le moindre de ses mouvements.
Le soleil devait lui procurer du plaisir, car elle se mit à desserrer doucement son entre jambe.
Soudain, une fourmi la chatouilla et elle fit un geste brusque pour la chasser et dévoilant en même temps le trésor que je cherchais à découvrir.
Elle avait gardé les cuisses dans cette position et je pouvais ainsi profiter du spectacle qui s’offrait à moi.
Au fond de ses deux cuisses, on pouvait voir se dessiner nettement une culotte blanche qui contrastait avec la pelouse et ses jambes.
Je m’imaginais être la petite fourmi pour m’introduire dans la petite culotte et pénétrer dans sa petite fente.
Je commençais à fantasmer un max devant la position de Maria et ma queue déjà bien sollicitée gagna en volume au point de me gêner dans mon jean.
Je regardais fixement le centre de la petite culotte ou je devinais les lèvres et son clitoris.
J’étais en train de m’imaginer en train de lui lécher la chatte quand une abeille pénétra sous sa jupe pour se poser sur sa cuisse. Un cri me fit sursauter et Maria se mit brusquement debout
Une bête ma piquée ! Cria-t-elle tu l’as vue, qu’est ce que c’était ? demanda –t-elle
Je n’osais lui avouer que j’avais vu une abeille se faufiler sous sa robe.
Non j’ai rien vu, tu es sure qu’elle ta piquée ? Lui répondis-je
Tiens, regarde ! dit-elle en me montrant l’endroit où l’abeille avait piquée.
Elle me montrait l’intérieure du haut de sa cuisse et elle avait relevée sa robe au ras de sa culotte.
Je m’approchais de sa cuisse pour voir une trace rouge laissée par l’insecte.
Ah oui elle t’a piquée, il doit y avoir le dard à l’intérieur ! (Je pensais en disant cela à mon dard qui serait bien aussi à l’intérieur)
Ma main touchait l’intérieur de la cuisse, à cet endroit, sa peau était d’une douceur exceptionnelle et je jetais furtivement un coup d’oeil en direction de sa culotte, l’aubaine était trop belle.
Tu vois quelque chose, il faut retirer le dard, sinon ça risque de s’aggraver ! demanda-t-elle
Elle sentait bon le miel (normal qu’une abeille fut attirée)
Ce que je voyais était superbe, tout en regardant la trace de l’insecte, j’admirais les environs et je n’étais pas déçu.
Mon sexe était de nouveau dur comme une barre de fer et j’avais du mal à cacher mon excitation.
Comment veux tu que je fasse, je te coupe la jambe ? Répondis-je pour la faire rigoler mais aussi la rassurer.
Moi je ne peux rien faire, tu dois sucer le venin et retirer le dard ! dit elle en me regardant dans les yeux alors que j’étais à ses genoux.
La situation était vraiment gênante pour elle et je faisais celui qui n’osait pas
Allez dépêche toi c’est pas si compliqué ! Implorait-elle
Attends si quelqu’un nous vois, que vont-ils penser, allons ailleurs ! dit elle en m’entraînant derrière les buissons.
Là personne ne peu nous voir, allez lèche mon dard ! dit-elle en portant sa main à sa bouche et se retrouvant toute bête avec sa robe relevée. Trop tard elle avait prononcé ces paroles sans s’en rendre compte.
C’n’est pas ce que je voulais dire mais t’a compris ! Continua-t-elle morte de confusion et rouge de honte.
C’était un appel ou je ne m’y connaissais pas en femmes, j’approchais ma tête de sa cuisse et posa ma main sur l’endroit à traiter, ma bouche effleura sa peau de satin et ma langue s’approcha de la zone boursouflée.
Je respirais sa peau qui sentait le miel, sa petite culotte était à dix centimètres à peine de ma bouche.
Je sentais aussi le haut de ma tête qui frottait sa culotte, elle sursauta.
Je lui dit : ne bouge pas, je dois localiser le dard pour le retirer ! Pour la maintenir, mon autre main se plaça derrière sa cuisse pour bien l’immobiliser.
Je ne savais pas vraiment où étais la priorité, mais je m’appliquais à retirer le dard que je sentais bien maintenant du bout de ma langue. Je pressais en aspirant en même temps et à ce moment elle me passa ses doigts dans mes cheveux pour les caresser, puis elle appuya sur ma tête pour la serrer contre son corps.
Tu me fais mal ! Me dit –elle en se crispant sur ma tête enfoui entre ses jambes
J’avais retiré le petit morceau du dard et je l’avais entre les dents, je n’osais lui annoncer de peur que tout s’arrête.
A travers sa robe je voyais la clarté du soleil et en relevant ma tête je pouvais voir distinctement sa culotte dont un coté s’infiltrait dans sa chatte. Qu’est ce que je risque, pensais –je en mettant mon nez sur le renflement de son sexe. En même temps je reniflais les effluves de ce merveilleux endroit. Ses mains appuyèrent davantage et mon nez était maintenant complètement écrasé sur sa culotte.
J’avais le feu vert !
Je me relevais pour la prendre dans mes bras, elle se laissait faire, je l’embrassais tendrement dans le coup et je lui murmurais que j’avais retiré le dard et qu’elle était guérie.
Elle me dit : je serais guérie quand tu m’auras embrassé ! Je la renversais sur le coté pour lui rouler une pelle d’enfer, mes mains s’activaient sous sa robe, j’aurais voulue la coucher sur le sol mais avec sa robe blanche il fallait pas trop y penser. Mes mains pétrissaient ses fesses, je relevais sa robe pour mieux sentir sa peau, ses fesses étaient douces comme de la soie et je sentais à mes caresses quelques contractions de ses muscles fessiers.
Nos langues ne se détachaient pas et continuaient leurs petits jeux pour mieux faire connaissance de l’autre.
Une de mes mains s’attaquait maintenant à la culotte, elle réussie à s’infiltrer pour atteindre sa petite raie qui était trempée de sueur ou d’excitation.
Je sentais maintenant une de ses mains glisser son mon polo, elle me caressait le ventre et le torse.
Mon sexe était bandé à mort et j’avais encore une grosse envie de jouir malgré les prouesses matinales.
Debout, nous étions dans une position inconfortable mais tant pis, une main dans les fesses l’autre attaquait maintenant la petite chatte qui devait être bien mouillée. Je passais sur le coté de la culotte comme je l’avais vu tout a l’heure quand j’étais sous la robe. Mon doigt écarta l’élastique et ma main trouva l’entrée de ce sexe qui provoqua un gémissement et un plaisir immense à Maria.
L’entrée de sa chatte était chaude et gluante, je lui demandais si elle avait déjà fait l’amour, elle me fit signe que non et que pour elle s’était une première fois mais que dès qu’elle m’avait vu, je lui avais plut.
Elle voulait faire l’amour avec moi, que je sois le premier.
Je continuais à la caresser et mes doigts passaient inlassablement de l’intérieur de sa chatte à son petit bouton.
Brusquement, elle plaqua sa main sur ma main et la pris pour mieux guider la manœuvre et arriva bientôt à la jouissance qui la plia en deux.
Je la redressais doucement en l’embrassant et en la caressant, je sais pas pourquoi mais dans cet assaut, j’avais complètement oublié sa poitrine. Je sentis pendant que nous étions enlacés sa main explorer l’avant de mon jean et caresser mon sexe à travers le tissu. J’en pouvais plus et elle devait le savoir.
Je lui caressais la poitrine à travers la robe et le soutien gorge, j’eu pas de difficultés pour dégager les quelques boutons qui m’empêchait d’atteindre le soutien gorge que j’avais vu le matin même dans le bus.
J’arrivais à le dégrafer sans peine pour libérer ses deux fruits qui ne demandaient que cela, qu’on s’occupe d’eux.
Je plongeais alors ma tête pour la noyer dans cette poitrine alors qu’au même moment je sentis la manoeuvre de la fermeture éclair vers le bas pour libérer ma queue, ses doigts étaient maintenant posés sur mon slip et recherchaient l’ouverture pour le baisser.
Maria avait quelques difficultés pour sortir l’objet, alors je l’aidais à extirper mon sexe qui se retrouva vite dehors.
L’excitation était à son comble, depuis le matin je n’avais cesser de bander, mes couilles étaient gonflées à bloc.
Quelques aller et retour eurent raison de cette terrible érection.
Elle regarda ma queue déverser quelques jets de sperme et décharger le reste dans sa main et me dit :
Tu m’a fais super jouir et j’espère que pour toi c’était bon aussi !
Demain j’amènerais une couverture
A suivre
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