Mon Prof
Récit érotique écrit par HDSClow [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon Prof
J'avais 17 ans et j'étais déjà une chaudasse du cul. Ça faisait bien longtemps que je m'étais fait troncher dans tous les sens, par des plans cul, et par une bonne partie des mecs de mon lycée. Non pas qu'ils soient tous gays, mais y en a peu que ça dérangeait de baiser un mec. Et j'en ai bien profité. Tout le monde savait comment me joindre pour se vider les couilles au fond de mon trou affamé. J'étais un peu la pute de service. J'allumais tout le monde et je recevais souvent des réponses positives. Du gros caïd rebeu, au petit geek puceau, en passant par le black sportif et le gothique blanchâtre... Il me sont tous passés dessus. Ça devenait un poil trop facile. Non pas que je me lasse, je suis tombé sur de vrais bons coups... Des mecs membrés humblement qui s'en tiraient bien mieux que de gros gourdins maladroits mais remplissants. A 17 ans on pouvait dire que j'avais presque tout fait. Je me suis même fait embarquer dans un plan à trois avec « le beau gosse » de ma classe qui faisait comme moi, mais avec les filles. Un de mes meilleurs souvenirs...
J'ai donc voulu passer à autre chose, viser plus haut. Un de mes profs. Mon prof d'EPS. Il devait pas avoir plus de 35 ans, était marié, et naturellement, il était très sportif. Il s'habillait quasiment de la même façon chaque semaine, été comme hiver : des shorts en nylon et des polos. Les deux mettaient toujours en valeur ses attributs. Quand il courait, impossible de ne pas fixer son gros paquet moulé. Je me demandais même s'il portait des sous-vêtements tellement on pouvait tout bien distinguer. Ses cuisses étaient couvertes de poils sombres et durs, tandis que ses polos trop petits montraient ses biceps musclés et sa poitrine massive. Qu'est-ce qu'il était beau putain...
C'était notre dernier cours ce jour-là, du coup on pouvait traîner dans le vestiaire sans se presser pour retourner au lycée. J'ai fait en sorte d'être le dernier, en prenant mon temps. Tout mes camarades étaient partis, et le prof entre sans prévenir pour vérifier qu'il ne restait plus personne et fermer. J'étais déjà sous la douche quand il demande : « y a encore quelqu'un ? Faut se dépêcher, je vais tout fermer ! ». Je lui réponds : « oui, moi, je suis encore sous la douche, j'en n'ai pas pour longtemps ! ». « Bon, fais vite alors ». Je vois sa tête dépasser. J'entre en mode salope. Je me mets à me caresser. Il me faut pas longtemps pour commencer à bander. Je me mets ensuite à me nettoyer le cul, longuement. Je vois qu'il est toujours, et qu'il observe du coin de l’œil. « T'en as encore pour longtemps ? ». Je commence à me doigter le fion et à me branler en même temps. « Ça dépend, vous pensez que je peux jouir en combien de temps à ce rythme ? ». « Arrête tes conneries et sors de là, veux-tu ? ». « Je partirai que quand je me serai vidé. Si vous voulez que ça aille plus vite, va falloir m'aider. Vous savez à qui je pense quand j'ai mes doigts dans mon cul, comme maintenant ? A vous et votre grosse queue. Elle doit être bien épaisse, j'adorerais l'avoir calée bien au fond de mon cul. Hmm... Je me demande si deux doigts c'est assez pour vous... Essayons avec trois. Oh... J'imagine que votre grosse bite me déchirerait le fion comme il faut. Vous voulez vraiment pas essayer ? ». Il s'énerve : « ça va les conneries maintenant, tu sors tout de suite». Il s'approche et je recule d'un pas. Il s'arrête juste avant de se faire asperger par la douche. Je lui dis « si vous voulez m'attraper, faudra se déshabiller, autrement vous serez trempé. En ce qui me concerne, j'aimerais que vous me trempiez le cul avec votre sperme. Je suis complètement dilaté, vous auriez tort de pas en profiter. Y a personne en plus, ça restera entre vous, moi, votre bite et mon cul. C'est honnête, non ? ». Avec une rapidité jamais vue, il saute tel un félin sur sa proie et me saisit le bras. D'un coup violent il me tire vers lui, me fait tourner et me plaque ventre au mur avec une clé de bras. Il a réussi à ne pas se faire éclabousser par l'eau. C'est un putain de ninja. Je suis complètement dégoûté car je pensais l'avoir assez chauffé pour qu'il me saute sur le champ. Je me dis que ça sera pour une prochaine fois. Quand soudain sa main glisse entre mes fesses et un doigt s'immisce dans mon orifice. Son index est gigantesque ; il atteint presque ma prostate. J'ouvre grand les yeux et je pousse un soupir. Il me dit : « c'est pas tes trois doigts de gamin qui vous t'écarter le cul. Regarde, tu sens ça ? C'est qu'un seul doigt. Et t'as failli t'évanouir. Imagine que j'en introduise un deuxième. » Je sens mon trou s'agrandir davantage. Je gémis à nouveau. C'est son majeur qu'il vient de faire entrer. « Ah, tu vois, rien à voir, n'est-ce pas ? C'est une main d'homme ça, t'as l'air d'aimer. On va continuer. Mon trou s'écarte encore. Il m'a passé son annulaire. J'ai les yeux révulsés. Et je crie. Fort. « Et là ? » Il commence à faire des va-et-vient avec sa grosse main dans mon antre et je me contorsionne comme si j'étais possédé. « Passons aux choses sérieuses. Tu voulais savoir si j'avais une grosse bite ? » Il attrape un de mes bras, le fait passer dans mon dos, et colle la main à son short. Il la fait passer des couilles jusqu'à la tête et j'imagine le meilleur. C'est un morceau de saucisson que mon cul a envie de déguster aussitôt. Il lâche ma main mais je continue à le caresser. Il baisse son short et me fait tenir sa très lourde queue. Je la branle de dos et commence à l'imaginer en moi. Je fais glisser son prépuce sur sa longue bite veineuse et chaude. Je passe mes doigts autour de son gland et je constate qu'il est déjà en train de mouiller, Il doit mourir d'envie de me défoncer maintenant. Ma petit jeu l'a chauffé comme il fallait. Il ne reste plus qu'à passer à l'acte. Avec mes deux mains, j'écarte largement mes fesses alors qu'il retire ses doigts qui me pilonnaient. Très rapidement, c'est son gland qui se présente à mon trou, n'ayant que peu d'efforts à fournir pour s'héberger. Il s'approche de mon corps à mesure que sa queue s'enfonce dans mon anus et c'est sans prévenir qu'il me baise dans une cadence démoniaque. J'ai eu ce que je voulais, je me fais troncher par mon prof de sport que j'ai réussi à provoquer. Il doit certainement se dire qu'il se venge de moi, en m'assénant ses coups violents dans le cul. Il est véritablement puissant, il donne tout ce qu'il a. Je me sens bien, il me dose le fion comme un chef et j'ai la tête qui tourne de plaisir. Je sens chaque centimètre racler mes parois, alors qu'il se démène derrière moi. Ses gros sacs pleins de foutre viennent s'écraser contre mes couilles au rythme des ses coups de bite. Il m'écrase de tout son poids contre le carrelage des douches communes. Il m'insulte, me traîte de petit con, de salaud. « Tu vas voir si tu fais encore le malin après ça. Tu pourras plus t'asseoir mon petit. Je vais te détraquer les fesses. Allumeur de merde, prends-toi ma bite dans ton cul et hurle ». Ses paroles m'excitent de plus en plus, je mon cul s'écarter encore et encore à mesure de ses passages agressifs. Je suis plaqué au mur et je ne peux presque pas bouger. Je le gobe du mieux que je puisse et fais travailler mes muscles pour apprécier son large diamètre en moi. « tu l'aimes ma queue dans ton petit cul ? Je vais te faire ravaler tes paroles en te faisant boire mon sperme, enculé ». Il se retire violemment de mon cul meurtri. Il m'attrape par le coude et m'emmène sur un des bancs du vestiaire. Il s'assoit et me fait passer sur ses cuisses. Il me pose sur sa bite géante qui s'encastre au plus profond de moi. Je me retiens de crier de plaisir. Il me fait sauter rapidement sur la queue raide et chaude en enserrant mon corps de ses bras forts et musclés. Je lui fais face et je tente de lui ôter son polo humide. Il le retire lui-même et je découvre pour la première fois son corps. J'étais aux anges. Il avait corps parfait. Des pectoraux durs et couverts de poils noirs et drus, une musculature dont on peut seulement rêver. Je e mets à les caresser avec frénésie comme pour ajouter du plaisir à mon enculade. Il se laisse totalement faire alors que je le vénère du bout de mes doigts. Tout à coup, il me pousse sur le banc et me fait m'allonger. Il passe au-dessus de moi, écarte mes cuisses et s'invite en moi dans cette nouvelle position. Je le sens encore mieux. Il m'attaque à fond puis commence à grimacer. Il va bientôt jouir. Je saisis ses gros bras avec mes mains et profite encore des derniers moments. Soudain, il pousse un râle grave et me donne un ultime coup. Dans mes fesses, je sens son éjaculation, et tout son foutre me remplir. Il a quelques petites saccades où il s'enfonce encore plus en moi pour vider ses couilles entièrement. Une fois qu'il a fini, il sort de moi et c'est une épaisse traînée de sa semence qui s'échappe à mon grand désarroi. Il se redresse et se rhabille à toute vitesse et me dit en partant : « et que ça te serve de leçon. » Je lui souris bêtement en restant allongé. Je veux jouir moi aussi, alors je me finis en me doigtant fortement dans mon orifice devenu temporairement une flaque de sperme. Il ne m'aura pas fallu trop longtemps pour cracher à mon tour. C'était loin d'être la dernière fois que j'allais me le faire.
J'ai donc voulu passer à autre chose, viser plus haut. Un de mes profs. Mon prof d'EPS. Il devait pas avoir plus de 35 ans, était marié, et naturellement, il était très sportif. Il s'habillait quasiment de la même façon chaque semaine, été comme hiver : des shorts en nylon et des polos. Les deux mettaient toujours en valeur ses attributs. Quand il courait, impossible de ne pas fixer son gros paquet moulé. Je me demandais même s'il portait des sous-vêtements tellement on pouvait tout bien distinguer. Ses cuisses étaient couvertes de poils sombres et durs, tandis que ses polos trop petits montraient ses biceps musclés et sa poitrine massive. Qu'est-ce qu'il était beau putain...
C'était notre dernier cours ce jour-là, du coup on pouvait traîner dans le vestiaire sans se presser pour retourner au lycée. J'ai fait en sorte d'être le dernier, en prenant mon temps. Tout mes camarades étaient partis, et le prof entre sans prévenir pour vérifier qu'il ne restait plus personne et fermer. J'étais déjà sous la douche quand il demande : « y a encore quelqu'un ? Faut se dépêcher, je vais tout fermer ! ». Je lui réponds : « oui, moi, je suis encore sous la douche, j'en n'ai pas pour longtemps ! ». « Bon, fais vite alors ». Je vois sa tête dépasser. J'entre en mode salope. Je me mets à me caresser. Il me faut pas longtemps pour commencer à bander. Je me mets ensuite à me nettoyer le cul, longuement. Je vois qu'il est toujours, et qu'il observe du coin de l’œil. « T'en as encore pour longtemps ? ». Je commence à me doigter le fion et à me branler en même temps. « Ça dépend, vous pensez que je peux jouir en combien de temps à ce rythme ? ». « Arrête tes conneries et sors de là, veux-tu ? ». « Je partirai que quand je me serai vidé. Si vous voulez que ça aille plus vite, va falloir m'aider. Vous savez à qui je pense quand j'ai mes doigts dans mon cul, comme maintenant ? A vous et votre grosse queue. Elle doit être bien épaisse, j'adorerais l'avoir calée bien au fond de mon cul. Hmm... Je me demande si deux doigts c'est assez pour vous... Essayons avec trois. Oh... J'imagine que votre grosse bite me déchirerait le fion comme il faut. Vous voulez vraiment pas essayer ? ». Il s'énerve : « ça va les conneries maintenant, tu sors tout de suite». Il s'approche et je recule d'un pas. Il s'arrête juste avant de se faire asperger par la douche. Je lui dis « si vous voulez m'attraper, faudra se déshabiller, autrement vous serez trempé. En ce qui me concerne, j'aimerais que vous me trempiez le cul avec votre sperme. Je suis complètement dilaté, vous auriez tort de pas en profiter. Y a personne en plus, ça restera entre vous, moi, votre bite et mon cul. C'est honnête, non ? ». Avec une rapidité jamais vue, il saute tel un félin sur sa proie et me saisit le bras. D'un coup violent il me tire vers lui, me fait tourner et me plaque ventre au mur avec une clé de bras. Il a réussi à ne pas se faire éclabousser par l'eau. C'est un putain de ninja. Je suis complètement dégoûté car je pensais l'avoir assez chauffé pour qu'il me saute sur le champ. Je me dis que ça sera pour une prochaine fois. Quand soudain sa main glisse entre mes fesses et un doigt s'immisce dans mon orifice. Son index est gigantesque ; il atteint presque ma prostate. J'ouvre grand les yeux et je pousse un soupir. Il me dit : « c'est pas tes trois doigts de gamin qui vous t'écarter le cul. Regarde, tu sens ça ? C'est qu'un seul doigt. Et t'as failli t'évanouir. Imagine que j'en introduise un deuxième. » Je sens mon trou s'agrandir davantage. Je gémis à nouveau. C'est son majeur qu'il vient de faire entrer. « Ah, tu vois, rien à voir, n'est-ce pas ? C'est une main d'homme ça, t'as l'air d'aimer. On va continuer. Mon trou s'écarte encore. Il m'a passé son annulaire. J'ai les yeux révulsés. Et je crie. Fort. « Et là ? » Il commence à faire des va-et-vient avec sa grosse main dans mon antre et je me contorsionne comme si j'étais possédé. « Passons aux choses sérieuses. Tu voulais savoir si j'avais une grosse bite ? » Il attrape un de mes bras, le fait passer dans mon dos, et colle la main à son short. Il la fait passer des couilles jusqu'à la tête et j'imagine le meilleur. C'est un morceau de saucisson que mon cul a envie de déguster aussitôt. Il lâche ma main mais je continue à le caresser. Il baisse son short et me fait tenir sa très lourde queue. Je la branle de dos et commence à l'imaginer en moi. Je fais glisser son prépuce sur sa longue bite veineuse et chaude. Je passe mes doigts autour de son gland et je constate qu'il est déjà en train de mouiller, Il doit mourir d'envie de me défoncer maintenant. Ma petit jeu l'a chauffé comme il fallait. Il ne reste plus qu'à passer à l'acte. Avec mes deux mains, j'écarte largement mes fesses alors qu'il retire ses doigts qui me pilonnaient. Très rapidement, c'est son gland qui se présente à mon trou, n'ayant que peu d'efforts à fournir pour s'héberger. Il s'approche de mon corps à mesure que sa queue s'enfonce dans mon anus et c'est sans prévenir qu'il me baise dans une cadence démoniaque. J'ai eu ce que je voulais, je me fais troncher par mon prof de sport que j'ai réussi à provoquer. Il doit certainement se dire qu'il se venge de moi, en m'assénant ses coups violents dans le cul. Il est véritablement puissant, il donne tout ce qu'il a. Je me sens bien, il me dose le fion comme un chef et j'ai la tête qui tourne de plaisir. Je sens chaque centimètre racler mes parois, alors qu'il se démène derrière moi. Ses gros sacs pleins de foutre viennent s'écraser contre mes couilles au rythme des ses coups de bite. Il m'écrase de tout son poids contre le carrelage des douches communes. Il m'insulte, me traîte de petit con, de salaud. « Tu vas voir si tu fais encore le malin après ça. Tu pourras plus t'asseoir mon petit. Je vais te détraquer les fesses. Allumeur de merde, prends-toi ma bite dans ton cul et hurle ». Ses paroles m'excitent de plus en plus, je mon cul s'écarter encore et encore à mesure de ses passages agressifs. Je suis plaqué au mur et je ne peux presque pas bouger. Je le gobe du mieux que je puisse et fais travailler mes muscles pour apprécier son large diamètre en moi. « tu l'aimes ma queue dans ton petit cul ? Je vais te faire ravaler tes paroles en te faisant boire mon sperme, enculé ». Il se retire violemment de mon cul meurtri. Il m'attrape par le coude et m'emmène sur un des bancs du vestiaire. Il s'assoit et me fait passer sur ses cuisses. Il me pose sur sa bite géante qui s'encastre au plus profond de moi. Je me retiens de crier de plaisir. Il me fait sauter rapidement sur la queue raide et chaude en enserrant mon corps de ses bras forts et musclés. Je lui fais face et je tente de lui ôter son polo humide. Il le retire lui-même et je découvre pour la première fois son corps. J'étais aux anges. Il avait corps parfait. Des pectoraux durs et couverts de poils noirs et drus, une musculature dont on peut seulement rêver. Je e mets à les caresser avec frénésie comme pour ajouter du plaisir à mon enculade. Il se laisse totalement faire alors que je le vénère du bout de mes doigts. Tout à coup, il me pousse sur le banc et me fait m'allonger. Il passe au-dessus de moi, écarte mes cuisses et s'invite en moi dans cette nouvelle position. Je le sens encore mieux. Il m'attaque à fond puis commence à grimacer. Il va bientôt jouir. Je saisis ses gros bras avec mes mains et profite encore des derniers moments. Soudain, il pousse un râle grave et me donne un ultime coup. Dans mes fesses, je sens son éjaculation, et tout son foutre me remplir. Il a quelques petites saccades où il s'enfonce encore plus en moi pour vider ses couilles entièrement. Une fois qu'il a fini, il sort de moi et c'est une épaisse traînée de sa semence qui s'échappe à mon grand désarroi. Il se redresse et se rhabille à toute vitesse et me dit en partant : « et que ça te serve de leçon. » Je lui souris bêtement en restant allongé. Je veux jouir moi aussi, alors je me finis en me doigtant fortement dans mon orifice devenu temporairement une flaque de sperme. Il ne m'aura pas fallu trop longtemps pour cracher à mon tour. C'était loin d'être la dernière fois que j'allais me le faire.
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