Mon Stagiaire
Récit érotique écrit par HDSClow [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon Stagiaire
Je vais vous raconter cette histoire qui s'est déroulée l'an dernier, dans la boîte dans laquelle je travaille.
Je me présente, je suis Marc, 31 ans, consultant dans une boîte de communication à Paris. J'y suis depuis quatre ans maintenant, et tous les employés sont de grands enfants. L'esprit de la boîte est très jeune, un grand étage en open space, avec une déco geek et colorée. Antoine, mon complice, est un type qui est arrivé en même temps que moi. Avec lui on fait les 400 coups. Grands séducteurs et sûrs de nous, l'un de nos jeux consiste à donner des notes aux filles de la boîte, et finalement tenter de se les taper. Les petites stagiaires innocentes sont nos proies habituelles. Mais cet été, un nouvel élément allait tout perturber...
C'est déjà la fin du mois de juin, et le directeur nous rassemble pour nous présenter la nouvelle promotion des stagiaires pour 2011. Ils sont quatre, trois nénettes et un jeune gars, tous entre 19 et 22 ans. Elles sont vraiment pas terribles. Un peu déçu je regarde Antoine et lui fais une moue. Il a compris ce que je voulais dire, mais ne partageait pas mon avis. Il pointe l'une d'elles pas du tout discrètement en tirant la langue. J'avais oublié qu'il adorait les filles rondes. Je dis « non » de la tête. Les présentations terminées, le boss répartit les stagiaires avec les employés. Antoine prends les devants en l'interrompant et demande à cette fille de devenir son assistante pour l'été. Il me regarde avec un sourire gras, je ricane. Le boss m'attitre Alban, le seul garçon de la promo. Je suis déçu, je ne gagnerai pas cette année. Ici, c'est ambiance décontractée. On est plutôt du genre à venir travailler avec un jean et un tshirt. Lui en avait fait un peu trop : chemise grise un peu trop grande et pantalon. En le regardant, je me demandais s'il était pas plutôt fait pour la banque ou les impôts. Chacun se redirige vers son poste avec son nouvel assistant. On se présente et je lui explique mon rôle au sein de l'entreprise. Il est très silencieux, certainement impressionné par ce nouvel univers. C'est son tout premier stage. Je lui dis d'office de ne par revenir habillé de la sorte le lendemain, de se mettre à l'aise avec nous. Il avait lui aussi compris qu'il était en décalage. Je détends l'atmosphère avec des petites blagues auxquelles il est réceptif. Je lui tape l'épaule en guise de signe d'acceptation et lâche enfin un rire. Je ne peux m'empêcher de remarquer que son épaule est dure et plutôt musclée. Il doit faire du sport. Difficile à voir dans sa grande chemise ! Nous nous mettons au travail.
La semaine suivante il arrive, toujours à l'heure, toujours poli. Aujourd'hui, il fait un peu plus chaud, Il a mis une chemise en plaid rouge et blanche et porte un jean à la mode, un peu moulant. La chemise était ouverte et je pouvais voir une fine touffe de poils sortir de sa poitrine. Il ne s'était pas rasé, et malgré son jeune âge, je devais bien admettre qu'il avait beaucoup d'allure. Les nanas de la boîte au fil des jours passaient régulièrement à mon poste me demander des choses inutiles juste pour le mater et lui faire des compliments, et s'en allaient en roulant des fesses. Ça me faisait rire, lui aussi.
Le boss me convoque et me demande de venir avec Alban. Il nous explique qu'un petit projet doit se mettre en place rapidement. Alban devrait le diriger et je serai son superviseur. Je le sens tendu. Je décontracte Alban en lui disant qu'avec ce que je lui ai déjà appris, il devrait s'en sortir sans souci. Les jours s'enchaînent et il garde le cap, nos objectifs devraient être atteints à temps. Mais la veille de la deadline, il se mit à paniquer, pensant qu'il ne terminerait pas proprement son travail. Voyant la fin de la journée approcher, je me propose de rester plus tard et de le faire à sa place. Il l'a franchement mérité. Il ne trouvait pas ça juste et me dit que lui aussi ferait des heures supplémentaires. Je lui dis que la salle de sport attendra et que ce n'était pas important. 22 heures. Plus personne dans l'open space. Après moult efforts, je presse sur le bouton sauvegarder de tous nos fichier et nous félicite.
On l'a fait ! Pas de frais de retard sur cette campagne !
Ouais ! Et merci encore pour ton aide, je l'aurais jamais fait sans toi.
De rien Alban, ce que j'ai fait est normal. On travaille vraiment en équipe ici, quitte à devoir se sacrifier parfois un peu.
J'ouvre un de mes tiroirs et en fouillant un peu, en sors un bouteille de vodka et deux verres à shots. Il est surpris.
Voilà comment on fête nos succès ici. Mais n'en parle pas hein !
Je nous sers.
A nous ! A l'acharnement ! A ta réussite future !
Il avale la vodka d'un trait et grimace. Il finit par rire. Je profite de l'intimité pour lui faire un bilan de son parcours jusque là et le féliciter à nouveau. Il est un peu flatté et ne s'y attendait clairement pas. Je nous ressers. Je continue à lui parler, à lui poser des questions plus personnelles, pour se connaître mieux. Je dois admettre qu'en temps normal, la vie des stagiaires ne m'importe absolument pas. Mais Alban, il me semblait différent des autres. Plus motivé, plus intéressé. Je voyais déjà plus loin et je pensais à prolonger son stage d'été ou même que nous devenions son entreprise en alternance à la rentrée. Au fil de la conversation, il s'assoit mon bureau et se met plus à l'aise. Il a les jambes écartées et les fait balancer dans le vide. Je ne peut m'empêcher de remarquer son entrejambe. Je vois que je m'attache de plus en plus à lui, sa façon de parler, de rire... J'ai l'impression de devenir une de mes jeunes collègues et de tomber sous son charme. Je fixe son cou et sa petite touffe de poils. Il le remarque et me dit :
Oh ? La chemise ouverte pose un problème ? Je la reboutonne.
Non ! Attends ! C'est pas le genre de la boîte de ne pas nous laisser un peu de liberté. On n'est pas dans une banque d'assurance.
Je me lève, me place entre ses deux jambes, prends ses mains pour l'interrompre et déboutonne sa chemise à nouveau. Un, puis deux boutons. J'en retire un troisième pour le fun, et un quatrième pour l'audace et un cinquième pour le défi. J'ouvre largement les pans afin de pouvoir observer son corps. J'attends sa réaction, rien. Je découvre un timide athlète plutôt bien foutu pour son âge. Et surtout très velu. En souriant, je lui demande :
C'était comme ça ?
Euh... Ouais, enfin, un peu moins !
Purée, t'es musclé en fait ! Et cette touffe ! T'as raté ta carrière, la boîte de strip-tease c'est plus loin sur le boulevard.
Arrête ! Déjà que je me fais agresser par toutes les nanas ici, tu vas pas t'y mettre non plus !, dit-il avec un rire un peu gêné. Et puis toi aussi t'es plutôt bien foutu, tu fais du sport, voilà tout, j'en fais pas tout un fromage !
Je dois bien admettre que cette remarque m'a grisé, et je ne m'y attendais pas vraiment de sa part. Son commentaire me fait comprendre qu'il m'avait observé pendant tout ce temps.
Par contre, niveau pilosité, je gagne.
Ah oui ? Fais voir.
Je déboutonne maladroitement ma chemise et la jette à son visage. Il l'attrape et la garde dans ses mains.
Alors ?
Ouais, ouais, tu me bats. Je t'aurais pas cru aussi poilu. Je vois même pas où sont tes tétons !
Mais si, là, regarde, touche.
Il approche sa main, doucement, et fouille ma fourrure pectorale. Il passe ses doigts sur mon téton plusieurs fois et le localise enfin. Je ricane à cause des chatouilles et il retire sa main immédiatement. Un silence s'installe. Cette étrange situation, toute nouvelle pour moi, m'a un peu excité, je dois dire. Je sens mon cœur battre un peu plus vite que d'habitude et des pulsations dans mon pantalon. Faudrait quand même pas que je me mette à bander complètement ! Je baisse la tête, un peu gêné, et je le vois essayer de se replacer le paquet. Je constate que lui aussi a été émoustillé par ce contact. Je me sens plein d'audace, je veux savoir jusqu'où ça peut aller.
Est-ce que t'es aussi chatouilleux que moi ?
Je tends ma main vers sa poitrine et pince doucement son téton. Il me fixe profondément et me laisse agir. Je balade ma main vers l'autre téton et ne vois aucune réaction.
Non, je suis pas chatouilleux, moi, enfin, c'est pas l'effet que ça me fait quand on me touche là, dit-il, en respirant de plus en plus vite.
Ah ? Et ça te fait quel effet ?
Ça m'excite. Beaucoup.
Tu veux que je m'arrête ?
Non, continue à me caresser.
J'ai l'impression d'avoir à nouveau 15 ans, lors de ma première fois avec une fille. Je m’attelle à essayer de lui faire du bien. Il ferme les yeux et penche sa tête en arrière. Je vois que la bosse entre ses jambes a pris une taille bien différente de celle que précédemment. Une barre solide se dessine depuis le haut de sa cuisse vers le côté de sa hanche. Je descends ma main vers cette déformation et me mets à la caresser dans la longueur. Il inspire un grand coup et ouvre les yeux. Je me surprends à trouver son sexe gros et chaud. Mais à vrai dire, j'en n'ai pas vu beaucoup. Il pose sa main sur la mienne comme pour me dire d'arrêter. Je suis confus et je stoppe. Là la saisit et reprend la caresse. En allant plus bas vers ses couilles, puis plus haut vers ce que j'imagine être son gland. Il me fait m'attarder sur ce dernier, que je sens quelque peu humide à travers son jean serré. Un petite tâche sombre apparaît. Il mouille en abondance, mon geste lui fait du bien. Je me sens un peu fier de pouvoir provoquer une telle excitation chez un autre homme. Avec son autre main il attrape mon bras et se met à le tâter fortement, il remonte mon épaule et passe les doigts sur mon visage. J'ouvre ma bouche et en gobe un. Je l'entoure de ma langue et le mordille un peu. Je fais mine de le sucer suavement. Il le retire ma bouche et le dirige vers mon téton sensible. Le contact ne me fait plus rigoler mais m'électrise soudainement. Il s'amuse avec, le titille avec son doigt humide. Je me rends compte que mon érection est maintenant totale, et que j'ai envie de lui. Je défais les boutons de son pantalon et fais entrer ma main sans la fente. Je n'ai pas besoin de fouiller pour trouver son sexe et l'en sortir. J'observe son mât, de vingt centimètre environ, et vois en son sommet un gland brillant et suintant. Je l'agite de haut en bas, d'abord doucement puis accélère ma masturbation. Il respire de plus en plus vite à mesure que ma main l'enserre. Je suis pris de l'envie de le sucer. Je me baisse et sans réfléchir, je le prends en bouche. Je goûte son liquide séminal et en apprécie le goût légèrement salé. Je continue et tente de m'appliquer pour ne pas le mordre. Je prends de plus en plus de plaisir à lui faire plaisir. Il m'arrête me repousse légèrement. Il baisse son pantalon et me donne son dos. Je pense avoir saisi l'invitation. Il écarte ses fesses largement et me montre son anus, velu comme lui et sombre. Je me mets à genoux et m'approche de lui, la bouche ouverte. Je me mets à lui lécher son trou, comme si je préparais une femme. J'use de tout mon talent pour le faire se contorsionner de bonheur. Je découvre le goût acide de l'intérieur de ses fesses. Avec ma main je continue à le branler doucement pour ne pas le faire cracher de suite. Quand j'estime qu'il est assez lubrifié, je lui introduits deux doigts en lui. Ça rentre comme dans du beurre. Je me redresse et baisse mon pantalon et sors mon sexe à mon tour. J'avais mal tellement je bandais. Je mouillais très fort aussi. Pressé et surexcité, je m'empresse de le pénétrer. Au passage de mon gland, je l'entends gémir longuement. Je pousse mes 22 cm dans un mouvement continu et je vois saisir les objets posés sur le bureau pour se tenir. J'ai peur de lui faire mal, alors je maintiens ma position pour habituer son anus étroit à mon gourdin. Je sens son tunnel essayer de m'expulser avec des contractions. Jamais je n'ai ressenti ça avec une fille. C'est tellement mieux. Quand les contractions se calment, j'effectue le mouvement inverse, toujours aussi lentement. Je sors complètement et le laisse se reposer.
Mais elle est énorme ma parole.
Désolé, je pensais que tu voulais. Je pensais que tu l'avais déjà fait.
Non, jamais, mais tu m'as donné envie. Je ne sais pas pourquoi. Recommence !
Je m'exécute et me replonge en lui, plus sèchement cette fois, je trouve mon rythme et le pilonne avec affection. Je caresse sa poitrine alors que je suis en lui. Je sens l'entrée de moins en moins difficile, plus souple. Il se détend pour moi. Je me baisse pour l'embrasser pour la première fois. Sa langue et la mienne entrent en contact et nous bavons dans notre excitation mutuelle. Je m'arrête pour profiter de lui et je sens son anus se serrer et se relâcher autour de ma queue. Je saisis ses épaules et me remets à lui marteler le trou sans interruption. Je sens que la fin est proche, alors j'accélère encore. Ma bite me brûle et j'envoie toute ma sauce au fond de ses petites fesses poilues. Je lui tire une bonne dizaine de fois ma semence et je m'arrête. J'essaye de me retirer mais il me demande de rester en lui le temps qu'il jouisse. Il secoue son sexe rapidement et de nombreuses giclées de son jus blanc s'écrasent sur les documents de son stage. Ma queue, qui avait perdu de sa superbe, sort de son trou en glissant. Mon sperme coule lentement de ses entrailles, à mesure que son anus encore un peu béant se referme.
Nous nous nettoyons du mieux que nous pouvons dans les toilettes de l'étage, sans rien dire. Puis je décide de briser le silence :
Tu sais, c'est la première fois que je fais ça... J'ai beaucoup aimé... Et toi ?
Première fois aussi. J'ai un peu mal, mais je pense que je pourrai m'habituer.
T'habituer ? Tu voudrais recommencer ?
Oui. Je croyais pas ce que disaient les filles dans la salle de pause, mais t'es un sacré bon coup. Laisse-moi me reposer un peu, et je te laisserai y aller de toutes tes forces. Et puis pas ici !
Tu as raison, t'as vu l'état du projet ? T'as foutu ton sperme partout. Va falloir que tu viennes bosser à la maison. Tu verras, mon bureau est beaucoup plus grand.
Il me sourit et je ne peux résister à l'envie de lui poser un léger baiser sur la bouche.
Je me présente, je suis Marc, 31 ans, consultant dans une boîte de communication à Paris. J'y suis depuis quatre ans maintenant, et tous les employés sont de grands enfants. L'esprit de la boîte est très jeune, un grand étage en open space, avec une déco geek et colorée. Antoine, mon complice, est un type qui est arrivé en même temps que moi. Avec lui on fait les 400 coups. Grands séducteurs et sûrs de nous, l'un de nos jeux consiste à donner des notes aux filles de la boîte, et finalement tenter de se les taper. Les petites stagiaires innocentes sont nos proies habituelles. Mais cet été, un nouvel élément allait tout perturber...
C'est déjà la fin du mois de juin, et le directeur nous rassemble pour nous présenter la nouvelle promotion des stagiaires pour 2011. Ils sont quatre, trois nénettes et un jeune gars, tous entre 19 et 22 ans. Elles sont vraiment pas terribles. Un peu déçu je regarde Antoine et lui fais une moue. Il a compris ce que je voulais dire, mais ne partageait pas mon avis. Il pointe l'une d'elles pas du tout discrètement en tirant la langue. J'avais oublié qu'il adorait les filles rondes. Je dis « non » de la tête. Les présentations terminées, le boss répartit les stagiaires avec les employés. Antoine prends les devants en l'interrompant et demande à cette fille de devenir son assistante pour l'été. Il me regarde avec un sourire gras, je ricane. Le boss m'attitre Alban, le seul garçon de la promo. Je suis déçu, je ne gagnerai pas cette année. Ici, c'est ambiance décontractée. On est plutôt du genre à venir travailler avec un jean et un tshirt. Lui en avait fait un peu trop : chemise grise un peu trop grande et pantalon. En le regardant, je me demandais s'il était pas plutôt fait pour la banque ou les impôts. Chacun se redirige vers son poste avec son nouvel assistant. On se présente et je lui explique mon rôle au sein de l'entreprise. Il est très silencieux, certainement impressionné par ce nouvel univers. C'est son tout premier stage. Je lui dis d'office de ne par revenir habillé de la sorte le lendemain, de se mettre à l'aise avec nous. Il avait lui aussi compris qu'il était en décalage. Je détends l'atmosphère avec des petites blagues auxquelles il est réceptif. Je lui tape l'épaule en guise de signe d'acceptation et lâche enfin un rire. Je ne peux m'empêcher de remarquer que son épaule est dure et plutôt musclée. Il doit faire du sport. Difficile à voir dans sa grande chemise ! Nous nous mettons au travail.
La semaine suivante il arrive, toujours à l'heure, toujours poli. Aujourd'hui, il fait un peu plus chaud, Il a mis une chemise en plaid rouge et blanche et porte un jean à la mode, un peu moulant. La chemise était ouverte et je pouvais voir une fine touffe de poils sortir de sa poitrine. Il ne s'était pas rasé, et malgré son jeune âge, je devais bien admettre qu'il avait beaucoup d'allure. Les nanas de la boîte au fil des jours passaient régulièrement à mon poste me demander des choses inutiles juste pour le mater et lui faire des compliments, et s'en allaient en roulant des fesses. Ça me faisait rire, lui aussi.
Le boss me convoque et me demande de venir avec Alban. Il nous explique qu'un petit projet doit se mettre en place rapidement. Alban devrait le diriger et je serai son superviseur. Je le sens tendu. Je décontracte Alban en lui disant qu'avec ce que je lui ai déjà appris, il devrait s'en sortir sans souci. Les jours s'enchaînent et il garde le cap, nos objectifs devraient être atteints à temps. Mais la veille de la deadline, il se mit à paniquer, pensant qu'il ne terminerait pas proprement son travail. Voyant la fin de la journée approcher, je me propose de rester plus tard et de le faire à sa place. Il l'a franchement mérité. Il ne trouvait pas ça juste et me dit que lui aussi ferait des heures supplémentaires. Je lui dis que la salle de sport attendra et que ce n'était pas important. 22 heures. Plus personne dans l'open space. Après moult efforts, je presse sur le bouton sauvegarder de tous nos fichier et nous félicite.
On l'a fait ! Pas de frais de retard sur cette campagne !
Ouais ! Et merci encore pour ton aide, je l'aurais jamais fait sans toi.
De rien Alban, ce que j'ai fait est normal. On travaille vraiment en équipe ici, quitte à devoir se sacrifier parfois un peu.
J'ouvre un de mes tiroirs et en fouillant un peu, en sors un bouteille de vodka et deux verres à shots. Il est surpris.
Voilà comment on fête nos succès ici. Mais n'en parle pas hein !
Je nous sers.
A nous ! A l'acharnement ! A ta réussite future !
Il avale la vodka d'un trait et grimace. Il finit par rire. Je profite de l'intimité pour lui faire un bilan de son parcours jusque là et le féliciter à nouveau. Il est un peu flatté et ne s'y attendait clairement pas. Je nous ressers. Je continue à lui parler, à lui poser des questions plus personnelles, pour se connaître mieux. Je dois admettre qu'en temps normal, la vie des stagiaires ne m'importe absolument pas. Mais Alban, il me semblait différent des autres. Plus motivé, plus intéressé. Je voyais déjà plus loin et je pensais à prolonger son stage d'été ou même que nous devenions son entreprise en alternance à la rentrée. Au fil de la conversation, il s'assoit mon bureau et se met plus à l'aise. Il a les jambes écartées et les fait balancer dans le vide. Je ne peut m'empêcher de remarquer son entrejambe. Je vois que je m'attache de plus en plus à lui, sa façon de parler, de rire... J'ai l'impression de devenir une de mes jeunes collègues et de tomber sous son charme. Je fixe son cou et sa petite touffe de poils. Il le remarque et me dit :
Oh ? La chemise ouverte pose un problème ? Je la reboutonne.
Non ! Attends ! C'est pas le genre de la boîte de ne pas nous laisser un peu de liberté. On n'est pas dans une banque d'assurance.
Je me lève, me place entre ses deux jambes, prends ses mains pour l'interrompre et déboutonne sa chemise à nouveau. Un, puis deux boutons. J'en retire un troisième pour le fun, et un quatrième pour l'audace et un cinquième pour le défi. J'ouvre largement les pans afin de pouvoir observer son corps. J'attends sa réaction, rien. Je découvre un timide athlète plutôt bien foutu pour son âge. Et surtout très velu. En souriant, je lui demande :
C'était comme ça ?
Euh... Ouais, enfin, un peu moins !
Purée, t'es musclé en fait ! Et cette touffe ! T'as raté ta carrière, la boîte de strip-tease c'est plus loin sur le boulevard.
Arrête ! Déjà que je me fais agresser par toutes les nanas ici, tu vas pas t'y mettre non plus !, dit-il avec un rire un peu gêné. Et puis toi aussi t'es plutôt bien foutu, tu fais du sport, voilà tout, j'en fais pas tout un fromage !
Je dois bien admettre que cette remarque m'a grisé, et je ne m'y attendais pas vraiment de sa part. Son commentaire me fait comprendre qu'il m'avait observé pendant tout ce temps.
Par contre, niveau pilosité, je gagne.
Ah oui ? Fais voir.
Je déboutonne maladroitement ma chemise et la jette à son visage. Il l'attrape et la garde dans ses mains.
Alors ?
Ouais, ouais, tu me bats. Je t'aurais pas cru aussi poilu. Je vois même pas où sont tes tétons !
Mais si, là, regarde, touche.
Il approche sa main, doucement, et fouille ma fourrure pectorale. Il passe ses doigts sur mon téton plusieurs fois et le localise enfin. Je ricane à cause des chatouilles et il retire sa main immédiatement. Un silence s'installe. Cette étrange situation, toute nouvelle pour moi, m'a un peu excité, je dois dire. Je sens mon cœur battre un peu plus vite que d'habitude et des pulsations dans mon pantalon. Faudrait quand même pas que je me mette à bander complètement ! Je baisse la tête, un peu gêné, et je le vois essayer de se replacer le paquet. Je constate que lui aussi a été émoustillé par ce contact. Je me sens plein d'audace, je veux savoir jusqu'où ça peut aller.
Est-ce que t'es aussi chatouilleux que moi ?
Je tends ma main vers sa poitrine et pince doucement son téton. Il me fixe profondément et me laisse agir. Je balade ma main vers l'autre téton et ne vois aucune réaction.
Non, je suis pas chatouilleux, moi, enfin, c'est pas l'effet que ça me fait quand on me touche là, dit-il, en respirant de plus en plus vite.
Ah ? Et ça te fait quel effet ?
Ça m'excite. Beaucoup.
Tu veux que je m'arrête ?
Non, continue à me caresser.
J'ai l'impression d'avoir à nouveau 15 ans, lors de ma première fois avec une fille. Je m’attelle à essayer de lui faire du bien. Il ferme les yeux et penche sa tête en arrière. Je vois que la bosse entre ses jambes a pris une taille bien différente de celle que précédemment. Une barre solide se dessine depuis le haut de sa cuisse vers le côté de sa hanche. Je descends ma main vers cette déformation et me mets à la caresser dans la longueur. Il inspire un grand coup et ouvre les yeux. Je me surprends à trouver son sexe gros et chaud. Mais à vrai dire, j'en n'ai pas vu beaucoup. Il pose sa main sur la mienne comme pour me dire d'arrêter. Je suis confus et je stoppe. Là la saisit et reprend la caresse. En allant plus bas vers ses couilles, puis plus haut vers ce que j'imagine être son gland. Il me fait m'attarder sur ce dernier, que je sens quelque peu humide à travers son jean serré. Un petite tâche sombre apparaît. Il mouille en abondance, mon geste lui fait du bien. Je me sens un peu fier de pouvoir provoquer une telle excitation chez un autre homme. Avec son autre main il attrape mon bras et se met à le tâter fortement, il remonte mon épaule et passe les doigts sur mon visage. J'ouvre ma bouche et en gobe un. Je l'entoure de ma langue et le mordille un peu. Je fais mine de le sucer suavement. Il le retire ma bouche et le dirige vers mon téton sensible. Le contact ne me fait plus rigoler mais m'électrise soudainement. Il s'amuse avec, le titille avec son doigt humide. Je me rends compte que mon érection est maintenant totale, et que j'ai envie de lui. Je défais les boutons de son pantalon et fais entrer ma main sans la fente. Je n'ai pas besoin de fouiller pour trouver son sexe et l'en sortir. J'observe son mât, de vingt centimètre environ, et vois en son sommet un gland brillant et suintant. Je l'agite de haut en bas, d'abord doucement puis accélère ma masturbation. Il respire de plus en plus vite à mesure que ma main l'enserre. Je suis pris de l'envie de le sucer. Je me baisse et sans réfléchir, je le prends en bouche. Je goûte son liquide séminal et en apprécie le goût légèrement salé. Je continue et tente de m'appliquer pour ne pas le mordre. Je prends de plus en plus de plaisir à lui faire plaisir. Il m'arrête me repousse légèrement. Il baisse son pantalon et me donne son dos. Je pense avoir saisi l'invitation. Il écarte ses fesses largement et me montre son anus, velu comme lui et sombre. Je me mets à genoux et m'approche de lui, la bouche ouverte. Je me mets à lui lécher son trou, comme si je préparais une femme. J'use de tout mon talent pour le faire se contorsionner de bonheur. Je découvre le goût acide de l'intérieur de ses fesses. Avec ma main je continue à le branler doucement pour ne pas le faire cracher de suite. Quand j'estime qu'il est assez lubrifié, je lui introduits deux doigts en lui. Ça rentre comme dans du beurre. Je me redresse et baisse mon pantalon et sors mon sexe à mon tour. J'avais mal tellement je bandais. Je mouillais très fort aussi. Pressé et surexcité, je m'empresse de le pénétrer. Au passage de mon gland, je l'entends gémir longuement. Je pousse mes 22 cm dans un mouvement continu et je vois saisir les objets posés sur le bureau pour se tenir. J'ai peur de lui faire mal, alors je maintiens ma position pour habituer son anus étroit à mon gourdin. Je sens son tunnel essayer de m'expulser avec des contractions. Jamais je n'ai ressenti ça avec une fille. C'est tellement mieux. Quand les contractions se calment, j'effectue le mouvement inverse, toujours aussi lentement. Je sors complètement et le laisse se reposer.
Mais elle est énorme ma parole.
Désolé, je pensais que tu voulais. Je pensais que tu l'avais déjà fait.
Non, jamais, mais tu m'as donné envie. Je ne sais pas pourquoi. Recommence !
Je m'exécute et me replonge en lui, plus sèchement cette fois, je trouve mon rythme et le pilonne avec affection. Je caresse sa poitrine alors que je suis en lui. Je sens l'entrée de moins en moins difficile, plus souple. Il se détend pour moi. Je me baisse pour l'embrasser pour la première fois. Sa langue et la mienne entrent en contact et nous bavons dans notre excitation mutuelle. Je m'arrête pour profiter de lui et je sens son anus se serrer et se relâcher autour de ma queue. Je saisis ses épaules et me remets à lui marteler le trou sans interruption. Je sens que la fin est proche, alors j'accélère encore. Ma bite me brûle et j'envoie toute ma sauce au fond de ses petites fesses poilues. Je lui tire une bonne dizaine de fois ma semence et je m'arrête. J'essaye de me retirer mais il me demande de rester en lui le temps qu'il jouisse. Il secoue son sexe rapidement et de nombreuses giclées de son jus blanc s'écrasent sur les documents de son stage. Ma queue, qui avait perdu de sa superbe, sort de son trou en glissant. Mon sperme coule lentement de ses entrailles, à mesure que son anus encore un peu béant se referme.
Nous nous nettoyons du mieux que nous pouvons dans les toilettes de l'étage, sans rien dire. Puis je décide de briser le silence :
Tu sais, c'est la première fois que je fais ça... J'ai beaucoup aimé... Et toi ?
Première fois aussi. J'ai un peu mal, mais je pense que je pourrai m'habituer.
T'habituer ? Tu voudrais recommencer ?
Oui. Je croyais pas ce que disaient les filles dans la salle de pause, mais t'es un sacré bon coup. Laisse-moi me reposer un peu, et je te laisserai y aller de toutes tes forces. Et puis pas ici !
Tu as raison, t'as vu l'état du projet ? T'as foutu ton sperme partout. Va falloir que tu viennes bosser à la maison. Tu verras, mon bureau est beaucoup plus grand.
Il me sourit et je ne peux résister à l'envie de lui poser un léger baiser sur la bouche.
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