Mon traitement préventif contre la maladie 1

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon traitement préventif contre la maladie 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon traitement préventif contre la maladie 1
Dans mes souvenirs je vous ai raconté mes débuts dans ma vie amoureuse. Voici des tranches de ma vie actuelle.
Il y a maintenant dix ans que je suis marié avec Géraldine, mon entreprise marche très bien, de petite agence de dépannage, je suis devenu la plus grosse boite multiservices de la région, je ne me déplace plus sur les chantiers, j’ai une trentaine d’ouvriers qui le font à ma place et aussi une quinzaine de commerciaux qui patrouillent dans toute la région pour me décrocher des chantiers. Je ne m’occupe plus que de gestion. Ma vie de couple est parfaite, nos deux enfants grandissent doucement, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Un seul petit hic, notre vie sexuelle, elle s’érode, nous nous connaissons trop bien, de pratiquement tous les jours au début de notre rencontre, nous ne nous câlinons plus qu’une fois par semaine et encore quand tout va bien. Heureusement que j’ai quelques clientes qui en échange de petites remises se trouvent vite très câlines. Je n’aurais pas pu tenir, avec Géraldine, nous sommes obligé de le faire le plus discrètement possible, à cause des enfants qui dorment dans les chambres à coté, ce n’est plus le grand pied comme avant. En plus, comme elle continue à être hostile à toute sorte de contraceptifs , je suis en permanence obligé de calculer pour savoir si je peux rester ou non en elle sans trop de risques. Dans les périodes a risque, je me contente d’une éjaculation sur son ventre ou ses fesses et après le premier coup quand il arrive qu’elle en redemande, je me contente de la faire jouir avec ma langue et mes doigts je m’abstiens de la pénétrer dans le vagin, c’est dur mais c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour ne pas l’engrosser une nouvelle fois. Elle, apparemment inconsciente des risques qu’elle court ou peut être perfidement, elle voudrait que je reste tout le temps en elle.
Son truc de me faire jouir sur demande est maintenant périmé. Ma peur de replonger dans les déboires d’une nouvelle grossesse est la plus forte, deux enfants, ça me suffit amplement.
L’autre jour, dans la salle d’attente du médecin ou j’étais allé pour faire un bilan de santé, je suis tombé sur un article très intéressant, il expliquait que pour un homme qui approchait de quarante ans, il fallait jouir trois à quatre fois par semaines minimum pour minimiser les risques de cancer de la prostate. J’ai rapidement vu que j’étais très loin du compte et que je m’exposais davantage à ce risque. Il me fallait réagir, j’aime beaucoup Géraldine mon épouse mais là, ma vie est en jeux, comme je sais d’avance qu’avec elle ce ne sera pas possible il va falloir que je trouve une autre solution.
En rentrant, j’ai recherché mes anciens carnets d’adresse pour voir ce que je pourrais trouver pour compenser. En les parcourant j’ai retenu deux noms, Chantal et Marie Christine.
Chantal, c’est sûr, si elle est encore en activité, elle me trouvera de quoi me vider les bourses et en plus je gagnerais de l’argent. Le seul hic c’est qu’elle est en bord de mer et moi non, comment je vais pouvoir expliquer mes voyages, et mes absences de plusieurs jours, là est le problème.
Marie Christine, j’étais en bon rapports avec elle quand on a arrêté de se voir, oui, ce doit être la solution, deux ou trois jouissances en semaine avec elle et le week-end un petit coup a ma femme et je rentre dans la catégorie des hommes qui se soignent. Il faut que je l’appelle de mon bureau.
Sous couvert d’une promotion spéciale, réservée aux anciens clients de l’entreprise, je la fait appeler par ma secrétaire, le rendez-vous est pris.
A l’heure convenue, je me présente chez elle, je sonne. Et le nez dans mon dossier, quand la porte s’ouvre :
- bonjours madame, Jean Roc de la société b…….., je viens vous voir pour…..
- Jean marc ?
Surpris qu’elle se souvienne encore de moi. En levant les yeux de mon carnet, hypocritement :
- Pardon madame, Oh Marie Christine, quelle surprise ?
- Entre Jean Marc, que deviens-tu ?
Je n’en revenais pas, elle était toujours aussi belle et désirable que la dernière fois que je l’avais vue.
- Oh moi, rien de particulier, toujours le même travail, c’est tout.
- Tu es marié ?
- Oui, et j’ai deux enfants. Et toi, ton mari et tes enfants?
- Oh moi, c’est différent, j’ai divorcé, et mon mari avec sa nouvelle femme ont la garde des enfants, je vie seule maintenant.
- Il y a longtemps ?
- Oh oui, trois ans maintenant, j’ai gardé la maison parce que c’était la mienne, elle me venait de mes parents, mais tout le reste est parti, il a même pris mon lit pour te dire quel gougeât il était devenu.
- Peut-être mais tu es bien installée maintenant.
- Oui, il m’a fallu presque trois ans pour me remeubler correctement. Tu veux boire un verre ?
- Oui, merci, il te reste de la liqueur de ta grand- mère que tu m’avais fait goûter à l’époque ?
- Bien sûr, mais quelle mémoire, même moi, je ne pensais pas à ça.
- Oh oui, j’ai de la mémoire pour tout ce qui me fait plaisir, c’est pour ça que je pense souvent à toi.
- A moi ?
- Oui, je me rappelle nos après-midi torrides et ça me remonte le moral.
- Ah bon, tu n’es pas satisfait avec ta femme ?
- Oui, bien sûr mais ce n’est pas pareil, avec toi, c’était de la pure folie, c’était l’apothéose, avec ma femme c’est la routine.
- Arrête de dire des choses comme ça, tu me donnes des envies. Tu sais depuis plus de trois ans, je n’ai pas eu le moindre rapport alors arrête de me parler de ça.
Elle m’a servi et s’en est servi un verre, nous avons dégusté en silence puis je me suis lancé :
- Tes voisins t’espionnent toujours ?
- Peut-être, je ne sais pas, c’est en partie à cause d’eux que mon mari a gagné son divorce, maintenant, je les évite.
- Comment ont-ils fait pour faire gagner ton mari ?
- Ils ont témoigné que je recevais régulièrement des visites pendant que les enfants étaient à l’école.
- Et c’était vrai ?
- Oui, en effet j’ai eu quelques visites, c’est de ta faute, tu avais allumé dans mon ventre un incendie que mon mari n’arrivais pas à éteindre.
Tout en parlant, je lui caressais doucement le bras, je sentais les frissons l’envahie, je sentais la chair de poule se former sur son bras.
- Arrête ça, je ne pourrais pas tenir si tu continues, j’ai trop envie.
- Viens-la près de moi.
- Non les voisins peuvent nous voir.
- Et alors, tu t’en fou, tu n’es plus mariée, ils ne peuvent plus rien raconter.
- Moi, peut-être mais toi, tu as une famille maintenant, ils pourraient la détruire.
- Non ils ne me connaissent pas et en plus je m’en fou complètement, viens là.
Elle s’est levée, s’est assise sur mes genoux, j’ai tout de suite été submergé par son odeur aphrodisiaque, je l’ai embrassé et caressé, comme je le faisais avant. Rapidement elle s’est mise à gémir de plaisir s’est levé et m’a pris la main en disant :
- Vien, mon amour, nous allons inaugurer mon lit.
- Inaugurer ?
- Oui, je l’ai acheté après mon divorce et je n’ai encore jamais jouis dedans.
Nous sommes montés dans sa chambre en nous déshabillant mutuellement. Une fois dans son lit, je me suis remis à la caresser. Elle m’a stoppé en me disant
- Vien vite, fait moi l’amour fort, comme avant, j’en ai trop envie.
Elle a attrapé mon chibre et en le branlant l’a guidé en elle puis elle s’est mise à faire onduler son bassin en gémissant pour atteindre le plaisir le plus vite possible. Je me suis retenu un maximum et j’ai attendu qu’elle crie une deuxième fois son orgasme pour m’activer énergiquement. A la fin, n’en pouvant plus je me suis retiré d’elle pour lui inonder le ventre. Nous sommes restés un long moment immobile, l’un a côté de l’autre à reprendre notre souffle puis elle a murmuré :
- C’était merveilleux, aussi bon que dans mes souvenirs mais tu aurais pu rester, j’ai un diaphragme maintenant.
- Pourquoi ? Tu n’en a pas besoin puisque tu n’as pas de rapports réguliers.
- Je l’ai pour être prête au cas où, j’attendais peut être secrètement ta visite.
Tout en me parlant elle me caressait doucement ce qui fait que rapidement je me suis remis à bander. Elle est venue sur moi et s’est empalée en disant
- Ne bouge pas, je m’occupe de tout
Puis elle s’est activée pour atteindre rapidement un nouvel orgasme. Je me retenais toujours pour ne pas jouir alors elle a fait passer ses mains dans son dos et a attrapé mes couilles pour les malaxer. Ma concentration a fondu d’un coup et je me suis vidé complètement en elle. Sous le choc de mon foutre au fond de son ventre elle s’est remise à jouir en criant puis elle s’est écroulée sur moi et nous nous sommes endormis. A mon réveil, la nuit était tombée, elle était toujours sur moi, doucement je l’ai poussé sur le côté sans la réveiller puis rapidement j’ai pris une douche, me suis rhabillé. Quand je l’ai embrassé pour lui dire au revoir elle a juste ouvert un œil puis elle a replongée dans ses rêves.
Je suis directement rentré chez moi avec la voiture de l’entreprise.
J’ai expliqué mon retard avec une histoire de panne de ma voiture, tout est bien passé je suis parti me coucher très tôt, expliquant que la journée avait été dure et que demain ça risquait d’être pareil.
Le lendemain matin, j’ai rapidement réglé les affaires courantes, le courrier et la distribution des chantiers avec ma secrétaire puis je suis parti. En route j’ai acheté des croissants et, mon paquet de croissants à la main, j’ai sonné chez Marie Christine.
Elle venait juste de se lever, et portait une petite nuisette recouverte par une robe de chambre. Elle avait encore les yeux bouffis par le sommeil. Malgré tout je l’ai trouvé très désirable et je l’ai embrassée sur le pas de la porte. Nous avons déjeuné ensemble puis elle est montée pour faire sa toilette me demandant de l’attendre dans le salon.
J’ai attendu un petit moment puis je me suis déshabillé en rangeant bien mes vêtements sur un fauteuil et je suis parti la rejoindre dans la salle d’eau complètement nu et le chibre bien bandé. En entrant dans sa chambre, j’ai tout de suite été envahi par l’odeur, une odeur très érotique, elle n’avait pas encore aéré la pièce et il y planait une senteur forte d’amour, un mélange de senteurs féminines, de foutre, et de transpiration mon excitation est montée d’un cran, Je suis discrètement entré dans la salle de bain, Elle somnolait, couchée dans sa baignoire au milieu de la mousse, les yeux fermés. Je me suis approché tout doucement et me suis mis à la caresser. Elle a ouvert les yeux, s’est un peu relevée et a pris mon chibre dans sa bouche en me masturbant doucement d’une main et me caressant les couilles de l’autre. Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps sous une telle torture, je l’ai fait arrêter, se lever puis je l’ai prise dans mes bras et toute mouillée je l’ai couché sur son lit et je me suis mis à lui sucer la moule pour la faire gémir de plaisir.
Quand elle est arrivée au bord de l’orgasme sous ma caresse, je suis entré en elle et nous avons fait l’amour comme si notre vie en dépendait. Nous avons jouis tous les deux en même temps, c’était merveilleux. Après avoir repris notre souffle nous avons recommencé à nous caresser, nous embrasser puis elle est passée sur moi et nous avons recommencé. Nous n’avons pas arrêté de toute la matinée, nous avons essayé toutes les positions possibles. J’ai dû jouir quatre ou cinq fois durant cette matinée. A chaque fois, je pensais que c’était fini et elle faisait en sorte que mon chibre se remette au garde à vous pour replonger au fond de son ventre et la faire jouir. Elle était insatiable. Après notre dernier orgasme elle a vue l’heure et s’est affolée.
- Vite, lève toi, il est presque une heure, a trois heure mon mari doit passer pour me confier les enfants pour la soirée, il les reprendra demain soir, il faut que toute ma maison soit impeccable et toi, tu ne dois pas être là, dépêche toi, il te faut partir.
Elle m’a tout juste laissé le temps de prendre une douche rapide et de m’habiller avant de me mettre à la porte. Je suis rentré à mon entreprise, me suis enfermé dans le bureau et j’ai somnolé toute l’après-midi.
J’étais encore bien fatigué le soir en rentrant chez moi. J’étais heureux, avec tout ce que j’avais jouis ces deux dernier jours, je commençais à rattraper mon retard donc, je me soignais très bien.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Si tu passes en savoie je veux bien t'aider à combattre la maladie;-) kiss

Histoire Libertine
Une histoire amant-maitresse qui donne envie d'être vecue!



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