Mon traitement préventif contre la maladie 2

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon traitement préventif contre la maladie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon traitement préventif contre la maladie 2
C’est la semaine suivant que j’ai reçu une lettre anonyme de personnes bien intentionnées qui me signalaient qu’un de mes employés passait régulièrement de longues heures chez leur voisine au lieu de travailler ils avaient pris l’adresse sur la voiture de l’entreprise. J’ai beaucoup ri en lisant cette lettre puis j’ai pris ma voiture pour partir les voir. Je me suis garé devant chez Marie Christine puis je suis parti sonner à leur porte.
Ils ne m’ont pas reconnu, je pense qu’ils avaient juste remarqué le véhicule. Je leur ai demandé si c’était eux qui avaient envoyé la lettre que je leur ai montré. Ils ont été surpris par ma demande et m’ont demandé :
- Comment avez-vous su que cette lettre venait de nous ?
- Je ne savais pas, je fais juste le tour de tous les endroits où mon entreprise fait des travaux et j’interroge les voisins, c’est tout.
- Ah bon. Et bien oui, c’est nous qui avons envoyé cette lettre, votre employé ne travaille pas chez notre voisine, il passe tout son temps à lui faire l’amour.
- Vous les avez vus faire ?
- Non, juste entendu, ils ne sont pas discrets. Vous devriez virer cet obsédé sexuel.
- Oui, je vais y penser, merci beaucoup pour votre vigilance.
Je suis reparti en riant intérieurement. Il va falloir que je me gare plus loin la prochaine fois. Ce que je fis dès le lendemain. A partir de ce jour je n’ai plus entendu parler d’eux pourtant mes visites ont continué. Je passais en moyenne trois jours par semaine chez Marie Christine pour lui faire l’amour, avec elle, tout était permis et je ne craignais pas de l’engrosser.
Il a fallu plus de six mois à Géraldine ma tendre épouse pour commencer à se douter de quelque chose. J’arrivais régulièrement en retard, pendant cette période J’ai beaucoup maigris, et je ne cherchais plu à lui faire des câlins le soir en me couchant parce que je dormais tout de suite très profondément.
Elle m’a d’abord cru malade et m’a accompagné chez le médecin pour un bilan complet. Comme d’après le résultat j’étais en pleine forme, elle est intervenue auprès de ma secrétaire pour lui demander de m’empêcher de me fatiguer autant au travail.
Comme mon état ne s’améliorait pas, elle a insisté pour mettre les enfants en vacance chez ses parents pour que nous puissions partir tous les deux un mois complet en Bretagne, au programme repos, et bonne nourriture pour me faire reprendre des forces et un peu de poids. Elle s’est occupée de tout et ce fut rapidement organisé.
Les deux premiers jours de mes congés forcés, je me suis bien reposé, j’ai dormi presque tout le temps pendant que ma femme faisait du shopping et de la bronzette, je ne me levais que pour partir manger des crêpes et des fruits de mer avec elle. Le soir du troisième jour, elle est venue me retrouver très câline, je n’ai pas résisté longtemps a ses avances, nous nous sommes embrassés, caressés, puis nous avons fait l’amour. C’était revenu comme au début de notre relation, Je me régalais de l’entendre crier son plaisir de la sentir me caresser, de la caresser, enfin d’atteindre l’orgasme en même temps qu’elle. Malgré ses efforts pour me retenir au fond de son ventre au moment de mon éjaculation je réussissais toujours, de justesse, à me retirer pour jouir sur ses poils, juste à l’entrée de son vagin ou sur ses fesses. Après ma troisième jouissance, alors que je me poussais sur le côté pour reprendre mon souffle elle est venue sur moi et a fait entrer mon sexe qui commençait à débander en elle et elle m’a soufflé doucement a l’oreille
- Tu aurais pu rester pour ces vacances je me suis fait poser un diaphragme par le gynécologue, tu ne risques pas d’être à nouveau papa.
Je ne sais pas si c’est cette confidence ou l’action de ses muscles vaginaux qui n’arrêtaient pas de se contracter sur mon chibre mais je me suis remis à bander et nous sommes repartis pour une folle cavalcade. J’ai jouis comme un fou au fond de son ventre puis nous nous sommes endormis.
Pendant les semaines qui ont suivi, nous passions nos journées à nous promener et à découvrir les petits coins sympas de cette cote merveilleuse, de gouter à tous les plats typiques et le soir nous nous faisions l’amour comme deux jeunes amoureux. C’était merveilleux, elle arrivait à nouveau à me faire jouir à la demande comme au début de notre mariage.
C’est à la fin de la dernière semaine, après un gros câlin, je suis parti à la salle d’eau et j’ai trouvé un truc en caoutchouc dans une boite sur le rebord du lavabo. Je suis retourné la voir pour lui demander ce que c’était.
- Non, c’est rien, j’ai juste oublié de le remettre dans ma trousse de toilette.
- Mais qu’est-ce que c’est ?
- Rien d’important, un truc de femme, c’est tout.
Je suis retourné au lit et là, elle a recommencé à me caresser en me narguant :
- Je suis sure que tu vas encore jouir le premier quand je te le demanderais.
Encore une fois elle voulait jouer à notre jeu favori, j’ai développé toute mon expérience pour la mener à l’orgasme et me retenir puis quand elle a refait surface, avant qu’elle me demande quoi que ce soit je lui ai dit :
- Tu as bien jouis la première, j’ai gagné, c’est maintenant à moi d’en profiter un peu
Elle n’a rien dit si ce n’est un râle de plaisir quand j’ai accéléré la cadence. Elle a relevé ses jambes très hautes pour que je m’enfonce encore plus profondément en elle puis entre deux soupirs elle a soufflé
- Ah !, viens maintenant c’est trop bon, viens maintenant, je t’en supplie, je vais encore jouir, viens en même temps que moi.
J’ai continué à la pistonner sentant ma jouissance proche je me suis enfoncé au plus profond de son ventre et quand j’ai commencé à cracher ma semence elle s’est mise à crier son plaisir. Je me sentais comme aspiré par son intimité, c’était merveilleux. On a mis très longtemps à reprendre notre souffle, ça avait été si intense. Au bout d’un long moment elle a brisé le silence :
- Tu sais le truc sur le lavabo, tu ne sais pas ce que c’est.
- Non, tu m’as dit un truc de femme c’est tout.
- Tu ne sais vraiment pas ce que c’est ?
- Non, pourquoi ?
- C’est mon diaphragme, je l’ai retiré ce matin, il me faisait mal.
- Ah bon mais alors, tu n’es plus protégé ?
- Non, ce n’est pas grave, j’aimerais bien avoir un autre enfant pas toi ?
- Ah non, je ne veux pas avoir à repasser par tous ces problèmes, biberons couches et tout le reste.
- C’est trop tard, tu me l’a surement déjà fait il va falloir t’habituer.
- Il n’en est pas question, tu peux aussi le faire sauter.
- Tu voudrais détruire le fruit de notre amour ?
- Non, je veux surtout ne pas avoir tous les soucis qui vont avec.
Elle s’est tue un moment puis elle a tendu la main et s’est mise à me caresser. Au bout de quelques minutes, je bandais de nouveau et je suis passé sur elle pour la pénétrer.
Fâché par la sale blague qu’elle venait de me faire je l’ai possédé sauvagement, brutalement. Et non doucement en la couvrant de caresses comme je faisais habituellement. Elle a quand même adoré ce que je lui faisais et elle a jouis très fort en essayant de me retenir pour que je jouisse une nouvelle fois en elle, j’ai résisté, me suis retiré, relevé et je lui ai aspergé le visage de mon plaisir. Elle n’a pas du tout aimé ça, s’est levée pour se laver à la salle d’eau en râlant et me traitant de gougeât.
Le lendemain j’ai fait la tête dès le réveil, je n’aime pas qu’on se foute de moi, qu’on me force la main. Toute la journée je suis resté bougon et le soir quand elle a voulu un câlin j’ai refusé puis je me suis retourné dans le lit pour dormir. Vers minuit, alors que je dormais bien, j’ai été réveillé par une étrange et agréable sensation, elle avait changé de coté sur le lit, elle était couché la tête entre mes jambes et me pompait énergiquement le jonc. C’était très agréable. Emporté par le plaisir, j’ai tiré sur ses jambes et me suis mis à lui lécher le minou en insistant bien sur son clitoris que je savais très sensible. Rapidement elle s’est mise à râler de plaisir et m’a inondé le visage puis elle s’est retournée et m’a fait pénétrer dans son antre d’amour. Tout en m’embrassant elle secouait son bassin sur moi, tantôt de haut en bas, tantôt d’avant en arrière ou en faisant comme des petits cercles, c’était très bon, rapidement nous sommes repartis vers l’orgasme total. Quand j’ai été sur le point d’éjaculer, j’ai essayé de me retirer mais elle a poussé tellement fort son bassin contre le mien que je n’ai pas pu me retirer et je l’ai inondé. Après avoir repris mon souffle je lui ai confié :
- C’était fantastique, j’ai adoré, mais c’est très risqué
- Non mon amour, si je dois tomber enceinte c’est déjà fait, avec tout ce que tu m’as donné hier.
- Oui mais quand même, j’aurais dû sortir.
- Non, profite en bien, je ne risque plus rien de plus.
Tout en parlant elle n’arrêtait pas de contracter ses muscles intimes, je me sentais comme si j’avais le sexe engagé dans une trayeuse, je ne contrôlais plus rien, je me suis remis à bander en elle, elle s’est a nouveau activée sur moi jusqu'à ce que je crache une nouvelle fois mon jus au plus profond de son ventre. Après cet orgasme monstrueux nous nous sommes endormis.
Le matin nous avons refait nos valises et nous sommes rentrés. Sur la route qui nous ramenait chez nous je me suis mis à rire, pendant ces vacances de détente, je me suis encore plus fatigué que pendant mes semaines au travail avec Marie Christine. Mon traitement pour lutter contre le risque de cancer de la prostate était complet.

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