Mon unique sodomie
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon unique sodomie
J'étais debout, adossé au mur du fond de la salle obscure d'un cinéma porno. Comme diraient certains, j'attendais le client. Soudain, un homme s'arrêta devant moi et me regarda quelques minutes. Je baissais les yeux. Cet homme m'intimidait. Je ne sais pas pourquoi je n'osais pas le regarder. Il fit un pas en avant et commença à déboutonner ma chemise. Je le laissais faire. Lorsqu'il arriva à la taille, il sortit les pans de la chemise du pantalon et finit de les défaire. Il écarta mes bras et les poussa en arrière. Il tira sur la chemise et la laissa tomber à terre. Sans la moindre hésitation, il dégraffa ma ceinture, ouvrit mon pantalon et le laissa tomber à mes chevilles. Il posa ses mains sur mes épaules et d'une pression douce mais ferme, il me fit mettre à genoux.
Il se recule légèrement, ouvrit sa braguette et sortit son sexe. C'était un engin de belle taille. Il le prit en main et le dirigea vers mon visage. Il le promena sur ma lèvre supérieure. Je sentais son odeur. Il cala son engin sous mon nez et sortit un préservatif de sa poche. Il déchira l'emballage avec ses dents, puis, reculant d'un pas, il déroula le plastique sur son membre. J'étais toujours à genoux et je regardais. Il baissa les yeux vers moi et repris son sexe en main. Il le tendit de nouveau vers moi, et cette fois, ma bouche s'ouvrit. Le gland se posa sur mes lèvres et l'homme poussa un peu avec ses hanches. La pointe du sexe entra dans ma bouche. Alors l'homme posa sa main gauche sur mon front et colla ma tête contre le mur. Il leva les bras et posa ses mains sur le mur. D'une poussée rectiligne de ses reins, il enfonça sa queue toute entière dans ma bouche. Le sexe glissait sur ma langue et le sentis qui entrait dans ma gorge, jusqu'à ce que les poils de son pubis chatouillent mes lèvres. Alors, il commença à onduler des hanches et le sexe entrait et sortait de ma bouche. Autour de moi, quelques hommes regardaient. L'homme accéléra ses mouvements et je sentais le sexe devenir encore plus raide. Puis l'homme s'enfonça de nouveau au fond de bouche et resta un moment, raide sur ses jambes.
Il se retira lentement, se baissa vers moi et passant sa main sous mon bras, il me releva. Il me tourna vers le mur, releva mes bras et posa mes mains sur le mur. Il passa un bras autour de ma taille et maintenant ma main sur le mur, il me tira vers lui. Il passa les mains dans mon slip et le baissa jusqu'aux chevilles. Il écarta mes fesses et lança un jet de salive sur mon petit trou. Il me lubrifia avec un doigt et posa son sexe sur mon anus. Il lâcha mes fesses pour s'agripper à mes hanches. Trési doucement, comme pour me persuader qu'il me possédait, il poussa son sexe dans mon cul, centimètre par centimètre, jusqu'à ce que ses cuisses entrent en contact avec mes fesses. Il resta un bon moment au fond de mon cul sans bouger, puis, d'un seul coup, il s'agita avec ardeur. Il sortait et s'enfonçait dans mon cul avec vigueur, comme pour me punir. Je n'osais pas gémir. Enfin, au bout d'un long moment de souffrance, les dents serrées, j'ai sentis le sexe se raidir et des soubresauts firent trembler mes fesses. L'homme venait de jouir dans mon cul.
Il se retira, se rajusta et partit.
Ce n'était pas ma première expérience. Un jour dans un train, j'avais envie de pisser et je suis allé aux toilettes. Celles-ci étaient occupées. Je suis resté debout près de la porte en attendant que l'occupant ressorte. Un gars plus grand et plus costaud que moi est venu se coller à moi. Il a glissé une main dans mon slip et m'a branlé. J'ai joui dans sa main. Il a déposé un baiser sur mes cheveux et s'est tiré.
Une autre fois, dans un cinéma, un mec est venu s'asseoir à côté de moi. Il posa sa main sur ma cuisse. Depuis l'épisode du train, n'importe quel contact me fait bander. Le mec a vu la bosse sur ma braguette. Il a descendu la fermeture à glissière de mon pantalon et a glissé sa main dans mon slip. Il a sorti mon sexe et a commencé à me branler. Il m'a lâché un instant pour passer son bras dans mon dos et la main sur mes fesses, il m'a poussé vers le bord du siège. Il a repris mon sexe et m'a branlé jusqu'à ce que je jouisse.
Après cette expérience, j'ai fréquenté ce cinéma à de nombreuses reprises, sans que rien n'arrive. Puis, j'ai entendu parler de ce cinéma porno. Après cela, je me suis marié. Mais, chaque fois que j'ai envie de me branler, je pense à cette sodomie et je jouis à chaque fois.
Il se recule légèrement, ouvrit sa braguette et sortit son sexe. C'était un engin de belle taille. Il le prit en main et le dirigea vers mon visage. Il le promena sur ma lèvre supérieure. Je sentais son odeur. Il cala son engin sous mon nez et sortit un préservatif de sa poche. Il déchira l'emballage avec ses dents, puis, reculant d'un pas, il déroula le plastique sur son membre. J'étais toujours à genoux et je regardais. Il baissa les yeux vers moi et repris son sexe en main. Il le tendit de nouveau vers moi, et cette fois, ma bouche s'ouvrit. Le gland se posa sur mes lèvres et l'homme poussa un peu avec ses hanches. La pointe du sexe entra dans ma bouche. Alors l'homme posa sa main gauche sur mon front et colla ma tête contre le mur. Il leva les bras et posa ses mains sur le mur. D'une poussée rectiligne de ses reins, il enfonça sa queue toute entière dans ma bouche. Le sexe glissait sur ma langue et le sentis qui entrait dans ma gorge, jusqu'à ce que les poils de son pubis chatouillent mes lèvres. Alors, il commença à onduler des hanches et le sexe entrait et sortait de ma bouche. Autour de moi, quelques hommes regardaient. L'homme accéléra ses mouvements et je sentais le sexe devenir encore plus raide. Puis l'homme s'enfonça de nouveau au fond de bouche et resta un moment, raide sur ses jambes.
Il se retira lentement, se baissa vers moi et passant sa main sous mon bras, il me releva. Il me tourna vers le mur, releva mes bras et posa mes mains sur le mur. Il passa un bras autour de ma taille et maintenant ma main sur le mur, il me tira vers lui. Il passa les mains dans mon slip et le baissa jusqu'aux chevilles. Il écarta mes fesses et lança un jet de salive sur mon petit trou. Il me lubrifia avec un doigt et posa son sexe sur mon anus. Il lâcha mes fesses pour s'agripper à mes hanches. Trési doucement, comme pour me persuader qu'il me possédait, il poussa son sexe dans mon cul, centimètre par centimètre, jusqu'à ce que ses cuisses entrent en contact avec mes fesses. Il resta un bon moment au fond de mon cul sans bouger, puis, d'un seul coup, il s'agita avec ardeur. Il sortait et s'enfonçait dans mon cul avec vigueur, comme pour me punir. Je n'osais pas gémir. Enfin, au bout d'un long moment de souffrance, les dents serrées, j'ai sentis le sexe se raidir et des soubresauts firent trembler mes fesses. L'homme venait de jouir dans mon cul.
Il se retira, se rajusta et partit.
Ce n'était pas ma première expérience. Un jour dans un train, j'avais envie de pisser et je suis allé aux toilettes. Celles-ci étaient occupées. Je suis resté debout près de la porte en attendant que l'occupant ressorte. Un gars plus grand et plus costaud que moi est venu se coller à moi. Il a glissé une main dans mon slip et m'a branlé. J'ai joui dans sa main. Il a déposé un baiser sur mes cheveux et s'est tiré.
Une autre fois, dans un cinéma, un mec est venu s'asseoir à côté de moi. Il posa sa main sur ma cuisse. Depuis l'épisode du train, n'importe quel contact me fait bander. Le mec a vu la bosse sur ma braguette. Il a descendu la fermeture à glissière de mon pantalon et a glissé sa main dans mon slip. Il a sorti mon sexe et a commencé à me branler. Il m'a lâché un instant pour passer son bras dans mon dos et la main sur mes fesses, il m'a poussé vers le bord du siège. Il a repris mon sexe et m'a branlé jusqu'à ce que je jouisse.
Après cette expérience, j'ai fréquenté ce cinéma à de nombreuses reprises, sans que rien n'arrive. Puis, j'ai entendu parler de ce cinéma porno. Après cela, je me suis marié. Mais, chaque fois que j'ai envie de me branler, je pense à cette sodomie et je jouis à chaque fois.
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