Mur mures
Récit érotique écrit par Ducasse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mur mures
55 balais, et un seul aspirateur. Parfois l'envie d'abandonner une routine et son missionnaire vieux de trente ans, me prend à la gorge et même ailleurs. Mais à 55 ans, marié, difficile de trouver la solution dont on aimerait qu'elle nous laisse sur les genoux ; donc de temps en temps, pour faire baisser la pression je réponds à des annonces, mais elles sont rares celles qui recherche un "vieux", pourtant je suis ouvert à beaucoup de choses, hélas ma "jeunesse" ne correspond pas à la demande. Sauf celle là : H mur ch. h mur pour murmures réciproques voir beaucoup plus, DS souhaité pour voyage initiatique. Un peu abscon dans les termes, mais pourquoi pas essayer. Essayé et approuvé par l'auteur.
Après un premier mail, un rendez-vous, devant un cimetière, fut pris et honoré.
- Bonjour, je suis Charles- Enchanté, moi c'est Antoine. Je vous offre un verre dans un café, pour faire mieux connaissance.
A l'occasion d'une nouvelle rencontres, que ce soit pour l'amitié, le travail ou autre, souvent on se dit "non ça va pas marcher" et puis des fois, plus rares, on se dit "c'est la bonne personne" et là je crois que non seulement c'était la bonne personne mais la réciproque me semblait vraie.
- Non, allons directement chez moi, j'habite à coté et nous serons plus tranquille.
Ce n'est pas les deux cents mètres qui nous séparèrent de son appartement qui me parurent long mais le silence qui entre-nous s'établit. Je le suivis donc sans mot dire jusque dans le hall de son immeuble.
Nous prîmes l'ascenseur, Charles était au septième. Dès les portes refermées, il prit les choses en main, en habitué sans doute, et me mis la main au paquet, à travers mon pantalon, le frotta fort, jusqu'à ce qu'il sente une réponse de ma part et plaqua ses lèvres sur les miennes. Un peu rapide comme mise en bouche, un peu abasourdi je me laissais faire, c'était la première fois que j'embrassais un homme. J'en avais déjà sucé, j'en avais déjà pris, m'étais déjà fait prendre, mais là, embrassez comme ça, par un inconnu jamais. Pas désagréable, évidement ça n'avait rien à voir avec une peau de femme, plutôt à du papier de verre chaud au niveau de la lèvre supérieure, par contre l'intérieure était pareil, chaud, mouillée, palpitant, agité.
Le "Ding" de l'arrivée au palier nous séparât, la porte s'ouvrit il abandonna ma langue et ma braguette et sortit ses clefs pour les mettre dans la serrure de la porte 712, il s'effaça me laissant pénétrer en premier dans son intérieur. Un style "Galeries Barbès année 60" meublait ce grand trois pièces, pas vraiment en adéquation avec le personnage.
- Ma femme est absente, pour la semaine, j'en profite un peu mais ne pourrai te recevoir tout le temps. Profitons-en, met-toi à l'aise, je t'offre quelque chose à boire. Rhum, anis, vin, bière, jus de fruit ?
- Allons pour une bière fraiche. D'autant plus que la température de l'appartement frôlait l'insoutenable pensais-je en ôtant mon blouson.
- Tu peux aussi enlever tes chaussures, je crois que tu n'en auras pas besoin.
S'approchant de moi, il défit aussi ma ceinture et me libéra de mon pantalon.
- Je vais te chercher une verre, ne bouges pas.
Difficile de bouger, j'étais cloué au sol non seulement par mon pantalon tombé sur mes chevilles, par son autorité naturelle mais aussi par la honte qui me montait au visage, je ne portais pas de sous-vêtements mais seulement une paire de bas auto-fixant, blanc, un acte manqué sans doute pour une première rencontre.
Charles revint avec deux verres, un sifflement moqueur et une phrase lui sortit de la bouche- Pas besoin de connaitre tes gouts, tu les portes sur toi. Va t'asseoir sur le canapé, nous avons a parler.
Parler était un bien grand mot, il s'assit à coté de moi, passa le dos de sa main sur le nylon de mes cuisses, empauma fortement mon sexe, me serrant les testicules et les étirant au maximum me souffla à l'oreille : "Il va y avoir du travail à faire".
Puis défît les boutons de ma chemise et la retira délicatement, non sans me pincer fortement les seins ce qui me fît pousser un petit glapissement et lui arrachât un rictus de contentement.
- Je pense donc que tu préfères les situations de soumission, ça tombe bien, moi ce que j'aime c'est la domination, voir un peu de sadisme tu n'as rien contre dit-il en continuant à maltraiter mes seins gras d'homme marié. Ceci dit, comme je te l'écrivais dans mon mail je peux inverser les rôles, mais pour l'instant est-tu prêt, enfin prête, à te laisser faire.
- Oui, oui Charles. dis-je en écartant les jambes, par réflexe.
Il m'embrassa à nouveau, mais de manière brutal, mordant mes lèvres, forçant ma bouche de sa langue puissante, en me faisant passer un maximum de sa salive, ses mains s'amusèrent avec mes tétons, les étirant, les faisant rouler, les pinçant m'arrachant une larme qui tomba sur ma bite, tendu à son maximum. Mon excitation montait vers des sommets rarement atteints.
- Finis ta bière en vitesse, je vais te chercher un collier, puis je te ferai voir la chambre.
.
Il se leva, pris dans le tiroir d'un buffet Henri III, une laisse et un petit collier qu'il fixa sur mes parties, serrant fortement l'attache, me coupant presque la circulation, réduisant d'un coup la taille de mon sexe. "Pour l'instant, tu n'en auras pas besoin de t'en servir, sainte Nitouche" me dit-il, tirant sur la laisse pour m'emmener dans la chambre. Enfin pas vraiment dans chambre, la salle de bains plutôt. Sans doute une petite toilette s'imposait.
Il me fit monter dans baignoire, à 4 pattes et envoya le jet de la douche sur mon corps, les bas mouillées, le sexe rabougri par la fraîcheur de l'eau, je n'en menait pas large quand il me passa une savonette entre les fesses, tirant avec vigeur sur la laisse, mon sexe et ses attributs passèrent derrière. Il prit une serviette, me la tendit et me dit "essuies-toi, ôte tes bas et change toi, il y a des affaires qui devraient t'aller dans le placard. Moi, je suis dans la chambre au bout du couloir, j'ai à faire..."
Après un premier mail, un rendez-vous, devant un cimetière, fut pris et honoré.
- Bonjour, je suis Charles- Enchanté, moi c'est Antoine. Je vous offre un verre dans un café, pour faire mieux connaissance.
A l'occasion d'une nouvelle rencontres, que ce soit pour l'amitié, le travail ou autre, souvent on se dit "non ça va pas marcher" et puis des fois, plus rares, on se dit "c'est la bonne personne" et là je crois que non seulement c'était la bonne personne mais la réciproque me semblait vraie.
- Non, allons directement chez moi, j'habite à coté et nous serons plus tranquille.
Ce n'est pas les deux cents mètres qui nous séparèrent de son appartement qui me parurent long mais le silence qui entre-nous s'établit. Je le suivis donc sans mot dire jusque dans le hall de son immeuble.
Nous prîmes l'ascenseur, Charles était au septième. Dès les portes refermées, il prit les choses en main, en habitué sans doute, et me mis la main au paquet, à travers mon pantalon, le frotta fort, jusqu'à ce qu'il sente une réponse de ma part et plaqua ses lèvres sur les miennes. Un peu rapide comme mise en bouche, un peu abasourdi je me laissais faire, c'était la première fois que j'embrassais un homme. J'en avais déjà sucé, j'en avais déjà pris, m'étais déjà fait prendre, mais là, embrassez comme ça, par un inconnu jamais. Pas désagréable, évidement ça n'avait rien à voir avec une peau de femme, plutôt à du papier de verre chaud au niveau de la lèvre supérieure, par contre l'intérieure était pareil, chaud, mouillée, palpitant, agité.
Le "Ding" de l'arrivée au palier nous séparât, la porte s'ouvrit il abandonna ma langue et ma braguette et sortit ses clefs pour les mettre dans la serrure de la porte 712, il s'effaça me laissant pénétrer en premier dans son intérieur. Un style "Galeries Barbès année 60" meublait ce grand trois pièces, pas vraiment en adéquation avec le personnage.
- Ma femme est absente, pour la semaine, j'en profite un peu mais ne pourrai te recevoir tout le temps. Profitons-en, met-toi à l'aise, je t'offre quelque chose à boire. Rhum, anis, vin, bière, jus de fruit ?
- Allons pour une bière fraiche. D'autant plus que la température de l'appartement frôlait l'insoutenable pensais-je en ôtant mon blouson.
- Tu peux aussi enlever tes chaussures, je crois que tu n'en auras pas besoin.
S'approchant de moi, il défit aussi ma ceinture et me libéra de mon pantalon.
- Je vais te chercher une verre, ne bouges pas.
Difficile de bouger, j'étais cloué au sol non seulement par mon pantalon tombé sur mes chevilles, par son autorité naturelle mais aussi par la honte qui me montait au visage, je ne portais pas de sous-vêtements mais seulement une paire de bas auto-fixant, blanc, un acte manqué sans doute pour une première rencontre.
Charles revint avec deux verres, un sifflement moqueur et une phrase lui sortit de la bouche- Pas besoin de connaitre tes gouts, tu les portes sur toi. Va t'asseoir sur le canapé, nous avons a parler.
Parler était un bien grand mot, il s'assit à coté de moi, passa le dos de sa main sur le nylon de mes cuisses, empauma fortement mon sexe, me serrant les testicules et les étirant au maximum me souffla à l'oreille : "Il va y avoir du travail à faire".
Puis défît les boutons de ma chemise et la retira délicatement, non sans me pincer fortement les seins ce qui me fît pousser un petit glapissement et lui arrachât un rictus de contentement.
- Je pense donc que tu préfères les situations de soumission, ça tombe bien, moi ce que j'aime c'est la domination, voir un peu de sadisme tu n'as rien contre dit-il en continuant à maltraiter mes seins gras d'homme marié. Ceci dit, comme je te l'écrivais dans mon mail je peux inverser les rôles, mais pour l'instant est-tu prêt, enfin prête, à te laisser faire.
- Oui, oui Charles. dis-je en écartant les jambes, par réflexe.
Il m'embrassa à nouveau, mais de manière brutal, mordant mes lèvres, forçant ma bouche de sa langue puissante, en me faisant passer un maximum de sa salive, ses mains s'amusèrent avec mes tétons, les étirant, les faisant rouler, les pinçant m'arrachant une larme qui tomba sur ma bite, tendu à son maximum. Mon excitation montait vers des sommets rarement atteints.
- Finis ta bière en vitesse, je vais te chercher un collier, puis je te ferai voir la chambre.
.
Il se leva, pris dans le tiroir d'un buffet Henri III, une laisse et un petit collier qu'il fixa sur mes parties, serrant fortement l'attache, me coupant presque la circulation, réduisant d'un coup la taille de mon sexe. "Pour l'instant, tu n'en auras pas besoin de t'en servir, sainte Nitouche" me dit-il, tirant sur la laisse pour m'emmener dans la chambre. Enfin pas vraiment dans chambre, la salle de bains plutôt. Sans doute une petite toilette s'imposait.
Il me fit monter dans baignoire, à 4 pattes et envoya le jet de la douche sur mon corps, les bas mouillées, le sexe rabougri par la fraîcheur de l'eau, je n'en menait pas large quand il me passa une savonette entre les fesses, tirant avec vigeur sur la laisse, mon sexe et ses attributs passèrent derrière. Il prit une serviette, me la tendit et me dit "essuies-toi, ôte tes bas et change toi, il y a des affaires qui devraient t'aller dans le placard. Moi, je suis dans la chambre au bout du couloir, j'ai à faire..."
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