NA Leslie TR 18
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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NA Leslie TR 18
Leslie à Paris – P18 – Les confidences de Laure, Corinne l’initiation continue.
A la maison.
Ainsi durant l’année suivante Corinne à tenue sa promesse, venant le plus souvent possible me voir et s’arrangeant pour que nous nous retrouvions seules pour nous aimer, elle m’a aussi invitée chez elle, quand Pierre n’était pas là, afin de passer ensemble des nuits dans sont lit.
Au côté de Corinne je suis devenue une lesbienne insatiable à la recherche constante du plaisir, je devenais une véritable accroc des plaisirs saphiques et tout naturellement c’est lors d’un week-end chez Corinne qu’elle m’a initiée aux plaisirs saphiques à trois ayant invitée une amie à elle, une lesbienne convaincue n’aimant que les femmes. Ce week-end fut un moment de plaisirs sexuels entre trois femmes, et poursuivant mon éducation lesbienne, Corinne et sa compagne m’ont montrées comment deux femmes pouvaient s’aimer avec des godes, s’enfonçant tour à tour dans leurs orifices des godes aux belles dimensions, Corinne pendant ces instants ne me perdait pas des yeux m’encourageant à me caresser.
C’est lors de ce fameux week-end que j’ai vue pour la première fois deux femmes se sodomiser à l’aide d’un gode ceinture dont elles s’étaient harnachées chacune à leur tour, cette image est restée longtemps gravée dans mon esprit et j’avoue m’être souvent masturbée en y repensant.
Petit à petit, avec Corinne, nous ne prenions pratiquement plus de précautions, elle me demanda de ne plus porter de sous-vêtement et d’être toujours nue sous ma robe, ma jupe ou dans un pantalon, ainsi me dit-elle tu seras prête.
C’est ainsi qu’un jour étant passée à la maison pour prendre des nouvelles, alors que j’étais dans ma chambre, Corinne profitant d’un instant pendant lequel ma mère était au téléphone, me rejoignit, sitôt dans ma chambre elle me poussa contre la porte, releva la jupe sous laquelle évidemment j'étais nue et me fît jouir de ses doigts rapidement.
Très rapidement durant cette année les moments d’absence de Corinne commencèrent à me peser, je supportais de moins en moins de ne pas voir Corinne aussi souvent que je l’aurais désirée, je rêvais d’elle sans cesse en repensant à nos longs moments sexuels passés dans les bras l’une de l’autre, mon corps réclamait des jouissances et mes masturbations solitaires ne me suffisaient plus.
A cette époque je passais beaucoup de temps avec mon amie Sylvie, nous étions très proches et souvent elle me recevait chez elle en petite tenue, juste vêtue d'une petite culotte et d’un tee-shirt moulant sa frêle poitrine.
Plusieurs fois je l’ai vue nue éveillant en moi des désirs et des pulsions saphiques, je regardais Sylvie non plus comme une copine mais comme une amante potentielle avec qui j’aimerais faire l'amour, Corinne avait éveillée en moi des pensées insoupçonnables envers les filles de mon âge et les femmes en général.
Comme j’aurais aimée embrasser Sylvie, la caresser et la gouter, la faire vibrer sous mes caresses et sous ma bouche, mais je n’osais pas redoutant une moquerie ou simplement un refus.
Les garçons ne m’intéressaient pas et je passais des instants de grande solitude.
Durant toute l’année je n’avais plus la tête aux études mais plus aux plaisirs sexuels avec Corinne, je me disais que dès mes dix-huit ans je partirais de la maison pour vivre libre mes désirs saphiques et sexuels.
D’autres vacances avec Corinne.
Aux vacances d’été suivantes, comme l’année passée, je passais mes vacances avec Corinne dans la maison du sud, le jour de notre arrivée nous nous sommes retrouvées dans sa chambre sans même défaire nos bagages empressées de nous aimer.
Installées dans sa chambre Corinne me fît jouir avec ses doigts, puis elle me butina le sexe et le clitoris en m’arrachant des cris de plaisir. Sa langue sur mon clitoris m’électrisait et plusieurs fois de suite je fus emportée par un orgasme fulgurant.
Puis à mon tour j’ai posée ma bouche sur son sexe pour lécher Corinne comme une dingue, nous nous n’étions pas vues depuis près d’un mois et nos corps réclamaient le plaisir, Corinne avait passé ses mains dans mes cheveux et guidait ma bouche vers les endroits intimes où ma langue lui donnait le plaisir, Corinne jouit en m’inondant la bouche de son plaisir et pendant qu’elle jouissait en hurlant de plaisir, je sentais son clitoris tout dur vibrer sous ma langue.
Les jours qui suivirent Corinne me fit découvrir petit à petit le plaisir des pénétrations, d’abord, dès le lendemain et les jours qui suivirent, lorsqu’elle me donnait du plaisir avec sa bouche je sentais un de ses doigts venir caresser mon petit œillet plissé, son doigts caressait le repli de mon anus en tournant autour de mon petit trou et cette caresse me faisait gémir de plaisir, puis les jours suivants le doigt inquisiteur ne resta plus sur le bord de mon intimité, après quelques pressions sur mon petit trou Corinne força le passage pour introduire ce doigt en moi, très vite elle me branla le fion me faisant crier de bonheur. Une semaine plus tard Corinne m’annonça :
- Maintenant tu es prête !
Corinne me dépucelle.
Le lendemain, alors que nous étions en 69 et folles d’excitation et que Corinne sous moi me léchait la vulve elle rentra plusieurs fois son doigt dans mon anus, le tournant et le faisant aller et venir, puis elle me fit découvrir un gode vibrant en me disant :
Ce soir je vais faire de toi une femme.
Corinne, me fit placer sur le dos et me donna toutes les caresses qui me faisaient partir, puis armer de son gode, qu’elle mit en marche de vibrations, elle se mit à me parcourir le corps de la pointe, les vibrations réveillaient en moi de douces sensations, puis le gode descendit le long de mon ventre pour terminer sur ma vulve, je partais et devenais folle tant les sensations étaient fortes, après m’avoir longuement caressée avec son gode tout le pourtour de ma vulve elle le positionna à l’entrée de ma vulve, le contact du gode-vibrant sur mon clitoris m’électrisa et me fit partir dans une folle jouissance c’est l’instant que choisit Corinne pour me le rentrer en moi doucement.
Lentement je sentais cet objet rentré en moi, les vibrations me rendaient folle, puis Corinne arrêta la progression quand elle sentit une légère résistance, elle arrêta les vibrations du gode puis se pencha vers moi et me dit doucement à l’oreille :
- Je t’aime.
C’est à cet instant ou j’entendais Corinne m’avouer son amour qu’elle enfonça entièrement le gode en moi provocant une douleur dans le bas ventre, des larmes perlèrent dans mes yeux, Corinne laissa le gode planté en moi entièrement en me cajolant et en disant :
Voila ma petite chérie, tu es une femme maintenant, je viens de te déflorer et je te remercie de m’avoir donnée ta virginité.
Corinne s’appliquait dans ses caresses pour me rassurer et me consoler, et aussi apaiser la douleur, puis doucement elle fit bouger le gode en moi, lentement pour commencer puis de plus en plus vite, le plaisir fit place à la douleur et je jouis en mouillant les doigts de Corinne de mon plaisir.
Nous nous endormîmes tendrement enlacées, et je soufflais dans l’oreille de Corinne :
- Merci, mon amour.
- Bonne nuit ma chérie, me répondis Corinne, demain nous ferons bien d’autres choses.
Le lendemain et les jours suivants Corinne s’employa à me faire accepter les pénétrations de ses godes en moi, chose aisée pour elle car j’étais plus que consentante à sa plus grande joie.
Quelques jour plus tard Corinne, alors que nous étions entrain de faire l’amour et que mon corps frémissait sous ses caresses me dit :
- Maintenant ma chérie ile est temps que tu découvre encore autre chose !
J’avoue que ses propos me donnèrent des frissons et avaient éveillés en moi de la curiosité.
Elle se leva et se dirigea vers l’armoire de sa chambre et en sortit un gode ceinture de bonne taille, beaucoup plus long que les godes avec lesquels elle me pénétrait depuis maintenant trois jours mais surtout plus épais, l’apparence de ce gode ceinture était très réaliste avec les dessins des veines apparentes et le gland complètement décalotté, hormis qu’il était de couleur noire j’avais l’impression de voir un vrai sexe d’homme. Corinne s’harnachât avec cet instrument en le fixant autour de sa taille et vint vers moi en me disant :
- Ne t’inquiète pas me douce chérie, je vais être douce et tu vas hurler de plaisir.
Elle me fit mettre à quatre pattes sur le lit en me demandant de tenir mes fesses bien relevées.
- Offres-toi ma belle, me dit-elle.
En pensant à ce pal qui allait entrer en moi et à Corinne membrée comme un homme du phallus factice fixé autour de sa taille et décorant son pubis je me mis à mouiller comme une dingue, Corinne s’en aperçut et me dit :
- Eh bien toi t’es ça te fait de l’effet !
Elle positionna le gland du gode à l’entrée de ma vulve, le gland juste positionné entre mes lèvres intimes et me demanda de me détendre, puis doucement d’un mouvement de reins elle commença à me pénétrer, la sensation était folle, je me sentais distendu par le pal qui rentrait en moi me remplissant complètement. Très vite il fut entièrement en moi butant au fond de mes entrailles.
La sensation d’être prise comme par un homme par ma chérie provoquait en moi des bouffées de plaisir, Corinne commença de lents aller et venue ma laissant émettre des :
- Ohhh, ma chérie, oui.
Très vite un premier orgasme monta en moi me tétanisant en me laissant complètement offerte à la pénétration du gode de Corinne, alors elle accéléra ses mouvements. Corinne me pénétrait avec force et vigueur m’emportant dans des jouissances que je ne contrôlais pas jusqu’au moment ou je m’effondrais à plat ventre sur les draps.
Corinne sortit de moi et remonta le gland du gode sur ma petite rosette, je sentis celui-ci s’écarter un peu, mais effrayer je dis à Corinne :
- Non pas par là, ma chérie s’il te plait.
- Laisses-toi faire, me répondit-elle.
- Non je vais avoir mal et tu vas me déchirer.
Corinne se déplaça un peu et prenant un tube dans le tiroir de sa commode elle m’enduisit le trou de gel et déposa une bonne quantité de gel sur le gland du gode et sur toute la longueur de la verge factice.
- Ainsi ça va glisser tout seul, déclara t’elle.
Puis elle se remit en position en redéposant le gland à l’entrée de mon petit trou, je frémis et sentit le gland s’introduire en moi lentement, je criais mais la sensation d’être ainsi possédée ne me déplaisait pas, je me laissais aller et m’ouvrit entièrement à cette pénétration. Corinne me déflora l’anus et me fit l’amour par cette voie pendant un long moment je ne jouis pas cette fois-ci mais ressentit beaucoup de bonheur et de plaisir à offrir cette voie à mon amante.
Lorsqu’elle se retira de moi elle déclara :
- Maintenant tu es prête à rencontrer un homme.
Pendant les dix jours suivants Corinne me fit l’amour avec ce gode démoniaque, me prenant par mes deux trous afin de m’habituer disait-elle, me demandant de le sucer parfois comme si c’était un vari membre d’homme.
Elle m’apprit à me servir du gode ceinture, d’abord à le fixer sur moi et à l’utiliser sur, non plutôt en elle, nous nous sommes pendant ces deux semaines fait jouir mutuellement, nous nous sommes aimer avec un double dong en mous pénétrant simultanément par les mêmes orifices, elle m’a fait porter pendant toute une journée des boules de geisha.
Mon plaisir était total et Corinne en profitait, je lui avouais que je l’aimais et elle me répondait qu’elle aussi m’aimait et elle rajoutait :
- Je t’aime Laure, mais tu sais que je suis bisexuelle et que si j’aime la compagnie des femmes et plus particulièrement la tienne, j’aime aussi les hommes.
- Mais tu es mariée, lui dis-je.
- Tu sais, me dit-elle, avec Pierre nous nous aimons, mais nous avons des relations extras conjugales et même parfois nous avons participés à des soirées échangistes, nous sommes un couple très libre et nous désirons profités de la vie.
A suivre……
A la maison.
Ainsi durant l’année suivante Corinne à tenue sa promesse, venant le plus souvent possible me voir et s’arrangeant pour que nous nous retrouvions seules pour nous aimer, elle m’a aussi invitée chez elle, quand Pierre n’était pas là, afin de passer ensemble des nuits dans sont lit.
Au côté de Corinne je suis devenue une lesbienne insatiable à la recherche constante du plaisir, je devenais une véritable accroc des plaisirs saphiques et tout naturellement c’est lors d’un week-end chez Corinne qu’elle m’a initiée aux plaisirs saphiques à trois ayant invitée une amie à elle, une lesbienne convaincue n’aimant que les femmes. Ce week-end fut un moment de plaisirs sexuels entre trois femmes, et poursuivant mon éducation lesbienne, Corinne et sa compagne m’ont montrées comment deux femmes pouvaient s’aimer avec des godes, s’enfonçant tour à tour dans leurs orifices des godes aux belles dimensions, Corinne pendant ces instants ne me perdait pas des yeux m’encourageant à me caresser.
C’est lors de ce fameux week-end que j’ai vue pour la première fois deux femmes se sodomiser à l’aide d’un gode ceinture dont elles s’étaient harnachées chacune à leur tour, cette image est restée longtemps gravée dans mon esprit et j’avoue m’être souvent masturbée en y repensant.
Petit à petit, avec Corinne, nous ne prenions pratiquement plus de précautions, elle me demanda de ne plus porter de sous-vêtement et d’être toujours nue sous ma robe, ma jupe ou dans un pantalon, ainsi me dit-elle tu seras prête.
C’est ainsi qu’un jour étant passée à la maison pour prendre des nouvelles, alors que j’étais dans ma chambre, Corinne profitant d’un instant pendant lequel ma mère était au téléphone, me rejoignit, sitôt dans ma chambre elle me poussa contre la porte, releva la jupe sous laquelle évidemment j'étais nue et me fît jouir de ses doigts rapidement.
Très rapidement durant cette année les moments d’absence de Corinne commencèrent à me peser, je supportais de moins en moins de ne pas voir Corinne aussi souvent que je l’aurais désirée, je rêvais d’elle sans cesse en repensant à nos longs moments sexuels passés dans les bras l’une de l’autre, mon corps réclamait des jouissances et mes masturbations solitaires ne me suffisaient plus.
A cette époque je passais beaucoup de temps avec mon amie Sylvie, nous étions très proches et souvent elle me recevait chez elle en petite tenue, juste vêtue d'une petite culotte et d’un tee-shirt moulant sa frêle poitrine.
Plusieurs fois je l’ai vue nue éveillant en moi des désirs et des pulsions saphiques, je regardais Sylvie non plus comme une copine mais comme une amante potentielle avec qui j’aimerais faire l'amour, Corinne avait éveillée en moi des pensées insoupçonnables envers les filles de mon âge et les femmes en général.
Comme j’aurais aimée embrasser Sylvie, la caresser et la gouter, la faire vibrer sous mes caresses et sous ma bouche, mais je n’osais pas redoutant une moquerie ou simplement un refus.
Les garçons ne m’intéressaient pas et je passais des instants de grande solitude.
Durant toute l’année je n’avais plus la tête aux études mais plus aux plaisirs sexuels avec Corinne, je me disais que dès mes dix-huit ans je partirais de la maison pour vivre libre mes désirs saphiques et sexuels.
D’autres vacances avec Corinne.
Aux vacances d’été suivantes, comme l’année passée, je passais mes vacances avec Corinne dans la maison du sud, le jour de notre arrivée nous nous sommes retrouvées dans sa chambre sans même défaire nos bagages empressées de nous aimer.
Installées dans sa chambre Corinne me fît jouir avec ses doigts, puis elle me butina le sexe et le clitoris en m’arrachant des cris de plaisir. Sa langue sur mon clitoris m’électrisait et plusieurs fois de suite je fus emportée par un orgasme fulgurant.
Puis à mon tour j’ai posée ma bouche sur son sexe pour lécher Corinne comme une dingue, nous nous n’étions pas vues depuis près d’un mois et nos corps réclamaient le plaisir, Corinne avait passé ses mains dans mes cheveux et guidait ma bouche vers les endroits intimes où ma langue lui donnait le plaisir, Corinne jouit en m’inondant la bouche de son plaisir et pendant qu’elle jouissait en hurlant de plaisir, je sentais son clitoris tout dur vibrer sous ma langue.
Les jours qui suivirent Corinne me fit découvrir petit à petit le plaisir des pénétrations, d’abord, dès le lendemain et les jours qui suivirent, lorsqu’elle me donnait du plaisir avec sa bouche je sentais un de ses doigts venir caresser mon petit œillet plissé, son doigts caressait le repli de mon anus en tournant autour de mon petit trou et cette caresse me faisait gémir de plaisir, puis les jours suivants le doigt inquisiteur ne resta plus sur le bord de mon intimité, après quelques pressions sur mon petit trou Corinne força le passage pour introduire ce doigt en moi, très vite elle me branla le fion me faisant crier de bonheur. Une semaine plus tard Corinne m’annonça :
- Maintenant tu es prête !
Corinne me dépucelle.
Le lendemain, alors que nous étions en 69 et folles d’excitation et que Corinne sous moi me léchait la vulve elle rentra plusieurs fois son doigt dans mon anus, le tournant et le faisant aller et venir, puis elle me fit découvrir un gode vibrant en me disant :
Ce soir je vais faire de toi une femme.
Corinne, me fit placer sur le dos et me donna toutes les caresses qui me faisaient partir, puis armer de son gode, qu’elle mit en marche de vibrations, elle se mit à me parcourir le corps de la pointe, les vibrations réveillaient en moi de douces sensations, puis le gode descendit le long de mon ventre pour terminer sur ma vulve, je partais et devenais folle tant les sensations étaient fortes, après m’avoir longuement caressée avec son gode tout le pourtour de ma vulve elle le positionna à l’entrée de ma vulve, le contact du gode-vibrant sur mon clitoris m’électrisa et me fit partir dans une folle jouissance c’est l’instant que choisit Corinne pour me le rentrer en moi doucement.
Lentement je sentais cet objet rentré en moi, les vibrations me rendaient folle, puis Corinne arrêta la progression quand elle sentit une légère résistance, elle arrêta les vibrations du gode puis se pencha vers moi et me dit doucement à l’oreille :
- Je t’aime.
C’est à cet instant ou j’entendais Corinne m’avouer son amour qu’elle enfonça entièrement le gode en moi provocant une douleur dans le bas ventre, des larmes perlèrent dans mes yeux, Corinne laissa le gode planté en moi entièrement en me cajolant et en disant :
Voila ma petite chérie, tu es une femme maintenant, je viens de te déflorer et je te remercie de m’avoir donnée ta virginité.
Corinne s’appliquait dans ses caresses pour me rassurer et me consoler, et aussi apaiser la douleur, puis doucement elle fit bouger le gode en moi, lentement pour commencer puis de plus en plus vite, le plaisir fit place à la douleur et je jouis en mouillant les doigts de Corinne de mon plaisir.
Nous nous endormîmes tendrement enlacées, et je soufflais dans l’oreille de Corinne :
- Merci, mon amour.
- Bonne nuit ma chérie, me répondis Corinne, demain nous ferons bien d’autres choses.
Le lendemain et les jours suivants Corinne s’employa à me faire accepter les pénétrations de ses godes en moi, chose aisée pour elle car j’étais plus que consentante à sa plus grande joie.
Quelques jour plus tard Corinne, alors que nous étions entrain de faire l’amour et que mon corps frémissait sous ses caresses me dit :
- Maintenant ma chérie ile est temps que tu découvre encore autre chose !
J’avoue que ses propos me donnèrent des frissons et avaient éveillés en moi de la curiosité.
Elle se leva et se dirigea vers l’armoire de sa chambre et en sortit un gode ceinture de bonne taille, beaucoup plus long que les godes avec lesquels elle me pénétrait depuis maintenant trois jours mais surtout plus épais, l’apparence de ce gode ceinture était très réaliste avec les dessins des veines apparentes et le gland complètement décalotté, hormis qu’il était de couleur noire j’avais l’impression de voir un vrai sexe d’homme. Corinne s’harnachât avec cet instrument en le fixant autour de sa taille et vint vers moi en me disant :
- Ne t’inquiète pas me douce chérie, je vais être douce et tu vas hurler de plaisir.
Elle me fit mettre à quatre pattes sur le lit en me demandant de tenir mes fesses bien relevées.
- Offres-toi ma belle, me dit-elle.
En pensant à ce pal qui allait entrer en moi et à Corinne membrée comme un homme du phallus factice fixé autour de sa taille et décorant son pubis je me mis à mouiller comme une dingue, Corinne s’en aperçut et me dit :
- Eh bien toi t’es ça te fait de l’effet !
Elle positionna le gland du gode à l’entrée de ma vulve, le gland juste positionné entre mes lèvres intimes et me demanda de me détendre, puis doucement d’un mouvement de reins elle commença à me pénétrer, la sensation était folle, je me sentais distendu par le pal qui rentrait en moi me remplissant complètement. Très vite il fut entièrement en moi butant au fond de mes entrailles.
La sensation d’être prise comme par un homme par ma chérie provoquait en moi des bouffées de plaisir, Corinne commença de lents aller et venue ma laissant émettre des :
- Ohhh, ma chérie, oui.
Très vite un premier orgasme monta en moi me tétanisant en me laissant complètement offerte à la pénétration du gode de Corinne, alors elle accéléra ses mouvements. Corinne me pénétrait avec force et vigueur m’emportant dans des jouissances que je ne contrôlais pas jusqu’au moment ou je m’effondrais à plat ventre sur les draps.
Corinne sortit de moi et remonta le gland du gode sur ma petite rosette, je sentis celui-ci s’écarter un peu, mais effrayer je dis à Corinne :
- Non pas par là, ma chérie s’il te plait.
- Laisses-toi faire, me répondit-elle.
- Non je vais avoir mal et tu vas me déchirer.
Corinne se déplaça un peu et prenant un tube dans le tiroir de sa commode elle m’enduisit le trou de gel et déposa une bonne quantité de gel sur le gland du gode et sur toute la longueur de la verge factice.
- Ainsi ça va glisser tout seul, déclara t’elle.
Puis elle se remit en position en redéposant le gland à l’entrée de mon petit trou, je frémis et sentit le gland s’introduire en moi lentement, je criais mais la sensation d’être ainsi possédée ne me déplaisait pas, je me laissais aller et m’ouvrit entièrement à cette pénétration. Corinne me déflora l’anus et me fit l’amour par cette voie pendant un long moment je ne jouis pas cette fois-ci mais ressentit beaucoup de bonheur et de plaisir à offrir cette voie à mon amante.
Lorsqu’elle se retira de moi elle déclara :
- Maintenant tu es prête à rencontrer un homme.
Pendant les dix jours suivants Corinne me fit l’amour avec ce gode démoniaque, me prenant par mes deux trous afin de m’habituer disait-elle, me demandant de le sucer parfois comme si c’était un vari membre d’homme.
Elle m’apprit à me servir du gode ceinture, d’abord à le fixer sur moi et à l’utiliser sur, non plutôt en elle, nous nous sommes pendant ces deux semaines fait jouir mutuellement, nous nous sommes aimer avec un double dong en mous pénétrant simultanément par les mêmes orifices, elle m’a fait porter pendant toute une journée des boules de geisha.
Mon plaisir était total et Corinne en profitait, je lui avouais que je l’aimais et elle me répondait qu’elle aussi m’aimait et elle rajoutait :
- Je t’aime Laure, mais tu sais que je suis bisexuelle et que si j’aime la compagnie des femmes et plus particulièrement la tienne, j’aime aussi les hommes.
- Mais tu es mariée, lui dis-je.
- Tu sais, me dit-elle, avec Pierre nous nous aimons, mais nous avons des relations extras conjugales et même parfois nous avons participés à des soirées échangistes, nous sommes un couple très libre et nous désirons profités de la vie.
A suivre……
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