NA Leslie TR 38
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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NA Leslie TR 38
Leslie à Paris – P38 - Les confidences de Laure, sacrée Diane.
Lorsque Diane est rentrée, après mon après-midi entre Pierre et Armand, elle m’à trouvée nue allongée dans un transat au bord de la piscine et elle m’a regardée d’un drôle d’air, mais sans rien me dire elle a déposée un paquet près de moi en disant :
- Cadeau pour toi !
Puis elle a disparue pour aller prendre une douche avant de diner.
Comme il fallait que je passe aussi sous la douche et m’habiller je me suis levée pour aller rejoindre Diane dans sa chambre. Elle était entrain de se mettre nue pour passer sous la douche et je me suis approchée pour lui donner un baiser, Diane m’a juste demandée avant de m’embrasser :
- C’était bien cet après-midi ?
- Heu, que veux tu dires par là, lui dis-je en bredouillant.
- Avec mon père, ne fais pas l’idiote est-ce que s’était bien.
- Oui c’était bien, dis-je doucement.
- Avec mon oncle aussi comme d’habitude je suis sûre.
- Oui Diane.
- Allez Laure chérie embrasse moi ce soir je vais soigner ton petit trou qui doit avoir souffert.
- Oh que oui.
Allez maintenant ouvre ton cadeau pendant que je prends ma douche, après nous parlerons, puis Diane s’éclipse dans la salle de bains après avoir déposée un baiser sur mes lèvres.
J’ouvre le cadeau de Diane et découvre dans un écrin un objet insolite, il s’agit d’un œuf vibrant je pense car il y a aussi une télécommande, de la taille d’une cartes de crédit, sur la boîte il est écrit « Abandon or ». L’œuf fait 6 cm de longueur et 3,5 cm de diamètre il est noir et est munit d’un cordon.
Je vais rejoindre Diane sous la souche qui devait m’attendre puisque la porte n’était fermée à clé, je rentre et nous enferme, puis je me glisse sous la douche où Diane m’accueille en me disant :
- Alors ça te plait ?
- Oui beaucoup et en plus c’est très beau.
- Ainsi tu pourras le porter qu’en je ne serais pas là et ainsi tu n’auras plus à subir les assauts de mon père et de mon oncle.
- Tu sais Diane ce n’est pas pareil.
- Je sais mais au moins j’aurais essayée de te dire de ne pas y retourner.
Nous nous caressons sous la douche en nous embrassant, c’est bon d’être caressée par Diane, ses mains parcourent mon corps et je suis heureuse, Diane passe ses mains sur mes fesses et un doigt caresse mon anus, Diane me dit :
- Mais tu es encore entrouverte du cul ma chérie.
- Oui encore un peu, dis-je.
- Tu as aimée au moins, me demande Daine.
- Oh oui, j’ai beaucoup jouis.
- Alors il va en redemander, me dit Diane.
- Je verrais, mais pour le moment c’est avec toi que je suis.
Nous sortons de la douche et rejoignons la chambre enveloppées de nos serviettes de bain.
Dans la chambre, tandis que je me sèche les cheveux Diane me dit ;
- Tu vas mettre ton cadeau ce soir pour Diner mais c’est moi qui aurait la télécommande et comme elle porte à 20 mètres je pourrais le faire vibrer en toi selon mes désirs, ainsi ce sera ma revanche pour m’avoir trompée cet après-midi.
Diane attends me tendant la boite du cadeau, alors je prends l’œuf et le place au fond de ma vulve, Diane en profite pour aussitôt le faire vibrer ce qui me fait sursauter surprise.
La sensation est délicieuse et Diane le voit sur mon visage, je pense qu’elle va en abuser, puis elle me dit :
Tu sais je pourrais te demander aussi de te le mettre dans le cul !
Nous habillons tranquillement et sortons pour aller diner, Diane à exigée que je ne porte pas de sous vêtements alors c’est cul nul sous ma robe et seins libre sous le tee-shirt que nous allons rejoindre Armand et Claire.
Armand déclare que nous sortons diner au petit restaurant voisin pour mieux profiter de la soirée et comme le restaurant est à deux cent mètres pourquoi s’en priver.
Nous marchons côte à côte avec Diane, elle me tient d’une main par la taille, au moment ou elle me serre un peu plus contre elle je sens l’œuf se mettre à vibrer en moi me faisant sursauter et pousser un petit gémissement, Daine me dit :
- Alors ça te plait.
- Oui beaucoup.
Diane arrête l’œuf et la tension dans mon corps redescend un peu, néanmoins les quelques instants que Daine à laisser vibrer l’œuf m’ont mis dans un drôle d’état, je sens que je vais passer une soirée particulière soumise aux désirs de Diane et de son cadeau.
Devant nous les parents de Diane sont arrivés devant le restaurant et nous attendent, Armand ne peux s’empêcher de faire une réflexion :
- Alors les amoureuses toujours à vos secrets, j’espère que t’es pas jalouse ma fille.
Armand fait ouvertement allusion à l’après-midi mais Diane ne se laisse pas démonter et réplique :
- Tu le sais que je ne suis pas jalouse et de toute façon Laure est libre.
Nous rentrons au restaurant et un serveur nous place à une table dans un coin un peu retiré, il n’y a pas grand monde et après s’être installés nous commandons.
Au moment de l’apéritif juste à l’instant de trinquer Diane vicieusement met l’œuf en route, les vibrations et les sensations qu’elles me procurent me font pousser un petit cri. Armand et Claire me demandent ce qui se passe et leur réponds que tout va bien.
Pendant l’apéritif Diane s’amuse discrètement avec la télécommande en faisant varier les vitesses de vibration de l’œuf, cela me procure des bouffées terribles, Diane laisse un long moment les vibrations intenses et je commence à manquer de souffle prise d’un début de jouissance et c’est avec beaucoup de mal que je garde un certain sérieux.
Diane durant tout le repas me fera subir sa volonté sous les yeux étonnés de ses parents, jusqu’au moment du dessert car depuis un long moment je subis les vibrations les plus intenses et je n’en peu plus, je me sens trempée et ruisselante de plaisir, mes désirs sont à leur comble et je gémis doucement sans pouvoir me retenir.
Armand et Claire se regardent ne comprenant pas ce qui se passe et Diane leur dit :
- Laure est spéciale elle aime avoir du plaisir constamment je suis certaine qu’elle à encore mis des objets en elle.
- T’as vraiment trouvée une jolie vicieuse, dit Claire.
- Oui et cela m’étonnerais pas qu’elle jouisse là à table devant nous.
Diane est démoniaque et je jouis sous les effets des vibrations devant ses parents.
- Maintenant dis-moi merci, me demande Diane.
- Merci chérie, lui dis-je.
Le repas se termine et nous rentrons nous coucher, enfin Diane me fait encore jouir avec l’œuf avant de me retirer et de me prendre la chatte et l’anus avec un gode ceinture, j’ai hurler mon plaisir, puis Diane devant moi s’est doigter pour se faire jouir et nous nous sommes endormies.
Le lendemain je me réveille fort tard et Diane est partie pour aller chez le coiffeur, je me lève et enfile un peignoir et vais prendre une douche, puis revêtue de mon seul peignoir je vais prendre mon petit déjeuner.
Dans la maison aucun bruit, peut-être qu’ils sont tous sortis et que je suis seule, mais peu de temps après Claire entra dans la cuisine en me disant :
- Bonjour Laure, bien dormie dans les bras de ma fille ?
- Oh que oui Claire, dis-je.
Je terminais mon petit déjeuner et avait hâte de me retrouver dans la chambre et lire tranquillement mais je sentais que Claire ne le voyait pas ainsi car elle continua en disant :
- Ma fille est-elle une bonne amante ?
- C’est la fille la plus sexe de ma vie, dis-je sur un ton provocateur.
- Que sais-tu des lesbiennes, tu es bien jeune pour parler de la sorte.
Claire commençait à m’énerver, et j’ai continuée à provoquer.
- Jeune certes mais j’ai eue beaucoup de filles dans mes bras et toutes ont jouis et en ont redemandées.
- Et tu crois que ce serait mon cas.
- Je ne sais pas, je n’ai pas encore été avec toi.
Je me suis levée énervée, Diane avait raison ses parents étaient de sacrés vicieux, en me levant mon peignoir s’ouvrit sur ma nudité aux yeux de Claire, profitant de la situation elle prit mes seins en les malaxant et en pinçant les bouts, je lui demandais d'arrêter.
Claire m'ouvrit le peignoir en grand et le laissa tomber à mes pieds.
Maintenant elle jouait mes tétons qui durcissaient, mais je sentis aussi que ma chatte s'humidifiait.
Claire tout en continuant à m’exciter, m’avait plaquée contre le bord de la table et commença à se dénuder et se plaça entre mes jambes. Puis elle commença à jouer avec mon clitoris en disant :
- T’es une petite gouine qui mouille bien.
Puis elle introduit un doigt dans mon anus.
- Non pas ça Claire, dis-je dans un murmure.
- Tais toi salope, c’est ce que t’as dit à Armand avant qu’il t’encule ?
Elle continuait à jouer avec mon anus en disant :
- Hein tu ne réponds pas il t’a bien enculé Armand ?
Claire ne me laissa pas le temps de répondre, posant ses lèvres sur les miennes elle m'embrassa goulûment tout en me bloquant contre la table, je ne pouvais pas bouger et Claire profitait de la situation pour me doigter l’anus.
- Tu sais Laure que depuis que tu es arrivée j’ai envie de toi.
C'est vrai que Claire avait du charme avec sa poitrine et son pubis rasé, elle était très désirable et pourquoi ne pas ma laisser aller et profiter du moment.
Claire à sentie que je me devenais consentante et elle m’a emmenée dans sa chambre où elle m’a couchée sur le lit, les cuisses largement ouvertes pour continuer de me doigter, puis jugeant que j’étais prête elle s’est levée pour ouvrir l’armoire et j’ai découvert tout un arsenal: des godemichés à ceinture, une paire de menotte, une paire de pince à sein sans fil, des plugs anaux et des godes et des habits pour toutes sortes de circonstances.
- Je vais bien m’occuper de toi me dit-elle.
Elle m’attacha les mains et les pieds avec des menottes aux montants du lit en m’ayant auparavant fait mettre sur le ventre, je mouillais de plus en plus et sentais que le montait en moi.
Elle s'approcha de moi et me dit
- Tu aimes cela salope, être attachée ainsi.
Je n’ai rien répondue attendant la suite.
- Je sais que tu aimes, tu es toute humide.
Claire s'attacha le gode sur elle et me l'enfourna dans la bouche en disant :
- Suces le bien car après je fais te pénétrer avec.
Puis elle m’enfourcha et m'enfourna le gode dans ma chatte toute trempée, sous les assauts de Claire je commençais à jouir, elle allait de plus en plus vite et ma respiration était saccadée.
Les jouissances en moi se succédaient, quand un orgasme violent vint me foudroyer.
Claire se pencha sur moi pour m'embrasser et me dit :
- C’est ainsi que je les fais jouir les petites salopes avant de les enculer.
Elle me posa le gode à l’entrée de ma rondelle et m’encula d’un coup me faisant hurler, Claire m’encula pendant vingt minutes sans me laisser souffler et quand Armand rentra dans la chambre il nous trouva ainsi moi allongée sur le ventre entravée au lit par des menottes et Claire m’enculant avec un gode-ceinture.
- Encule cette salope, lui dit Claire en se retirant de moi.
Armand ne se fit pas prier, il se déshabilla rapidement, Claire le fit bander en le prenant dans sa bouche et dès qu’il arbora une belle érection il me prit d'un coup en s'enfonçant jusqu'à la garde dans mon cul.
Je criais de douleur et de surprise, mon trou ayant déjà oublié la grosseur du sexe d’Armand et plus épais que le gode de Claire, mais la jouissance s’annonça par la suite.
Il allait de plus en plus vite dans mon cul qu'il claquait de temps à autre en me disant :
- Tu aimes salope.
- Armand je peux te dire qu'elle aime lui disait Claire.
- Détaches la qu’elle s’offre mieux à moi, dit Armand à Claire.
- Ok, lui dit Claire.
Claire me détacha et Armand me fit mettre en levrette en me cambrant au maximum et il réinvestit mes entrailles de son sexe en l’enfonçant de toute sa longueur puis s’immobilisa. Je ne comprit pas tout de suite pourquoi mais je sentais Armand dans mon dos bouger légèrement et je compris ce qui se passait quand Armand dit :
- Oui mets en sur mon trou avant de m’enculer.
Claire allait sodomiser Armand, ce qui fut fait dans l’instant suivant quand Claire rentra le gode en Armand celui-ci se raidit un peu m’enfonçant encore plus son membre en moi.
Armand me prit par les cheveux pour que je lui offre mieux mon cul en me cambrant et en offrant mes nichons qui étaient bien malaxés par ma Claire qui sodomisait son homme à grands coups de reins.
Deux minutes plus tard ce dernier n'en pouvant plus jouis en m'envoyant son sperme chaud au fond de mon cul.
Je m'effondrais sur le lit dans un état second en entendant Armand dire :
- Diane doit bien s’amuser avec cette jolie pouliche.
A suivre……
Lorsque Diane est rentrée, après mon après-midi entre Pierre et Armand, elle m’à trouvée nue allongée dans un transat au bord de la piscine et elle m’a regardée d’un drôle d’air, mais sans rien me dire elle a déposée un paquet près de moi en disant :
- Cadeau pour toi !
Puis elle a disparue pour aller prendre une douche avant de diner.
Comme il fallait que je passe aussi sous la douche et m’habiller je me suis levée pour aller rejoindre Diane dans sa chambre. Elle était entrain de se mettre nue pour passer sous la douche et je me suis approchée pour lui donner un baiser, Diane m’a juste demandée avant de m’embrasser :
- C’était bien cet après-midi ?
- Heu, que veux tu dires par là, lui dis-je en bredouillant.
- Avec mon père, ne fais pas l’idiote est-ce que s’était bien.
- Oui c’était bien, dis-je doucement.
- Avec mon oncle aussi comme d’habitude je suis sûre.
- Oui Diane.
- Allez Laure chérie embrasse moi ce soir je vais soigner ton petit trou qui doit avoir souffert.
- Oh que oui.
Allez maintenant ouvre ton cadeau pendant que je prends ma douche, après nous parlerons, puis Diane s’éclipse dans la salle de bains après avoir déposée un baiser sur mes lèvres.
J’ouvre le cadeau de Diane et découvre dans un écrin un objet insolite, il s’agit d’un œuf vibrant je pense car il y a aussi une télécommande, de la taille d’une cartes de crédit, sur la boîte il est écrit « Abandon or ». L’œuf fait 6 cm de longueur et 3,5 cm de diamètre il est noir et est munit d’un cordon.
Je vais rejoindre Diane sous la souche qui devait m’attendre puisque la porte n’était fermée à clé, je rentre et nous enferme, puis je me glisse sous la douche où Diane m’accueille en me disant :
- Alors ça te plait ?
- Oui beaucoup et en plus c’est très beau.
- Ainsi tu pourras le porter qu’en je ne serais pas là et ainsi tu n’auras plus à subir les assauts de mon père et de mon oncle.
- Tu sais Diane ce n’est pas pareil.
- Je sais mais au moins j’aurais essayée de te dire de ne pas y retourner.
Nous nous caressons sous la douche en nous embrassant, c’est bon d’être caressée par Diane, ses mains parcourent mon corps et je suis heureuse, Diane passe ses mains sur mes fesses et un doigt caresse mon anus, Diane me dit :
- Mais tu es encore entrouverte du cul ma chérie.
- Oui encore un peu, dis-je.
- Tu as aimée au moins, me demande Daine.
- Oh oui, j’ai beaucoup jouis.
- Alors il va en redemander, me dit Diane.
- Je verrais, mais pour le moment c’est avec toi que je suis.
Nous sortons de la douche et rejoignons la chambre enveloppées de nos serviettes de bain.
Dans la chambre, tandis que je me sèche les cheveux Diane me dit ;
- Tu vas mettre ton cadeau ce soir pour Diner mais c’est moi qui aurait la télécommande et comme elle porte à 20 mètres je pourrais le faire vibrer en toi selon mes désirs, ainsi ce sera ma revanche pour m’avoir trompée cet après-midi.
Diane attends me tendant la boite du cadeau, alors je prends l’œuf et le place au fond de ma vulve, Diane en profite pour aussitôt le faire vibrer ce qui me fait sursauter surprise.
La sensation est délicieuse et Diane le voit sur mon visage, je pense qu’elle va en abuser, puis elle me dit :
Tu sais je pourrais te demander aussi de te le mettre dans le cul !
Nous habillons tranquillement et sortons pour aller diner, Diane à exigée que je ne porte pas de sous vêtements alors c’est cul nul sous ma robe et seins libre sous le tee-shirt que nous allons rejoindre Armand et Claire.
Armand déclare que nous sortons diner au petit restaurant voisin pour mieux profiter de la soirée et comme le restaurant est à deux cent mètres pourquoi s’en priver.
Nous marchons côte à côte avec Diane, elle me tient d’une main par la taille, au moment ou elle me serre un peu plus contre elle je sens l’œuf se mettre à vibrer en moi me faisant sursauter et pousser un petit gémissement, Daine me dit :
- Alors ça te plait.
- Oui beaucoup.
Diane arrête l’œuf et la tension dans mon corps redescend un peu, néanmoins les quelques instants que Daine à laisser vibrer l’œuf m’ont mis dans un drôle d’état, je sens que je vais passer une soirée particulière soumise aux désirs de Diane et de son cadeau.
Devant nous les parents de Diane sont arrivés devant le restaurant et nous attendent, Armand ne peux s’empêcher de faire une réflexion :
- Alors les amoureuses toujours à vos secrets, j’espère que t’es pas jalouse ma fille.
Armand fait ouvertement allusion à l’après-midi mais Diane ne se laisse pas démonter et réplique :
- Tu le sais que je ne suis pas jalouse et de toute façon Laure est libre.
Nous rentrons au restaurant et un serveur nous place à une table dans un coin un peu retiré, il n’y a pas grand monde et après s’être installés nous commandons.
Au moment de l’apéritif juste à l’instant de trinquer Diane vicieusement met l’œuf en route, les vibrations et les sensations qu’elles me procurent me font pousser un petit cri. Armand et Claire me demandent ce qui se passe et leur réponds que tout va bien.
Pendant l’apéritif Diane s’amuse discrètement avec la télécommande en faisant varier les vitesses de vibration de l’œuf, cela me procure des bouffées terribles, Diane laisse un long moment les vibrations intenses et je commence à manquer de souffle prise d’un début de jouissance et c’est avec beaucoup de mal que je garde un certain sérieux.
Diane durant tout le repas me fera subir sa volonté sous les yeux étonnés de ses parents, jusqu’au moment du dessert car depuis un long moment je subis les vibrations les plus intenses et je n’en peu plus, je me sens trempée et ruisselante de plaisir, mes désirs sont à leur comble et je gémis doucement sans pouvoir me retenir.
Armand et Claire se regardent ne comprenant pas ce qui se passe et Diane leur dit :
- Laure est spéciale elle aime avoir du plaisir constamment je suis certaine qu’elle à encore mis des objets en elle.
- T’as vraiment trouvée une jolie vicieuse, dit Claire.
- Oui et cela m’étonnerais pas qu’elle jouisse là à table devant nous.
Diane est démoniaque et je jouis sous les effets des vibrations devant ses parents.
- Maintenant dis-moi merci, me demande Diane.
- Merci chérie, lui dis-je.
Le repas se termine et nous rentrons nous coucher, enfin Diane me fait encore jouir avec l’œuf avant de me retirer et de me prendre la chatte et l’anus avec un gode ceinture, j’ai hurler mon plaisir, puis Diane devant moi s’est doigter pour se faire jouir et nous nous sommes endormies.
Le lendemain je me réveille fort tard et Diane est partie pour aller chez le coiffeur, je me lève et enfile un peignoir et vais prendre une douche, puis revêtue de mon seul peignoir je vais prendre mon petit déjeuner.
Dans la maison aucun bruit, peut-être qu’ils sont tous sortis et que je suis seule, mais peu de temps après Claire entra dans la cuisine en me disant :
- Bonjour Laure, bien dormie dans les bras de ma fille ?
- Oh que oui Claire, dis-je.
Je terminais mon petit déjeuner et avait hâte de me retrouver dans la chambre et lire tranquillement mais je sentais que Claire ne le voyait pas ainsi car elle continua en disant :
- Ma fille est-elle une bonne amante ?
- C’est la fille la plus sexe de ma vie, dis-je sur un ton provocateur.
- Que sais-tu des lesbiennes, tu es bien jeune pour parler de la sorte.
Claire commençait à m’énerver, et j’ai continuée à provoquer.
- Jeune certes mais j’ai eue beaucoup de filles dans mes bras et toutes ont jouis et en ont redemandées.
- Et tu crois que ce serait mon cas.
- Je ne sais pas, je n’ai pas encore été avec toi.
Je me suis levée énervée, Diane avait raison ses parents étaient de sacrés vicieux, en me levant mon peignoir s’ouvrit sur ma nudité aux yeux de Claire, profitant de la situation elle prit mes seins en les malaxant et en pinçant les bouts, je lui demandais d'arrêter.
Claire m'ouvrit le peignoir en grand et le laissa tomber à mes pieds.
Maintenant elle jouait mes tétons qui durcissaient, mais je sentis aussi que ma chatte s'humidifiait.
Claire tout en continuant à m’exciter, m’avait plaquée contre le bord de la table et commença à se dénuder et se plaça entre mes jambes. Puis elle commença à jouer avec mon clitoris en disant :
- T’es une petite gouine qui mouille bien.
Puis elle introduit un doigt dans mon anus.
- Non pas ça Claire, dis-je dans un murmure.
- Tais toi salope, c’est ce que t’as dit à Armand avant qu’il t’encule ?
Elle continuait à jouer avec mon anus en disant :
- Hein tu ne réponds pas il t’a bien enculé Armand ?
Claire ne me laissa pas le temps de répondre, posant ses lèvres sur les miennes elle m'embrassa goulûment tout en me bloquant contre la table, je ne pouvais pas bouger et Claire profitait de la situation pour me doigter l’anus.
- Tu sais Laure que depuis que tu es arrivée j’ai envie de toi.
C'est vrai que Claire avait du charme avec sa poitrine et son pubis rasé, elle était très désirable et pourquoi ne pas ma laisser aller et profiter du moment.
Claire à sentie que je me devenais consentante et elle m’a emmenée dans sa chambre où elle m’a couchée sur le lit, les cuisses largement ouvertes pour continuer de me doigter, puis jugeant que j’étais prête elle s’est levée pour ouvrir l’armoire et j’ai découvert tout un arsenal: des godemichés à ceinture, une paire de menotte, une paire de pince à sein sans fil, des plugs anaux et des godes et des habits pour toutes sortes de circonstances.
- Je vais bien m’occuper de toi me dit-elle.
Elle m’attacha les mains et les pieds avec des menottes aux montants du lit en m’ayant auparavant fait mettre sur le ventre, je mouillais de plus en plus et sentais que le montait en moi.
Elle s'approcha de moi et me dit
- Tu aimes cela salope, être attachée ainsi.
Je n’ai rien répondue attendant la suite.
- Je sais que tu aimes, tu es toute humide.
Claire s'attacha le gode sur elle et me l'enfourna dans la bouche en disant :
- Suces le bien car après je fais te pénétrer avec.
Puis elle m’enfourcha et m'enfourna le gode dans ma chatte toute trempée, sous les assauts de Claire je commençais à jouir, elle allait de plus en plus vite et ma respiration était saccadée.
Les jouissances en moi se succédaient, quand un orgasme violent vint me foudroyer.
Claire se pencha sur moi pour m'embrasser et me dit :
- C’est ainsi que je les fais jouir les petites salopes avant de les enculer.
Elle me posa le gode à l’entrée de ma rondelle et m’encula d’un coup me faisant hurler, Claire m’encula pendant vingt minutes sans me laisser souffler et quand Armand rentra dans la chambre il nous trouva ainsi moi allongée sur le ventre entravée au lit par des menottes et Claire m’enculant avec un gode-ceinture.
- Encule cette salope, lui dit Claire en se retirant de moi.
Armand ne se fit pas prier, il se déshabilla rapidement, Claire le fit bander en le prenant dans sa bouche et dès qu’il arbora une belle érection il me prit d'un coup en s'enfonçant jusqu'à la garde dans mon cul.
Je criais de douleur et de surprise, mon trou ayant déjà oublié la grosseur du sexe d’Armand et plus épais que le gode de Claire, mais la jouissance s’annonça par la suite.
Il allait de plus en plus vite dans mon cul qu'il claquait de temps à autre en me disant :
- Tu aimes salope.
- Armand je peux te dire qu'elle aime lui disait Claire.
- Détaches la qu’elle s’offre mieux à moi, dit Armand à Claire.
- Ok, lui dit Claire.
Claire me détacha et Armand me fit mettre en levrette en me cambrant au maximum et il réinvestit mes entrailles de son sexe en l’enfonçant de toute sa longueur puis s’immobilisa. Je ne comprit pas tout de suite pourquoi mais je sentais Armand dans mon dos bouger légèrement et je compris ce qui se passait quand Armand dit :
- Oui mets en sur mon trou avant de m’enculer.
Claire allait sodomiser Armand, ce qui fut fait dans l’instant suivant quand Claire rentra le gode en Armand celui-ci se raidit un peu m’enfonçant encore plus son membre en moi.
Armand me prit par les cheveux pour que je lui offre mieux mon cul en me cambrant et en offrant mes nichons qui étaient bien malaxés par ma Claire qui sodomisait son homme à grands coups de reins.
Deux minutes plus tard ce dernier n'en pouvant plus jouis en m'envoyant son sperme chaud au fond de mon cul.
Je m'effondrais sur le lit dans un état second en entendant Armand dire :
- Diane doit bien s’amuser avec cette jolie pouliche.
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Les avis des lecteurs
cette histoire j'y pense tout le temps c'est trop fort j'aime.