NA Leslie TR 55
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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NA Leslie TR 55
Leslie à Paris – P55 - Emilie, la cousine de Laure.
Je viens d’apprendre que la cousine de Laure, Emilie, doit venir habiter chez nous pour les congés d’été, afin de visiter Paris et passer ses vacances dans la capitale, elle occupera la chambre d’amis.
Ses parents, dont le père est le frère de Michel, habitent Lyon et sont partis en Amérique du sud pour deux mois, la sœur d’Emilie, Myriam, est en Angleterre pour parfaire son anglais. Emilie n’a tenue à les accompagner désirant plutôt visiter le capitale et profiter de ses vacances pour être un peu seule, habitant toujours chez ses parents à 18 ans, elle manifeste ouvertement ses idées d’indépendance, et ses parents très ouverts n’ont pas vus d’inconvénient à ce qu’elle passe ses vacances chez sa cousine ainée du fait qu’elle ne manifeste pas d’envies particulière en temps ordinaire.
Elle est arrivée deux jours après la fin de l’année scolaire.
Le soir dans l’appartement je suis toujours à l’aise, généralement nue dans mon kimono mais comme la cousine de Laure est là je garde un string qui contient mon sexe et évite ainsi les débordements.
En cette soirée de début juillet il fait très chaud, je suis installée dans le salon et je regarde la télé, Emilie vient de rentrer et s’apprête à prendre un bain avant de me rejoindre.
Emilie va dans sa chambre pour se mettre à l’aise et sort nue de sa chambre pour aller dans la salle de bains, j’ai juste le temps de voir la cousine nue et de remarquer les poils de son pubis, elle a en plus des seins magnifiques bien en forme et c’est une femme que je vois et non comme une gamine de 18 ans.
Peu de temps plus tard ayant prit son bain Emilie vient me rejoindre pour regarder la télé toutes les deux, tranquillement elle s’installe à côté de moi sur le canapé. Emilie est habillée d’un short et d’un petit haut moulant, les pointes de ses seins déforment légèrement le tissu.
Depuis son arrivée nous avons l’habitude de regarder la télé ensemble côte à côte et nous commentons les émissions ou les films que nous regardons, parfois il nous arrive de parler de notre journée et de ce que nous avons fait, la soirée passe ainsi tranquillement.
Ce soir là je sens Emilie triste et songeuse, alors je lui demande :
- Emilie, tu as un problème, je ne te sens pas en forme et un peu triste ce soir.
- Oh, Leslie, me dit-elle, je n’ai pas passée une bonne journée aujourd’hui.
- Tu désires m’en dire plus ?
- Je me suis fait draguer par un vieux, me dit-elle, qui voulait me payer pour coucher.
- Allons, lui dis-je, oublies ce vieux cochon et laisses toi aller dans la détente.
Elle se blottit, alors, contre moi pendant un instant et m’embrase sur la joue en me disant merci, puis elle change de position pour s’allonger sur le côté et mettre sa tête sur mes cuisses, et reste ainsi tandis que je lui caresse les cheveux. Emilie se laisse aller sous la caresse et se détend peu à peu, puis bouge légèrement et sa tête descend légèrement et vient appuyée sur mon sexe.
Je ne sais si Emilie sentit mon sexe mais elle ne bougea pas et resta ainsi quelques temps, puis elle se redressa et me dit :
- Tu n’es pas une femme ?
- Non, lui dis-je, pas vraiment.
- Tu es une transexuelle alors ?
- Oui je le suis.
- Alors montre-moi comment c’est fait une transexuelle, je n’en ai jamais vue.
Elle se lève et s’installe dans le fauteuil à côté, j’enlève alors mon kimono et mon string et je me retrouve nue devant Emilie qui me dit :
- En fait une transexuelle, c’est une femme à queue.
Alors Emilie ce met nue à son tour et me laisse regarder son corps juvénile un instant, puis elle se réinstalle la tête sur ma cuisse comme auparavant, mis à part que maintenant j’ai une belle érection et qu’une de ses main est sur ma cuisse.
Je lui caresse le bras d’une main, puis son ventre, je la sens frissonner, je remonte et caresse ses seins nus qui sont durs avec les bouts érigés, de son côté sa main caresse l’intérieur de ma cuisse en remontant un peu plus à chaque fois, nous ne disons rien et nous ne regardons que l’écran de la télé dont nous n’avons que faire savourant les caresses de notre partenaire, Emilie prend du plaisir sous mes caresses et gémit doucement.
Le bout de ses doigts vient au contact de mon sexe tendu et des frissons me parcourent le corps, ma main caresse son ventre et descend vers son sexe, à la lisière des poils de son pubis Emilie frissonne.
Elle se redresse et sa main prend mon sexe, assise dans le canapé Emilie ouvre ses cuisses et me présente son sexe en me disant :
- Caresses moi !
Je la caresse et elle se laisse faire et me branle doucement en tenant ma verge à pleine main, à ce rythme je sens que je ne vais pas tenir très longtemps, mes caresses sur son clitoris lui font monter le plaisir et Emilie part dans sa jouissance sans arrêter sa masturbation, Emilie jouit à grands cris et me fait jouir dans sa main.
Nous passons nous rincer dans la salle de bains puis retournons sur le canapé. Nous avons terminées de regarder le film Emilie une main posée sur mon sexe et moi un doigt dans son intimité, jouant parfois à nous faire frémir sous une caresse plus précise.
Puis nous sommes allées nous coucher chacune de son côté.
A suivre…
Je viens d’apprendre que la cousine de Laure, Emilie, doit venir habiter chez nous pour les congés d’été, afin de visiter Paris et passer ses vacances dans la capitale, elle occupera la chambre d’amis.
Ses parents, dont le père est le frère de Michel, habitent Lyon et sont partis en Amérique du sud pour deux mois, la sœur d’Emilie, Myriam, est en Angleterre pour parfaire son anglais. Emilie n’a tenue à les accompagner désirant plutôt visiter le capitale et profiter de ses vacances pour être un peu seule, habitant toujours chez ses parents à 18 ans, elle manifeste ouvertement ses idées d’indépendance, et ses parents très ouverts n’ont pas vus d’inconvénient à ce qu’elle passe ses vacances chez sa cousine ainée du fait qu’elle ne manifeste pas d’envies particulière en temps ordinaire.
Elle est arrivée deux jours après la fin de l’année scolaire.
Le soir dans l’appartement je suis toujours à l’aise, généralement nue dans mon kimono mais comme la cousine de Laure est là je garde un string qui contient mon sexe et évite ainsi les débordements.
En cette soirée de début juillet il fait très chaud, je suis installée dans le salon et je regarde la télé, Emilie vient de rentrer et s’apprête à prendre un bain avant de me rejoindre.
Emilie va dans sa chambre pour se mettre à l’aise et sort nue de sa chambre pour aller dans la salle de bains, j’ai juste le temps de voir la cousine nue et de remarquer les poils de son pubis, elle a en plus des seins magnifiques bien en forme et c’est une femme que je vois et non comme une gamine de 18 ans.
Peu de temps plus tard ayant prit son bain Emilie vient me rejoindre pour regarder la télé toutes les deux, tranquillement elle s’installe à côté de moi sur le canapé. Emilie est habillée d’un short et d’un petit haut moulant, les pointes de ses seins déforment légèrement le tissu.
Depuis son arrivée nous avons l’habitude de regarder la télé ensemble côte à côte et nous commentons les émissions ou les films que nous regardons, parfois il nous arrive de parler de notre journée et de ce que nous avons fait, la soirée passe ainsi tranquillement.
Ce soir là je sens Emilie triste et songeuse, alors je lui demande :
- Emilie, tu as un problème, je ne te sens pas en forme et un peu triste ce soir.
- Oh, Leslie, me dit-elle, je n’ai pas passée une bonne journée aujourd’hui.
- Tu désires m’en dire plus ?
- Je me suis fait draguer par un vieux, me dit-elle, qui voulait me payer pour coucher.
- Allons, lui dis-je, oublies ce vieux cochon et laisses toi aller dans la détente.
Elle se blottit, alors, contre moi pendant un instant et m’embrase sur la joue en me disant merci, puis elle change de position pour s’allonger sur le côté et mettre sa tête sur mes cuisses, et reste ainsi tandis que je lui caresse les cheveux. Emilie se laisse aller sous la caresse et se détend peu à peu, puis bouge légèrement et sa tête descend légèrement et vient appuyée sur mon sexe.
Je ne sais si Emilie sentit mon sexe mais elle ne bougea pas et resta ainsi quelques temps, puis elle se redressa et me dit :
- Tu n’es pas une femme ?
- Non, lui dis-je, pas vraiment.
- Tu es une transexuelle alors ?
- Oui je le suis.
- Alors montre-moi comment c’est fait une transexuelle, je n’en ai jamais vue.
Elle se lève et s’installe dans le fauteuil à côté, j’enlève alors mon kimono et mon string et je me retrouve nue devant Emilie qui me dit :
- En fait une transexuelle, c’est une femme à queue.
Alors Emilie ce met nue à son tour et me laisse regarder son corps juvénile un instant, puis elle se réinstalle la tête sur ma cuisse comme auparavant, mis à part que maintenant j’ai une belle érection et qu’une de ses main est sur ma cuisse.
Je lui caresse le bras d’une main, puis son ventre, je la sens frissonner, je remonte et caresse ses seins nus qui sont durs avec les bouts érigés, de son côté sa main caresse l’intérieur de ma cuisse en remontant un peu plus à chaque fois, nous ne disons rien et nous ne regardons que l’écran de la télé dont nous n’avons que faire savourant les caresses de notre partenaire, Emilie prend du plaisir sous mes caresses et gémit doucement.
Le bout de ses doigts vient au contact de mon sexe tendu et des frissons me parcourent le corps, ma main caresse son ventre et descend vers son sexe, à la lisière des poils de son pubis Emilie frissonne.
Elle se redresse et sa main prend mon sexe, assise dans le canapé Emilie ouvre ses cuisses et me présente son sexe en me disant :
- Caresses moi !
Je la caresse et elle se laisse faire et me branle doucement en tenant ma verge à pleine main, à ce rythme je sens que je ne vais pas tenir très longtemps, mes caresses sur son clitoris lui font monter le plaisir et Emilie part dans sa jouissance sans arrêter sa masturbation, Emilie jouit à grands cris et me fait jouir dans sa main.
Nous passons nous rincer dans la salle de bains puis retournons sur le canapé. Nous avons terminées de regarder le film Emilie une main posée sur mon sexe et moi un doigt dans son intimité, jouant parfois à nous faire frémir sous une caresse plus précise.
Puis nous sommes allées nous coucher chacune de son côté.
A suivre…
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