NA Leslie TR 84 - histoire érotique

Leslie à Paris – P84 – Voyeuse, Laure et un amant.

Avec Laure nous sommes très libres et nous vivons des aventures parfois séparément,
nous n’en faisons pas état afin de ne pas se focaliser et réveiller une jalousie que
nous pourrions taire par amour.
Parfois nous en parlons librement et d’autres fois nous taisons notre aventure d’un
soir, peut-être par pudeur ou pour ne pas faire de mal à l’autre sur des aventures
sans lendemain.
Cette fois là, Laure dans mes bras me dit :
- Aujourd’hui j’ai fait la connaissance d’un homme charmant qui m’a invité à
diner demain soir avec lui.
- Tu sais bien que tu es libre ma chérie et qu’ayant une aventure avec Stéphanie
il ne serait pas correcte de ma part de t’empêcher d’aller à ce diner.
- Tu sais nous sommes allés prendre un verre ensemble ce midi et je le trouve
très sympa.
- Et en plus il te plaît?
- C’est un bel homme d’environ 35 ans qui ne me laisse pas indifférente et je
pense que c’est réciproque.
Les yeux de Laure brillaient d’excitation rien que de m’en parler.
Nous nous sommes endormies et en m’endormant je me suis mise à penser qu’un jour je me
ferais bien voyeuse à l’insu de Laure pour la voir dans les bras d’un de ses amants et
regarder comment elle fait l’amour sans que je sois auprès d’elle.

Le lendemain, elle se prépara soigneusement, en fait plus que d’habitude pour aller
travailler. Je la voyais hésitante devant la commode pour le choix des sous-vêtements
et de sa tenue, puis elle est partie s’habiller dans la salle de bain.
Elle est réapparue une demi-heure plus tard, belle et sexy, comme prête à un rendez-
vous galant, j’ai retenue ma curiosité sans lui poser de question, mais la voir se
faire belle pour aller au travail me fit penser qu’elle avait rendez-vous avec son
amoureux dont-elle m’avait parlée la veille.
Elle me donna un baiser avant de partir, en me disant :
- Il est possible que je rentre tard ce soir, ne m’attends pas.
La journée se passa et ce n’est qu’en rentrant le soir que je me suis souvenue de
l’absence de Laure, alors j’ai dinée et j’ai regardée la télévision jusqu’au moment où
j’ai entendu le bruit de la serrure de la porte d’entrée. Laure venait de rentrer il
était près de minuit.
Laure est venue me donner un baiser, elle avait l’air radieuse et un peu gênée, puis
elle est partie dans la chambre pour se déshabiller et se mettre à l’aise, puis elle
est venue me rejoindre dans le salon et m’a demandée :
- Tu veux boire quelque chose avec moi?
- Avec plaisir, comme toi s’il te plaît.
- Alors ce sera un cognac.
Elle emmena les deux verres sur un plateau et se posa à mes côtés en me demandant :
- As-tu passé une bonne journée?
- Excellente je te remercie et toi ?
Après un long silence, elle se mit à parler:
- Super, j’ai déjeunée avec mon ami dont je t’ai parlée hier.
Il s’appelle Michel, et j’avais pris mon après-midi. Nous sommes allés déjeuner dans
un charmant restaurant et pendant tout le repas il n’a cessé de me draguer et moi bien
sûr j’ai jouée de tous mes charmes pour le séduire. Nous avons beaucoup ri et à un
moment il a prit ma main en me regardant droit dans les yeux, ce qui me fit beaucoup
mouiller
Elle resta dans le silence un moment, puis continua :
- Après le restaurant nous avons marchés un moment et il m’a pris la main
jusqu’au parking.
Une fois dans la voiture, il s’est tourné vers moi et à passé sa main derrière ma
nuque, en sentant la chaleur de sa main sur ma peau j’ai fermée les yeux et il en a
profité pour m’attirer vers lui et lentement poser ses lèvres sur ma bouche.
Instinctivement j’ai entrouverte mes lèvres et j’ai sentis sa langue cherchant la
mienne. Je fondais alors littéralement dans ses bras. Je sentais une main caresser mes
seins, puis mes cuisses. Sa main remonta vers le haut de mes cuisses et caressa du
bout des doigts mon string qui était complètement trempé car je mouillais comme une
gamine en chaleur.
Il écarta mon string et a commencé à me doigter, je hurlais comme une folle prise de
désirs pour lui. Il voulut me prendre dans la voiture mais j’ai refusée ne voulant pas
que ça se passe comme ça la première fois. Mais j’ai sortie sa queue, qui bandait pour
moi.
Elle est d’une grosseur impressionnante et une longueur bien au-dessus de la moyenne,
au début je voulais juste le masturber mais l’excitation et avec l’envie de la prendre
dans ma bouche, j’ai fini par l’engloutir au fond de ma gorge tout en caressant ses
couilles velues. Sentant qu’il allait jouir, j’ai tentée de me retirer mais il a
maintenu fermement ma tête et tout son sperme inonda ma bouche. J’ai tout avalée comme
une vraie salope.
- Vous allez vous revoir?
- Oui, demain soir et il est bien possible que je le ramène à la maison.
- Eh bien allons dormir cela nous fera du bien, lui dis-je.
En disant cela j’ai pensée que mon rêve allait peut-être se réaliser demain soir,
enfin peut-être….

En m’endormant j’ai imaginée la queue de Michel pénétrant la chatte trempée de Laure
et la faisant hurler de plaisir.
Le lendemain soir afin de ne pas déranger Laure je me suis coucher tôt en restant aux
aguets des moindres bruits espérant l’entendre rentrer et pouvoir me faire voyeuse un
instant.

Je n’ai pas à attendre très longtemps car j’ai entendue Laure rentré vers onze heures,
puis j’ai entendue Laure dire :
- Mon amie est couchée ne faisons pas de bruit car elle doit dormir.
Puis le silence est revenu, au bout de quelques instants je me suis levée discrètement
et j’ai été vers la chambre de Laure.
Comme à son habitude Laure n’avait pas fermée la porte de sa chambre et je m’en
réjouis, profitant de la pénombre du couloir je me plaçais de manière à profiter des
ébats de Laure et de Michel.
La chambre était éclairée par les lampes e chevets qui diffusaient une lueur douce en
mettant en valeur les deux amants qui n’avaient pas perdus de temps et s’embrassaient
en se caressant.
Laure était allongée sur le lit et Michel tout en caressant les seins de Laure avait
retroussé sa robe. Laure ne portant pas de culotte la main de Michel remontait le long
de ses cuisses jusqu’à trouvée sa chatte nue. Laure se tenait les cuisses largement
ouverte offerte aux caresses de son amant, Michel a introduit un doigt dans sa vulve
et a commencé des mouvements de va-et-vient, écartée comme elle était il n’avait aucun
mal à la doigter comme il faut. Laure a commencé à gémir et lui a dit:
- Oh! Oui. C’est trop bon Michel, j’avais envie de toi pendant toute la soirée,
baises moi et fais moi jouir.

Laure était impudiquement offerte à son amant.
Je l’entendis encore gémir doucement et dire combien c’était agréable.
Elle posa une main sur la bosse de son pantalon et se mit à le caresser à travers son
pantalon, puis tout en gémissant son plaisir elle déboutonna sa chemise pour mettre
son torse velu à nu et l’embrassa du coup jusqu’au nombril pour ouvrir, enfin, la
ceinture de son pantalon.
Lorsque la ceinture fut défaite, Laure plongea dans le boxer de Michel pour sortir
l’engin de sa convoitise. La queue de Michel large et épaisse se déplia droit vers le
visage de Laure, je regardais cette queue en pensant combien Michel était bien pourvu,
la queue de Michel était vraiment très épaisse et très longue et je regardais ce sexe
qui se dressait fièrement le long de son ventre jusqu’au nombril.
Laure se mit à le caresser doucement tout en le regardant avec envie, en durcissant,
elle sembla devenir plus large encore.
Laure commença à embrasser cette queue offerte, d’abord sur la longueur puis
finalement elle prit le gland entre ses lèvres non sans oublier de faire de temps à
autre des cercles de la langue sur le gland gonflé.
Puis Laure se mit à pomper ce membre imposant, d’abord lentement mais bientôt de plus
en plus vite, tout en malaxant de la main ses grosses couilles velues, elle le suça
pendant de longues minutes.

Elle se releva et enleva sa robe pour se retrouver nue devant Michel, qui à son tour
se mit nu en la félicitant de la beauté de son corps en la serrant contre lui.
Ma queue était dure comme du fer et je me masturbais lentement tout en les observant.
Les voir mêler leurs langues et s’embrasser aussi passionnément m’apparaissait
excitait terriblement.

Michel caressait les fesses de Laure en la serrant fermement contre lui, de ses mains
il écartait les fesses de Laure pour aller taquiner son petit anus du pouce. Puis
Laure se mis à quatre pattes sur le lit pour lui offrir sa petite chatte épilée,
aussitôt Michel se mit à fouiller et sucer son sexe de la langue, des grandes lèvres
au clitoris avec une certaine habiliter, vu les réactions et les gémissements de
Laure.
Après de longues minutes de ce traitement, elle le fit s’allonger sur le dos dans le
lit et se positionna debout au-dessus de son visage et entama une masturbation des
plus érotique.
Elle plongeait lentement ses doigts dans son vagin tout en se caressant délicatement
son bouton d’amour, elle ondulait du bassin en lui offrant une vision sur son intimité
qui devait être des plus excitante.
Une main était occupée au plaisir de son sexe, l’autre s’occupait de son petit anus
qu’elle aime taquiner lorsqu’elle se caresse.
Michel enleva la main de Laure de son anus pour la remplacer par la sienne et trouvant
l’entrée étroite de son anus légèrement entrouvert il posa son doigt contre sa petite
rosette pour le caresser d’un mouvement de plus en plus insistant et pénétrant.
Son doigt finit par la pénétrer la faisant gémir et il se mit à le faire coulisser
d’avant en arrière pour la dilater,
La vulve de Laure était gonflée et humide et soudain, elle fut secouée d’un orgasme
fulgurant, elle se cambra et sa bouche s’ouvrit dans un cri étouffé.

Laure n’en pouvant plus elle vint sur lui et prit sa queue en main. Tout en le
branlant, elle commença à descendre sur le membre dressé, s’empalant centimètre après
centimètre. Les yeux étaient fermés, concentrée sur son effort, elle sentit le gland
énorme écartelé ses chaires jusqu’à ce que toute la longueur de la queue fut en elle.
Laure gémissait de façon continue, rendue folle par la pénétration imposante de
Michel.
Après quelques secondes d’immobilité, pour s’habituer à un tel gabarit, elle se releva
jusqu’à se libérer complètement de la pénétration et faire ressortir d’elle le sexe de
Michel luisant de son propre plaisir, puis sans perdre de temps elle se rassit à
nouveau lentement sur lui en gémissant de plaisir.
Elle recommença ainsi plusieurs fois l’opération soufflant et éructant à chaque
descente sur le sexe monstrueux aux veines gonflées qui lui distendait la vulve, à
chaque fois plus vite et plus fort.
J’entendais Laure crier son plaisir et m’étonnais de constater que Michel n’ait pas
encore jouit.
Laure de son côté, par contre, jouissait intensément à répétition, et après un orgasme
qui la fit délirer, épuisée elle se laissa rouler sur le lit.
Je voyais distinctement sa chatte béante et luisante, mais Michel ne lui laissa pas un
instant de repos, il se plaça au-dessus de Laure et guidant sa queue vers sa fente
béante de Laure, l’embrocha d’un coup de reins.
Sous la violence de l’assaut Laure hurla et se mit à lui griffer le dos, Laure était
une furie et il la baisa brutalement pendant cinq bonnes minutes.
Laure ne cessait de jouir sous les assauts de son amant, elle râlait de plaisir dans
une semi-inconscience, dans un souffle je l’entendis lui dire :
- Arrêtes mon chéri, je n’en peu plus.
Il s’arrêta dans un dernier coup de rein violent et se retira sans avoir encore jouit.

Ils reposèrent un moment côte à cote, je distinguais clairement le sexe monstrueux de
Michel qui fièrement dressé ne débandait pas et je pensais un instant que d’avoir un
tel engin dans ses reins devait faire souffrir et je ne me sentais pas prête d’offrir
mon anneau à une telle pénétration.

Laure se releva et en voyant la queue dure de Michel prête à de nouveaux assauts elle
le prit dans sa bouche pour profiter du moment et de la queue bien bandée. L’effet de
cette fellation fit gémir Michel de plaisir, Laure se mit à le sucer de plus en plus
vite.
Puis elle se détacha et se positionna en levrette devant lui offrant la vue indécente
de ses parties intimes et elle écarta les fesses des deux mains.
Elle était belle et impudique, mais je ne pouvais me résoudre au fait que Laure
offrait ses reins, comprenant l’invitation, Michel se redressa et se plaça derrière
Laure et posa son gland luisant sur la petite étoile brune de Laure.
Sa petite rosette allait être prise par un sexe que je n’imaginais même pas entré en
moi. Il poussa son gland entre les chaires serrées. Laure grimaça de douleur la tête
dans l’oreiller, mais se laissa faire.
Il poussa doucement et rencontra une certaine résistance qui fit hurler Laure, mais
Michel continua de pousser son sexe dans le fondement de Laure distendant petit à
petit les chairs anales de mon amante, je vis le sexe de Michel disparaitre lentement
dans le cum de Laure jusqu’à disparaitre entièrement.

Michel attrapa Laure par les hanches et se mit à la pilonner sévèrement.
Laure hurlait de douleur en lui disant :
- Sort mon chéri, arrêtes tu vas me déchirer.
Michel ne s’arrêta pas et continua de pilonner le cul de Laure.
Mais la douleur fit bientôt place au plaisir et Laure se mit à onduler du bassin
tandis que son amant la sodomisait en gémissant et en disant :
- Tu me serres bien c’est trop bon, ton petit cul étroit est divin.
- Vas-y chéri défonce-moi le fion.
Les deux amants étaient unis dans une sodomie endiablée où Laure n’arrêtait pas
d’encourager son amant d’aller plus loin, plus profondément en elle. Elle criait en
disant :
- Ohhh oui, ahhh je la sens bien ta grosse queue qui s’enfonce en moi.
- Dis-moi que tu aimes te faire enculer ma chérie, lui demandait Michel.
Et Laure de répondre :
- Ohhh oui j’aime ça être enculée par ta grosse queue.
- T’en redemandera ?
- Oui encore et encore, tu me dilates à fond, ohhh oui, ohhh.
Puis Michel se raidit et se figea au fond du cul de Laure et je compris qu’il
jouissait au plus profond des entrailles de ma Laure chérie.
Il resta un long moment planté dans le cul de Laure et sortit sa queue encore à demi-
bandée.

Laure se retourna pour s’allonger sur le lit, les jambes grandes ouvertes et m’offrit
la vue de sa chatte luisante de sa jouissance et son petit trou grand ouvert qui
laissait échapper le sperme de son amant et coulait le long de ses fesses.
Je disparue dans ma chambre pour m’allonger sur mon lit et me branler jusqu’à la
jouissance, et lorsque bien plus tard Laure est venue me rejoindre après que son amant
soit partit en me disant bonne nuit elle ajouta :
- Michel est un amant formidable et son sexe est prodigieux, j’aimerais bien
recommencer.
Je ne lui ai pas dit que j’avais fait la voyeuse et que je savais que le sexe de
Michel était prodigieux, comme elle le disait, mais je m’endormis en me disant que je
n’avais pas à m’en faire et que je pourrais voir Stéphanie autant que je le voudrais.

A suivre……