NA TR Leslie 22
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2010 dans la catégorie En solitaire
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NA TR Leslie 22
Leslie à Paris – P22 - Les confidences de Laure, petits plaisirs solitaires, suite.
Depuis je n’ai cessée de me donner du plaisir sous différentes façons ce que je vais vous raconter maintenant.
D’abord j’aime vivre nue dans mon appartement, dès que je rentre chez moi je me mets complètement nue me fichant pas mal de ceux qui voudraient et pourraient se rincer l’œil, je suis chez moi et rien ne peut m’empêcher d’être nue, en fait je pense que je suis heureuse voir même excitée à l’idée que l’on peut me voir au travers de mes fenêtres, qui sont d’ailleurs grandes ouvertes aussi souvent que possible et d’ailleurs si je désire de l’intimité il me suffit de tirer les rideaux.
Je vais ainsi nue dans mon appartement vacant à mes occupations sans me soucier du voisinage.
Quand le désir me prend en rentrant le soir, avant de faire quoi que ce soit, je me couche nue et j’écarte bien les jambes pour me branler et me baiser en solo, souvent c’est avec le double godemiché que je vais me procurer du plaisir, après avoir bien astiquée mon petit bouton et mettre fait mouiller comme une dingue je passe mes doigts sur ma chatte afin de recueillir mon jus et je m’enduis le petit trou avec, puis j’ introduis le double godemiché dans mon con et mon anus, je me prends par les deus orifices faisant aller et venir mon amant de plastique afin de me donner de merveilleuses sensations.
Je fais durer l’instant le plus longtemps possible puis je m’introduis des boules de geishas que je garderais toutes la soirée jusqu’au moment d’aller me coucher.
Durant toute la soirée le plaisir est présent au fond de mon ventre à cause de la présence des boules, je ressens ces douces vibrations qui m’électrisent et me contiennent dans un plaisir sourd mais constant, et c’est très excitée que je me couche en me redonnent une nouvelle fois du plaisir, et parfois je m’endors l’anus plugé, heureuse d’une soirée de plaisirs solitaires.
Lors de dimanches pluvieux quand je suis seule plutôt que broyer du nord et me morfondre dans mes pensées tristes je me mets un bon film de lesbiennes ou un film ou de belles jeunes femmes se font sodomisées, et là installée nue dans mon canapé et lorsque je sens mon excitation montée par la vue des images qui défilent devant mes yeux je ne résiste pas à l'envie de glisser mes doigts sur mon pubis pour constater qu’il est déjà humide et tout en matant ces belles salopes se faires sodomiser je m’active sur mon clitoris.
Je me laisse aller sans pudeur à mes diverses caresses tandis que mes yeux sont rivés sur l’écran, mes mains caressent mes seins et sentent les pointes durcies de plaisir, mes doigts reviennent sur mon clitoris qui réclament et constatent que ma chatte est trempée, il est temps de prendre mon gode et de me pénétrer avec.
Il glisse dans son sexe mouillé me procurant des frissons puis je commence de longs vas et viens, les doigts de ma main libre s’activent sur son trou du cul afin de l’assouplir, puis reviennent un moment sur mon clitoris, le jeu dure un long moment, je commence e à haleter tant le plaisir est fort alors à ce moment de mon plaisir je m’enfonce le gode dans mon cul me faisant crier de bonheur.
Je me gode comme une chienne en chaleur et ne peux retenir des :
Ooh, oui, ooh je me fais jouir.
Mon corps tremble de plaisir et m’effondre en sueur sur le canapé jusqu’à la prochaine fois.
Quand je me couche je suis nue dans mon lit, les draps au pied du lit et les jambes bien écartées, ma chatte toute douce bien taillée ou épilée ne demande qu'à être caressée, alors je commence par me caresser les lèvres et je me sens légèrement mouiller, j'écarte encore plus mes jambes et introduit un doigt dans ma chatte, elle est humide et chaude, puis je m’occupe de mon clito, dès que je le touche je râle de plaisir.
Au bout d’un moment ma main prend mon gode que j'introduis en moi après l’avoir mouillée dans ma bouche, lui est toujours raide prêt à la pénétration et je n’ai pas besoin de le sucer longtemps comme certains hommes. J’aime m'empaler avec mon gode trempé de ma salive, je perds pied et tout en me godant je me caresse les seins et pince les bouts durcis, c’est trop bon, la chaleur envahit mon corps et je tremble de plaisir et je me fais jouir comme une folle.
Parfois ma main cherche mon clito, le plaisir est décuplé par mon doigt agaçant mon clitoris, alors je me pénètre avec des gestes rapides et saccadés pour finir la plupart du temps en me sodomisant dans un cri de folie.
Je jouis tellement fort qu'il me faut un certain temps pour récupérer, mais je suis comblée en attendant un homme pour remplacer mon gode.
Parfois dans la nuit je me réveille avec une furieuse envie d'être baisée.
Mes tétons sont dressés et ma chatte est trempée, j’ai surement fait un rêve érotique mais l’envie est là maintenant au creux de mon ventre.
Je me mets sur le dos et ma main caresse mes seins, descend rapidement vers mes cuisses qui s'écartent sur ma chatte ouverte et offerte, prête à recevoir une queue bien dure.
L’envie d’être possédée me taraude le ventre, mes doigts s'enfoncent dans mon intimité, je me branle tandis que le majeur de mon autre main va vers mon anus et le pénètre.
Mon anus se dilate et réclame tandis que mon clito est gonflé d'être tant branlé, alors afin de me rendormir je me caresse sauvagement jusqu’à en crier de plaisir.
Lorsque l’envie me prend j'adore aussi me masturber dans la journée, lorsque je suis seule au bureau ou attablée dans un café.
Vérifiant que personne ne peux me voir ma main se pose sur ma poitrine et caresse doucement mes seins, souvent sans soutien-gorge, je sens au travers de mes habits la pointe de mes seins durcirent, alors du bout des doigts je descends sur mon ventre, puis se sont mes cuisses que j’effleure en passant ma main entre-elles à la limite de l’aine, des frissons me parcourent et mes tétons se tendent encore plus, ma main se pose sur mon pubis et je me caresse jusqu’à gémir sachant que je ne pourrais complètement me satisfaire et que je devrais attendre l’intimité de mon appartement pour tranquillement me terminer.
Comment se priver du plaisir anal en prétextant que c’est sale et contre nature ou que ça fait trop mal, sans peut-être avoir un jour essayé. Je pense que c’est une question de préparation et de première fois ou le ou la partenaire qui nous sodomise doivent être attentifs et ne pas être brutaux.
Pour ma part cela c’est bien passé et je suis devenue une fervente de la sodomie.
Souvent quand je fais ma toilette mon index glisse à l'intérieur de mon conduis anal provoquant en moi une bouffée de chaleur, j’adore ce moment juste avant que mon doigt fasse des vas et viens dans mon petit cul, je sens alors mon anus se détendre, je sais à cet instant que mon doigt ne ma suffira pas, alors je sors vite de la douche pour me pénétrer d’un gode ou me mettre un plug dans l’anus que je garderais un bon moment.
Mais à chaque fois je me dis que si je n’étais pas seule ce serait bien meilleur.
Parfois en passant devant la glace de ma chambre mon regard capte le reflet de ma silhouette nue, alors je me regarde et je me trouve jolie, mon corps que j’aime à donner du plaisir à mes relations, initiée par une amie de ma mère et déflorée par son amant pour le côté verso puis par son homme pour le recto, depuis des amants et des amantes ont parcourus mon corps et pénétrés mes orifices en me donnant du plaisir.
C'est pour cela que quand je me regarde dans la glace le désir me prend et l’envie furieuse de ma donner du plaisir monte en moi, alors pour me satisfaire, je me masturbe.
Pour ce faire je prends mes deux godemichés favoris et me dispose dans mon fauteuil face à la fenêtre, je pose les pieds sur les accoudoirs afin de m’offrir les cuisses indécemment écartée au voyeur éventuel.
Je commence par me caresser tous le corps en m’attardant sur mes seins qui très vite gonflent, les pointes de mes tétons durcissent et le plaisir monte dans mon ventre, puis je caresse mon ventre et descends vers mon pubis, trouve mon clitoris que je branle un petit moment, juste le temps de me faire mouiller avant de me pénétrer la vulve d’un gode.
En me pénétrant la vulve avec mon gode fétiche, je fais monter le plaisir en moi et la jouissance me prend très rapidement, tout en continuant de me baiser avec mon gode, je passe ma deuxième main sur mon anus, je passe un doigt sur le pourtour de ma rondelle et caresse délicatement cette partie plissée de mon anatomie, puis je m’attarde un peu sur l’orifice encore clos avant d’y rentrer très lentement un doigt. Chaque fois cet instant est magique et le plaisir que je ressens est intense et me fait mouiller de plus belle, je peux ainsi me lubrifier mon petit trou de ma jouissance.
C’est le moment idéal de me sodomiser avec mon deuxième gode, je dépose la pinte à l’orée de mon cul et lentement je le fait pénétrer un peu juste assez pour sentir que je m’ouvre et reste ainsi un moment en me baisant la chatte, le plaisir est intense et l’envie de me sodomiser à fond est grande, mais je me retiens faisant durer le plaisir.
Puis quand je ne peux plus contenir mon plaisir je m’encule complètement en criant, la double pénétration que je me donne me transporte dans une jouissance infinie.
Je n’arrête que quand l’orgasme me transporte en espérant que deux yeux non rien perdus du spectacle offert.
A suivre……
Depuis je n’ai cessée de me donner du plaisir sous différentes façons ce que je vais vous raconter maintenant.
D’abord j’aime vivre nue dans mon appartement, dès que je rentre chez moi je me mets complètement nue me fichant pas mal de ceux qui voudraient et pourraient se rincer l’œil, je suis chez moi et rien ne peut m’empêcher d’être nue, en fait je pense que je suis heureuse voir même excitée à l’idée que l’on peut me voir au travers de mes fenêtres, qui sont d’ailleurs grandes ouvertes aussi souvent que possible et d’ailleurs si je désire de l’intimité il me suffit de tirer les rideaux.
Je vais ainsi nue dans mon appartement vacant à mes occupations sans me soucier du voisinage.
Quand le désir me prend en rentrant le soir, avant de faire quoi que ce soit, je me couche nue et j’écarte bien les jambes pour me branler et me baiser en solo, souvent c’est avec le double godemiché que je vais me procurer du plaisir, après avoir bien astiquée mon petit bouton et mettre fait mouiller comme une dingue je passe mes doigts sur ma chatte afin de recueillir mon jus et je m’enduis le petit trou avec, puis j’ introduis le double godemiché dans mon con et mon anus, je me prends par les deus orifices faisant aller et venir mon amant de plastique afin de me donner de merveilleuses sensations.
Je fais durer l’instant le plus longtemps possible puis je m’introduis des boules de geishas que je garderais toutes la soirée jusqu’au moment d’aller me coucher.
Durant toute la soirée le plaisir est présent au fond de mon ventre à cause de la présence des boules, je ressens ces douces vibrations qui m’électrisent et me contiennent dans un plaisir sourd mais constant, et c’est très excitée que je me couche en me redonnent une nouvelle fois du plaisir, et parfois je m’endors l’anus plugé, heureuse d’une soirée de plaisirs solitaires.
Lors de dimanches pluvieux quand je suis seule plutôt que broyer du nord et me morfondre dans mes pensées tristes je me mets un bon film de lesbiennes ou un film ou de belles jeunes femmes se font sodomisées, et là installée nue dans mon canapé et lorsque je sens mon excitation montée par la vue des images qui défilent devant mes yeux je ne résiste pas à l'envie de glisser mes doigts sur mon pubis pour constater qu’il est déjà humide et tout en matant ces belles salopes se faires sodomiser je m’active sur mon clitoris.
Je me laisse aller sans pudeur à mes diverses caresses tandis que mes yeux sont rivés sur l’écran, mes mains caressent mes seins et sentent les pointes durcies de plaisir, mes doigts reviennent sur mon clitoris qui réclament et constatent que ma chatte est trempée, il est temps de prendre mon gode et de me pénétrer avec.
Il glisse dans son sexe mouillé me procurant des frissons puis je commence de longs vas et viens, les doigts de ma main libre s’activent sur son trou du cul afin de l’assouplir, puis reviennent un moment sur mon clitoris, le jeu dure un long moment, je commence e à haleter tant le plaisir est fort alors à ce moment de mon plaisir je m’enfonce le gode dans mon cul me faisant crier de bonheur.
Je me gode comme une chienne en chaleur et ne peux retenir des :
Ooh, oui, ooh je me fais jouir.
Mon corps tremble de plaisir et m’effondre en sueur sur le canapé jusqu’à la prochaine fois.
Quand je me couche je suis nue dans mon lit, les draps au pied du lit et les jambes bien écartées, ma chatte toute douce bien taillée ou épilée ne demande qu'à être caressée, alors je commence par me caresser les lèvres et je me sens légèrement mouiller, j'écarte encore plus mes jambes et introduit un doigt dans ma chatte, elle est humide et chaude, puis je m’occupe de mon clito, dès que je le touche je râle de plaisir.
Au bout d’un moment ma main prend mon gode que j'introduis en moi après l’avoir mouillée dans ma bouche, lui est toujours raide prêt à la pénétration et je n’ai pas besoin de le sucer longtemps comme certains hommes. J’aime m'empaler avec mon gode trempé de ma salive, je perds pied et tout en me godant je me caresse les seins et pince les bouts durcis, c’est trop bon, la chaleur envahit mon corps et je tremble de plaisir et je me fais jouir comme une folle.
Parfois ma main cherche mon clito, le plaisir est décuplé par mon doigt agaçant mon clitoris, alors je me pénètre avec des gestes rapides et saccadés pour finir la plupart du temps en me sodomisant dans un cri de folie.
Je jouis tellement fort qu'il me faut un certain temps pour récupérer, mais je suis comblée en attendant un homme pour remplacer mon gode.
Parfois dans la nuit je me réveille avec une furieuse envie d'être baisée.
Mes tétons sont dressés et ma chatte est trempée, j’ai surement fait un rêve érotique mais l’envie est là maintenant au creux de mon ventre.
Je me mets sur le dos et ma main caresse mes seins, descend rapidement vers mes cuisses qui s'écartent sur ma chatte ouverte et offerte, prête à recevoir une queue bien dure.
L’envie d’être possédée me taraude le ventre, mes doigts s'enfoncent dans mon intimité, je me branle tandis que le majeur de mon autre main va vers mon anus et le pénètre.
Mon anus se dilate et réclame tandis que mon clito est gonflé d'être tant branlé, alors afin de me rendormir je me caresse sauvagement jusqu’à en crier de plaisir.
Lorsque l’envie me prend j'adore aussi me masturber dans la journée, lorsque je suis seule au bureau ou attablée dans un café.
Vérifiant que personne ne peux me voir ma main se pose sur ma poitrine et caresse doucement mes seins, souvent sans soutien-gorge, je sens au travers de mes habits la pointe de mes seins durcirent, alors du bout des doigts je descends sur mon ventre, puis se sont mes cuisses que j’effleure en passant ma main entre-elles à la limite de l’aine, des frissons me parcourent et mes tétons se tendent encore plus, ma main se pose sur mon pubis et je me caresse jusqu’à gémir sachant que je ne pourrais complètement me satisfaire et que je devrais attendre l’intimité de mon appartement pour tranquillement me terminer.
Comment se priver du plaisir anal en prétextant que c’est sale et contre nature ou que ça fait trop mal, sans peut-être avoir un jour essayé. Je pense que c’est une question de préparation et de première fois ou le ou la partenaire qui nous sodomise doivent être attentifs et ne pas être brutaux.
Pour ma part cela c’est bien passé et je suis devenue une fervente de la sodomie.
Souvent quand je fais ma toilette mon index glisse à l'intérieur de mon conduis anal provoquant en moi une bouffée de chaleur, j’adore ce moment juste avant que mon doigt fasse des vas et viens dans mon petit cul, je sens alors mon anus se détendre, je sais à cet instant que mon doigt ne ma suffira pas, alors je sors vite de la douche pour me pénétrer d’un gode ou me mettre un plug dans l’anus que je garderais un bon moment.
Mais à chaque fois je me dis que si je n’étais pas seule ce serait bien meilleur.
Parfois en passant devant la glace de ma chambre mon regard capte le reflet de ma silhouette nue, alors je me regarde et je me trouve jolie, mon corps que j’aime à donner du plaisir à mes relations, initiée par une amie de ma mère et déflorée par son amant pour le côté verso puis par son homme pour le recto, depuis des amants et des amantes ont parcourus mon corps et pénétrés mes orifices en me donnant du plaisir.
C'est pour cela que quand je me regarde dans la glace le désir me prend et l’envie furieuse de ma donner du plaisir monte en moi, alors pour me satisfaire, je me masturbe.
Pour ce faire je prends mes deux godemichés favoris et me dispose dans mon fauteuil face à la fenêtre, je pose les pieds sur les accoudoirs afin de m’offrir les cuisses indécemment écartée au voyeur éventuel.
Je commence par me caresser tous le corps en m’attardant sur mes seins qui très vite gonflent, les pointes de mes tétons durcissent et le plaisir monte dans mon ventre, puis je caresse mon ventre et descends vers mon pubis, trouve mon clitoris que je branle un petit moment, juste le temps de me faire mouiller avant de me pénétrer la vulve d’un gode.
En me pénétrant la vulve avec mon gode fétiche, je fais monter le plaisir en moi et la jouissance me prend très rapidement, tout en continuant de me baiser avec mon gode, je passe ma deuxième main sur mon anus, je passe un doigt sur le pourtour de ma rondelle et caresse délicatement cette partie plissée de mon anatomie, puis je m’attarde un peu sur l’orifice encore clos avant d’y rentrer très lentement un doigt. Chaque fois cet instant est magique et le plaisir que je ressens est intense et me fait mouiller de plus belle, je peux ainsi me lubrifier mon petit trou de ma jouissance.
C’est le moment idéal de me sodomiser avec mon deuxième gode, je dépose la pinte à l’orée de mon cul et lentement je le fait pénétrer un peu juste assez pour sentir que je m’ouvre et reste ainsi un moment en me baisant la chatte, le plaisir est intense et l’envie de me sodomiser à fond est grande, mais je me retiens faisant durer le plaisir.
Puis quand je ne peux plus contenir mon plaisir je m’encule complètement en criant, la double pénétration que je me donne me transporte dans une jouissance infinie.
Je n’arrête que quand l’orgasme me transporte en espérant que deux yeux non rien perdus du spectacle offert.
A suivre……
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