Noire et furieuse
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Noire et furieuse
Noire et furieuse
Mamadou se déplace. Je l’entends aller, pisser et sitôt soulagé, retourner à la charge. Il ignore ma présence, cependant même sans public,il commente ses faits et gestes et il commande d’un ton sans réplique. Il dit ;- Lèche,
Patricia, domptée, se plie servilement à ses désirs. Même par amour, jamais, avec moi ; elle n'a été aussi prompte à réagir aux souhaits. Peut-être ai-je manqué de fermeté avec elle ? Aurait-elle osé me servir sa fable du « travail social », si j’avais utilisé les méthodes rudes de l’amant qui la mate actuellement ? Mon respect m’a trahi, je l’aimais trop pour lui imposer mes volontés. Je recueille les fruits de mon comportement trop raisonnable pour sa nature.
Il a dit, elle saisit le sexe ramolli et sa langue en parcourt toute la longueur, du scrotum jusqu’ au gland, puis elle redescend à la base et mouille en remontant, langue à plat ou de la pointe, soit le dessus soit le dessous de la verge encore peu rigide ou encore les côtés. Elle accomplit à plusieurs reprises cette distance, n'oublie pas la moindre parcelle de la peau veinée de bleu. jusqu'au commandement suivant. Il dit:
-Suce et gratte moi les couilles.
Elle se penche encore pour emboucher la tête du chibre. Sa chevelure monte et descend. L'horrible retrouve sa raideur et il ordonne:
- Tourne ton cul, penche-toi. En route vers ta quatrième jouissance T'es serrée juste ce qu'il faut pour l'instant. Il faudra exercer ton périnée pour lui garder son élasticité. Tu sens pénétrer ma queue ? N’est-ce pas fameux ?
- Oh ! Oui, mais qu'est-ce qu'elle est grosse! Va doucement ou je ne tiendrai pas le coup jusqu'au dixième orgasme si tu m'abîmes le vagin. Et ce soir je ne pourrai pas assurer le spectacle avec toi. Pitié, ne force pas.
-Tais-toi, mauviette. J'aime t'entendre gémir de bonheur. Tiens, prends ça ! Ca fait du bien, non ? Hé vlan, bien au fond, c'est ça, lève ton cul un peu plus haut et résiste à la pression.
Le sommier grince, c’est reparti pour un tour. Patricia est tournée vers la tête de lit, cheveux épars sur les bras, fesses en l’air et Mamadou s’enfourne et défourne à allure démentielle. Qu'est-ce qu'il lui met ! Il mène un train d’enfer, cogne son bas ventre sur les fesses rouges, se moque des réclamations et poursuit assidûment la recherche de l’orgasme prochain. Seul compte le résultat, seules sont belles les exclamations arrachées. Ses poussées font remonter le corps bousculé. Il n'est pas neuf heures, trois orgasmes ont eu raison des velléités de résistance de Patricia. Mamadou a annoncé qu'il réussirait à la combler à sept reprises encore avant midi ; et il vient de la pénétrer en force pour la guider vers une nouvelle envolée de jouissance gueulée à pleins poumons.
Je peux jeter un oeil sur l'accouplement adultère. Ils sont trop occupés à poursuivre au galop l'ivresse des sens pour s'apercevoir de ma présence. J'en profite pour faire les poches du truand qui vient de faire oublier à ma femme ses engagements de fidélité en attendant notre mariage. D'ailleurs Patricia semble avoir accepté d'épouser son protecteur. Ses orgasmes l'ont transportée dans un monde fabuleux dont je suis exclu par décision de ce sale individu. Faire les poches du queutard, dans ces conditions, ne peut pas être un acte blâmable. Là, je tire une enveloppe pleine d'une importante liasse de billets de banque. Je n'ai pas le temps de les compter, mais je ne serais pas étonné d'apprendre que la somme correspond aux retenues et frais divers retirés des gains de sa proie. J'empoche, ce sera une compensation !
La découverte suivante est encore plus intéressante, il s'agit d'un portefeuille dont la pièce principale est une carte d'identité. Mamadou n'est qu'un pseudonyme, Monsieur Lenfileur se prénomme Gaston, a trente-huit ans. J'ai son adresse dans la ville. Voyons si sa maison est aussi belle que dans la description, faite à Patricia, du paradis qui l'attendrait si elle faisait équipe avec lui. Il est à peine neuf heures. Je peux supposer que Mamadou sait qu’il n’atteindra pas son objectif record avant midi. Même un étalon aussi doué que lui a besoin de souffler entre deux coups. Je veux vérifier et avant midi je saurai qui est vraiment ce briseur de couples..
Une magnifique créature à crinière noire m'ouvre la porte. C'est une femme noire, élancée, aux seins opulents et à la croupe proéminente si caractéristique des africaines. Elle est somptueuse. Un instant je perds contenance avant d'oser demander si c'est bien ici qu'habite monsieur Gaston. L'utilisation du prénom me vaut un sourire bienveillant et une réponse plus que stupéfiante :
- Ah, vous êtes un ami de mon mari ? Un collègue de travail peut-être ? Vous enseignez dans son lycée? Seriez-vous le nouveau prof de sport qui doit le décharger en partie de ses trop nombreuses obligations.
Je me contente de sourire. Elle pourra croire ce qu'elle veut, je n'affirme et je ne nie rien. La dame est volubile et se réjouit visiblement de l'arrivée du collègue qui va soulager Gaston ! Alors que je sais parfaitement qui le soulage, de quoi et comment en ce moment. La merveilleuse épouse se plaint
- C'est que je n'ai plus de mari. Il est surchargé de cours et s'occupe en dehors du lycée d'associations sportives en qualité d'entraîneur de foot, de hand, de basket. Ou bien il est tantôt secrétaire ou président de l’une ou l’autre. Il n'a plus de temps pour moi. Lorsqu'enfin il revient à la maison, c'est un homme épuisé qui a bien du mal à me traiter en épouse. Votre arrivée me comble de joie. Je vais revivre.
La révélation de la situation difficile de cette belle femme s'explique facilement quand on sait à quelles activités nocturnes ce mari fatigué se livre sous prétexte d'entraînement et autres réunions de prétendues associations ou encore d'accompagnement en déplacement des équipes imaginaires ! Mais négliger ce corps de déesse, est un sacrilège tout aussi révoltant que de soumettre ma future femme à des assauts furieux destinés à en faire une gagneuse. Je décide de jouer carte sur table.
Le choc est terrible pour Rana. Elle devient grise quand je lui dis que ce matin le professeur de sport du lycée donne des cours particuliers en dehors de l'établissement. Elle n'en revient pas d'apprendre la nature de ces cours, me traite d'imposteur, veut me jeter dehors. Je me laisse pousser vers la porte. Je pourrai annoncer à Patricia qu'elle sera la deuxième épouse de ce brillant baiseur. Voilà peut-être de quoi la ramener à la raison. Peut-être mesurera-t-elle alors la gravité de ses erreurs.
Mon apparente indifférence intrigue Rana. Sa main retient mon bras. Elle enchaîne :
-Excusez-moi. Ce que vous me dites est si incroyable ! Vous me parlez de mon mari et de votre femme, c’est bien cela ? Si je comprends, vous les avez surpris au lit mais vous les avez laissé continuer à copuler sans rien dire. N’est-ce pas étonnant, ça aussi. Vous auriez dû les tuer !
-Je n’ai aucun goût pour la prison. Comme je suis l’événement depuis son origine, j’ai voulu en comprendre les tenants et aboutissants. J’ignorais que ce « Mamadou » était marié, je n’aurais pas pu imaginer qu’un prof pût étaler ses vices sur internet où n’importe qui pourrait le reconnaître, je pensais ma compagne mieux armée mentalement contre les tentations d’argent ou de plaisir sexuel. Finalement je ne sais plus où je vais, ce que je dois faire, comment me sortir de ce pétrin. Je n(oublie pas le rôle de Claude ni les attentes de sa femme Eloïse aussi surprise et furieuse que vous. Je réfléchis à la bonne manière de neutraliser Mamadou comme nous avons mis Claude hors d’état de nuire. Mais il se fait tard, je vais tenter de lier votre mari avec des fils électriques. Il faudra que je le surprenne et que j’agisse avec rapidité.
-Attendez, je crois pouvoir vous aider à l’immobiliser. Pendant une période, hélas oubliée, Gaston m’attachait les pieds et les mains aux quatre coins du lit et s’amusait à toutes sortes de jeux érotiques qui l’émoustillaient. Permettez que je ne m’étende pas sur le sujet, je n’en parle que pour vous offrir les menottes qu’il utilisait alors. Elles dorment dans un tiroir et seront à vous à une condition : vous me menez chez vous et je pourrai vous seconder.
-Vous voulez le tuer ? Je ne peux pas accepter.
-C’est à prendre ou à laisser. Pourquoi ne serais-je pas capable de maîtriser ma colère et d’agir avec le même sang-froid que vous ? Faites-moi confiance. Lions-les ensemble et vengeons-nous en leur donnant le spectacle à notre tour. Ils seront attachés et nous pourrons leur montrer que vous et moi avons un sexe et que nous savons nous en servir. Ah ! C’est vrai, je suis noire de peau et vous avez peut-être de la répugnance pour les « négresses » comme vous dites.
-Je n’emploie pas ce mot. Je trouve même que vous êtes belle, élégante et attirante. Eloïse m’a fait une proposition de même nature. Je perds une femme et j’en gagnerais deux. A bigamie n’est pas mon rêve Pardon, ne précipitons pas les choses. En premier rendons-nous maîtres de la situation. Pour la suite, j’ai ma petite idée. Je vous expliquerai. Il faut nous hâter maintenant. Venez.
Mamadou se déplace. Je l’entends aller, pisser et sitôt soulagé, retourner à la charge. Il ignore ma présence, cependant même sans public,il commente ses faits et gestes et il commande d’un ton sans réplique. Il dit ;- Lèche,
Patricia, domptée, se plie servilement à ses désirs. Même par amour, jamais, avec moi ; elle n'a été aussi prompte à réagir aux souhaits. Peut-être ai-je manqué de fermeté avec elle ? Aurait-elle osé me servir sa fable du « travail social », si j’avais utilisé les méthodes rudes de l’amant qui la mate actuellement ? Mon respect m’a trahi, je l’aimais trop pour lui imposer mes volontés. Je recueille les fruits de mon comportement trop raisonnable pour sa nature.
Il a dit, elle saisit le sexe ramolli et sa langue en parcourt toute la longueur, du scrotum jusqu’ au gland, puis elle redescend à la base et mouille en remontant, langue à plat ou de la pointe, soit le dessus soit le dessous de la verge encore peu rigide ou encore les côtés. Elle accomplit à plusieurs reprises cette distance, n'oublie pas la moindre parcelle de la peau veinée de bleu. jusqu'au commandement suivant. Il dit:
-Suce et gratte moi les couilles.
Elle se penche encore pour emboucher la tête du chibre. Sa chevelure monte et descend. L'horrible retrouve sa raideur et il ordonne:
- Tourne ton cul, penche-toi. En route vers ta quatrième jouissance T'es serrée juste ce qu'il faut pour l'instant. Il faudra exercer ton périnée pour lui garder son élasticité. Tu sens pénétrer ma queue ? N’est-ce pas fameux ?
- Oh ! Oui, mais qu'est-ce qu'elle est grosse! Va doucement ou je ne tiendrai pas le coup jusqu'au dixième orgasme si tu m'abîmes le vagin. Et ce soir je ne pourrai pas assurer le spectacle avec toi. Pitié, ne force pas.
-Tais-toi, mauviette. J'aime t'entendre gémir de bonheur. Tiens, prends ça ! Ca fait du bien, non ? Hé vlan, bien au fond, c'est ça, lève ton cul un peu plus haut et résiste à la pression.
Le sommier grince, c’est reparti pour un tour. Patricia est tournée vers la tête de lit, cheveux épars sur les bras, fesses en l’air et Mamadou s’enfourne et défourne à allure démentielle. Qu'est-ce qu'il lui met ! Il mène un train d’enfer, cogne son bas ventre sur les fesses rouges, se moque des réclamations et poursuit assidûment la recherche de l’orgasme prochain. Seul compte le résultat, seules sont belles les exclamations arrachées. Ses poussées font remonter le corps bousculé. Il n'est pas neuf heures, trois orgasmes ont eu raison des velléités de résistance de Patricia. Mamadou a annoncé qu'il réussirait à la combler à sept reprises encore avant midi ; et il vient de la pénétrer en force pour la guider vers une nouvelle envolée de jouissance gueulée à pleins poumons.
Je peux jeter un oeil sur l'accouplement adultère. Ils sont trop occupés à poursuivre au galop l'ivresse des sens pour s'apercevoir de ma présence. J'en profite pour faire les poches du truand qui vient de faire oublier à ma femme ses engagements de fidélité en attendant notre mariage. D'ailleurs Patricia semble avoir accepté d'épouser son protecteur. Ses orgasmes l'ont transportée dans un monde fabuleux dont je suis exclu par décision de ce sale individu. Faire les poches du queutard, dans ces conditions, ne peut pas être un acte blâmable. Là, je tire une enveloppe pleine d'une importante liasse de billets de banque. Je n'ai pas le temps de les compter, mais je ne serais pas étonné d'apprendre que la somme correspond aux retenues et frais divers retirés des gains de sa proie. J'empoche, ce sera une compensation !
La découverte suivante est encore plus intéressante, il s'agit d'un portefeuille dont la pièce principale est une carte d'identité. Mamadou n'est qu'un pseudonyme, Monsieur Lenfileur se prénomme Gaston, a trente-huit ans. J'ai son adresse dans la ville. Voyons si sa maison est aussi belle que dans la description, faite à Patricia, du paradis qui l'attendrait si elle faisait équipe avec lui. Il est à peine neuf heures. Je peux supposer que Mamadou sait qu’il n’atteindra pas son objectif record avant midi. Même un étalon aussi doué que lui a besoin de souffler entre deux coups. Je veux vérifier et avant midi je saurai qui est vraiment ce briseur de couples..
Une magnifique créature à crinière noire m'ouvre la porte. C'est une femme noire, élancée, aux seins opulents et à la croupe proéminente si caractéristique des africaines. Elle est somptueuse. Un instant je perds contenance avant d'oser demander si c'est bien ici qu'habite monsieur Gaston. L'utilisation du prénom me vaut un sourire bienveillant et une réponse plus que stupéfiante :
- Ah, vous êtes un ami de mon mari ? Un collègue de travail peut-être ? Vous enseignez dans son lycée? Seriez-vous le nouveau prof de sport qui doit le décharger en partie de ses trop nombreuses obligations.
Je me contente de sourire. Elle pourra croire ce qu'elle veut, je n'affirme et je ne nie rien. La dame est volubile et se réjouit visiblement de l'arrivée du collègue qui va soulager Gaston ! Alors que je sais parfaitement qui le soulage, de quoi et comment en ce moment. La merveilleuse épouse se plaint
- C'est que je n'ai plus de mari. Il est surchargé de cours et s'occupe en dehors du lycée d'associations sportives en qualité d'entraîneur de foot, de hand, de basket. Ou bien il est tantôt secrétaire ou président de l’une ou l’autre. Il n'a plus de temps pour moi. Lorsqu'enfin il revient à la maison, c'est un homme épuisé qui a bien du mal à me traiter en épouse. Votre arrivée me comble de joie. Je vais revivre.
La révélation de la situation difficile de cette belle femme s'explique facilement quand on sait à quelles activités nocturnes ce mari fatigué se livre sous prétexte d'entraînement et autres réunions de prétendues associations ou encore d'accompagnement en déplacement des équipes imaginaires ! Mais négliger ce corps de déesse, est un sacrilège tout aussi révoltant que de soumettre ma future femme à des assauts furieux destinés à en faire une gagneuse. Je décide de jouer carte sur table.
Le choc est terrible pour Rana. Elle devient grise quand je lui dis que ce matin le professeur de sport du lycée donne des cours particuliers en dehors de l'établissement. Elle n'en revient pas d'apprendre la nature de ces cours, me traite d'imposteur, veut me jeter dehors. Je me laisse pousser vers la porte. Je pourrai annoncer à Patricia qu'elle sera la deuxième épouse de ce brillant baiseur. Voilà peut-être de quoi la ramener à la raison. Peut-être mesurera-t-elle alors la gravité de ses erreurs.
Mon apparente indifférence intrigue Rana. Sa main retient mon bras. Elle enchaîne :
-Excusez-moi. Ce que vous me dites est si incroyable ! Vous me parlez de mon mari et de votre femme, c’est bien cela ? Si je comprends, vous les avez surpris au lit mais vous les avez laissé continuer à copuler sans rien dire. N’est-ce pas étonnant, ça aussi. Vous auriez dû les tuer !
-Je n’ai aucun goût pour la prison. Comme je suis l’événement depuis son origine, j’ai voulu en comprendre les tenants et aboutissants. J’ignorais que ce « Mamadou » était marié, je n’aurais pas pu imaginer qu’un prof pût étaler ses vices sur internet où n’importe qui pourrait le reconnaître, je pensais ma compagne mieux armée mentalement contre les tentations d’argent ou de plaisir sexuel. Finalement je ne sais plus où je vais, ce que je dois faire, comment me sortir de ce pétrin. Je n(oublie pas le rôle de Claude ni les attentes de sa femme Eloïse aussi surprise et furieuse que vous. Je réfléchis à la bonne manière de neutraliser Mamadou comme nous avons mis Claude hors d’état de nuire. Mais il se fait tard, je vais tenter de lier votre mari avec des fils électriques. Il faudra que je le surprenne et que j’agisse avec rapidité.
-Attendez, je crois pouvoir vous aider à l’immobiliser. Pendant une période, hélas oubliée, Gaston m’attachait les pieds et les mains aux quatre coins du lit et s’amusait à toutes sortes de jeux érotiques qui l’émoustillaient. Permettez que je ne m’étende pas sur le sujet, je n’en parle que pour vous offrir les menottes qu’il utilisait alors. Elles dorment dans un tiroir et seront à vous à une condition : vous me menez chez vous et je pourrai vous seconder.
-Vous voulez le tuer ? Je ne peux pas accepter.
-C’est à prendre ou à laisser. Pourquoi ne serais-je pas capable de maîtriser ma colère et d’agir avec le même sang-froid que vous ? Faites-moi confiance. Lions-les ensemble et vengeons-nous en leur donnant le spectacle à notre tour. Ils seront attachés et nous pourrons leur montrer que vous et moi avons un sexe et que nous savons nous en servir. Ah ! C’est vrai, je suis noire de peau et vous avez peut-être de la répugnance pour les « négresses » comme vous dites.
-Je n’emploie pas ce mot. Je trouve même que vous êtes belle, élégante et attirante. Eloïse m’a fait une proposition de même nature. Je perds une femme et j’en gagnerais deux. A bigamie n’est pas mon rêve Pardon, ne précipitons pas les choses. En premier rendons-nous maîtres de la situation. Pour la suite, j’ai ma petite idée. Je vous expliquerai. Il faut nous hâter maintenant. Venez.
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