Nos retrouvailles, partie 1
Récit érotique écrit par IDK [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Nos retrouvailles, partie 1
Mon copain et moi habitons loin l'un de l'autre. Très loin. Genre à plus de 5500 kilomètres. Alors, quand nous nous voyons, nous en profitons. Il est du genre traditionnel dans ses pratiques sexuelles alors que moi, sans pour autant faire dans la science-fiction, j'ai envie de choses qui sortent un peu de l'ordinaire. En gros, j'aimerais qu'on fasse l'amour dans des endroits insolites. Quand il était venu m'avait accompagné pour mon emménagement, il m'avait surpris en me suçant dans un parc très visité. Alors, évidemment, j'en ai voulu encore plus.
Mon copain vint me rendre visite à nouveau. Je lui avais promis que nous irions visiter un grand parc national qu'il n'avait jamais vu. Le genre de parc où tout est plus grand que vous. J'avais loué une voiture pour que nous puissions nous y rendre et j'avais laissé Yoann conduire. Ici, on conduit des voitures automatiques alors j'ai voulu qu'il teste. La route devenait longue malgré les paysages magnifiques. Pour passer le temps, je rêvassais : c'est alors que je pensais à un de mes fantasmes. Sucer mon copain pendant qu'il conduit. Voilà, j'étais excité et il fallait que je tente quelque chose, surtout que la route était déserte. Je me tournais alors vers lui et décida d'aller droit au but. Je commençais par l'exciter en caressant son entrejambe et en réaction, il me fit son sourire coquin : il savait que j'avais envie. Je décidais alors de sortir sa queue de son jean et je me baissais en même temps pour le sucer. Mais il me stoppa. Yoann me dit que c'est trop dangereux de faire cela en conduisant et qu'on le fera plus tard. J'étais fâché et frustré : l'occasion était trop belle et je me dis à ce moment-là que mon fantasme en resterait un. Alors, pour essayer de me changer les idées, je restais tourné vers la fenêtre à regarder la forêt. Les arbres étaient rouges, oranges et jaunes, c'était tellement beau ... mais cela ne calmait pas la tension qu'il y avait entre nous deux. Le silence était pesant. La route passa et nous arrivâmes au parc. À vrai dire, sans le péage, nous nous serions déjà cru dans le parc. Il y avait encore 25 minutes de trajet à faire avant d'arriver à notre lieu de randonnée. La route devint sinueuse et comme Yoann est toujours très prudent au volant, je ne m'étonnais pas qu'il ralentisse mile fois trop à un virage. J'avais vraiment hâte d'arriver. Soudain, Yoann m'interpella.
M : Quoi ?
Je ne le regardais pas alors il tenta de prendre ma main. Je le repoussais, toujours en regardant vers la forêt. Il retenta à nouveau avec plus de force et il y arriva. Je me retournais pour râler, mais je n'eus pas le temps. Il venait de poser ma main sur sa bite, au meilleur de sa forme. Je compris mieux les ralentissements exagérés. Il en avait profité pour baisser discrètement son jean et son boxer afin de sortir sa queue. La situation était bandante, mais je n'eus pas le temps de réfléchir. Il passa sa main derrière ma tête et m'appuya dessus pour que je me baisse. Cette fois-ci, il n'eut besoin de forcer.
Y : Suce-moi.
Il ne faut pas me le demander deux fois. Je pris sa queue en bouche et je commençais des vas et viens. Ce que j'adore par- dessus tout, c'est de lui faire des gorges profondes. C'était bon, sa bite était au plus profond de moi. Je restais quelques secondes avant de vouloir reprendre mon souffle, mais Yoann, comme par vengeance, me revissa son engin au fond de ma bouche. Il me bloqua la tête. Je décidais alors de jouer le jeu et de l'exciter comme je pouvais. Je lui massais les couilles, il adorait cela et je lui tirais un gémissement. Il est plus expressif que moi d'habitude mais sûrement pour ne pas perdre pied, il ne s'était pas encore laissé aller aux petits bruits. Il relâcha la pression et je pu à nouveau respirer. Je n'eus pour autant le temps de me reposer. Il saisit ma bouche avec sa main, m'embrassa goulûment avant de remettre sa queue au chaud. Comme la route était en ligne droit sur quelques centaines de mètres, il commença à faire des mouvements de va et vient. Il me limait la bouche. J'adorais ça, c'est ce qui me fait bander le plus. D'ailleurs, j'étais très serré dans mon jean. La situation faisait que je n'avais pas encore pu me branler et c'était dur de résister. Cependant, je gardais toute mon attention sur sa bite. Les virages reprirent et il stoppa ses allers retours entre mes lèvres. Je repris alors mon travail. Je voulais qu'il vienne en moi. Nous allions bientôt arriver et il fallait que je le termine vite. L'expérience serait gâchée s'il jouissait alors que la voiture était à l'arrêt. Heureusement avec lui, ça n'est pas bien difficile. Je décidais de le branler et allais de plus en plus vite. Il respirait de plus en plus fort et la voiture allait de plus en plus lentement. Nous sortions du virage quand il me dit "ça arrive". Je le branlais plus rapidement encore, embrassa son ventre et d'un coup, il replaça sa queue dans ma bouche, mit un coup de rein et jouis dans ma gorge. Il avait bloqué ma tête contre lui pendant qu'il se déversait en moi. Le plaisir était intense, je n'arrivais pas à compter les jets. Je sentais la veine de sa bite de contracter sous mes lèvres ce qui m'excitait à mort. Je ne parvins pas à tout avaler. Le sperme coulait un peu sur sa queue et alors que nous allions bientôt arriver, je la nettoyais sous les coups de langue. Il se gara et par chance, il n'y avait personne pour le voir la queue à l'air. Il la rangea et je vis ça comme un adieu, comme si je n'allais pas la revoir. J'étais surexcité et je ne pouvais rien faire faire pour me soulager. Les chemins de randonnée sont balisés et donc allaient être blindés de monde. Impossible qu'il me rende la pareille. Enfin, c'est ce que je croyais ...
Mon copain vint me rendre visite à nouveau. Je lui avais promis que nous irions visiter un grand parc national qu'il n'avait jamais vu. Le genre de parc où tout est plus grand que vous. J'avais loué une voiture pour que nous puissions nous y rendre et j'avais laissé Yoann conduire. Ici, on conduit des voitures automatiques alors j'ai voulu qu'il teste. La route devenait longue malgré les paysages magnifiques. Pour passer le temps, je rêvassais : c'est alors que je pensais à un de mes fantasmes. Sucer mon copain pendant qu'il conduit. Voilà, j'étais excité et il fallait que je tente quelque chose, surtout que la route était déserte. Je me tournais alors vers lui et décida d'aller droit au but. Je commençais par l'exciter en caressant son entrejambe et en réaction, il me fit son sourire coquin : il savait que j'avais envie. Je décidais alors de sortir sa queue de son jean et je me baissais en même temps pour le sucer. Mais il me stoppa. Yoann me dit que c'est trop dangereux de faire cela en conduisant et qu'on le fera plus tard. J'étais fâché et frustré : l'occasion était trop belle et je me dis à ce moment-là que mon fantasme en resterait un. Alors, pour essayer de me changer les idées, je restais tourné vers la fenêtre à regarder la forêt. Les arbres étaient rouges, oranges et jaunes, c'était tellement beau ... mais cela ne calmait pas la tension qu'il y avait entre nous deux. Le silence était pesant. La route passa et nous arrivâmes au parc. À vrai dire, sans le péage, nous nous serions déjà cru dans le parc. Il y avait encore 25 minutes de trajet à faire avant d'arriver à notre lieu de randonnée. La route devint sinueuse et comme Yoann est toujours très prudent au volant, je ne m'étonnais pas qu'il ralentisse mile fois trop à un virage. J'avais vraiment hâte d'arriver. Soudain, Yoann m'interpella.
M : Quoi ?
Je ne le regardais pas alors il tenta de prendre ma main. Je le repoussais, toujours en regardant vers la forêt. Il retenta à nouveau avec plus de force et il y arriva. Je me retournais pour râler, mais je n'eus pas le temps. Il venait de poser ma main sur sa bite, au meilleur de sa forme. Je compris mieux les ralentissements exagérés. Il en avait profité pour baisser discrètement son jean et son boxer afin de sortir sa queue. La situation était bandante, mais je n'eus pas le temps de réfléchir. Il passa sa main derrière ma tête et m'appuya dessus pour que je me baisse. Cette fois-ci, il n'eut besoin de forcer.
Y : Suce-moi.
Il ne faut pas me le demander deux fois. Je pris sa queue en bouche et je commençais des vas et viens. Ce que j'adore par- dessus tout, c'est de lui faire des gorges profondes. C'était bon, sa bite était au plus profond de moi. Je restais quelques secondes avant de vouloir reprendre mon souffle, mais Yoann, comme par vengeance, me revissa son engin au fond de ma bouche. Il me bloqua la tête. Je décidais alors de jouer le jeu et de l'exciter comme je pouvais. Je lui massais les couilles, il adorait cela et je lui tirais un gémissement. Il est plus expressif que moi d'habitude mais sûrement pour ne pas perdre pied, il ne s'était pas encore laissé aller aux petits bruits. Il relâcha la pression et je pu à nouveau respirer. Je n'eus pour autant le temps de me reposer. Il saisit ma bouche avec sa main, m'embrassa goulûment avant de remettre sa queue au chaud. Comme la route était en ligne droit sur quelques centaines de mètres, il commença à faire des mouvements de va et vient. Il me limait la bouche. J'adorais ça, c'est ce qui me fait bander le plus. D'ailleurs, j'étais très serré dans mon jean. La situation faisait que je n'avais pas encore pu me branler et c'était dur de résister. Cependant, je gardais toute mon attention sur sa bite. Les virages reprirent et il stoppa ses allers retours entre mes lèvres. Je repris alors mon travail. Je voulais qu'il vienne en moi. Nous allions bientôt arriver et il fallait que je le termine vite. L'expérience serait gâchée s'il jouissait alors que la voiture était à l'arrêt. Heureusement avec lui, ça n'est pas bien difficile. Je décidais de le branler et allais de plus en plus vite. Il respirait de plus en plus fort et la voiture allait de plus en plus lentement. Nous sortions du virage quand il me dit "ça arrive". Je le branlais plus rapidement encore, embrassa son ventre et d'un coup, il replaça sa queue dans ma bouche, mit un coup de rein et jouis dans ma gorge. Il avait bloqué ma tête contre lui pendant qu'il se déversait en moi. Le plaisir était intense, je n'arrivais pas à compter les jets. Je sentais la veine de sa bite de contracter sous mes lèvres ce qui m'excitait à mort. Je ne parvins pas à tout avaler. Le sperme coulait un peu sur sa queue et alors que nous allions bientôt arriver, je la nettoyais sous les coups de langue. Il se gara et par chance, il n'y avait personne pour le voir la queue à l'air. Il la rangea et je vis ça comme un adieu, comme si je n'allais pas la revoir. J'étais surexcité et je ne pouvais rien faire faire pour me soulager. Les chemins de randonnée sont balisés et donc allaient être blindés de monde. Impossible qu'il me rende la pareille. Enfin, c'est ce que je croyais ...
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