Titre de l'histoire érotique : Nos retrouvailles, partie 2
Récit érotique écrit par IDK [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Nos retrouvailles, partie 2
Notre arrivée dans le parc fut mouvementée ... Je cachai tant bien que mal mon érection et nous descendîmes de la voiture. Nous décidions de nous renseigner sur la randonnée au poste d'accueil. Au comptoir, le guide nous expliqua qu'à cause des pluies de la veille, les sentiers alentour étaient impraticables. C'était bien notre veine. Je compris mieux pourquoi il n'y avait personne. J'étais un peu déçu, car je connais le lieu et les différentes vues sont à couper le souffle. Le guide nous proposa cependant deux alternatives. Une nous faisant rebrousser chemin, l'autre cinq minutes plus loin. Il était à peine dix heures, pas de raison de se priver de l'une ou de l'autre. Nous nous redirigeâmes alors vers la voiture.
Y : C'est ton tour.
M : Ouais je prends le volant. Je savais très bien ce qu'il voulait dire, mais je fis semblant.
Y : Mais pas que …
J'ouvris la portière, m'assis et regardai autour de moi. C'était toujours désert. L'excitation remonta et je bandai direct. Alors que je m’attendais à la même chose qu'à l'aller, Yoann me rejoignit de mon côté. Il vint m'embrasser et me massa l'entrejambe.
Y : Enlève moi-ça.
Je m'exécutai et baissai mon pantalon avec mon boxer rouge. Il prit alors mon sexe en main et commença à me branler pendant qu'il m'embrassait langoureusement. Je gémis de plaisir, la libération après la frustration faisait tellement de bien. Il finit par lâcher ma bouche et descendit me sucer.
M : No …
Trop tard, je ne pouvais plus l'arrêter. Enfin... je n'en avais pas vraiment envie. Mais au bout d'une minute, je me retirais de sa bouche.
M : Allez, en voiture ptit cul ...
Il vint s'installer à côté de moi, nous fermâmes les portières et le temps que je démarre, il était revenu avaler ma queue. Et ce n'était pas qu'une image. Un mort de faim, pire que moi. J'adore sa bouche, elle est grande, ses lèvres sont tellement belles et douces. À embrasser, c'est le rêve et quand il me suce, ce n'est pas désagréable non plus ! J'avais un peu de mal à sortir du parking tellement c'était bon. Heureusement, je suis toujours long à venir et je savais que j'allais profiter longtemps de la situation. Dans l'excitation, nous n'avions pas décidé de quel chemin nous ferions en premier. Enfin, lui non, mais moi oui. Le plus court ça va de soi. Pourquoi ? Pour passer aux choses sérieuses. Vu la fréquentation du parc, il était certain que nous ne serions pas dérangés avant une bonne heure. Largement suffisant pour prendre notre pied ! Je prenais donc la route et je m'attelais à lui faire comme il m'avait fait. Je mettais des coups de reins, bloquais ma queue au fond de sa gorge, lui imposais un rythme ... c'était super excitant, mais le trajet passa évidemment très vite et nous arrivâmes au début du sentier. Je me garais sur le bas côté. Comme prévu, personne. Il se releva.
Y : Nous sommes déjà arrivés ?
M : Oui, c'est ici.
Y : Je n'ai pas fini...
M : Je ne te le fais pas dire !
Je détachai alors ma ceinture, sortis de la voiture et fis le tour côté passager. J'ai besoin de le sucer à nouveau. Me mettre en condition. Même si d'habitude, il lui faut plusieurs heures entre deux actes, je savais qu'il bandait à nouveau. Et fort. J'ouvrai la portière. Yoann fut tout d'abord surpris quand je massai à nouveau son entrejambe. Un frisson traversa son corps. Puis il reprit vite raison, ouvra son pantalon et sortit sa bite. Il appuyait sur ma tête, il avait compris. J'étais à nouveau en train de le sucer, mais cette fois-ci, je ne voulais pas en rester là. Je me branlais en même temps et le plaisir montait furieusement. Le feu d'artifice serait impressionnant, mais il devait attendre. J'avais prévu le coup, au cas où Yoann cède à mes pulsions sexuelles. Je pris le lubrifiant dans la boite à gants et en appliquais sur son membre. Un nouveau frisson.
Y : Coquin va !
Je serrai alors sa queue avec main et je la descendis tout le long comme s'il enchaînait la pénétration de petits culs bien serrés. Ça l'excitait à mort et moi aussi. Je remontai l'embrasser, je ne tenais plus. Je le voulais en moi. J'enlevai totalement mon jean et rentrai dans la voiture. Je me positionnai à califourchon au-dessus de lui et guidais sa bite vers mes fesses. Nous nous embrassâmes de plus belles : nos étreintes se faisaient plus fortes, nos souffles plus rapides et les gémissements plus bruyants. Je descendis alors mes fesses sur sa chaire fièrement érigée. Il rentra en moi. Je le regardai dans les yeux.
M : Ne bouge pas.
Il me sourit. J'étais serré et je ne voulais pas qu'il me fasse mal. C'est toujours moi qui prends les choses en main au début. Mais comme d'habitude, il fit un mouvement presque inconscient avec sa queue. Je lui tapai sur l'épaule.
M: Qu'est-ce que j'ai dit ?
Y : Désolé.
Après quelques secondes, je sentis que je pouvais aller plus loin et je descendis encore un peu. Je n'en pouvais plus, je décidai d'aller jusqu'au bout d'un coup. J'arrachai un cri de satisfaction à Yoann.
M : Mmm !
Y : C'est très serré ...
Je l'embrassai puis le regardai à nouveau dans les yeux.
M : Fais-moi l'amour !
Il commença alors des vas et viens tout doucement. Je caressai son torse avec ma main droite et avec ma main gauche, je pris sa joue pendant que nous nous embrassions.
M : Vas-y plus fort...
Il adore quand je lui dis ça. J'ai toujours l'impression qu'il prend ça comme un défi. Alors, il se mit à accélérer, j'aimais ça. Ma tête tomba dans le creux de son cou alors qu'il me limait tout en me tenant les fesses. Il commença à m'embrasser à droite de mon cou : ça me fit un effet de dingue. Je perdais pied. Soudain, il me redressa et me poussa en arrière vers le pare-brise. Je savais ce qu'il voulait faire et je n'allais pas l'en empêcher. Je me retins sur le tableau de bord alors qu'il commençait à me mettre des coups de reins secs. Cela agissait directement sur ma prostate et m'arrachait un cri à chaque fois. C'est fou ce que c'était bon. Il jouait avec sa queue dans mon cul. Il alternait les vitesses et la force qu'il mettait dans ses vas et vient. Je savais qu'il ne tiendrait pas longtemps vu l'excitation. Je voulais tester d'autres choses avant qu'il ne jouisse. Alors, je me relevai et l'invitai à me suivre à l'arrière de la voiture. J'ouvris la portière et m'allongeai sur le dos, sur la banquette. Je n'eus pas besoin de lui expliquer la marche à suivre. Toujours le boxer et le pantalon baissés juste en dessous de ses couilles, il me leva les jambes, les posa sur ses épaules et rapprocha mon cul du bord du siège. Il me pénétra sans difficulté et reprit son limage en bonne et due forme.
Y : Je t'aime.
M : Moi aussi je t'aime, dis-je essoufflé.
Il m'embrassa comme si nous ne nous étions pas vu depuis longtemps. La position était plus bestiale mais l'ambiance plus tendre. Et pourtant, alors qu'il reprenait de la vitesse, ça ne l'empêcha pas de casser le romantisme quelques secondes plus tard.
Y : J'aime ton cul bien serré ...
Je lui fis un grand sourire avec mon regard lubrique.
Y : T'es ma lope.
Je n'eus même pas le temps de contester qu'il me mit un coup de queue bien fort, de quoi me faire gémir de plaisir. Il continua dans ses grands mouvements histoire de me faire sentir qui menait la danse. Mais, très vite, ses mouvements retombèrent en intensité, signe que la fin était proche s'il ne se contrôlait pas. Je ne lui laissai pas le choix de continuer, je voulais tester deux autres positions.
Je me mis sur le ventre, toujours sur la banquette, les pieds touchant la route. Il prit alors mon cul à deux mains et m'enfonça sa bite au plus profond. Ce que j'aimais ça. Il fit quelques vas et viens mais il était fébrile. Nous tînmes peut-être deux minutes dans cette position, ou moins. Alors, je t'entamai la dernière étape. Celle du capot. Je tirai une serviette de mon sac à dos situé sur le siège arrière et vins la placer sur le devant de la voiture. Bien sûr, je me mis à plat ventre dessus, tendant mon cul à Yoann. Je le vis alors arriver la bite à la main, désormais tout nu. C'était tellement excitant. J'aurais pu tuer pour ça. Il passa derrière moi et s'enfonça jusqu'au fond de mes fesses. Il se mit à me limer comme un sauvage. Il gémissait fort et j'étais à la limite de crier de plaisir. Je parvins à peine à prendre ma bite main pour me branler. Je n'en avais pas vraiment besoin de toute façon. Je n'aurais qu'à le sucer un peu pour jouir. C'était tellement sauvage que la voiture bougeait. Elle suivait nos mouvements. Yoann ralentit.
Y : Ça vient.
Il se retira de moi et je me dépêchai de chercher le lubrifiant. Je voulais pouvoir le sucer et lui nettoyer la queue. J'appliquai le gel et le branlai à toute vitesse. Je me mis à genoux devant lui, dos au capot. Je ne résistai pas à l'envie de le reprendre en bouche quelques secondes. Mais il retire a trop vite mon jouet d'entre mes lèvres pour se terminer. Il se branlait devant moi et ne put s'empêcher de se caresser. Je lui léchai les couilles et embrassai la base de sa bite, par-dessous. J'aimais cette vision et le contact avec ma joue était tellement excitant.
Y : Ça arrive !!
J'ouvrai alors ma bouche, sortis légèrement ma langue pour recueillir son jus et il vint placer son gland sur le bord de ma lèvre inférieure. Il se branla très rapidement et soudain, la délivrance. Je sentis sa veine faire pression sur ma lèvre pendant qu'il jouissait. Le premier jet m'en mit partout sur le visage. En arriva un deuxième, un troisième, un quatrième puis un dernier qui termina enfin dans ma bouche. J'avalai ce que je pouvais. J'aimais ce goût. J'en boirais à tous les repas.
Y : Pfiou !
Comme prévu, je nettoyai sa queue avec ma langue et je la pris au fond de ma gorge. J'aime jouir avec sa bite entre les lèvres. Je me branlais de plus en plus vite et mes gémissements indiquaient que cela arrivait. Yoann retira alors sa bite de ma bouche.
Y : Relève-toi, je veux que tu te termines sur mon visage.
Je me levai, continuai quelques secondes mes vas et viens et je jouis. Trois jets. Son visage était couvert de sperme. Le premier jet fut violent. Ses lèvres étaient recouvertes de mon jus. Je le trouvais sublime comme ça. Ça continue de m'exciter. J’aurais pu jouir une seconde fois. Il se releva et nous nous embrassâmes langoureusement, Yoann me plaquant contre le capot. Nous mélangeâmes nos spermes avec nos langues. Nous finîmes par relâcher notre étreinte.
M : C'était bon.
Y : Tu es content ?
M : Ben oui pourquoi ?
Y : J'ai réalisé ton fantasme.
M : ... oui oui...
Je savais que je n’en avais pas fini avec lui pendant sa visite chez moi et qu’il ne serait pas au bout de ses surprises. Je remarquai que sur le capot, du sperme avait coulé. J’allais pour l'essuyer.
Y : Non, laisse. Ça fera un souvenir.
M : Ils vont faire une drôle de tête quand je vais leur rendre la voiture. Remarque, ça donnera peut-être des idées au gars et qu'enfin on fera un plan à trois !
Y : Ouais ouais, c'est ça. Rêve toujours.
Nous nous rhabillâmes tranquillement. Alors que nous prenions nos affaires dans le coffre pour faire la randonnée, une voiture arriva. Nous avions vraiment terminé à temps. Descendait un jeune couple. La fille banale, le mec plutôt mignon. On se salua.
M : Il est mignon, dis-je en murmurant.
Y : Ouais un bon petit cul. Bim bim bim !
M : Espèce de coquin va !
Nous étions prêts à partir. Je pris la main de Yoann et fis bien en sorte que le petit mec nous voit. Au fond moi, j'espérais qu'il verrait la trace sur le capot de notre voiture ...
Y : C'est ton tour.
M : Ouais je prends le volant. Je savais très bien ce qu'il voulait dire, mais je fis semblant.
Y : Mais pas que …
J'ouvris la portière, m'assis et regardai autour de moi. C'était toujours désert. L'excitation remonta et je bandai direct. Alors que je m’attendais à la même chose qu'à l'aller, Yoann me rejoignit de mon côté. Il vint m'embrasser et me massa l'entrejambe.
Y : Enlève moi-ça.
Je m'exécutai et baissai mon pantalon avec mon boxer rouge. Il prit alors mon sexe en main et commença à me branler pendant qu'il m'embrassait langoureusement. Je gémis de plaisir, la libération après la frustration faisait tellement de bien. Il finit par lâcher ma bouche et descendit me sucer.
M : No …
Trop tard, je ne pouvais plus l'arrêter. Enfin... je n'en avais pas vraiment envie. Mais au bout d'une minute, je me retirais de sa bouche.
M : Allez, en voiture ptit cul ...
Il vint s'installer à côté de moi, nous fermâmes les portières et le temps que je démarre, il était revenu avaler ma queue. Et ce n'était pas qu'une image. Un mort de faim, pire que moi. J'adore sa bouche, elle est grande, ses lèvres sont tellement belles et douces. À embrasser, c'est le rêve et quand il me suce, ce n'est pas désagréable non plus ! J'avais un peu de mal à sortir du parking tellement c'était bon. Heureusement, je suis toujours long à venir et je savais que j'allais profiter longtemps de la situation. Dans l'excitation, nous n'avions pas décidé de quel chemin nous ferions en premier. Enfin, lui non, mais moi oui. Le plus court ça va de soi. Pourquoi ? Pour passer aux choses sérieuses. Vu la fréquentation du parc, il était certain que nous ne serions pas dérangés avant une bonne heure. Largement suffisant pour prendre notre pied ! Je prenais donc la route et je m'attelais à lui faire comme il m'avait fait. Je mettais des coups de reins, bloquais ma queue au fond de sa gorge, lui imposais un rythme ... c'était super excitant, mais le trajet passa évidemment très vite et nous arrivâmes au début du sentier. Je me garais sur le bas côté. Comme prévu, personne. Il se releva.
Y : Nous sommes déjà arrivés ?
M : Oui, c'est ici.
Y : Je n'ai pas fini...
M : Je ne te le fais pas dire !
Je détachai alors ma ceinture, sortis de la voiture et fis le tour côté passager. J'ai besoin de le sucer à nouveau. Me mettre en condition. Même si d'habitude, il lui faut plusieurs heures entre deux actes, je savais qu'il bandait à nouveau. Et fort. J'ouvrai la portière. Yoann fut tout d'abord surpris quand je massai à nouveau son entrejambe. Un frisson traversa son corps. Puis il reprit vite raison, ouvra son pantalon et sortit sa bite. Il appuyait sur ma tête, il avait compris. J'étais à nouveau en train de le sucer, mais cette fois-ci, je ne voulais pas en rester là. Je me branlais en même temps et le plaisir montait furieusement. Le feu d'artifice serait impressionnant, mais il devait attendre. J'avais prévu le coup, au cas où Yoann cède à mes pulsions sexuelles. Je pris le lubrifiant dans la boite à gants et en appliquais sur son membre. Un nouveau frisson.
Y : Coquin va !
Je serrai alors sa queue avec main et je la descendis tout le long comme s'il enchaînait la pénétration de petits culs bien serrés. Ça l'excitait à mort et moi aussi. Je remontai l'embrasser, je ne tenais plus. Je le voulais en moi. J'enlevai totalement mon jean et rentrai dans la voiture. Je me positionnai à califourchon au-dessus de lui et guidais sa bite vers mes fesses. Nous nous embrassâmes de plus belles : nos étreintes se faisaient plus fortes, nos souffles plus rapides et les gémissements plus bruyants. Je descendis alors mes fesses sur sa chaire fièrement érigée. Il rentra en moi. Je le regardai dans les yeux.
M : Ne bouge pas.
Il me sourit. J'étais serré et je ne voulais pas qu'il me fasse mal. C'est toujours moi qui prends les choses en main au début. Mais comme d'habitude, il fit un mouvement presque inconscient avec sa queue. Je lui tapai sur l'épaule.
M: Qu'est-ce que j'ai dit ?
Y : Désolé.
Après quelques secondes, je sentis que je pouvais aller plus loin et je descendis encore un peu. Je n'en pouvais plus, je décidai d'aller jusqu'au bout d'un coup. J'arrachai un cri de satisfaction à Yoann.
M : Mmm !
Y : C'est très serré ...
Je l'embrassai puis le regardai à nouveau dans les yeux.
M : Fais-moi l'amour !
Il commença alors des vas et viens tout doucement. Je caressai son torse avec ma main droite et avec ma main gauche, je pris sa joue pendant que nous nous embrassions.
M : Vas-y plus fort...
Il adore quand je lui dis ça. J'ai toujours l'impression qu'il prend ça comme un défi. Alors, il se mit à accélérer, j'aimais ça. Ma tête tomba dans le creux de son cou alors qu'il me limait tout en me tenant les fesses. Il commença à m'embrasser à droite de mon cou : ça me fit un effet de dingue. Je perdais pied. Soudain, il me redressa et me poussa en arrière vers le pare-brise. Je savais ce qu'il voulait faire et je n'allais pas l'en empêcher. Je me retins sur le tableau de bord alors qu'il commençait à me mettre des coups de reins secs. Cela agissait directement sur ma prostate et m'arrachait un cri à chaque fois. C'est fou ce que c'était bon. Il jouait avec sa queue dans mon cul. Il alternait les vitesses et la force qu'il mettait dans ses vas et vient. Je savais qu'il ne tiendrait pas longtemps vu l'excitation. Je voulais tester d'autres choses avant qu'il ne jouisse. Alors, je me relevai et l'invitai à me suivre à l'arrière de la voiture. J'ouvris la portière et m'allongeai sur le dos, sur la banquette. Je n'eus pas besoin de lui expliquer la marche à suivre. Toujours le boxer et le pantalon baissés juste en dessous de ses couilles, il me leva les jambes, les posa sur ses épaules et rapprocha mon cul du bord du siège. Il me pénétra sans difficulté et reprit son limage en bonne et due forme.
Y : Je t'aime.
M : Moi aussi je t'aime, dis-je essoufflé.
Il m'embrassa comme si nous ne nous étions pas vu depuis longtemps. La position était plus bestiale mais l'ambiance plus tendre. Et pourtant, alors qu'il reprenait de la vitesse, ça ne l'empêcha pas de casser le romantisme quelques secondes plus tard.
Y : J'aime ton cul bien serré ...
Je lui fis un grand sourire avec mon regard lubrique.
Y : T'es ma lope.
Je n'eus même pas le temps de contester qu'il me mit un coup de queue bien fort, de quoi me faire gémir de plaisir. Il continua dans ses grands mouvements histoire de me faire sentir qui menait la danse. Mais, très vite, ses mouvements retombèrent en intensité, signe que la fin était proche s'il ne se contrôlait pas. Je ne lui laissai pas le choix de continuer, je voulais tester deux autres positions.
Je me mis sur le ventre, toujours sur la banquette, les pieds touchant la route. Il prit alors mon cul à deux mains et m'enfonça sa bite au plus profond. Ce que j'aimais ça. Il fit quelques vas et viens mais il était fébrile. Nous tînmes peut-être deux minutes dans cette position, ou moins. Alors, je t'entamai la dernière étape. Celle du capot. Je tirai une serviette de mon sac à dos situé sur le siège arrière et vins la placer sur le devant de la voiture. Bien sûr, je me mis à plat ventre dessus, tendant mon cul à Yoann. Je le vis alors arriver la bite à la main, désormais tout nu. C'était tellement excitant. J'aurais pu tuer pour ça. Il passa derrière moi et s'enfonça jusqu'au fond de mes fesses. Il se mit à me limer comme un sauvage. Il gémissait fort et j'étais à la limite de crier de plaisir. Je parvins à peine à prendre ma bite main pour me branler. Je n'en avais pas vraiment besoin de toute façon. Je n'aurais qu'à le sucer un peu pour jouir. C'était tellement sauvage que la voiture bougeait. Elle suivait nos mouvements. Yoann ralentit.
Y : Ça vient.
Il se retira de moi et je me dépêchai de chercher le lubrifiant. Je voulais pouvoir le sucer et lui nettoyer la queue. J'appliquai le gel et le branlai à toute vitesse. Je me mis à genoux devant lui, dos au capot. Je ne résistai pas à l'envie de le reprendre en bouche quelques secondes. Mais il retire a trop vite mon jouet d'entre mes lèvres pour se terminer. Il se branlait devant moi et ne put s'empêcher de se caresser. Je lui léchai les couilles et embrassai la base de sa bite, par-dessous. J'aimais cette vision et le contact avec ma joue était tellement excitant.
Y : Ça arrive !!
J'ouvrai alors ma bouche, sortis légèrement ma langue pour recueillir son jus et il vint placer son gland sur le bord de ma lèvre inférieure. Il se branla très rapidement et soudain, la délivrance. Je sentis sa veine faire pression sur ma lèvre pendant qu'il jouissait. Le premier jet m'en mit partout sur le visage. En arriva un deuxième, un troisième, un quatrième puis un dernier qui termina enfin dans ma bouche. J'avalai ce que je pouvais. J'aimais ce goût. J'en boirais à tous les repas.
Y : Pfiou !
Comme prévu, je nettoyai sa queue avec ma langue et je la pris au fond de ma gorge. J'aime jouir avec sa bite entre les lèvres. Je me branlais de plus en plus vite et mes gémissements indiquaient que cela arrivait. Yoann retira alors sa bite de ma bouche.
Y : Relève-toi, je veux que tu te termines sur mon visage.
Je me levai, continuai quelques secondes mes vas et viens et je jouis. Trois jets. Son visage était couvert de sperme. Le premier jet fut violent. Ses lèvres étaient recouvertes de mon jus. Je le trouvais sublime comme ça. Ça continue de m'exciter. J’aurais pu jouir une seconde fois. Il se releva et nous nous embrassâmes langoureusement, Yoann me plaquant contre le capot. Nous mélangeâmes nos spermes avec nos langues. Nous finîmes par relâcher notre étreinte.
M : C'était bon.
Y : Tu es content ?
M : Ben oui pourquoi ?
Y : J'ai réalisé ton fantasme.
M : ... oui oui...
Je savais que je n’en avais pas fini avec lui pendant sa visite chez moi et qu’il ne serait pas au bout de ses surprises. Je remarquai que sur le capot, du sperme avait coulé. J’allais pour l'essuyer.
Y : Non, laisse. Ça fera un souvenir.
M : Ils vont faire une drôle de tête quand je vais leur rendre la voiture. Remarque, ça donnera peut-être des idées au gars et qu'enfin on fera un plan à trois !
Y : Ouais ouais, c'est ça. Rêve toujours.
Nous nous rhabillâmes tranquillement. Alors que nous prenions nos affaires dans le coffre pour faire la randonnée, une voiture arriva. Nous avions vraiment terminé à temps. Descendait un jeune couple. La fille banale, le mec plutôt mignon. On se salua.
M : Il est mignon, dis-je en murmurant.
Y : Ouais un bon petit cul. Bim bim bim !
M : Espèce de coquin va !
Nous étions prêts à partir. Je pris la main de Yoann et fis bien en sorte que le petit mec nous voit. Au fond moi, j'espérais qu'il verrait la trace sur le capot de notre voiture ...
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