Notre première partie bi - histoire érotique

Depuis deux jours, nous avions des voisines de plage qui s’étendaient systématiquement tout à côté de nos serviettes. Elles venaient tous les jours après nous, se déshabillaient entièrement et se faisaient en public des choses pas croyables que je n’avais vu que dans des films hétéro il y a très longtemps. Détail qui tue, elles venaient tout de même se faire voir, je crois qu’on peut le dire ainsi, sur une plage naturiste gay à 200% masculine. Les hommes venaient et se rencontraient pour se mélanger tranquillement dans les dunes ou sur la plage même. On n’y avait encore jamais vu de filles se faire des choses cochonnes.

Nos deux voisines, l’une blonde, l’autre brune, n’avaient aucune pudeur. La brune en particulier adorait faire l’amour avec sa copine en regardant mon homme droit dans les yeux. Elle le provoquait. Il l’ignora pendant deux jours.

Le troisième jour, alors qu’elle se faisait lécher sa vulve épilée par sa copine tout en détaillant mon homme de haut en bas avec un large sourire aguicheur, elle se pourléchait les lèvres en lui dardant des œillades incendiaires. Mon compagnon se prit au jeu et à ma grande surprise, commença à me faire l’amour. Pris dans l’engrenage, il me fit puis me réclama une fellation tout en regardant sa voisine.

Les serviettes étendues côté à côte, la chaleur de l’été et le soleil… Ils étaient si proches l’un de l’autre qu’ils n’avaient pas grand-chose à faire pour se toucher.

La brune était bien décidée à gagner la bataille. Elle se mit spontanément à onduler du bassin en se caressant la pointe de seins et en poussant de petits cris. Soit. Mon homme, peu habitué à perdre, posa sa main sur ma nuque et me pénétra la bouche comme on prend une femme en gémissant à son tour. La guerre était déclarée. Ni l’un ni l’autre ne voulait céder et se laissait aller de plus en plus à des gémissements criés, les yeux dans les yeux. Ultime bravade : mon homme prit ma main et introduisit deux de mes doigts dans sa bouche pendant que je le suçais.

A ce moment, quelque chose implosa si l’on peut dire. D’un même mouvement, la brune et mon homme, sans cesser de recevoir nos caresses orales, se prirent mutuellement la nuque pour se rouler une pelle sauvage. Sa main s’égara sur la poitrine de mon homme pendant que sa main à lui se promena sur ses seins lourds. Dans ma bouche, Luc devenait de plus en plus dur. Il se dégagea de moi avec douceur et une main toujours sur les seins, l’autre qui descendait sur le sexe de la brune, il poursuivit son baiser.

Il s’allongea sur la fille devant mes yeux ébahis, cracha sur son sexe pour le lubrifier et sans aucune forme de procès, sans aucun préambule, se redressa à genoux, lui écarta les jambes et la pénétra au vu et au su de tout le monde. Je voyais le sexe de mon homme, ce sexe que je venais de sucer avec passion, entrer et sortir entre les lèvres gonflées de l’inconnue. La blonde, imperturbable, titillait de la pointe de sa langue le clitoris de sa compagne.

La brune commençait à gémir. Mon mec sortit d’elle et me regarda avec insistance. Il s’allongea sur le dos, fit asseoir la brune sur son sexe toujours dressé et commença lentement à la sodomiser tout en me faisant une fellation.

Ca va sembler drôle, mais il est vrai que la blonde, toujours imperturbable, titillait de la pointe de sa langue le clitoris de sa compagne.

Après m’avoir fait une longue fellation, il s’assit, le sexe toujours enfoncé dans l’anus de la brune. Il prit mon sexe dur dans sa main et le frotta avec insistance sur les lèvres de la brune. Les petits coups de langue de la blonde sur le clitoris de sa compagne me chatouillaient le gland. Par touts petits à-coups, il fit doucement entrer mon sexe dans celui de la brune.

Je la pénétrais pendant qu’il la sodomisait. Je sentais le sexe de mon mec à travers la paroi vaginale. Curieusement, la seule pensée que j’avais en tête c’est que tous les mecs qui baisaient ensemble la même fille étaient en fait gays. Nous allions et venions en cadence et nos sexes gonflés faisaient les délices de la lesbienne que nous prenions en même temps.

Aussi incroyable que cela va paraître, la blonde, qui devait avoir un long entrainement des positions rocambolesques, toujours aussi imperturbable, titillait de la pointe de sa langue le clitoris de sa compagne.

Au bout d’un petit moment où nos râles avaient faits de nous le point de mire de la plage (mais on s’en fichait éperdument), mon compagnon sortit de l’anus de la brune et son sexe poussa contre le mien, pour se frayer un chemin dans le vagin de la brune qui gémissait de plaisir. Elle avait tant de plaisir qu’elle généra suffisamment de lubrifiant pour que nous reprenions nos pénétrations.

Mon sexe frottait contre le sexe de mon homme, enchâssés tous les deux dans cette prison de chair si étrange.

Le plaisir monta et Luc sortit et je lui suivis immédiatement. Sa main agrippa mon sexe pour me masturber. Fou de plaisir, ivre de sensations, je fis de même et nous parvînmes à jouir presque en même temps sur le sexe de la brune, qui atteignait l’orgasme… en effet, sa copine blonde, surdouée de la langue, complètement imperturbable, la faisait jouir en titillant de la pointe de sa langue le clitoris de sa compagne.