Notre première partouze - histoire érotique

Mon homme et moi avions mis notre petit scénario au point. Je voulais un plan à trois « surprise ». C’était mon anniversaire aussi il s’était dit que se serait un cadeau apprécié, lol.

Il décida de tout. Il se mit en ligne pour chercher un homme susceptible de nous plaire à tous les deux. Il y mit un certain temps car nous ne partageons pas toujours les mêmes goûts : il est plus attiré par les beaux visages de mecs et moi, plutôt par les beaux corps. Je suis attiré par les presque quarantenaires, lui ne dédaigne pas les jeunes hommes de 25 ans.

Nous sommes finalement tombés d’accord sur quatre mecs différents. Nous avions décidés de contacter plusieurs mecs parce qu’hélas sur Internet, les gens s’excitent beaucoup mais se défilent souvent. Il y a souvent plus de fantasmes que de réalités sexuelles.

Dans ma tête, j’étais parti pour un marathon de baise mais il ne l’entendait ainsi. Quoiqu’il se passe je ne devais ouvrir, entièrement nu, qu’aux deux premiers. Tant pis pour les autres, s’ils ne font pas faux bond, ce sera avec eux une prochaine fois. On s’était entendu que les deux mecs nous rejoindraient au lit.

Peu avant que les invités n’arrivent, nous nous sommes mis au lit. Nous étions nus, enlacés, lorsqu’un coup de sonnette annonça notre tout premier invité. J’étais un peu anxieux mais il n’y avait pas de quoi. J’allais ouvrir entièrement nu.

Il était blond, la taille de mon mec, bien bâti mais sans trop de muscles. Un peu le double de Luc en blond. Joli visage que Luc allait prendre plaisir à embrasser. D’ailleurs, Luc m’avait rejoint et il ne perdit pas de temps pour lui rouler d’entrée une pelle incroyable, sa langue s’enroulant littéralement autour de la langue de notre invité qui déjà ôtait frénétiquement ses vêtements. Le blond, Patrick, nous rejoignit au lit et nous commençâmes à trois une longue série de baisers et de caresses en soupirant d’aise. C’était doux et c’était bon.

Mon mec est très beau gosse et il n’allait pas voir ailleurs. Patrick était sous son charme plus que sous le mien. Je regardais Luc pendant qu’il nous caressait tous les deux. C’est ainsi que je compris que Patrick lui plaisait vraiment et qu’il avait envie de lui.
- Tu as vraiment bien foutu, dis-je à Patrick, caressant sa poitrine pendant qu’il nous caressait les fesses à Luc et à moi.
- Merci, me dit-il et il se pencha sur moi pour coller sa langue sur la mienne

Un long baiser s’échangea. Puis il se tourna pour embrasser de la même façon mon homme. Je regardais leurs langues se toucher, se caresser. Ces deux là avait envie l’un de l’autre, c’est sûr. Je connaissais mon mec et je savais quand un homme l’excitait.

Un autre coup de sonnette nous arracha momentanément à notre délice de douceur masculine. Mon homme s’éclatait tant que je décidais de le laisser pour un court instant au lit avec notre hôte pour aller ouvrir. Un dernier coup d’œil sur mon mec allongé sur le blond inconnu à le caresser et l’embrasser et je me dirigeais vers la porte. Vraiment, il prenait du plaisir avec Patrick. Curieusement, je n’étais pas gêné. Un mini-pincement au cœur montait mais je savais que Luc me désirait bien plus qu’il ne le montrait en cet instant. Et puis puisque nous avions décidé d’avoir du fun, autant que l’on prenne tous notre pied, lol.

J’allais ouvrir. Là, surprise, deux personnes. Notre second invité avait décidé de venir avec son ami. Je me sentais bizarre tout nu devant deux inconnus, craignant l’impair du siècle. Il n’y avait pas de quoi. Le spectacle devait leur plaire.

Ils étaient bruns tous les deux, toujours bâtis de façon agréable et assez mignons. Je m’effaçais pour les laisser entrer. Très coquins, ils se déshabillèrent l’un l’autre. Je les regardais se dévêtir et expliquait à mon homme la situation. Il était assis sur le lit en train de prendre plaisir en recevant une fellation. Il me sourit en me disant que c’était très bien comme ça et m’invita à le rejoindre vite. Je pris le couple d’arrivants par la main et les fis entrer dans notre chambre. Une fois au lit, je me serrais contre Luc, suivi par le couple nu qui sans aucune gêne se mêla à nos ébats.

Nos jeux devenaient plus torrides. Luc aime les fellations et quatre queues raides et toutes prêtes à être sucer n’étaient pas un défi qui lui faisait peur. Il prenait du bon temps mon homme et ça se voyait. Mais fidèle à nos engagements, il ne me négligeait pas pour autant. Je restais sa pièce maitresse. J’étais moi-même très heureux. Les caresses et baisers se succédaient et je recevais et donnais des fellations à tous mes camarades de jeu.

Bastien et André, c’étaient les prénoms de nos nouveaux invités, se révélèrent des partenaires très doués. A l’évidence, ils avaient entre eux le même code que Luc et moi.

Un autre coup de sonnette. Luc me regarda, l’air coquin. Je haussais les épaules avec un sourire. Un autre coup de sonnette. Il fallait ouvrir ou pas, notre invité s’impatientait. Luc se leva nu, me laissant à la merci salace des invités dénudés.

Il ouvrit la porte, s’attendant à trouver une personne et non pas deux ! Le second coup de sonnette n’était pas dû à l’impatience de notre invité mais l’arrivée du quatrième larron convié. C’était un carton plein avec un invité de plus.

Depuis le lit je voyais la scène. Je vis mon homme sourire et ouvrir en grand la porte. Il était carrément nu devant les invités, et en pleine érection! Il les fit entrer et les embrassa tous les deux goulument. Je les regardais jeter leurs affaires et suivre Luc, complètement en rut devant le cul de mon mec. En un rien de temps, notre lit ne put plus contenir les assauts de sept mâles en chaleur. Nous dûmes migrer dans la salle à manger et nous nous sommes lancés dans une orgie d’enfer.

Au sein de notre orgie où nous nous mélangions, j’observais mon homme prendre du plaisir. Il formait un triangle avec deux autres invités, Bastien et un des deux nouveaux venus, chacun suçant allègrement la queue de l’autre. Luc frissonnait en promenant sa langue sur la queue de notre tout dernier invité tout en se faisant sucer par Bastien. Leurs désirs étaient évidents. Un moment, puis ils échangèrent leur position, le suceur de l’un devenant le sucé de l’autre, notre dernier hôte prodiguant alors une fellation bien soutenue à mon chéri qui lui-même suçait Bastien avec enthousiasme.

Les étreintes s’échangeaient et changeaient sans rimes ou raisons. Seule comptait la loi du désir. Il n’y avait qu’une seule constante : jamais mon homme ne m’a lâché. Soit nos corps étaient en contact, une main, une pression du bras ou de la jambe, soit ses yeux étaient dans les miens.

Alors que je m’occupais avec délice du couple qui était arrivé ensemble, mon homme se mit à quatre pattes. A ma grande surprise, il se laissa immédiatement pénétrer par André et leurs clameurs firent redoubler nos ardeurs. Les jambes fléchies, André le chanceux pilonnait mon homme et lui arrachait des râles de joie.

Alors que mon mec se faisait sodomiser, tel un papillon je flottais sur quatre autres corps, embrassait et suçait. Patrick, le blond qui plaisait tant à ma moitié, était décidément un bon suceur. Ses fellations étaient aussi bonnes que celles que faisaient mon mec. Une belle technique doublé d’un bel enthousiasme : il aimait ça. Bastien se débrouillait très bien aussi. A un moment ils se mirent à se partager ma queue, s’embrassant à langue déployée sur mon gland. Sentir leurs langues monter et descendre en même temps sur ma hampe me procurait de telles sensations que j’en gémissais. Il me fallu toute mon énergie pour ne pas jouir tout de suite et conserver un contact avec mon homme.

Pendant ce temps un autre homme se glissait avec délice dans l’anus de mon amoureux. Il prenait mon mec, toujours en levrette, tour à tour avec André. Luc était aux anges. Je voyais son visage exprimer le plaisir, ses yeux toujours fixés sur moi. Le dernier invité y allait plus fort qu’André, mais Luc était tellement ailleurs que n’existait pour lui que le plaisir qu’il ressentait.

Dans notre couple, je suis le passif, Luc adorant me sodomiser. Il faut même que j’insiste pour qu’il ne le fasse pas, afin qu’il puisse jouir de temps en temps dans ma bouche. J’adore quand mon homme prend du plaisir comme ça mais c’est plus rare vu que nous pratiquons assidûment la sodomie. J’aimerai sodomiser Luc plus souvent mais la taille de mon sexe lui fait un peu peur. Il me l’a permis quelque fois mais jamais à fond. Ce sont des moments de sensualité inoubliables et meilleurs que tout. Je suis accroc au derrière de mon homme.

Je me décidais donc à me glisser sous lui et avec ma langue lui gobait la queue. Son bâton de plaisir entra dans ma bouche. Je commençais à le sucer frénétiquement, en m’adaptant à la cadence de l’homme qui empalait mon mec. Luc ne restait pas inactif. Il m’écarta les cuisses et me fit une délicieuse feuille de rose tout en me masturbant. Mon homme sait mieux que quiconque me donner du plaisir. Les jambes bien écartées, je sentis soudainement un gland tendu se presser contre mon anus.

Je ne réagis pas, laissant mon homme qui après tout était dans cette position aux toutes premières loges pour prendre la décision. J’aime quand il a des initiatives sexuelles à mon égard. Ca m’excite de savoir qu’il prend le rôle légèrement dominant. Je compris que Luc lubrifiait de sa salive la verge tendue recouverte d’un préservatif. Une autre feuille de rose préparatrice et mon homme prit le sexe tendu de ce partenaire d’un soir et tout doucement le fit pénétrer mon orifice accueillant.

Nous étions sodomisés en même temps. Je ne savais pas qui me pilonnait mais il y allait de bon cœur avec l’assentiment et les râles d’encouragements de mon homme qui était aux premières loges. Au bout d’un moment, l’homme me pris par les hanches et me tira de sous Luc. Désormais au bord du lit, les jambes bien écartées, je vis Patrick qui me prenait en missionnaire pendant que Luc continuait à subir les assauts d’André et du dernier invité. Je m’accrochais à la tête de mon mec et nous partageâmes un baiser fougueux en dépit des à-coups que nos sodomiseurs respectifs nous faisaient subir.

Luc se redressa, embrasse fougueusement Patrick et le renversa avec douceur sur le lit. Il se mit à le besogner et ce fut finalement Patrick qui se retrouva allongé sur le dos, les jambes en l’air pendant que Luc le sodomisait avec passion. Le sexe fiché dans l’anus de Patrick, ils s’embrassaient et passaient un moment de grande complicité et de plaisir.

Voir le sexe de mon homme hyper excité entrer et sortir de l’anus de cet homme qui lui plaisait tant m’excitait. J’allongeais Bastien à leurs côtés et pour sa plus grande joie, je le sodomisais. De leur côté André et les deux derniers invités se lançaient, à corps perdus, dans un plan à trois.

Une ou deux secondes, le spectre de la jalousie revient me hanter, mais j’étais moi-même occupé à la même chose que Luc avec Bastien, aussi tout en continuant à pilonner Bastien, je posais les mains sur les fesses en sueur de mon homme. Ma main descendit sur les bourses de mon mâle pour finir par caresser sa queue qui entrait et sortait de l’anus de Patrick.

Les testicules de Luc se comprimèrent et il se mit en crier. Sa bouche chercha la mienne alors qu’il jouissait dans l’anus de Patrick. Voir son état d’affolement sexuel était trop fort pour mi. Répondant à sa passion, je l’embrassais de toute ma fougue en jouissant à mon tour dans l’anus de Bastien.

Il y eut quelques conciliabules, puis je fus mis sur le dos, les jambes bien relevées. Luc se mit au dessus de moi, ses jambes placées de telle façon qu’elle bloquent les miennes en l’air et son sexe toujours dur se pressant contre le mien. Dans cette position, nos deux anus étaient bien exposés et l’un très près de l’autre.

Il m’embrassait avec infiniment de tendresse lorsque je sentis un sexe entrer en moi. Tout à mon baiser, j’exprimais mon plaisir. L’un de nos invités me sodomisait tendrement et se donnait du plaisir. Puis le sexe sorti et je sentis la chaleur du corps de mon homme devenir de plus en plus vive. L’homme était sorti de moi pour entrer directement en Luc. Tout comme moi, un instant plus tôt, Luc ressentait la pression et à-coups de cette bite non identifiée dans son anus. L’homme sorti et tout à tour, tous nos invités nous prirent Luc et moi de la même manière. A aucun moment mon homme ne cessa de m’embrasser, même lorsque qu’il atteignait le paroxysme du plaisir et que son corps en sueur glissait sur ma sueur.

Luc et moi étions allongés l’un à côté de l’autre. Nous nous tenions par les épaules alors que nos partenaires se trouvaient au-dessus de nous, prêts à jouir. Chacun, soit à tour de rôle, soit en même temps, éjacula sur nos torses, en faisant bien attention de bien jouir sur Luc et sur moi. Puis, comme s’ils s’étaient mis d’accord, Bastien s’empara de la queue de Luc et Patrick de la mienne et nous masturbèrent en nous suçant jusqu’à nous arracher des cris de jouissance.

Une fois tout le monde parti, sous la douche, Luc m’embrassa tendrement.
-Tu es heureux mon chéri ?, me demanda-t-il.

J’acquiesçais.
-C’était notre première partouze ensemble et moi aussi j’ai bien aimé, me chuchota-t-il en se lovant contre moi.

J’étais ravi de cet exploit bien cochon que nous avions accompli ensemble mais j’admirais aussi mon homme. Au sein d’une partouze de sept personnes où lui comme moi avions pris notre pied comme pas possible, il avait réussi à rester en contact avec moi et à me communiquer son amour tout en profitant d’une baise majeure avec d’autres. Amour et sexe bien chaud. Je suis le plus comblé des hommes.

Je voulais remercier mon homme. Nous ne nous sommes jamais menti. Je le regardais droit dans les yeux et je lui dis :
- Tu as bien aimé Patrick, pas vrai ?
- Il me plaît, oui
- Tu voudrais le revoir ?
- Tu voudrais toi ?
- J’aimerai te faire ce cadeau
- Tu voudrais qu’on le revoie quand ?
- Tu peux le revoir une fois quand tu voudras. C’est mon cadeau pour toi.

Luc me regarda de façon bizarre. Il n’était pas sûr d’avoir bien entendu.
- Sans toi ?
- C’est mon cadeau pour te dire merci.

Luc me sourit. En dépit de la fatigue bien normale après tant d’efforts il me ramena au lit et nous fîmes de nouveau l’amour. Il me sodomisa, joui en moi puis s’assit pour faire entrer mon sexe en lui et se mit à monter et descendre jusqu’à me faire jouir une dernière fois.
- Je t’aime, conclua-t-il d’un baiser. Le reste je m’en fous.