Nudiste Episode 3
Récit érotique écrit par Zyzy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Nudiste Episode 3
(nudiste sensuel - épisode 3) A 15 heures je me retrouvais sur la plage mais mon esprit s’attardait sur mon expérience vécue le matin même. J’avais toujours eu un camarade pour me branler mais aucun n’avait eu le désir d’introduire sa langue dans mon orifice le plus intime ! Du moins aucun ne l’avait fait. Cette pensée m’excita.
Un de nos invités était célibataire. Cet homme avait une cinquantaine d’années.
C’était un ami de mon père. Dans son short de type scout, maigre et sec, il faisait penser à un officier anglais de l’armée des Indes du temps de Georges VI père de l’actuelle souveraine. En fait, il était parisien et professeur de linguistique dans une Université que je ne citerai pas. Nous avions échangé quelques propos courtois. Il était satisfait de me voir étudier le latin et le grec. Il me citait quelques vers d’Ovide car il m’avais vu ayant en main avec un extrait de ce poète et notamment ses écrits érotiques oubliés dans la bibliothèque de mon père. Certains très chauds comme Remedia amoris (avec traduction). Il se disait antimilitariste, écolo, et se nourrissant bio ! Il voulut continuer l’érudite conversation sur la terrasse qui à cette heure-là était déserte et couverte de sa toile de tente. J’étais nu comme ma mère le souhaitait. Il m’invita à s’asseoir sur ses genoux. Ma situation était rude car ses genoux osseux et dur roulaient sous mes fesses. Il me faisait lire Ovide alors que lui-même semblait haleter. Son souffle était aussi vif que ses genoux étaient anguleux. Son haleine au dentifrice bio n’avait rien d’excitant. Brusquement il me fit mettre debout, m’invita à l’attendre, sortit et revint avec un nouveau short ! Malgré ma naïveté à cet âge je compris la raison de ce changement. Mes fesses dodues avaient dû lui taquiner son giron et lui occasionner un jaillissement imprévu de son organe.
Je me suis efforcé de ne pas sourire. Il me fit promettre de la rejoindre après le repas sur une dune que nous connaissions. (à suivre) Pendant le repas, j’évitai ses regards. Après le café je le vis sortir après m’avoir lancé un regard qu’il voulait aimable. J’hésitai de mon coté à sortir. Puis ne voulant pas m’enfermer pour cette journée je quittai mon short, pris mon livre latin et pris le sentier de la plage sous la maison. La dune qu’il m’avait indiqué était proche. Je vins vers lui. Il souriait. Maintrenant, nous étions assis, nus. Il me fit lire une page d’Ovide extrait des « Métamorphoses » me félicitant pour avoir su habilement scandé les syllabes longues des vers latins. Mais pendant ma diction sa main caressait mes cuisses. Ses caresses le faisait bander. Je le laissais s’exciter ainsi. Sa bouche se posa sur mes épaules puis couru le long de ma poitrine et s’arrêta un instant sur le nombril. Je m’allongeai. Le livre fermé reposait sur mon ventre. Il m’écarta les cuisses et je compris ce qu’il comptait obtenir. Je pris parti de le laisser faire. Ayant constaté son acceptation muette il se leva, et me hissa doucement sur le monticule de sable tout proche. Les cuisses bien écartées il regarda longtemps la partie pendante et contenant les deux boules et la caressa. Il était stupéfait de ce gros organe pendant dont il pelota les boules. La verge lui semblait grosse.
J’avais juste un peu de pilosité claire à son entour. Il l’engloutit goulument. Sa succion était agréable. Je lui dis que je l’avertirai quand il le faudra. Il me répondit qu’il « souhaitait savourer mon nectar ». Il semblait répéter une traduction d’un poème érotique grec ! et je faillis rire ! Il suça longuement je l’avertis de mon éjaculation proche et serra ses lèvres et absorba. Mais mon jus devait être abondant car le dernier arrosa copieusement sa poitrine ce qui le fit rire. Il restait près de moi toujours excité. Il se leva, cacha son érection par sa serviette et m’encouragea à courir plonger dans ma mer. Il courut derrière moi et me rejoignit. Quelques brasses suffirent pour nous retrouver derrière la digue. Il lava sa poitrine puis mes cuisses et soigna mes organes génitaux de ses deux mains. Il m’ouvrit les fesses et passa ses doigts pour baigner également mon orifice postérieur. Malgré la fraicheur de l’eau sa bitte était redevenue raide. Il s’entoura de sa serviette et m’invita à revenir sur la dune. Je repris lentement cette direction portant ma serviette autour du cou. Il me suivait et une fois arrivé, me dit combien il avait savouré les mouvements de mes fesses charnues. Quand il ôta sa serviette je vis que son érection était vive d’autant qu’il n’avait pas jouis en me suçant quelques minutes plus tôt. Il me dit à quel point il avait besoin de jouir. Toujours sur la bosse de sable sur lequel j’avais étendu ma serviette je me positionnai à quatre pattes devant lui, puisqu’aussi bien il aimait regarder mes fesses ! Il pourrait donc se branler à loisir devant ce petit spectacle innocent. En fait il écarta mes jambes. Je compris qu’il souhaitait contempler ma rosette qui à l’époque n’avait aucune pilosité ! J’écartai mes cuisses. Je sentis ses mains m’écarter les fesses comme me l’avait fait le jeune homme rencontré dans les toilettes du supermarché (voir épisode 2).
C’est alors que je sentis sa bouche se plaquer contre mon orifice qu’il avait pris soin de laver à l’eau de la mer tout à l’heure. Sa langue devint fine et s’introduisit avec l’aisance d’un habitué. Il adorait sans doute les culs des jeunes garçons et pratiquait sans doute ce qui leur fait tant plaisir. Il savait qu’il me faisait jouir.
Sa main droite avait saisi mon sac à testicules qui était long. Il en caressait amoureusement les boules. La sensation que j’en recevais était devenue si vive que je gémissais. Je sentais que mon compagnon se branlait. Puis il se coucha sur moi. Sa bitte était allongée raide, le long de mon derrière.
- Je vais te pénétrer doucement.
- Non !! j’ai jamais fait ça ! je veux pas !
- Alors laisse-moi me frotter sur tes fesses - Alors oui !
Il prit longuement son temps, souffla puis inonda mon cul.
- Alors ! On a prit du bon temps je voix ! s’écria un homme que nous n’avions pas vu.
Il a un joli cul ce petit !
Notre surprise fut totale mon compagnon se redressa s’enveloppa de sa serviette..
Je courus tout de suite me jeter à l’eau.
Un de nos invités était célibataire. Cet homme avait une cinquantaine d’années.
C’était un ami de mon père. Dans son short de type scout, maigre et sec, il faisait penser à un officier anglais de l’armée des Indes du temps de Georges VI père de l’actuelle souveraine. En fait, il était parisien et professeur de linguistique dans une Université que je ne citerai pas. Nous avions échangé quelques propos courtois. Il était satisfait de me voir étudier le latin et le grec. Il me citait quelques vers d’Ovide car il m’avais vu ayant en main avec un extrait de ce poète et notamment ses écrits érotiques oubliés dans la bibliothèque de mon père. Certains très chauds comme Remedia amoris (avec traduction). Il se disait antimilitariste, écolo, et se nourrissant bio ! Il voulut continuer l’érudite conversation sur la terrasse qui à cette heure-là était déserte et couverte de sa toile de tente. J’étais nu comme ma mère le souhaitait. Il m’invita à s’asseoir sur ses genoux. Ma situation était rude car ses genoux osseux et dur roulaient sous mes fesses. Il me faisait lire Ovide alors que lui-même semblait haleter. Son souffle était aussi vif que ses genoux étaient anguleux. Son haleine au dentifrice bio n’avait rien d’excitant. Brusquement il me fit mettre debout, m’invita à l’attendre, sortit et revint avec un nouveau short ! Malgré ma naïveté à cet âge je compris la raison de ce changement. Mes fesses dodues avaient dû lui taquiner son giron et lui occasionner un jaillissement imprévu de son organe.
Je me suis efforcé de ne pas sourire. Il me fit promettre de la rejoindre après le repas sur une dune que nous connaissions. (à suivre) Pendant le repas, j’évitai ses regards. Après le café je le vis sortir après m’avoir lancé un regard qu’il voulait aimable. J’hésitai de mon coté à sortir. Puis ne voulant pas m’enfermer pour cette journée je quittai mon short, pris mon livre latin et pris le sentier de la plage sous la maison. La dune qu’il m’avait indiqué était proche. Je vins vers lui. Il souriait. Maintrenant, nous étions assis, nus. Il me fit lire une page d’Ovide extrait des « Métamorphoses » me félicitant pour avoir su habilement scandé les syllabes longues des vers latins. Mais pendant ma diction sa main caressait mes cuisses. Ses caresses le faisait bander. Je le laissais s’exciter ainsi. Sa bouche se posa sur mes épaules puis couru le long de ma poitrine et s’arrêta un instant sur le nombril. Je m’allongeai. Le livre fermé reposait sur mon ventre. Il m’écarta les cuisses et je compris ce qu’il comptait obtenir. Je pris parti de le laisser faire. Ayant constaté son acceptation muette il se leva, et me hissa doucement sur le monticule de sable tout proche. Les cuisses bien écartées il regarda longtemps la partie pendante et contenant les deux boules et la caressa. Il était stupéfait de ce gros organe pendant dont il pelota les boules. La verge lui semblait grosse.
J’avais juste un peu de pilosité claire à son entour. Il l’engloutit goulument. Sa succion était agréable. Je lui dis que je l’avertirai quand il le faudra. Il me répondit qu’il « souhaitait savourer mon nectar ». Il semblait répéter une traduction d’un poème érotique grec ! et je faillis rire ! Il suça longuement je l’avertis de mon éjaculation proche et serra ses lèvres et absorba. Mais mon jus devait être abondant car le dernier arrosa copieusement sa poitrine ce qui le fit rire. Il restait près de moi toujours excité. Il se leva, cacha son érection par sa serviette et m’encouragea à courir plonger dans ma mer. Il courut derrière moi et me rejoignit. Quelques brasses suffirent pour nous retrouver derrière la digue. Il lava sa poitrine puis mes cuisses et soigna mes organes génitaux de ses deux mains. Il m’ouvrit les fesses et passa ses doigts pour baigner également mon orifice postérieur. Malgré la fraicheur de l’eau sa bitte était redevenue raide. Il s’entoura de sa serviette et m’invita à revenir sur la dune. Je repris lentement cette direction portant ma serviette autour du cou. Il me suivait et une fois arrivé, me dit combien il avait savouré les mouvements de mes fesses charnues. Quand il ôta sa serviette je vis que son érection était vive d’autant qu’il n’avait pas jouis en me suçant quelques minutes plus tôt. Il me dit à quel point il avait besoin de jouir. Toujours sur la bosse de sable sur lequel j’avais étendu ma serviette je me positionnai à quatre pattes devant lui, puisqu’aussi bien il aimait regarder mes fesses ! Il pourrait donc se branler à loisir devant ce petit spectacle innocent. En fait il écarta mes jambes. Je compris qu’il souhaitait contempler ma rosette qui à l’époque n’avait aucune pilosité ! J’écartai mes cuisses. Je sentis ses mains m’écarter les fesses comme me l’avait fait le jeune homme rencontré dans les toilettes du supermarché (voir épisode 2).
C’est alors que je sentis sa bouche se plaquer contre mon orifice qu’il avait pris soin de laver à l’eau de la mer tout à l’heure. Sa langue devint fine et s’introduisit avec l’aisance d’un habitué. Il adorait sans doute les culs des jeunes garçons et pratiquait sans doute ce qui leur fait tant plaisir. Il savait qu’il me faisait jouir.
Sa main droite avait saisi mon sac à testicules qui était long. Il en caressait amoureusement les boules. La sensation que j’en recevais était devenue si vive que je gémissais. Je sentais que mon compagnon se branlait. Puis il se coucha sur moi. Sa bitte était allongée raide, le long de mon derrière.
- Je vais te pénétrer doucement.
- Non !! j’ai jamais fait ça ! je veux pas !
- Alors laisse-moi me frotter sur tes fesses - Alors oui !
Il prit longuement son temps, souffla puis inonda mon cul.
- Alors ! On a prit du bon temps je voix ! s’écria un homme que nous n’avions pas vu.
Il a un joli cul ce petit !
Notre surprise fut totale mon compagnon se redressa s’enveloppa de sa serviette..
Je courus tout de suite me jeter à l’eau.
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