nudiste sensuel épisode 1 et 2

- Par l'auteur HDS Zyzy -
Récit érotique écrit par Zyzy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : nudiste sensuel épisode 1 et 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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nudiste sensuel épisode 1 et 2
Nudiste épisode 1J’ai déjà écrit ici une petite histoire, celle vécue dans les toilettes d’un supermarché quand j’y accompagnais ma mère. Mais il y a longtemps. J’avais un âge que je n’ose révéler ici. Cela ne doit pas être autorisé ! J’étais en vacances avec mes parents et des couples amis (mon père ne venait que le week-end)..Nous étions tous naturistes et notre villa de vacances était à quelques encablures de la Grande-Motte.
Nous étions nus sur la plage nudiste toute proche. Tous se rhabillait avant de rentrer à la maison. Sauf moi. Comme ma mère, (belle femme d’ailleurs) aimait me voir nu elle m’encourageait à rester ainsi, même sur les terrasses de la maison qui était abriées du soleil par des toiles dont on changeait la position. Je ne devais revêtir un short qu’à l’intérieur de la maison pour les repas. J’étais un joli garçon blond on n’hésitait pas à le dire à le dire malgré une peau quasiment féminine ce qui ravissait ma mère (mon âge que je dois taire ici !) mais j’étais comme tous le disaient « un garçon très fessu ». J’étais de plus, doté d’un « organe de devant » assez long et volumineux pour mon âge avec seulement un soupçon de pilosité à dessus d’une longue verge. Une peau de fille assortie d’un tel organe pouvait étonner mais surtout plaisait. La caractéristique de mes fesses joufflues me passera avec trois à quatre ans de plus en grandissant encore ! Seul mon organe sara fortement dimensionné. Mes fesses attiraient des regards tant sur la plage qu’à la maison. Les regards mais aussi les frôlements plus ou moins discrets des mains des hommes amis de la famille et invités aussi. Finalement cela m’amusait mais je n’encourageais pas ces gestes toujours cachés. Mais mère ne m’autorisait la baignade que le matin et après 15 heures (après la digestion disait-elle !) Je restais le plus souvent allongé sur le sable, fasciné par les filles qui passaient ... nues évidemment. Mon regard allait au-delà du livre ouvert. Leur fesses surtout me produisait de fortes érections. Allongé sur le ventre je creusais un peu le sable pour y loger plus agréablement mon organe plus gros que celui de bien des hommes. J’éjaculais souvent en regardant le derrière des filles.
Aujourd’hui encore, alors que j’ai 19 ans passé, je suis surpris non par l’abondance que je ne jugeais pas mais par le nombre d’éjaculations qui me venait ! Il est vrai qu’il en était de même dans le pensionnat où je me trouvais avec trois camarades presque aussi souvent excités. La cabine de douche (une par chambre de quatre) recueillait nos jets. Mais nous n’allions pas au-delà de caresses manuelles réciproques. La plage m’excitait plus fortement. Je courrais me tremper dans la mer pour me laver. Il est évident que ces si jolies filles me trouvaient trop jeunes pour accepter mes avances. Une seule fois deux filles bien moins jolies acceptèrent de m’accompagner derrière les dunes et c’est ainsi de l’une d’elles me montra comment la faire jouir en passant mes doigts puis ma langue sur un petit organe qu’elle découvrait devant moi. Je savais cela pour avoir lu quelques bouquins interdits mais ici je le découvrais ! Sa compagne me suça le bout de ma bitte devenue rigide et qu’elle trouva très grosse mais elle me fit éclater mon jus trop vite. Mon sperme jaillit si fortement dans le sable qu’elles en rirent. J’aurais voulu les retrouver toutefois ! Par contre ce sont des hommes qui souvent venait s’allonger à mon côté.
Ils ne disaient que quelques mots en me désignant les dunes mais leurs soupirs étaient autant d’invitations muettes. Voulaient-ils me branler comme le faisaient mes copains du pensionnat sous la douche ? Pour marquer mon refus je me tournais à l’opposé sans comprendre que cette attitude, en présentant mes fesses charnues de manière plus évidente ne pouvait que les exciter plus encore. Leurs gémissements et le râle qui accompagnait la fin de leurs masturbations cachées par leurs serviettes m’étonnaient.
Aucun n’osa toutefois poser une main indiscrète qui aurait été vue sévèrement par les autres plagistes ! Mon silence et mon attitude les décourageaient. Et pourtant c’est en dehors de la plage que j’eus la faiblesse de me laisser caresser par un homme. Et c’est ici que je me dois de reprendre ce que j’ai évoqué ici il y a plusieurs mois. (à suivre)
Nudiste Episode 2Ce jour là je devais accompagner en voiture ma mère et une de ses amies vers un supermarché assez proche. Les supermarchés des plagistes en quelque sorte car la tenue des clients était des plus légère. Arrivé là, j’ai préféré les attendre en restant dans la galerie marchande plus attrayante. Un petit besoin impérieux me conduisit vers les toilettes. J’étais seul ce que je souhaitait car devant l’urinoir je devais baisser mon short en tissu synthétique qui était plutôt un shorty en couleur et sans braguette. J’étais nudiste mais je savais me tenir ! C’est alors que mes fesses charnues étaient à l’air, un homme jeune vint se placer à mon côté, ouvrit sa braguette et put se soulager. Mais son regard dut se fixer sur mes fesses joufflues.
Il m’observait. Mieux encore il se tourna vers moi en souriant et en faisant le geste de la masturbation. Par effronterie et presque par l’impatience d’avoir été observé, je fis de même pendant quelques secondes. Il avait une grosse bitte. Moi je ne bandais pas mais comme je l’ai dit mes organes génitaux volumineux devait le surprendre pour mon âge. Je le savais et les montrer à cet homme obscène était ma réponse insolente !
Nous n’étions que nous deux dans ces toilettes heureusement.
L’homme, nullement vexé fit un sourire admiratif mais gentil. Il m’invita à entrer avec lui dans une cabine. J’ai hésité. Il insista gentiment en me disant que nous pourrions tous les deux pratiquer cette petite affaire somme toute banale et que je faisais souvent moi-même et avec mes copains du pensionnat. Il ouvrit une des cabines.
C’était la plus grande. Celle réservée en principe aux handicapés. Je le suivis. Il fut nu presque tout de suite. J’ai baissé mon short très léger. Il me le quitta totalement en me caressant. J’aimais son attitude et mon organe devint aussi raide que le sien. Il était accroupi devant moi et sa bouche absorba mon gland mais sans le sucer. Cela m’excitait plus encore. C’est alors qu’il me demanda de me retourner pour caresser mes fesses. En fait c’était sa langue qui me caressait. Il me fit écarter les cuisses. J’étais réticent mais il savait si bien me caresser ! D’une main ferme il me fit me courber et sa langue qui caressait mes fesses s’introduisit dans mon trou intime. La sensation qui me saisit fut très forte. Il arriva à me faire gémir ! Peu après il se leva et sa bitte très raide se frotta à cet endroit. Il me rassura tout de suite sur son intention. Il ne ferait que la frotter entre mes deux hémisphères fessiers qui le tentaient. « Je m’irais pas plus loin ! » me rassurait-il. Je compris qu’il voulait seulement jouir sur mon cul en le caressant de cette façon et tout de suite après il me sucerait ! Ce qu’il fit. Sans tricher. Mais son frottement contre mes fesses dura longtemps. Je l’entendais souffler très fort. Il chuchotait « ah ton cul ! » sans arrêt, puis il poussa un cri rauque et je me sentis arrosé de sa semence.
Il me fit retourner, s’accroupit, me tourna et absorba ma bitte. Excité depuis le début je sentis venir l’éjaculation et je le voulus le prévenir. Mais loin de me lâcher, ses deux mains appuyées sur mes fesses me firent comprendre qu’il voulait tout absorber. Ce qu’il fit. Je me sentais épuisé et c’est lui qui à l’aide son mouchoir qu’il mouillait sous le robinet du petit lavabo me lava les fesses encore humide de son sperme. Il se rhabilla. Il m’aida même à remettre mon short et avant de nous quitter il me remercia. Il sortit après m’avoir recommandé d’attendre une minute avant de sortir moi-même.
J’attendis à nouveau dans la galerie marchande. Ma mère et son amie arrivèrent un quart d’heure plus tard. Je les ai aidé à ranger leurs achats dans le coffre. Je m’étendis sur la banquette arrière et ma mère fut étonnée d’avoir dû me réveiller devant la maison.

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