nuit avec la future mariée
Récit érotique écrit par Farachimbank [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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nuit avec la future mariée
Nuit avec la future mariée
L’été arrive, ma cousine devait faire la fête et rejoindre sa maison conjugale, toute la famille, les voisins étaient invités, cela devrait durer trois jours au minimum, pour les voisins et une semaine entière pour la famille, donc nous étions là pour toute une semaine, dans cette belle ferme et dont je conserve des souvenirs inoubliables durant mon séjour pour les vacances de printemps (voir vacances de printemps 1 à 7 de mars avril 2009).
Les cinq premiers jours sont dédiés aux préparatifs, il n’y a que la famille, oncles, tantes, cousins, cousines, on dirait une caserne, les uns mangeaient, les autres travaillaient.
Le soir pour dormir, on cherchait n’importe quel lieu ; la maison est grande, mais il fait chaud on peut dormir n’importe où, même dans la grange s’il le faut.
On se bousculait dans la maison, de temps en temps je passe à côté de ma cousine Fatima et je lui touche le cul, elle me cligne de l’œil, j’attends une invitation de sa part pour revivre quelques moments du printemps, moi je n’attends que l’occasion pour revivre ces instants de passion.
Fatima m’appela pour l’aider à déplacer une banquette,ce que je fis avec plaisir,elle profita pour m’indiquer de dormir dans le dépôt de matériel situé au bout de la cour de la maison.
Le soir venu, on était exténué, tout le monde cherchait un lieu pour dormir, moi je n’étais pas du reste mais j’avais un lieu assuré, c’était un dépôt situé au fond de la cour, un lieu où on entreposait le petit matériel de la ferme, j’y avais aménagé un coin, j’avais mon sac de couchage pour la circonstance,j’avais amené aussi un tube de vaseline et des préservatifs,on ne sait jamais je lui avais glissé un mot à Fatima, elle savait où me trouver si l’envie d’être enculée la prend. De toute façon, moi j’avais une envie folle de la posséder ce soir là et les nuits prochaines avant qu’elle ne parte.
Après m’avoir installé, à la lumière d’une bougie, j’ai attendu. Vers une heure du matin je vois la porte du dépôt s’ouvrir et une silhouette se glisser à l’intérieur, je demande qui ?c’est moi, Fatima, faisons vite je dois retourner avant qu’on découvre mon absence. Elle portait une chemise de nuit et comme toujours rien en dessous.
Elle s’est étendue à côté de moi sur le duvet,elle m’a embrassé,on s’est fondue dans un baiser long, fruit de mon absence, elle avait une envie folle de baiser, elle a enlevé son chemisier et s’est mise sur le dos,on s’est enlacée,j’étais nu,j’ai commencé à lui malaxer les nichons,elle bougeait ,elle m’enlaçait, elle n’avait plus peur que je la déflore, j’ai amené ma main vers sa chatte, le pubis était rasé, lisse jusqu'à la fente.J’ai glissé un doigt entre les lèvres du vagin, il était humide, j’ai engagé le gland, elle a gémi mais elle a gardé sa présence d’esprit, non ,surtout pas maintenant, le mariage est imminent, elle m’a dit qu’elle avait une envie folle pour que je sois le premier mais elle ne pouvait pas, elle m’a dit que j’aurais l’occasion de la pénétrer par la chatte, j’étais excité au point de vouloir le faire tout de suite mais elle m’a raisonné ; j’ai accepté,on a continué nos caresses un petit moment,elle s’est redressée,elle me dit c’est le moment elle s’est mise à plat ventre,elle m’a dit qu’elle n’a pas trouvé de lubrifiant ,je lui ai sorti mon tube de vaseline, j’ai pris un peu et je le lui ai mis sur le trou du cul et je l’ai étendu, j’en ai mis un peu sur ma verge ,elle a écarté,avec les mains les lobes de ses fesses ,je me suis mis sur elle et je l’ai pénétrée,elle a crié par douleur et plaisir,parce que son sphincter a repris sa forme normale en trois mois c’était presque une vierge du cul. Je l’ai pénétrée a fond et je suis restée incrusté en elle une ou deux minutes le temps qu’elle s’habitue à mon engin, j’ai commencé mes va et viens doucement,elle haletait de plaisir,tout en criant OOOOOOOOHHHHHHHHHHHHH que c’est bon continuuuuuuuuuue, comme ça doucement oh mon dieu que c’est bon,ça rajoutait a mon excitation,j’allais doucement,elle cambrait son derrière chaque fois que je la pénètre,elle était horriblement heureuse d’être prise après un jeune de quatre mois ,elle prends l’air a plein poumons et elle expire bruyamment signe de jouissance elle vient d’avoir son premier orgasme,elle s’arrête de bouger,je l’ai laissé reprendre ses esprits,je lui élevé le derrière de façon qu’elle soit à quatre pattes, là toute la splendeur de son derrière est apparue à la lumière terne de la bougie, je l’ai pénétrée et j’ai commencé a la ramoner tout en lui titillant le clitoris avec une main libre ,quand je m’engage elle recule pour amener son cul à la rencontre de mon chibre, elle haletait et prononçait des phrases inintelligibles ,signe de confusion, et cela par l’excitation ,je la travaillais doucement ,profitant du plaisir que procure cette façon d’enculer,j’étais au bord de la jouissance,je ne voulais pas que cela finisse,elle me dit vas plus vite,j’ai obéi, et j’ai commencé a aller d’une façon sauvage ,elle criait, elle jouissait et moi avec,c’était l’extase,je me rends compte que ma semonce montait,et que je tremblais ,j’éjacule un torrent de spermes dans les entrailles de ma belle cousine et elle gémissait du plaisir que cela lui procure,on vient de finir, je m’effondre sur elle ,elle s’est étendue bras en croix,toute en sueur, on est resté dans cette position cinq minutes le temps de savourer ce plaisir inégalable, elle me dit ,je dois m’en aller,elle se lève met son chemisier m’embrasse et me dit, :a la prochaine nuit,peut être, et elle disparut dans le noir.
L’été arrive, ma cousine devait faire la fête et rejoindre sa maison conjugale, toute la famille, les voisins étaient invités, cela devrait durer trois jours au minimum, pour les voisins et une semaine entière pour la famille, donc nous étions là pour toute une semaine, dans cette belle ferme et dont je conserve des souvenirs inoubliables durant mon séjour pour les vacances de printemps (voir vacances de printemps 1 à 7 de mars avril 2009).
Les cinq premiers jours sont dédiés aux préparatifs, il n’y a que la famille, oncles, tantes, cousins, cousines, on dirait une caserne, les uns mangeaient, les autres travaillaient.
Le soir pour dormir, on cherchait n’importe quel lieu ; la maison est grande, mais il fait chaud on peut dormir n’importe où, même dans la grange s’il le faut.
On se bousculait dans la maison, de temps en temps je passe à côté de ma cousine Fatima et je lui touche le cul, elle me cligne de l’œil, j’attends une invitation de sa part pour revivre quelques moments du printemps, moi je n’attends que l’occasion pour revivre ces instants de passion.
Fatima m’appela pour l’aider à déplacer une banquette,ce que je fis avec plaisir,elle profita pour m’indiquer de dormir dans le dépôt de matériel situé au bout de la cour de la maison.
Le soir venu, on était exténué, tout le monde cherchait un lieu pour dormir, moi je n’étais pas du reste mais j’avais un lieu assuré, c’était un dépôt situé au fond de la cour, un lieu où on entreposait le petit matériel de la ferme, j’y avais aménagé un coin, j’avais mon sac de couchage pour la circonstance,j’avais amené aussi un tube de vaseline et des préservatifs,on ne sait jamais je lui avais glissé un mot à Fatima, elle savait où me trouver si l’envie d’être enculée la prend. De toute façon, moi j’avais une envie folle de la posséder ce soir là et les nuits prochaines avant qu’elle ne parte.
Après m’avoir installé, à la lumière d’une bougie, j’ai attendu. Vers une heure du matin je vois la porte du dépôt s’ouvrir et une silhouette se glisser à l’intérieur, je demande qui ?c’est moi, Fatima, faisons vite je dois retourner avant qu’on découvre mon absence. Elle portait une chemise de nuit et comme toujours rien en dessous.
Elle s’est étendue à côté de moi sur le duvet,elle m’a embrassé,on s’est fondue dans un baiser long, fruit de mon absence, elle avait une envie folle de baiser, elle a enlevé son chemisier et s’est mise sur le dos,on s’est enlacée,j’étais nu,j’ai commencé à lui malaxer les nichons,elle bougeait ,elle m’enlaçait, elle n’avait plus peur que je la déflore, j’ai amené ma main vers sa chatte, le pubis était rasé, lisse jusqu'à la fente.J’ai glissé un doigt entre les lèvres du vagin, il était humide, j’ai engagé le gland, elle a gémi mais elle a gardé sa présence d’esprit, non ,surtout pas maintenant, le mariage est imminent, elle m’a dit qu’elle avait une envie folle pour que je sois le premier mais elle ne pouvait pas, elle m’a dit que j’aurais l’occasion de la pénétrer par la chatte, j’étais excité au point de vouloir le faire tout de suite mais elle m’a raisonné ; j’ai accepté,on a continué nos caresses un petit moment,elle s’est redressée,elle me dit c’est le moment elle s’est mise à plat ventre,elle m’a dit qu’elle n’a pas trouvé de lubrifiant ,je lui ai sorti mon tube de vaseline, j’ai pris un peu et je le lui ai mis sur le trou du cul et je l’ai étendu, j’en ai mis un peu sur ma verge ,elle a écarté,avec les mains les lobes de ses fesses ,je me suis mis sur elle et je l’ai pénétrée,elle a crié par douleur et plaisir,parce que son sphincter a repris sa forme normale en trois mois c’était presque une vierge du cul. Je l’ai pénétrée a fond et je suis restée incrusté en elle une ou deux minutes le temps qu’elle s’habitue à mon engin, j’ai commencé mes va et viens doucement,elle haletait de plaisir,tout en criant OOOOOOOOHHHHHHHHHHHHH que c’est bon continuuuuuuuuuue, comme ça doucement oh mon dieu que c’est bon,ça rajoutait a mon excitation,j’allais doucement,elle cambrait son derrière chaque fois que je la pénètre,elle était horriblement heureuse d’être prise après un jeune de quatre mois ,elle prends l’air a plein poumons et elle expire bruyamment signe de jouissance elle vient d’avoir son premier orgasme,elle s’arrête de bouger,je l’ai laissé reprendre ses esprits,je lui élevé le derrière de façon qu’elle soit à quatre pattes, là toute la splendeur de son derrière est apparue à la lumière terne de la bougie, je l’ai pénétrée et j’ai commencé a la ramoner tout en lui titillant le clitoris avec une main libre ,quand je m’engage elle recule pour amener son cul à la rencontre de mon chibre, elle haletait et prononçait des phrases inintelligibles ,signe de confusion, et cela par l’excitation ,je la travaillais doucement ,profitant du plaisir que procure cette façon d’enculer,j’étais au bord de la jouissance,je ne voulais pas que cela finisse,elle me dit vas plus vite,j’ai obéi, et j’ai commencé a aller d’une façon sauvage ,elle criait, elle jouissait et moi avec,c’était l’extase,je me rends compte que ma semonce montait,et que je tremblais ,j’éjacule un torrent de spermes dans les entrailles de ma belle cousine et elle gémissait du plaisir que cela lui procure,on vient de finir, je m’effondre sur elle ,elle s’est étendue bras en croix,toute en sueur, on est resté dans cette position cinq minutes le temps de savourer ce plaisir inégalable, elle me dit ,je dois m’en aller,elle se lève met son chemisier m’embrasse et me dit, :a la prochaine nuit,peut être, et elle disparut dans le noir.
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