Ode à ma chatte
Récit érotique écrit par Miss51 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ode à ma chatte
Dans les jeux de soumission avec mon compagnon, j'ai eu comme punition deux semaines d'interdiction de masturbation.
La seule solution pour acheter une heure de soumission a été d'écrire ce poème et de vous le publier.
Quand vous serez entrain de le lire, j'aurai probablement quelques doigts en balade sur moi.
Douce moiteur, Qui appelle le bonheurA la recherche d’un envahisseur, Tu dégages une mystérieuse et douce senteur.
Perplexe, j’hésite à te palperLa chose est complexe en vérité.
Tu restes pour moi mystère, Mon énigme auguste de la Terre.
Et quand j’arrêterai de te fuir, Je pourrai te faire jouir..
Tu te fonderas en une céleste coulée, Te tordras épanouie, Quand les prunelles envolées...
Je soupirerai « Je jouis ».
La main de mon amant t’entrebâille, Vivante, rose de cypris.
Et tout de suite elle travaille, D’un doigt léger le clitoris.
Bouton rapidement durcis, Qui dans l’écartement des lèvresDresse la tête et bande aussi.
Victoire charnelle de toi, mon homme, Rayonnant et puissant,Ta pine est dans l’antre sacrée.
Électrique, droite, élancée, Faisant sans que rien ne l’interrompeSon léger mouvement de pompe.
Et mon con large comme un estuaire Comme le dirait Appolinaire ;Devient ton paradis et ton enferQuand délicatement il t’enserre.
Et si mon minou ne fonctionne plus...
Mon amour glisse la dans mon cul.
La seule solution pour acheter une heure de soumission a été d'écrire ce poème et de vous le publier.
Quand vous serez entrain de le lire, j'aurai probablement quelques doigts en balade sur moi.
Douce moiteur, Qui appelle le bonheurA la recherche d’un envahisseur, Tu dégages une mystérieuse et douce senteur.
Perplexe, j’hésite à te palperLa chose est complexe en vérité.
Tu restes pour moi mystère, Mon énigme auguste de la Terre.
Et quand j’arrêterai de te fuir, Je pourrai te faire jouir..
Tu te fonderas en une céleste coulée, Te tordras épanouie, Quand les prunelles envolées...
Je soupirerai « Je jouis ».
La main de mon amant t’entrebâille, Vivante, rose de cypris.
Et tout de suite elle travaille, D’un doigt léger le clitoris.
Bouton rapidement durcis, Qui dans l’écartement des lèvresDresse la tête et bande aussi.
Victoire charnelle de toi, mon homme, Rayonnant et puissant,Ta pine est dans l’antre sacrée.
Électrique, droite, élancée, Faisant sans que rien ne l’interrompeSon léger mouvement de pompe.
Et mon con large comme un estuaire Comme le dirait Appolinaire ;Devient ton paradis et ton enferQuand délicatement il t’enserre.
Et si mon minou ne fonctionne plus...
Mon amour glisse la dans mon cul.
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