Un mercredi pas comme les autres...

- Par l'auteur HDS Miss51 -
Récit érotique écrit par Miss51 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Un mercredi pas comme les autres... Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Un mercredi pas comme les autres...
Pourquoi me fait il cet effet là ? Je suis partie de chez moi il y a une trentaine de minute, il est 8h30 et je suis excitée comme une chienne. Cet homme me fait un effet dingue, rentrée de soirée au matin, j’ai accéléré l’étape douche pour pouvoir me toucher quelques minutes avant de partir. Ma chatte était en feu je ne pouvais pas faire autrement, je suis sortie de la douche et sans m’essuyer je suis venue m’asseoir sur le rebord de ma baignoire pour laisser aller mes doigts sur mon bouton d’amour, je pianotais sur mon sexe tel une symphonie me laissant gémir de plaisir sous mes caresses. Cette masturbation était obligatoire pour ne pas lui sauter dessus en arrivant. J’ai fermé les yeux, imaginé ses doigts à la place des miens... Et j’ai pensé à son odeur, à la sensation de ses caresses, mes gémissements ont redoublé d’intensité. Dans ces moments là, pas d’autres solution, je me mors les lèvres en pensant à mes voisins qui doivent en avoir marre de m’entendre gémir son prénom. Mais en fermant les yeux c’est aussi son sexe que je vois, ce sexe que je veux sentir en moi. Je veux qu’il me fasse l’amour, qu’il me baise, je veux cette alternance de tendresse et puissance quand il me prend avec sa bite.
J’imagine son sexe et c’est le gode que j’avais sous la main qui m’a aidé à mieux visualiser... Une heure plus tard j’allais me faire baiser dans tous les sens mais quand j’ai envie de lui je peux me donner du plaisir 10 fois par jour... Et préparer ma chatte est toujours positif pour mieux le recevoir.
Un coup d’œil à ma montre, une jupe enfilée, des collants porte jarretelles comme il me l’avait demandé dans notre petit jeu de soumission. Pas de culotte jusqu’aux prochaines vacances, la règle est simple et après avoir enfilé une paire de talons, un chemisier et mis un trait de rouge à lèvres, le vent sous ma jupe fut très agréable. Aussi agréable que le contact du cuir du siège sur mes fesses à peines couvertes par ma jupette.
Retour à 8h30, début de notre histoire, je sais ma chatte nue juste sous mon nez et je sais que je suis trempée, je ne peux m’empêcher d’y glisser deux doigts et de me caresser le clitoris avec main libre... Au fond, aucun risque, personne ne peut voir ce qu’il se passe sous une fenêtre de voiture.
Une petite photo pour lui montrer ce que j’ai fait et lui prouver mon excitation sur la route qui mène à lui. Il réveille en moi de vieux démons depuis plus d’une semaine avec un petit jeu de soumission et je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangée mais je pense que c’est une sauce que je vais aimer autant que son sperme. Quelques gémissements plus tard, me voila arrivée sur la place à coté de chez lui. Juste le temps d’attraper un mouchoir pour enlever un peu de mouille et éviter qu’elle me coule le long des jambes pour être présentables devant cette homme que j’aime plus que tout au monde.
2 petits coups à la porte, perchée sur mes talons mes lèvres fondent sur les siennes, nos lèvres se redécouvrent comme pour une première fois, 4 semaines étant passées depuis leur dernier baiser passionnel. Un petit mot de provocation sur sa petite taille par rapport à mes talons obtient le résultat escompté, je me retrouve face au mur, la jupe relevée sur mes fesses qui prennent 2 fessées avant qu’il vienne mettre son sexe dans ma chatte pour me prendre violemment. Je me mords les lèvres mais rien n’arrête mes gémissements, il m’attrape par les cheveux pour mieux me pénétrer et fini par me dire sèchement de me mettre à genoux pour prendre son sexe en bouche, ce que je fais juste à temps pour recevoir une bonne giclée de sperme que j’avale jusque la dernière goutte. Son goût m’avait tellement manqué... Cette matinée n’est censée ne durer que 3 heures mais je la trouve très bien partie et je ne compte pas la laisser s’arrêter là...
J’aime ces moments après le sexe où je peux me glisser dans ses bras, qu’il me serre et m’embrasse dans le cou, sentir ses mains se faufiler dans mes cheveux avec douceur... Mais tout m’excite chez lui... Je me lève boire un verre, il est juste derrière moi, je vois le plan de travail de la cuisine et mon esprit m’imagine tout de suite en train de prendre mon pieds dessus. Je me colle à lui et l’embrasse, je l’attire à moi pour m’asseoir sur le plan de travail... Le trouvant trop haut il ne me baisera pas dessus mais le sexe ne s’arrête pas à la pénétration. Ayant amené mes sextoys libre à lui de me donner du plaisir autrement. Je l’emprisonne entre mes jambes, et l’embrasse comme une morte de faim, j’aimerai que mes lèvres fusionnent avec les siennes, je sens ma mouille couler entre mes jambes et venir couler sur son pull... Il attrape ce stimulateur clitoridien qui me fait tant d’effet dans les vidéos de masturbation que je lui envoie. Première utilisation de cette invention des dieux à deux. Et quand il vient délicatement le poser sur mon clitoris, je perds pieds, mes yeux roulent et ma tête bascule en arrière, je sens mon bas ventre s’électriser, il joue avec moi et mes nerfs en me demandant de ne faire aucun bruit mais si il savait l’effet que ce jouet me procurait il comprendrait que j’ai fini par craquer dans un gémissement sourd. Il me demande de tenir moi même ce jouet et reviens avec mon gode, il me pénètre d’un coup tout en continuant de faire vibrer mon clitoris. Je recommence à gémir sans pouvoir me contenir mais c’était sans compter sur le côté vicieux de cet homme fou qui au moment où tout mon corps se mettait à trembler à retirer toutes ces choses de moi pour me laisser vide et frustrer. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui adresser un regard à la fois d’incompréhension et de rancœur mais je sais que je n’ai rien à dire si je ne veux pas me faire punir.
Il est à noter que je suis déjà interdite de masturbation pendant 2 semaines et que je ne veux pas empirer les choses. Je le suis sur le canapé où il s’amuse à simplement me caresser... Si il savait à quel point je voulais qu’il me prenne. Je le regarde avec mes petits yeux doux pleins d’amour et lui glisse à l’oreille qu’un cuni serait le bienvenu. J’aurai du me douter qu’il ne me laisserait pas aussi facilement. Condition ajoutée à ce cuni, il se sert en même temps de mes sextoys. Comment ne pas chavirer quand on vous lèche le clitoris en vous enfonçant un gode dans la chatte ou quand on vous met des doigts en vous apposant sur le clitoris un stimulateur, il a maintenu mes jambes écartées tout le long, jambes qui ne cherchaient qu’a se refermer tant les sensations étaient fortes. La langue s’est enlevée pour ne laisser que le stimulateur et le gode. Je l’ai vu prendre mon vibromasseur qu’il a enfoncé avec le gode dans mon sexe, je prenais une double pénétration en même temps qu’il faisait valser mon clitoris. Je ne pouvais me retenir de hurler son nom et mon plaisir mais ce tortionnaire a recommencé son manège de frustration en me stoppant d’un coup sec, la frustration a failli me faire pleurer mais en négociant il a recommencé, ma chatte était liquide, mes chaires trempées. En voyant toute cette mouille il eu l’idée de me glisser sa main entière en moi, un peu de lubrifiant, 2 doigts, 4, le pouce, je le sens en moi. Il me tient telle une marionnette, mon plaisir est clairement dans ses mains ; il caresse mon clitoris de ses autres doigts et les sensations me retournent dans tous les sens, il écarte mes jambes de force pour continuer et je finis entre 2 mondes à trembler tout en extériorisant par la voix ces démons dans mon bas ventre. Cette partie masturbatoire m’avait rendue dingue.
Un bon bain pour redescendre n’était pas de refus. Si seulement ça n’avait été qu’un bain...
Quelques pinces à linges traînaient à l’entrée, une ancienne conversation proposaient de jouer avec celles ci, 4 en bois et 2 en métal. Il a enlevé mon haut et a apposer sur chacun de mes tétons une pince en bois. La douleur était supportable, puis il est venu mettre sur mes lèvres vaginales et mon clitoris les pinces qu’il lui restait, je sentais le sang venir frapper dans mon petit bouton rose, toute ma chatte et mes seins étaient 10 fois plus sensibles qu’a la normale, un « Suce moi » me fit me mettre à genoux, c’est délicat de s’agenouiller avec des pinces accrochées à ses parties génitales. A chaque mouvement que j’appliquais en suçant son sexe, toutes les pinces dansaient en rythme me procurant des sensations jusque là encore inconnues. Je prenais son sexe en entier dans ma bouche pour m’éviter de crier, il m’a relevé et m’a penchée sur la baignoire pour me prendre. Les pinces martyrisaient toujours ma chatte. Il me prenait comme un dingue et je l’encourageais à renforts de
« Prends moi fort » « Baise moi jusqu’au fond » ou des « Continues »... Un coup plus fort que les autres le fit déraper de ma chatte et vint percuter les pinces à linges en m’arrachant un grand cri, il vint me finir en me tenant par la bouche pour avoir le silence à grands coups de reins. Il enleva délicatement les pinces de mon corps avant de l’inviter à le suivre dans le bain. Un bain chaud, même très chaud mais agréable pour adoucir les douleurs de ma chatte encore puissantes.
Un repas simple tous les 2 comme des amoureux normaux et l’heure arrive vite où il doit retourner retrouver ses élèves mais je ne l’entends pas de cette manière, il reste 5 minutes et je ne compte pas les perdre. Il est assis sur sa chaise pour mettre ses chaussures, je viens me mettre à califourchon face à lui, mon sexe sans culotte au plus près de cette bite que je vais rapidement déshabiller. Je l’embrasse passionnément. Hors de question de repartir sans un dernier coup de bite. Mes intentions ont très vites été comprises, il a baissé son pantalon et je suis venue m’embrocher sur son sexe en rebondissant pour le prendre en moi. Je ne pouvais pas m’arrêter tellement j’en avais envie. Une petite pause pour lécher son sexe et enlever un peu de mouille pour le sentir encore mieux avant de reprendre son entreprise. Il est venu glisser un doigt dans mon anus pendant que je faisais l’ascenseur sur son sexe et il a fini par gicler en moi en me faisant promettre de ne nettoyer ma chatte qu’en arrivant. C’est donc le sexe tout dégoulinant que je montais dans ma voiture pour rentrer...

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