Partagé par mon Amant avec un Black Inconnu
Récit érotique écrit par Patricia rousse et pulpeuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2005 dans la catégorie Dominants et dominés
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Partagé par mon Amant avec un Black Inconnu
Voici le premier récit de mes aventures. Pendant plusieurs années je me consacrais à mon mari et l’éducation des ses enfants. Superbe rousse de 40 ans, grande et bien faite, avec une poitrine généreuse, mon allure de bourgeoise mondaine faisait souvent tremblée beaucoup d’hommes qui rêvaient de pouvoir passer du temps avec moi, afin d’explorer une anatomie plus que pulpeuse. Ma vie sexuelle était d’une normalité banale, et au fond d’elle même les années passant ses fantasmes resurgissaient. Je me surprenais à soutenir le regard de certains hommes dans la rue afin de pouvoir étudier leurs réactions. C’est qui arriva pour la première fois quand J’ai rencontré Michel, qui très rapidement devint mon amant. Lui avouant mon penchant pour écrire mes aventures Il décida d’écrire une de nos après midi
Se promenant en ville pour faire du shopping, elle s’était arrêtée à une terrasse de café. Très vite elle croisa le regard de cet homme qui plusieurs heures plus tard était devenu son amant.
Patricia se rendait chez cet homme rencontré quelques jours auparavant et qui lui avait retourné les sens. Elle était anxieuse et impatiente de retrouver son amant. Arrivant devant l’immeuble elle sonna à la porte qui s’ouvrit rapidement et s’engouffra dans l’ascenseur. Arrivée sur le palier elle rentra dans l’appartement ou son ami l’accueilli.
- Tu m’as beaucoup manqué lui glissa t’il à l’oreille, mais je ne suis pas seul.
Elle vit un homme assit dans le salon, sur le sofa. Il était grand et fort et la peau noire comme de l’ébène.
Ils échangèrent des politesses d’usage.
- Viens dans la chambre te débarrasser de ton manteau lui dit le premier homme
Une fois dans la chambre, elle enleva son manteau. Elle était magnifique dans sa longue jupe en laine et son pull moulant faisant ressortir ses formes généreuses.
Son amant se glissa derrière elle et la saisit par les hanches lui glissant à l’oreille :
- j’ai envie de toi
- Ce n’est pas possible ton ami est dans le salon
- T’inquiète, juste un petit coup rapide et la porte fermée, il n’entendra rien
Ses mains remontées sur la poitrine de sa maîtresse qui se laissait faire sentant le désir l’envahir. Il referma la porte et bascula la belle sur le lit. Très vite il remonta sa jupe laissant apparaître la croupe de Patricia, ses cuisses gainées de nylons maintenus par une superbe porte jaretelle.
- Mets-toi à quatre pattes lui dit-il.
Elle obéit, et se plaça de manière à lui offrir ses fesses comme une offrande à son maître. Très vite il baissa son pantalon, écarta la culotte de sa maîtresse et entrepris de la pénétrer. L’assaut fut rapide et intense et elle se retrouva envahie par le sexe de son amant avant d’avoir pu faire quoi que ce soit. D’habitude son partenaire faisait preuve d’une grande tendresse multipliant les caresses et les préliminaires. Cette fois le ton avait changé, il l’a traité comme un objet juste bon pour étancher son désir, sans aucun respect de sa personne. Ce n’était pas sans lui déplaire d’être prise sans aucune considération, se sachant épiée par un autre homme assis dans une pièce juste à coté. Les mouvements se faisaient rapides et brutaux, l’un et l’autre jouissant avec force. Il se mit à lui parler, et lui dire des choses atroces de vulgarité l’insultant, la bafouant.
- t’aime ça d’être prise par derrière hein dit, tu veux que j’accélère la cadence salope, dis-moi que t’aime ça
- oui j’aime ça, c’est bon
- t’es une cochonne, dis-moi que tu une grosse cochonne
- oui je suis une cochonne
- ça te plait de te faire baiser, alors qu’il y à un autre homme à coté qui nous écoute
- non, vas-y doucement il va nous entendre
- tu rigoles, poufiasse, si ça se trouve, il te regarde te faire baiser par le trou de la serrure, tu veux que je vérifie
- non, je t’en prie fais pas ça
- Si je suis sûr que ça t’excite de savoir qu’un autre mec te regarde, en plus il doit se branler, à voir ton cul se faire défoncer, allez j’ouvre la porte il doit être derrière
- Non, non, non
- Si c’est pas moi qui ouvre alors ça va être toi
Il la saisit par les cheveux et la releva du lit et commença à la diriger vers la porte. Elle se débattit afin de rester sur le lit et lui dit.
- Non fais le toi même.
Il ouvrit la porte. Le cœur de Patricia se souleva en voyant cet homme la regardant d’un regard lubrique et gourmand.
- Approche, elle veut que tu la regardes.
- Houai ça m’étonne pas les bourgeoises comme elles sont toujours des belles salopes.
- Tu veux qu’il te montre sa bitte. Je suis sûr que t’a jamais vu un sexe de noir.
- Surtout que j’ai un braquemart énorme
- Non, je ne veux pas, non non
La tenant par les cheveux tout en continuant à la marteler, il lui appliqua une grande claque sur les fesses.
- Dis-moi que tu veux voir sa bitte, dis le moi
- oui montre-moi sa bitte montre-la-moi, dit-elle ne pouvant plus suite aux allées et venues de son amant dans sa chatte
- Dégrafe-la toi-même dit l’homme noir
- Non pas ça
- Obéis sale pute en lui appliquant encore une autre claque
- T’as vu les nichons qu’elle a, palpe-moi ça
Pendant que Patricia obéissait et déboutonnait le second homme celui ci pelotait ses seins aux travers de son pull en laine. Le sexe apparut enfin énorme et monstrueux tout noir comme un morceau de bambou dressé.
- Masturbe-le, branle-le juste qu’à ce qu’il te jouisse dessus
- Houai branle moi cochonne, tu dois être une experte
Elle branla le loir pendant que le blanc lui ramonait la chatte. Le grand noir l’attrapa alors par les cheveux et lui dit :
- Tu vas me sucer
- Non, Michel empêche-le, je ne veux pas
- Suce-le tout en lui appliquant une autre claque sur sa croupe qui commençait à rougir.
Elle engouffra le sexe dans la bouche qui ne pouvait entrait entier tant sa taille était trop importante. Elle le pompa alternant les coups de langue sur le gland et les remontées avec sa langue du bâton de chair, et tout en le masturbant. L’homme noir était surexcité, passa ses mains sous son pull afin de lui caresser les seins mais tellement brutalement qu’il déchira le soutien gorge
Le bruit de la dentelle déchiré excita encore plus son amant qui se mit jouir, l’inonda et giclant sur ses fesses. A la vue de sperme déchargé sur les fesses, le noir jouit dans la bouche de Patricia, déversant des quantités impressionnantes de liquide. Elle retomba sur le lit à demi nue, épuisé elle avait joui plusieurs fois mais ne se rendit pas compte des flashes qui crépitaient, la prenant en photo recouverte de sperme.
Se promenant en ville pour faire du shopping, elle s’était arrêtée à une terrasse de café. Très vite elle croisa le regard de cet homme qui plusieurs heures plus tard était devenu son amant.
Patricia se rendait chez cet homme rencontré quelques jours auparavant et qui lui avait retourné les sens. Elle était anxieuse et impatiente de retrouver son amant. Arrivant devant l’immeuble elle sonna à la porte qui s’ouvrit rapidement et s’engouffra dans l’ascenseur. Arrivée sur le palier elle rentra dans l’appartement ou son ami l’accueilli.
- Tu m’as beaucoup manqué lui glissa t’il à l’oreille, mais je ne suis pas seul.
Elle vit un homme assit dans le salon, sur le sofa. Il était grand et fort et la peau noire comme de l’ébène.
Ils échangèrent des politesses d’usage.
- Viens dans la chambre te débarrasser de ton manteau lui dit le premier homme
Une fois dans la chambre, elle enleva son manteau. Elle était magnifique dans sa longue jupe en laine et son pull moulant faisant ressortir ses formes généreuses.
Son amant se glissa derrière elle et la saisit par les hanches lui glissant à l’oreille :
- j’ai envie de toi
- Ce n’est pas possible ton ami est dans le salon
- T’inquiète, juste un petit coup rapide et la porte fermée, il n’entendra rien
Ses mains remontées sur la poitrine de sa maîtresse qui se laissait faire sentant le désir l’envahir. Il referma la porte et bascula la belle sur le lit. Très vite il remonta sa jupe laissant apparaître la croupe de Patricia, ses cuisses gainées de nylons maintenus par une superbe porte jaretelle.
- Mets-toi à quatre pattes lui dit-il.
Elle obéit, et se plaça de manière à lui offrir ses fesses comme une offrande à son maître. Très vite il baissa son pantalon, écarta la culotte de sa maîtresse et entrepris de la pénétrer. L’assaut fut rapide et intense et elle se retrouva envahie par le sexe de son amant avant d’avoir pu faire quoi que ce soit. D’habitude son partenaire faisait preuve d’une grande tendresse multipliant les caresses et les préliminaires. Cette fois le ton avait changé, il l’a traité comme un objet juste bon pour étancher son désir, sans aucun respect de sa personne. Ce n’était pas sans lui déplaire d’être prise sans aucune considération, se sachant épiée par un autre homme assis dans une pièce juste à coté. Les mouvements se faisaient rapides et brutaux, l’un et l’autre jouissant avec force. Il se mit à lui parler, et lui dire des choses atroces de vulgarité l’insultant, la bafouant.
- t’aime ça d’être prise par derrière hein dit, tu veux que j’accélère la cadence salope, dis-moi que t’aime ça
- oui j’aime ça, c’est bon
- t’es une cochonne, dis-moi que tu une grosse cochonne
- oui je suis une cochonne
- ça te plait de te faire baiser, alors qu’il y à un autre homme à coté qui nous écoute
- non, vas-y doucement il va nous entendre
- tu rigoles, poufiasse, si ça se trouve, il te regarde te faire baiser par le trou de la serrure, tu veux que je vérifie
- non, je t’en prie fais pas ça
- Si je suis sûr que ça t’excite de savoir qu’un autre mec te regarde, en plus il doit se branler, à voir ton cul se faire défoncer, allez j’ouvre la porte il doit être derrière
- Non, non, non
- Si c’est pas moi qui ouvre alors ça va être toi
Il la saisit par les cheveux et la releva du lit et commença à la diriger vers la porte. Elle se débattit afin de rester sur le lit et lui dit.
- Non fais le toi même.
Il ouvrit la porte. Le cœur de Patricia se souleva en voyant cet homme la regardant d’un regard lubrique et gourmand.
- Approche, elle veut que tu la regardes.
- Houai ça m’étonne pas les bourgeoises comme elles sont toujours des belles salopes.
- Tu veux qu’il te montre sa bitte. Je suis sûr que t’a jamais vu un sexe de noir.
- Surtout que j’ai un braquemart énorme
- Non, je ne veux pas, non non
La tenant par les cheveux tout en continuant à la marteler, il lui appliqua une grande claque sur les fesses.
- Dis-moi que tu veux voir sa bitte, dis le moi
- oui montre-moi sa bitte montre-la-moi, dit-elle ne pouvant plus suite aux allées et venues de son amant dans sa chatte
- Dégrafe-la toi-même dit l’homme noir
- Non pas ça
- Obéis sale pute en lui appliquant encore une autre claque
- T’as vu les nichons qu’elle a, palpe-moi ça
Pendant que Patricia obéissait et déboutonnait le second homme celui ci pelotait ses seins aux travers de son pull en laine. Le sexe apparut enfin énorme et monstrueux tout noir comme un morceau de bambou dressé.
- Masturbe-le, branle-le juste qu’à ce qu’il te jouisse dessus
- Houai branle moi cochonne, tu dois être une experte
Elle branla le loir pendant que le blanc lui ramonait la chatte. Le grand noir l’attrapa alors par les cheveux et lui dit :
- Tu vas me sucer
- Non, Michel empêche-le, je ne veux pas
- Suce-le tout en lui appliquant une autre claque sur sa croupe qui commençait à rougir.
Elle engouffra le sexe dans la bouche qui ne pouvait entrait entier tant sa taille était trop importante. Elle le pompa alternant les coups de langue sur le gland et les remontées avec sa langue du bâton de chair, et tout en le masturbant. L’homme noir était surexcité, passa ses mains sous son pull afin de lui caresser les seins mais tellement brutalement qu’il déchira le soutien gorge
Le bruit de la dentelle déchiré excita encore plus son amant qui se mit jouir, l’inonda et giclant sur ses fesses. A la vue de sperme déchargé sur les fesses, le noir jouit dans la bouche de Patricia, déversant des quantités impressionnantes de liquide. Elle retomba sur le lit à demi nue, épuisé elle avait joui plusieurs fois mais ne se rendit pas compte des flashes qui crépitaient, la prenant en photo recouverte de sperme.
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