Partouze pour une douairière - Renaissance 05

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Partouze pour une douairière - Renaissance 05 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2016 dans la catégorie Plus on est
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Partouze pour une douairière - Renaissance 05
Partouze pour une douairière - Renaissance 05

Victoria, cinquante et quelques.... est ne forte femme, bien proportionnée, dotée d’une forte poitrine. Malgré son âge certain, elle a un joli visage, rond, bien fardé, des lèvres pleines et des yeux d'un bleu porcelaine. C'est une femme majestueuse et ses chairs ne sont pas flasques du fait de sa rondeur sans doute. Elle a une belle peau d'un blanc laiteux.


Cette femme se laisse séduire par Romain, un écrivain, sociologue de trente-quatre ans, qui la trousse sans vergogne dans son appartement du 6e arrondissement de Paris. Le couple s’adonne à une nuit de réjouissances licencieuses et suggestives. Au réveil, Paul initie Victoria à la sodomie, dans la douleur et le plaisir. Au matin Romain lui fait encore l’amour et la quitte pour des occupations professionnelles. La rappellera-t-il ?…

Le lendemain midi, Victoria rencontre Martine, sa meilleure amie à qui elle raconte son aventure, lui confiant qu’après le départ du jeune homme, elle s’est masturbée avec une bouteille de shampoing. Son amie lui fait découvrir sa collection de sex-toys et les deux femmes se gouinent délicieusement. Un diner est prévu chez Martine dont le diminutif est Maty, avec son mari et Romain.


*****************************************************************************

Quinze jours plus tard, alors que Romain ne lui a seulement téléphoné que deux fois, Victoria ne l'a pas encore revu à son grand désespoir. Enfin, excitant sa curiosité, elle a pu tout de même le décider à venir dîner chez son amie. Ce soir elle l'attend donc chez elle, car il doit venir la prendre avec son automobile.


Pour cette occasion, elle a mis une très jolie robe vaporeuse en soie avec des motifs à fleurs jaunes, son décolleté en carré étant retenu par deux fines bretelles. Pour soutenir ses appas généreux, elle porte un soutien-gorge de couleur champagne à armatures sans bretelles, comprenant des bonnets en dentelles qui remontent le globe de ses seins. Pour contenir son large fessier, elle s'est ceinte d'une gaine jarretelles de couleur assortie en maille extensible ; celle-ci affine sa taille et fixe ses bas par le porte-jarretelles incorporé qu'elle a paré d'un boxer fin en dentelle extensible, de couleur champagne lui aussi. Enfin, elle a enfilé des bas en voile de lycra marron, puis, chaussée des escarpins jaunes à talons fins, assortis d'un sac de même couleur. Bien qu'à son âge, elle doute de son pouvoir de séductrice, Victoria se montre ainsi à croquer et appétissante en diable.


Alors qu'elle appréhende avec angoisse la venue de son jeune « amant », paniquée à l'idée qu'il ne vienne pas au rendez-vous qu'elle lui a fixé, il se présente enfin, la trouvant immédiatement tout à fait charmante dans ses atours élégants. Se conduisant comme le libertin qu'il est, il la prend dans ses bras tout en l'embrassant profondément tout en la complimentant sur sa tenue. Elle est toute chavirée par les baisers et les louanges, tandis que Romain ne la laisse pas se reprendre.


Il lui pelote les seins et les fesses tout en retroussant sa robe, puis il glisse sa main dans sa culotte en dentelle et palpe les bords de la vulve, où il sent d'emblée, l'humidité qui a envahi rapidement la cavité de la plantureuse femme. Elle se débat un peu en riant, mais le laisse faire, émoustillée par tous ses sens, sous les attouchements libidineux de l'homme qu'elle brûle de revoir depuis deux longues semaines. Se baissant brusquement, il s'empare de son boxer et le fait glisser le long de ses bas. Elle a beau objecter qu'ils vont être en retard et qu'ils auront tout le temps au retour, rien n’y fait.


Il ne tient aucun compte de ses protestations, il enlève tout de même le sous-vêtement, effleurant la vulve qui frémit sous ses doigts pervers, puis, se ravisant soudain, il lui déclare qu'elle a raison et qu'il vaut mieux partir maintenant. Mais il l'empêche de remettre le bouclier de son intimité, lui certifiant qu'il adore, la savoir avec ses fesses à nu, la mettant ainsi à la disposition permanente de ses envies. Elle proteste pour la forme, mais enflammée par la promesse d'une nuit d'amour, elle se laisse convaincre de partir dîner sans sa culotte.




Après avoir garé la voiture de Romain dans un parking proche, ils se présentent devant l'immeuble des amis de Victoria. Une fois la porte cochère franchie, ils prennent l'ascenseur où Romain en profite pour trousser sa compagne, glissant deux doigts dans l'ouverture de sa chatte. Il constate aussitôt qu'elle est abondamment imprégnée de ses sécrétions vaginales, c'est pourquoi, retirant ses doigts du pertuis, il l'oblige à les sucer. Elle est toute rouge et tremblante lorsqu'ils se présentent à la porte de l'appartement, où, devant son amie qui ouvre la porte, elle se montre quelque peu embarrassée.


Celle-ci a compris en voyant son amie à peine rajustée et rougissante, surtout que l'homme avenant qui l'accompagne laisse apercevoir le devant de son pantalon déformé par une grosseur prometteuse. Elle sourit, complice, à ses deux invités, déjà alléchée par ce qui ne va pas manquer de suivre. Elle les fait entrer en se présentant.


– Martine ! Dites-moi Maty voulez-vous, dit-elle en s'adressant à l'amant de sa tendre amie.

- Voici mon mari Hubert.


Victoria présente Romain comme un ami très cher. Hubert qui a quarante-huit ans est un tout petit peu plus âgé que son épouse Maty. Il est chauve, assez grand et très fortement charpenté avec un peu d'embonpoint. C'est à cause certainement de ses obligations, dues à de nombreux repas d'affaires qu'il doit à son activité ; il est expert en tableaux et voyage beaucoup dans le monde entier. Maty avait confié à Victoria lors de leurs déjeuners de « filles », qu'il est monté comme un taureau et à part sa femme qui est habituée à recevoir son énorme engin dans la vulve et l’anus, peu de femmes acceptent volontairement de se faire « forcer » par lui. Heureusement que les séances de sadomasochistes qu'ils pratiquent assez souvent entre eux et leurs amis lui permettent avec le consentement des femmes qui sont attachées la première fois, de les « violenter » tout à son aise, mais cela Maty ne l'a jamais confié à son amie.


Martine, la rousse aux yeux verts, est habillée d'une robe en dentelle transparente de couleur noire. Ses seins bien ronds qui ne sont pas supportés par un soutien-gorge se devinent aisément à travers les ouvertures du tissu, alors que son pubis est caché par la broderie plus fournie à cet endroit. Apparemment elle n'a pas de slip, car sur chaque hanche, la peau paraît nue sous la dentelle. C'est tout du moins ce que Romain qui la détaille avec avidité peut présumer.


Les maîtres de maison et leurs invités s'installent dans des fauteuils profonds dans le salon et prennent l'apéritif tout en faisant connaissance, surtout pour Romain et Hubert, qui parlent de leurs activités respectives. Maty a croisé hauts ses jambes gainées de nylon, aguichant selon toute évidence Romain qui se trouve en face d'elle. Il peut ainsi, découvrir les jambes et les cuisses de la femme presque jusqu'à l'aine. Il aperçoit aussi la peau nue et très blanche de la rousse au-dessus du bas, mais ses yeux ne peuvent deviner si le sexe est découvert.


Après avoir conversé de choses et d'autres, le groupe passe à table, où un dîner fin est servi par la jolie Maty. La conversation évoque des sujets très différents, enfin à un certain moment, comme souvent à table, les convives parlent de sujets plus légers en abordant les problèmes sexuels.


Hubert et Maty ne cachent pas qu'ils vivent une sexualité libre, car s'ils ont plus ou moins régulièrement des aventures chacun de leur côté, qu'ils se racontent d'ailleurs, ils confient en outre à leurs invités qu'ils ont participé plusieurs fois à des soirées échangistes tout en demandant à Romain et à Victoria ce qu'ils en pensent. Romain est décontracté, en tant que célibataire, il assure à ses hôtes qu'il n'a aucune réticence car il a déjà vécu lui-même quelques aventures particulières.


Victoria est très rouge, en se sentant un peu exclue, d'abord, parce que beaucoup plus âgée que les autres convives, puis n'ayant jamais connu ce genre d'aventure, elle peut difficilement donner son opinion. Bien qu'elle vienne de se découvrir un appétit sexuel tout nouveau pour elle, après dix années d'abstinence, elle ne se sent pas prête à toutes les situations scabreuses qui viennent d’être évoquées aussi crûment devant elle.


Le dîner touchant à sa fin, ils prennent place au salon pour prendre le café, alors que la conversation s'attaque maintenant aux plaisirs solitaires et à la masturbation féminine. Maty en parle très librement, affirmant s'y adonner très souvent en l'absence de son mari, mais aussi devant celui-ci qui apprécie tout particulièrement d'être le spectateur privilégié de son épouse. Victoria questionnée à son tour est très embarrassée pour répondre. Alors Romain prenant la parole, révèle que c'est lui qui a été son initiateur, il y a seulement deux semaines. Victoria toujours silencieuse devient cramoisie de honte que l'on puisse parler d'elle aussi crûment.


Hubert propose en riant, que Maty leur fasse une démonstration car dit-il, elle est très douée. Maty sans hésiter accepte immédiatement. Retroussant doucement sa robe, elle découvre ses jambes et ses cuisses et plonge la main vers son intimité sans que l'on puisse distinguer l'objet du délit. Hubert proteste en affirmant que sa femme triche car on ne la voit pas se masturber, tout en disant cela il remonte la robe de son épouse très haut. Alors, devant les yeux de Victoria et de Romain, apparaît la main qui effleure le clitoris entre les lèvres disjointes du vagin dont le pubis se révèle entièrement épilé. La belle Maty n'a pas de slip, comme l'avait subodoré Romain et pour que ses spectateurs profitent au mieux de son exhibition, elle disjoint ses cuisses le plus qu'elle peut. Se tripotant en faisant parcourir ses doigts à l'intérieur des cuisses, elle effleure ses grandes lèvres en les écartant pour plonger de temps en temps un doigt au fond de sa chatte. Elle se fait vibrer avec une grande impudeur devant Romain qui se délecte de cette exhibition, alors que Victoria ne peut détacher ses yeux du spectacle que donne son amie et s'angoisse sur la suite des événements.


Maty s'attaque maintenant furieusement à l'intérieur de sa moule, agitant avec frénésie ses doigts qui clapotent dans ses sécrétions. Bientôt, n'en pouvant plus de sa masturbation frénétique, elle divague et explose dans une divine jouissance. Son mari et Romain applaudissent à l'exploit de cette femme libérée, puis Romain se tournant vers sa compagne lui demande si elle se sent prête à leur faire voir son habileté récente à se masturber. Victoria de plus en plus rouge et embarrassée se dérobe, mais Maty qui a repris ses esprits, après s'être délectée des douceurs qu'elle s'est prodiguée s'approche de son amie et lui dit avec malice.


- Victoria ma chérie, tu m'as bien dit que tu t'es fait plaisir devant notre ami Romain, tu ne vas pas nous priver de ce spectacle alors que j'ai bien vu que tu te régalais à me regarder. Allons, je vais t'aider, laisse-toi faire !


Tout en disant cela, Maty a glissé ses mains sous la robe de son amie qui n'ose se rebeller, mais qui ferme les yeux pour ne pas affronter le regard d’Hubert. Elle lui caresse les jambes avec une grande habileté, puis, remontant au-delà des cuisses, elle découvre le sexe nu et en avertit les autres.


- Messieurs je vous annonce une bonne nouvelle, notre amie n'a pas de culotte et je suis sûre que bien qu'elle s'en défende, elle s'est sans aucun doute préparée à nous faire une démonstration de sa sensualité.


Maty ne voulant pas laisser Victoria se reprendre, trousse vivement sa robe, puis lui dégageant les jambes et les cuisses en la renversant sur le canapé, elle lui prend une main et la dirige vers le sexe qui est maintenant dégagé. La femme mûre se laisse guider la main par son amie qui la pose sur sa vulve et l’oblige à ouvrir ses doigts pour se caresser intimement.


Après s'être d’abord montrée irrésolue sur la conduite à tenir, la quinquagénaire fait soudain preuve de hardiesse, elle palpe ses organes génitaux en premier lieu d'une façon lascive, puis avec de plus en plus de frénésie. Elle a oublié que trois paires d'yeux la regardent avec avidité se masturber, et qu'elle offre aussi à leurs regards lubriques, toute sa féminité ouverte et offerte, ou plutôt elle le présume, se régalant de l'effronterie dont elle se sent à présent capable.


Elle explore avec minutie sa grotte grande ouverte avec ses deux mains, ses doigts fouillant au plus profond d'elle même en s'agitant dans ses chairs enflammées. Elle triture son clitoris, tressautant violemment aux vibrations voluptueuses qu'elle ressent. Un premier orgasme la saisit. Puis, alors qu'elle reprend avec vigueur sa masturbation, elle s'envole maintenant dans une folie lubrique, poussant des cris brefs inintelligibles tellement sa jouissance l'emporte dans des tourbillons vertigineux. Un second orgasme envahit ses sens exacerbés, aussi elle délire ne pouvant plus s'arrêter de branler son vagin devenu incandescent, aspergeant ses cuisses d'abondantes sécrétions.


Nos trois complices, ne voulant pas lui laisser le temps de reprendre ses esprits, se précipitent sur elle et l'entreprennent ensemble. Romain lui prend la bouche et plonge sa langue dans la sienne, Maty, aidée de son mari, lui retire sa robe rapidement avec tout de même quelque délicatesse. Puis Hubert vient boire à la source de son vagin et gobe son clitoris. Maty écarte la dentelle du soutien-gorge et caresse ses mamelons tout en lui suçotant les tétons et les pointes qui sont devenues dures. Victoria sucée, pelotée, caressée sur tout son corps n'est plus qu'une machine à jouir, elle rit, elle pleure, elle gémit, sentant à peine la verge monstrueuse d’Hubert forcer l'entrée de sa vulve qui bave abondamment de ses sécrétions intimes.


Elle grimace cependant sous la formidable poussée qui écartèle ses chairs sans discontinuer, ayant l'impression que la verge monstrueuse ne finira jamais de trouer sa gaine vaginale. Mais pendant qu'Hubert plonge péniblement sa queue noueuse, dans la grotte accueillante de l'amie de son épouse, de son côté Romain sort son pénis et l'enfourne dans la bouche qu'il vient d'embrasser.


Victoria aspire et pompe avec avidité le membre de son amant, alors que Maty, pour porter à leur paroxysme les sens de son amie, passe une main entre son pubis et le mandrin de son époux caressant le clitoris en feu de la nouvelle initiée. De l'autre main, elle s'ouvre un passage pour introduire deux doigts dans le rectum si récemment dépucelé. La chevauchée des deux couples se poursuit pendant un certain temps, jusqu'à ce que Hubert éjacule dans la chatte inondée et que Romain expulse sa semence au fond de la gorge de Victoria, qui déglutit et avale le sperme brûlant qui jaillit par saccades.


Ils sont entremêlés et à moitié déshabillés, lorsque, reprenant leurs esprits, ils se débarrassent de leurs derniers vêtements, faisant glisser la gaine jarretelles et les bas de Victoria, qui se retrouve entièrement nue devant eux. Elle a très honte de son corps volumineux, mais ses amis ne lui laissent aucun répit. Ils lui font fête en la complimentant sur sa sensualité, sur sa poitrine généreuse, sur son fessier consistant et le plaisir qu'ils ont eu à la baiser, à la caresser, à se servir de sa bouche, de son vagin et de son cul, où ils ont pu enfoncer qui sa bite qui ses doigts ou sa langue.


Maty leur sert du champagne, puis, sentant que son amie a enfin perdu ses inhibitions, elle raconte aux hommes la séance qu'elle a eue avec Victoria ainsi que l'essai des godemichés. Victoria confuse proteste pour la forme, mais après la séance à laquelle elle vient de participer ses objections semblent bien inutiles. À ce moment, Maty propose qu'elles essaient toutes les deux les membres de remplacement en latex, qui ont été fabriqués spécialement pour la pénétration anale, car lors de leur séance saphique elles ne s'en sont pas servies.


Victoria n'ose plus rien objecter lorsque Maty va chercher les godemichés spéciaux. La jolie rousse attire alors Victoria sur une grande table basse sur laquelle elle installe deux tabourets. Les deux petits olisbos possèdent une grande collerette à leur base permettant de les disposer pour que les deux femmes puissent s'accroupir au-dessus et que les deux hommes puissent contempler et admirer avec attention l'expérience à laquelle elle vont se prêter. Conjointement, elles présentent leur anus en face des engins en caoutchouc.


En fait, ces gods, appelés Anal-Picket, servent surtout aux débutants, car ils font tout au plus deux centimètres de diamètre et quinze centimètres de long. Maty se laisse très lentement aller sur le god qui écarte les plis de sa rosace anale, l'engin artificiel s'ouvrant un passage dans l'œillet qui s'écartèle assez facilement.


Par contre, pour Victoria c'est une première. Puis, du fait de sa corpulence, elle perd légèrement l'équilibre. Essayant de se rattraper en agrippant le bras de sa compagne, elle ne peut s'empêcher de s'asseoir tout de go sur le phallus factice qui d'un seul coup fait irruption dans son rectum. Assise sur le tabouret, elle pousse un cri de surprise et de douleur devant l'envahissement de sa croupe par le godemiché qui s'est niché au plus profond de ses entrailles.


Les deux hommes ne veulent pas laisser les femmes s'enculer seules et prendre leur plaisir en solitaire. Aussi sautant sur la table, ils saisissent chacun la femme de l'autre en présentant leur verge devant le vagin qui palpite devant leurs yeux. Hubert, malgré ses protestations, enfile rapidement Victoria, alors que Romain qui en meurt d'envie s'engouffre dans la chatte de Maty. Les deux femmes, enculées par les phallus en résine et empalées cette fois sur des verges de chair, sentent les membres s'agiter dans leur corps ne sachant plus distinguer le vrai du faux, qui en s'associant bouleversent leurs gaines génitales et rectales. Leurs cris et leurs gémissements ne sont plus qu'une immense vocifération jusqu'à l'orgasme faramineux qui les libère presque tous en même temps.


À suivre…

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