Pas si vite fait que prévu ! - histoire érotique

Celle-là date d’avant-hier, de samedi quoi.
Mercredi dernier en milieu d’parés midi le téléphone sonneMoi : alloA l’autre bout : Vous êtes Gil,Moi : oui qui êtes-vous ?
Lui : je m’appelle Manuel, je suis un bon ami de longue date de YVES et Nath, je suis de Paris et en vacances dans leur maison d’hôtes.
J’explique : Yves est un mec que j’ai connu voilà 5 ans alors qu’il était en vacances dans le coin, il m’avait baisé pendant 4 jours (voir ma précédente histoire ici) et que je n’avais pas revu jusqu’à il y a une quinzaine, oule hasard nos a réuni, et les retrouvailles ont étaient un poil déjanté et chaudesEntre temps il a tout plaqué à Paris, c’est associé avec un nan superbe beaucoup plus jeune que lui, mais 100% lesbienne, et ils tiennent une maison d’hôtes dans la région. (voir ma précédente histoire) Moi sur la défensive: oui et alors ?
Lui : Yves et moi quand il était à Paris avons comment dire ; pas mal sévit ensemble et dans les mêmes corps si tu vois ce que je veux dire.
Moi : j’imagine, mais pourquoi m’appelles-tu, et pourquoi Yves t’a donné mon tél ?
Lui : On a parlé de nos anciens plans, puis il m’a raconté votre dernier plan avec Nath, et j dois avouer que cela m’a particulièrement excité surtout quand il m’a raconté ce que tu aimais en baise, et je pense correspondre sans problème.
Moi : Bon et alors tu veux en arriver où ?
Lui : ben j’aimerai bien qu’on se rencontre, Yves m’a dit que j’étais le genre de mec que tu aimais pour la baise.
Moi : que t’a-t-il raconté ?
Lui : que t’étais plutôt chaud et disposé, que tu aimais les hommes virils actifs, un poil dominant qui ont passé l cinquantaine.
Moi : ouai ça dépend aussi de la mentalité, et, oui j’aime la baise avec des hommes passés la cinquantaine, mais pas n’importe quoi non plus, ni avec n’importe qui, je suis du genre à trier, si tu te présentais déjà pour voir.
Lui : OK j’ai 58 ans je suis d’origine portugaise, installé en France depuis l’âge de 15 ans , célibataire, actif , pas trop mal monté, et ne baisant que les mecs de préférence de mon âge, même s’il met arrivé de casser des cul plus jeunes, mais franchement je préfère les mecs murs, au moins ils savent ce qu’ils veulent ils sont moins casse couilles et quand ils se mettent dans un lit, c’est pas pour jour aux cartes, ni minauder, pour le reste je fais 1m80 pour 85 kgs, velu mais le poil blanc, et quasiment plu de cheveux.

Moi : Ok tout ça à l’air sympa mais tu veux faire quoi au juste.
Lui : comme toi, ça dépend, mais là en ce moment j’ai envie d’un plan cul genre pas compliqué voir direct, sans trop ou pas de préliminaires bref j’ai envie de bourrer remplir et démonter un bon cul de passif pas farouche et qui a du répondant tout ça bien virilement.
Moi : au moins c’est clair, c’est déjà ça !
Lui : ça te parle ?
Moi : Faut voir, pourquoi pas, présenté comme ça, mais faut d’abord que je vois à quoi tu ressembles en vrai.
Lui : Normal t’es libre quand, je sais que tu peux pas recevoir, on pourrait aller dans le bungalow que j’ai loué chez Yves si tu veux.
Moi : sur le fond ok seulement près t’avoir vu, et je te préviens si tu ne corresponds pas, je me tire , pote d’Yves ou pas.
Lui : ok samedi AM vers 18 heures chez Yves ça te vas ?
Moi : OK à samedi et je raccroche.
Je l’ai un peu en travers quand même qu’YVES est donné mon tél, je l’appelle.
Bjr c’est quoi cette histoire de plan avec un MANUEL sui vient de m’appeler ?
Yves : ha merde j’ai oublié de t’appeler pour te prévenir, c’est un pote à moi en vacances ici qui est branché cul de mecs comme moi, je le connais bien c’est un mec réglo, qui en plus est un bon mâle pas compliqué comme tu les aimes, physiquement, et comportementalement, mais je l’ai prévenu, que c’était pas gagné d’avance.
Moi : m’ouais bon, on se voit chez toi samedi AM à moins que monsieur y voye un inconvénient.
Yves : vous faites ce que vous voulez je n’en ai rien à foutre tant que c’est discret, j’ai du monde au gite, mais les départs se font en soirée pour un re-remplissage dimanche soir.
Moi : OK la bise à Nath à samedi.
Vendredi matin la factrice me dépose un petit colis, j’ouvre un courrier de Yves, un petit cadeau paour toi, puisque tu viens samedi je te conseille de le mettre au moins une heure avant de venir et de le d=garder, ça pourrait t’aider dans ta rencontre avec Manuel.
J’ouvre, un Plug ROSENBUD en inox (ils appellent ça bijou anal) de 8 centimètres de long et 5 au plus large, prévu pour être porté en journée.
J’avoue être agréablement surpris d’abord parce que ça faisait un moment que j’envisageais d’en acquérir un.
Avant-hier 18heures j’arrive, Yves me reçoit, me dit vient il est à l piscine je vais faire les présentations je croise Nath, la bise, elle a un sourire égrillard en coin, je suppose donc qu’elle est au courant.

Je me suis mis le plug en début d’après-midi au début la sensation est étrange mais avec les déambulations, les trépidations de la voiture je dois dire que ça m’excite assez, et me donne quelques chaleurs.
Il est là en short de bain au bord de l piscine, il fait une chaleur de bête, ça trempe dans la piscine, 3 couples et 2 mecs, Lui, est plutôt du genre bien bâti, sacrément Tanké comme on dit chez moi, et bien bronzé, le torse puissant, velu grisonnant, de bons avant-bras et cuisses, et des de belles paluches, Yves nous présente vite fais et prétexte qu’il a dû taf avec les départs et nous abandonne là.

Manuel, d’entrée : t’es pile poil comme Yves t’as décrit, j’aime bien, tu es grand et moi j’aime bien casser les grands en 2, et me concernant, le bestiaux te convient ?
Moi : honnêtement oui.
Manuel : on se boit un verre et on y va, je pense à notre rencontre depuis mardi, j’ai dû te baiser 3 ou 4 fois déjà d’en mes rêves.
Ok on s’ expédie vite fait une bière et on décampe à son chalet sur le chemin il éclaire tout de suite, j’ai trop envie alors pas de chichi ni préliminaire, je bande déjà juste une petite préparation de ton trou, et je t’encule direct, c’est de ça que ‘ai envie en ce moment, ça te va ?
Moi : déjà bien chaud à cause du plug, le lui dis : on ne peut pas rêver mieux.
A peine entré il se débarrasse de son short, pendant que moi j’évacue tee-shirt, sandales boxer et pantacourt.
Effectivement il est en bandaison, et c’est du sérieux, du trapu je dirais même, dans le 18 à 19 à vue de nez, mais surtout de l’épais avec une belle paire de boules bien lourdes et jute pendantes ce qu’il faut.
Moi : ah oui quand même joli matos prêt à fonctionner !
Lui : tu ne crois pas si bien dire, bon mets-toi à 4 pattes sur le lit, on n’a pas de temps à perdre en palabres.
Je m’exécuteLui : ha le cochon que voilà, quand il découvre le plug dans mon trou, je vois qu’on n’a pris ses précautions, putain j’adore, je sens que je ne vais pas m’ennuyer avec toi !
Moi : c’est un cadeau de Yves reçu hier, et vu ce que tu m’as annoncé et que Yves m’a dit, j’ai un peu pris les devants on n’est jamais assez prudent.
Lui : tu as bien fait et de l’attraper, le retirer sans trop de ménagement, et de me le refaire passer 5 ou 6 fois d’affilé avec une cadence calculée.
Ça me fait tout de suite un effet bœuf et je m’entends gémir, Lui : bon allez zou au charbon, il retire le plug d’un coup, pose son gros gland sur mon trou, je le sens dur et brulant, et pousse d’un coup bien net et sec, j’ai beau être ouvert je l’ai senti passé , et j’ai aussi poussé un cri de douleur, j’avais son gland et bien un bon centimètre dans le cul, et même si j’aime le rugueux de temps en temps, sur ce coup-là j’étais servi.
Il se pose quelques secondes, me dit fais pas ta chochotte, t’as un bon trou étroit qui va s’ouvrir, je vais te péter le cul, parait que t’aimes çaMoi : oui mais arrange toi pour pas me déchirer.
Lui : t’inquiète et en même temps il s’enfonce en moi d’un seul coup, lent ininterrompu jusqu’à ce que je sente son pubis sur mes fesses, je me suis ouvert tout le long non sans difficulté, en serrant les dents pour pas couiner.
Un fois installé au fond il fait une pose en me tenant bien coller à lui par les hanches.
Je récupère mon souffle, ma tuyauterie est mal menée, mais l mélange de douleur, dilation, et sensation de remplissage et le plaisir procurés prennent le dessus, je commence à avoir mes chaleurs, et ne rêve que d’un truc c’est que pieu me pilonne.
Lui : putain tu l’as bien prise, Yves avait raison, étroit au début mais accueillant par la suite m’avait ‘il dit, bon on passe aux choses sérieuses , un bon cul comme ça mérite d’être bien bourré, et de commencer ses allers-retours d’abord sur la moitié de sa queue, lentement, puis sur toute la longueur, il ressort 3 ou 4 fois pour mieux me remettre son gland à gland coups de reins, J’adore ça, et puis il entreprend de me limer en cadence modérée, en poussant jusqu’au fond à chaque fois, moi je sais plus où j’habite-je ne suis plus qu’un trou avide de plaisir,Il me dit mais c’est quelle aine ça la cochonne, moi pas très branché par ce genre de commentaires je lui dis et si tu fermais ta gueule et me bisais tout simplement.
Lui : ok et d’entamer une chevauchée onirique, il me bouscule les entrailles comme un malade j’adore le dit l’encourage à y aller, moi qui en principe qui m’exprime peu en ces cas-là, va s’y encule moi comme un taureau putain que j’aime ça, et de commencer à pousser des ha ho oui putain c’est bon, je sens la plaisir débouler dans mon ventre d’un coup violent, ç me prend au milieu du dos et descend dans mes reins pour aboutir à mon cul qui se met à convulser, lui aussi commence à se manifester, il souffle, grogne, dit ho ce cul ce cul, je vais partir , je sens sa queue s’épaissir au passage de mes sphincters, je sens que ça va être le moment, il se plante et me balance une dose de jus à répétions au fond du cul, en hurlant de plaisir, moi aussi j’ai joui du cul et de ma queue alors qu’elle n'est même pas bandée, de façon fulgurante quasiment en même temps que lui.
Il se retire, on est harassés tous les 2, je m’allonge sur le ventre pour récupérer, j’ai le fion en feu, je sens sa semence s’écouler de moi, avec la dose qu’il ma mit rien d’étonnant,On récupère chacun de son coté, puis il me dit va à la douche, tu trouveras une sacoche à coté de l’évier dedans il y a une seringue à lavement, sers-toi s’en pour faire le ménage à l’intérieur.
Je fais comme il dit, avec 3 bons remplissages pour bien évacuer.
Quand je sors il va me remplacer, puis on se rhabille, et on repart vers la terrasse sur la piscine, au passage je laisse le plug dans ma boite à gants, pas question de l’oublier celui-là, et je prends mes clopes, Manuel m’a devancé.
La piscine s’est vidée de son monde, en même temps il est 19h30, seul Manuel y nage, Yves débarque, alors ?
Moi : la vache, c’est un cas ton pote, il m’a démonté, j’ai le cul en feu, sacré baiseur du genre rugueux sans état d’âme.
T’as pris ton pied au moins ?
Moi : oui pas mal, un peu banale fin de compte, on va dire : une baise solide, sans particularité, mais une bonne baise quand même, en gros une bonne bite qui rentre dans un trou, le truc pour se soulager quoi, surtout lui.
Yves je reviens tout de suite, il revient avec un flacon en verre et me dit : tient va te passer ça sur l’anus mets en dedans aussi , c’est un gel pour ton cul tu vas voir dans 5 minutes ton trou sera comme neuf, prêt à recommencer, tu vas voire c’est un produit génial, j’i ramené ça du Canada il y a 3 mois.
Moi : ok de là à recommencer, on va attendre un peu quand même, et au fait merci pour le plug ,bonne incitative, en plus je me tâtais pour en acheter un à me mettre en journée de temps en temps pour le fun.
Yves : tu diras merci à Nath, l’idée est d’elle.
Je vais dans la salle de bains pour m’enduire de on baume, et effectivement dans le quart d’heure qui suit, plus rien, plus de gène ni chaleur.
Je le dis à Yves qui me répond en plus il est astringent, apaisant, et permet de resserrer les muqueuses, tu verras.
Manuel sort de l’eau, Yves me dit, tu reste manger avec nous, on sera que les 3, Nath à une partie fine dans son bungalow donjon avec 2 de ces copines qui sont déjà là, on ne va pas la revoir au mieux avant minuit, voire demain, et le renouvellement des locataires ne se fera que dimanche soir, du coup on est peinards.
Moi : OK.
Du coup, on bouffe, on picole pas mal, ça rigole beaucoup, on finit par parler plans cul, ce qui a pour effet d’énerver tout le monde principalement le Yves.
On repart dans la piscine, tous à poil cette fois ci, et je me retrouve assailli par les 2 lascars qui sont bien en forme, et ont manifestement l’intention de me faire passer à la casserole, Impossible de leurs échapper, et fin de compte pas trop l’envie non plus, alors ça dégénère sur le bord de la piscine, moi le passif face à 2 actifs bien en formes et déterminés.
Je me retrouve avec 2 belles bites à sucer pour commencer, puis qu’une seule pendant que je me fais bouffer et travailler le cul, puis une bite dans le cul l’autre dans la bouche, et 2 mecs qui tournent et se remplacent dans mes orifices à tour de rôle.
Le poppers a fait son apparitionJ’en prends plein le cul et la bouche, le plaisir est extrême, et pas que physique mais dans la tête aussi, d’être à la merci de 2 mâles bien montés en rut parfois brutaux, parfois plus attentionnés, mais déterminés.
Ils on même essayer de me prendre en double, mais poppers ou pas, juste une queue et gland est passés, j’ai refusé d’aller plus loin, là, ces 2 bites c’était trop pour mon fionJ’ai joui comme un damné de partout, Yves s’est fini en moi au plus profond, pendant que Manuel lui se vidait au fond de m gorge.
Du coup je suis resté dormir chez Yves trop claqué et chargé pour repartir, sans compter la bibine.
Nath est réapparue au petit déj, radieuse, apparemment sa partie entre filles ça l’avait fait.
Moi : t’as passé une bonne soiréeNath : plutôt oui, mais toi aussi apparemment.
Moi : ah ça je ne vais pas te dire le contraireNath : je sais, les filles sont parties verts 23h30, et je suis venue pour me baigner mais vous étiez en pleine explication, alors je me suis assise sur le transat là-bas et j’ai assisté au spectacle, ils ne t’ont pas raté, t’as pris chaud.
Moi : sans compter que c’était la deuxième tournée, le Manuel m’avait déjà secoué fin d’après-midi.
Nath : ah oui quand même, quand tu fais même si ce n’est pas souvent comme m’a dit Yves, tu ne fais pas semblant.
Moi : tant qu’à faire, bien faireNath : je crois surtout que t’aime ça Moi : Oui mais pas avec n’importe qui ni n’importe comment.
Nath : ok je comprends maintenant vu les cadavres de bouteilles, et après vous avoir vu à l’œuvre pourquoi les 2 autres sont encore au lit on déjeune ?
Moi : Oui en silence et je me barre, ne s’agirait pas de les réveiller, pour peu qu’ils aient le réveil ardent, là j’ai ma dose.
Nath : en souriant, bien sûr, jusqu’à la prochaine opportunité.
Moi : advienne que pourra, après tout on ne vit qu’une fois.
Nath : tu as bien raison, cela dit, j’aimerai qu’on remette çà toi Yves et moi comme et la dernière fois On pourrait pousser les jeux peu plus être plus élaborés, mon donjon est disponible quand je veux, tu connais mon côté enculeuse et dominatrice avec les nanas, et la dernière fois avec toi et Yves, c’était la 1ère fois que j’enculais un mec, et je dois dire que j’ai bien aimé, c’est un autre plaisir plus intellectuel, du coup quand je vous ai laissé finir entre vous, je me suis godée comme une malade.
Moi : pourquoi pas, faut voir avec Yves, et je suis parti, non sans réutiliser le baume magique de Yves.
Voilà ma dernière facétie A la prochaine, surtout n’hésitez pas à laisser des commentaires, c’est toujours constructif quel qu’en soit la teneur.